Extrait des règles du Monopoly, jeu amusant où l’on joue avec de l’argent fictif sous forme de billets fantaisistes de toutes les couleurs :
Some players think the Bank is bankrupt if it runs out of money. The Bank never goes bankrupt. To continue playing, use slips of paper to keep track of each player’s banking transactions, until the bank has enough paper money to operate again. The Banker may also issue « new » money on slips of ordinary paper.
La Banque ne fait jamais faillite : elle peut mettre en circulation autant d’argent que nécessaire sous forme de reconnaissances de dettes écrites sur du papier ordinaire.
J’ai souvenir, gamine, lorsque je jouais au Monopoly avec mes cousins (parties qui duraient l’été), que nous allions piller la banque d’un deuxième Monopoly lorsque le premier ne suffisait plus…
J’aimais beaucoup ce jeu, j’étais maîtresse de tout-Paris!^^
… maîtresse de tout Paris… maîtresse… fouet… hum.
Gil! Vous, au Monopoly, vous deviez certainement passer votre temps dans la case « prison »! Pendant que je me pavanais dans les beaux quartiers.
Crevette ! Comment ça, tout mon temps dans la prison ? Je ne suis pas musulman, pas encore… hi. De fait, j’ai surtout joué au monop’ espingouin, dans la chaleur accablante de l’été catalan, avec mes cousins, me too… tiens, d’ailleurs, le monop’ espagnol ne se passait pas à Madrid, mais à Barcelone; je crois que la rue de la Paix et les Champs, c’était le Paseo de Gracias et les Ramblas… je me rappelle aussi des rues Aribau et Muntaner, les rues violettes, je crois… en m’installant à Barcelone, j’ai découvert que ces rues étaient remplies de bordels… stupéfaction ! J’ai crié à la face de Dieu en maudissant ce monde impie… ensuite je suis allé tiré ma crampe, passque ces rues c’est quand même bien pratique quand on veut pas perdre son temps dans un plan-drague interminable, coûteux et qui fini en eau de chorizo