Archives de l’auteur : Nicolas

À propos Nicolas

« Fabrice les entendait qui disaient que le diable était sur la toit, et qu'il faillait essayer de le tuer d'un coup de fusil. Quelques voix prétendaient que ce souhait était d'une grande impiété, d'autres disaient que si l'on tirait un coup de fusil sans tuer quelque chose, le gouverneur les mettrait tous en prison pour avoir alarmé la garnison inutilement. Toute cette belle discussion faisait que Fabrice se hâtait le plus possible en marchant sur le toit et qu'il faisait beaucoup plus de bruit. Le fait est qu'au moment où, pendu à sa corde, il passa devant les fenêtres, par bonheur à quatre ou cinq pieds de distance à cause de l'avance du toit, elles étaient hérissées de baïonnettes. Quelques-uns ont prétendu que Fabrice, toujours fou,  eut l'idée de jouer le rôle du diable, et qu'il jeta à ces soldats une poignée de sequins. Ce qui est sûr, c'est qu'il avait semé des sequins sur le plancher de sa chambre, et qu'il en sema aussi sur la plate-forme dans son trajet de la tour Farnèse au parapet, afin de se donner la chance de distraire les soldats qui auraient pu se mettre à le poursuivre. »

Le frère venu d’ailleurs

Ce sont les bouddhistes qui ont raison. Il y a un moment où on ne peut plus discuter avec des cons. Il faut juste leur donner des grands coups dans la gueule — non jusqu’à ce qu’ils comprennent, mais jusqu’à …

La Vehme châtie les traîtres

Cette citation n’a bien entendu aucun rapport avec quelque actualité que ce soit. Vous pensez bien. Oh là là.

Devant les tribunaux, où beaucoup finiront par être traînés, ils revendiqueront hautement leurs actes, se transformant en accusateurs, comme en témoigne

Hit and run

Quelques jours avant son décès, le patron de Stock, Jean-Marc Roberts, qui venait d’éditer Belle et Bête de Marcela Iacub (roman sans concession sur Dominique Strauss-Kahn) écrivait (Libération, 9-10 mars) : « Dans Le Monde, des éditeurs, libraires,