Archives de catégorie : Actu

L’antilibéral est une petite catin

Il suffit de parler dix minutes avec ces gens-là pour l’apprendre, le modèle des mongaullo-souverainistes en particulier et des socialo-patriotes en général, c’est Poutine…

Leur rêve commun, c’est un souverain tout-puissant, maître chez lui, jamais empêché par ce qui pourrait …

Je vous aime

Lorsque j’avais quinze ans, j’étais amoureux de Julia Roberts, à m’en rendre malade.

Un soir, je m’en suis même tapé la tête contre les murs de ma chambre, tant j’en voulais à cette traînée de nous avoir tenu à distance …

Dans ton cul, Demorand

Particulièrement savoureux, sous la plume du journaliste-papier-racketteur Demorand, les expressions souveraineté numérique ou jouer à armes inégales des atouts de la déterritorialisation. (Ce qui veut dire en gros comment veux-tu qu’on ait une discussion sereine, d’égal à égal, si

C’était mieux avant

Cette jolie chanson devrait faire rougir de honte les cathos pro-life qui ne décolèrent pas contre Simone Veil et sa loi, mais qui regrettent le bon temps où le mot était interdit et la chose implicitement autorisée par Monsieur le …

Cadavre exquis

La fenêtre creusée dans notre chair s’ouvre sur notre cœur. On y voit un immense lac où viennent se poser à midi des libellules mordorées et odorantes comme des pivoines. Quel est ce grand arbre où les animaux vont se

Le suffrage universel

Je ne m’explique pas pourquoi XP est le seul à s’être penché sur cette merveille…

Ce sketch n’est au demeurant pas très drôle, mais il constitue une métaphore parfaite de la démocratie, du suffrage universel, de la citoyenneté, enfin ce …

CAB, Catholique à babouches

Je comprends qu’on déclare la guerre à l’Occident, lequel n’est plus une civilisation mais une idéalisation cynique de la démocratie, c’est-à-dire le contraire de toute vie spirituelle, de mémoire féconde : une puissance mortifère. Tout en haïssant l’islamisme, j’abhorre à

Notre jeunesse

On se promenait dans Paris, Restif et moi,  nous avons croisé une jeune fille de cinquante ans,  on a d’abord gardé le silence, on s’est regardé, il a pointé son doigt sur mon nez, puis il m’a dit  nous vivons