Prévisions d’hier

La guerre pouvait ne pas éclater en septembre 1939, mais il fallait nécessairement que l’Allemagne étendît l’aire de son système économique, système auquel elle ne pouvait renoncer puisqu’il lui avait permis de rappeler à la vie active des millions d’hommes auparavant condamnés à la dégradation du chômage. Cette extension la mettait nécessairement en conflit avec les puissances capitalistes, intéressées à ce que ne se resserrât point le secteur de l’économie capitaliste dans le monde. […] Si l’on veut remonter aux sources du conflit, on en trouvera l’origine première dans le sauve-qui-peut de 1931, quand on vit les puissances riches uniquement, et d’ailleurs vainement, occupées, sous le choc de la crise, d’assurer leur salut propre, trahissant ainsi en fait le cosmopolitisme qu’elles affirmaient en doctrine.

— Bertrand de Jouvenel, Après la défaite, Paris, Plon, 1941.

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À propos Nicolas

« Fabrice les entendait qui disaient que le diable était sur la toit, et qu'il faillait essayer de le tuer d'un coup de fusil. Quelques voix prétendaient que ce souhait était d'une grande impiété, d'autres disaient que si l'on tirait un coup de fusil sans tuer quelque chose, le gouverneur les mettrait tous en prison pour avoir alarmé la garnison inutilement. Toute cette belle discussion faisait que Fabrice se hâtait le plus possible en marchant sur le toit et qu'il faisait beaucoup plus de bruit. Le fait est qu'au moment où, pendu à sa corde, il passa devant les fenêtres, par bonheur à quatre ou cinq pieds de distance à cause de l'avance du toit, elles étaient hérissées de baïonnettes. Quelques-uns ont prétendu que Fabrice, toujours fou,  eut l'idée de jouer le rôle du diable, et qu'il jeta à ces soldats une poignée de sequins. Ce qui est sûr, c'est qu'il avait semé des sequins sur le plancher de sa chambre, et qu'il en sema aussi sur la plate-forme dans son trajet de la tour Farnèse au parapet, afin de se donner la chance de distraire les soldats qui auraient pu se mettre à le poursuivre. »

14 réflexions sur « Prévisions d’hier »

  1. Grant

    Extrait de
    VERITE ET SYNTHESE, la fin des impostures
    de DOMMERGUE POLACCO DE MENASCE, Juif

    « La guerre fut déclarée à Hitler par mes congénères américains depuis 1933. Les visées hégémoniques de Hitler sont une plaisanterie.
    Il n’a jamais voulu que réunifier les pays de langue et d’ethnie allemandes. L’Autriche désirait son rattachement au Reich longtemps avant l’avènement de Hitler et la Tchécoslovaquie comptait trois millions d’Allemands dans le territoire des Sudètes. Hitler prit le pays sous son protectorat car les Tchèques exerçaient une dictature mal ressentie par les Slovaques et les Ruthènes. Hitler n’exerçait pas une hégémonie mondiale comme les Etats-Unis et n’avait pas comme l’Angleterre un empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais. En 1918, les puissances capitalistes rapaces avaient volé à l’Allemagne le Togo, le Cameroun, le Sud-Ouest Africain qui ne représentaient que 5% des colonies anglaises et françaises…

    Parfaitement désintéressé, Hitler ne posséda jamais que son chien et sa maison. On n’a jamais parlé d’une fortune personnelle acquise par Hitler chancelier du Reich. Quant à son désir forcené de préserver l’ethnie germanique, on peut aujourd’hui le comprendre devant l’hystérie mondialiste de métissage institutionnalisé, alors que mes congénères sont les plus racistes du monde.

    Les seize propositions concernant Danzig, présentées au chef du gouvernement polonais, le colonel Beck, étaient les plus raisonnables du monde. Beck les avait acceptées, mais l’Angleterre, sous l’influence du financier Baruch, le persuada de les refuser. Hitler, avec l’aide de Mussolini et du ministre français Yvon Delbos, fit tous les efforts humains possibles pour éviter la guerre, (l’Angleterre reconnut au procès de Nuremberg, qu’à ce moment de l’Histoire la paix aurait pu être sauvegardée !) tandis que en Posnanie, (en Pologne), les Allemands étaient persécutés et parfois massacrés. Hitler fut contraint à la guerre, et la France la lui déclara anticonstitutionnellement, à la remorque servile de l’Angleterre, puisque les deux chambres ne furent pas convoquées. »

    1. Grant

      Extrait de
      VERITE ET SYNTHESE, la fin des impostures
      de DOMMERGUE POLACCO DE MENASCE, Juif

