Le radical national du jour

En vérité, l’immigration comporte certains périls, si, par ailleurs, elle répond à des besoins inéluctables. Elle peut affaiblir l’originalité et la pureté de la race. (…) Le moment est venu de réglementer, de façon minutieuse, et sévère, comme aux États-Unis, notre politique d’immigration.

Les phrases qu’on vient de lire avec un légitime scandale devant tant de racisme clairement exprimé sont de Louis Pasquet, sénateur des Bouches-du-Rhône et ministre du Travail vers 1926, cité dans L’Action française du 22 janvier 1927.

Curieusement, la notice biographique officielle de Louis Pasquet sur le site du Sénat, si elle mentionne bien un ouvrage sur l’immigration datant de 1927, ne croit pas bon de donner la teneur des idées de ce grand homme sur le sujet.

Exprimons le souhait que le lycée qui porte son nom en Arles soit rebaptisé au plus vite…

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À propos Nicolas

« Fabrice les entendait qui disaient que le diable était sur la toit, et qu'il faillait essayer de le tuer d'un coup de fusil. Quelques voix prétendaient que ce souhait était d'une grande impiété, d'autres disaient que si l'on tirait un coup de fusil sans tuer quelque chose, le gouverneur les mettrait tous en prison pour avoir alarmé la garnison inutilement. Toute cette belle discussion faisait que Fabrice se hâtait le plus possible en marchant sur le toit et qu'il faisait beaucoup plus de bruit. Le fait est qu'au moment où, pendu à sa corde, il passa devant les fenêtres, par bonheur à quatre ou cinq pieds de distance à cause de l'avance du toit, elles étaient hérissées de baïonnettes. Quelques-uns ont prétendu que Fabrice, toujours fou,  eut l'idée de jouer le rôle du diable, et qu'il jeta à ces soldats une poignée de sequins. Ce qui est sûr, c'est qu'il avait semé des sequins sur le plancher de sa chambre, et qu'il en sema aussi sur la plate-forme dans son trajet de la tour Farnèse au parapet, afin de se donner la chance de distraire les soldats qui auraient pu se mettre à le poursuivre. »

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