      « Hitler, né en Autriche, qu’il considéra toujours comme partie de la nation germanique, était un jeune homme sensible avec une vocation et un talent de peintre. Son esprit était vaste, sa conscience aiguë, son amour pour la patrie, infini. Mobilisé pendant la guerre de 14-18, il fut un soldat courageux, aimé de ses camarades et, victime des gaz de combat, il devint provisoirement aveugle. Les années qui suivirent la guerre le voient misérable, matériellement et moralement, observateur implacable des malheurs de sa patrie et très au fait de l’étiologie des graves maladies qui la rongeaient. L’iniquité des Traités de Versailles et de Trianon (« Traités de rapines » comme disait Lloyd George, « préparant une seconde guerre mondiale »), négociés par les frères Warburg qui financèrent simultanément les Alliés, l’Allemagne et la Révolution Bolchevique (petit détail) le mettait à la torture. Il vécut l’horreur de la République de Weimar et ses six millions de chômeurs. Il était parfaitement conscient du rôle majeur et effrayant que jouaient mes congénères de la Haute finance et du marxisme. Le peuple mourrait de faim. Le blocus avait étranglé l’Allemagne. La classe moyenne ne possédait rien. 300.000 officiers étaient sans emploi. Des mercantis juifs ruinaient commerçants et ouvriers. En cette fin du XXème siècle où les Juifs réclament, cinquante ans après, des sommes considérables, des tableaux de maîtres et des collections d’objets d’art, on se pose la question : qui étaient les spéculateurs et les usuriers de la République de Weimar ? Une bande de Juifs galiciens, Kutisker, Barmatt, Skalarek, s’étaient rués sur l’Allemagne agonisante. Expulsés, ils continuèrent en Hollande leurs pratiques, (que l’on retrouvera chez un Joanovici, collaborateur, puis bienfaiteur des réseaux de la Résistance). Un timbre-poste portait le chiffre de 12 milliards de Marks! Pour Hitler cet écrasement de son pays était une insupportable douleur.
      Il mit toute son énergie à parvenir au pouvoir pour sortir son pays de l’enfer du Traité de Versailles et de la République de Weimar. Quand il fut emprisonné à Landsberg où il écrivit Mein Kampf, un juge lui avait demandé : « que désirez-vous Mr Hitler, un poste de ministre ? » et il avait répondu: « Je serais bien méprisable, monsieur le juge, si je ne voulais qu’un poste de ministre ». Le directeur de la prison le décrit « un homme affable, discret, toujours prêt à rendre service, généreux et d’une nature exceptionnelle ».

      Alors, il décida de parvenir au pouvoir démocratiquement, car le peuple avait senti en lui sincérité, clairvoyance et énergie. En six ans, il fit rentrer dans le marché du travail six millions de chômeurs. Il élimina la SA et Röhm qui auraient empêché une action synergique vers la restauration de son pays, que des rivalités auraient livré à une pérennisation de la ruine. Il créa le « Front du Travail » qui ignora la lutte des classes, concept aberrant inventé par des idéologues juifs. Ce Front comprenait 25 millions de membres et était la plus importante organisation socialiste du monde. Il forma une véritable communauté populaire de producteurs. Le Pr Goldhagen nous dit (ARTE, 30 septembre 1996) : « Je ne suis pas d’accord pour dire qu’il n’y avait aucune liberté dans la société nazie. Plus nous apprenons de choses sur le Troisième Reich, plus nous constatons l’existence d’une certaine liberté ».

      Chacun avait la place qui lui convenait dans la vie de la nation, et une telle organisation était incompatible avec la guerre. Il créa la conception de la dignité du travail. Les usines avaient bibliothèques, piscines, congés payés. Les ouvriers avaient une petite maison où les femmes pouvaient s’adonner aux soins de leurs enfants qui ne deviendraient pas comme les nôtres, des clients des musiques qui tuent, des drogués, des délinquants, des suicidés, des chômeurs. Il rendit à la jeunesse le culte de l’honneur, de la patrie, de l’idéal. Le petite «coccinelle » Volkswagen devint une voiture populaire. Il créa un code spécial pour la défense des animaux : leur faire du mal eût été sévèrement puni. Il prôna le végétarisme, interdit la vivisection, réglementa la chasse et organisa une action écologique et zoologique remarquable et efficace. La médecine naturelle fut officialisée en 1939, alors qu’en France, seule la médecine chimique, pathogène et tératogène, a force de loi. Luc Ferry (Le Nouvel Ordre écologique) reconnaît un projet nazi « dont l’ampleur n’est à nulle autre pareille, un monument de l’écologie moderne, l’éducation du peuple en vue de l’amour et de la compréhension de la nature et de ses créatures » (…) « le régime nazi nous fait assister à un véritable éloge de la différence, à une réhabilitation de la diversité »… »

  2. Lt. Kilgore

    Adolf etait donc un sympathique socialiste affable et végétarien, il aimait les enfants et les petits chiens. Une sorte de croisement entre un hippie et Brigitte Bardot, avec une Moustache. Su-per. Non mais qu’est ce qu’on en à a foutre?

    1. Grant

      Teu teu teu… C’était un vilain petit Nazi qu’a rien fait qu’à embêter les gentils juifs, à tyranniser son peuple et le monde entier!

      D’ailleurs, un film hollywoodien sur deux parle encore de lui, soixante ans plus tard. Si c’est pas une preuve que plus personne n’en a rien à foutre, ça… 🙂

  3. nicolasbruno

    Suis sûr que tu peux faire aussi bien avec Lenine et Staline.
    Sur Solidarité et Progrès, on peut trouver aussi pas mal de m… dans le genre.

    Ce qui rapelle néanmoins, que l’Ecologie est fondamentalement pathogène. Il est où Mike Steve Donovan? Il va commencer à nous manquer, notre pourfendeur ilysien du bullshitisme écologique?

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