Ils ne feront que « penser » la vie… et ne « l’éprouveront » jamais… même dans la guerre… dans leur sale viande de « précieux », de sournois crâneurs… Encroûtés, sclérosés, onctueux, bourgeoisés, supériorisés, muffisés dès les premières compositions, Ils gardent toute leur vie un balai dans le trou du cul, la pompe latine sur la langue… Ils entrent dans l’enseignement secondaire, comme les petites chinoises dans les brodequins rétrécis, ils en sortiront émotivement monstrueux, amputés, sadiques, frigides, frivoles et retors… Ils ne comprendront plus que les tortures, que de se faire passer des syntaxes, des adverbes les uns aux autres, à travers les moignons… Ils n’auront jamais rien vu… Ils ne verront jamais rien… A part les tortures formalistes et les scrupules rhétoriciens, ils resteront fortement bouchés, imperméables aux ondes vivantes. Les parents, les maîtres. les ont voués, dès le lycée, c’est-à-dire pour toujours aux simulacres d’émotion, à toutes les charades de l’esprit, aux impostures sentimentales, aux jeux de mots, aux incantations équivoques… Ils resteront affublés, ravis, pénétrés, solennels encuistrés de toutes leurs membrures, convaincus, exaltés de supériorité, babilleux de latino-bobarderie, soufflés de vide gréco-romain, de cette « humanité » bouffonne, cette fausse humilité, cette fantastique friperie gratuite, prétentieux roucoulis de formules, abrutissant tambourin d’axiomes, maniée, brandie d’âge en âge, pour l’abrutissement des jeunes par la pire clique parasiteuse, phrasuleuse, sournoise, retranchée, politicarde, théorique vermoulue, profiteuse, inextirpable, retorse, incompétente, énucoide, désastrogène, de l’Univers : le Corps stupide enseignant…
LF Céline 1937
Céline disait ce qu’ils ne m’ont pas pardonné, ce n’est pas la guerre, l’occupation, c’est le Voyage …
On peut en effet imaginer aisément, à la lecture de ce texte, la haine qu’il devait susciter chez les amateurs de Belles Lettres, les gens de la Tradition, qu’ils soient des vieux machins de droite assis à l’Académie Française ou des front populeux croyant à l’émancipation des peuples par les hussards noirs et l’apprentissage du latin-grec aux coiffeuses et aux garagistes.
Il leur a dit : « bas les pattes, ces machins c’est pas fait pour les pauvres »… « les Lettres c’est pas fait pour vous, mais pour moi »… Et pire, il leur a prouvé… Ca valait sans doute bien une chasse à l’homme et de la prison au Danemark, dans l’esprit de ces ratés.
De la Modernité de Céline…
Je crois que je viens de cerner LA truffe du siècle, LE GVD de compétition.
Il écrit sous le pseudo « Sozialist » sur François Desouche, c’est un champion hors catégorie de la connerie, le tout enveloppé dans une nappe de connaissance qui rend le foutage de gueule purement délicieux.
Je ne supporte pas ce type… c’est un troll monstrueux…
Il a la rhétorique et la « science » du muslim commun…
Mais ses élucubrations ne tiennent pas la route une seule seconde! La dernière fois il est même aller jusqu’à me dire que sans le christianisme, Mars aurait été déjà terraformé par les européens!
Il parle de Nietzsche sans y avoir rien compris, il veut nous faire gober qu’il n’existait qu’un seul paganisme en Europe, c’est un crétin d’une monumentale bêtise et avec un autre contributeur on vient encore de lui faire fermer le clapet…Mais il va revenir débiner ses conneries dans peu de temps.
C’est çà les types qui croient que la race blanche est un absolu en soi…
Bref… je crois avoir deviné ton pseudo fdesouche (site sur lequel je ne prends même pas la peine de contribuer, mais sur lequel j’adore lire les commentaires)
Il n’y a rien à deviner mon ami puisque mon pseudo sur fdesouche est le même qu’ici, avec la même image et le même lien 😉
http://www.fdesouche.com/157451-la-gauche-et-la-collaboration-pendant-la-seconde-guerre-mondiale-video#comments
Voilà le fil en question. Bon bidonage les amis, ce type est un débile de première catégorie, que du bonheur garanti!!!
Céline, toujours aussi implacable et juste. Partout et toujours. Sur toutes les catégories, toutes. Cet extrait, notamment, sur ceux qui vivent par le verbe et le croient, premier ; toutes ces cliques et ces peuples qui croient que le monde, c’est des idées.
Céline disait « ce qu’ils ne m’ont pas pardonné, ce n’est pas la guerre, l’occupation, c’est le Voyage »…
On peut, en effet, imaginer aisément à la lecture de ce texte la haine qu’il devait susciter chez les amateurs de belles lettres, les gens de la tradition, qu’ils soient des vieux machins de droite assis à l’Académie Française ou des front populeux croyant à l’émancipation des peuples par les hussards noirs et l’apprentissage du latin-grec aux boniches.
Il leur à dit « bas les pattes, ces machins c’est pas fait pour les pauvres »… « les Lettres c’est pas fait pour vous, mais pour moi »… Et pire, il leur a prouvé… Ca valait sans doute bien une chasse à l’homme et de la prison au Dannemark, dans l’esprit de ces ratés.
Pour une Boniche , mieux vaux parler Espagnol …
http://www.garagetv.be/video-galerij/the_borg/elle_boit_pas_elle_fume_pas_elle_drague_pas_mais_elle_cause_fr_trl_.aspx
Le problème, c’est que l’écrivain que Céline critique le plus sous cet angle (dans l’ouvrage même dont sont extraites ces lignes) c’est … Proust. Je crois que tout le monde ici place Proust au moins aussi haut que Céline. Alors, soit ces attaques révèlent une certaine atrophie du goût littéraire chez Céline, soit elles ne sont dictées que par une pure blessure d’orgueil de ce dernier à l’égard de Proust dont il sait qu’il est un écrivain génial et qu’il a pour effet de le reléguer — lui, Céline — au second rang des écrivains de ce siècle ; dans les deux cas, les critères sur lesquels il fonde son jugement sont mauvais (ou tout du moins susceptibles d’être mal utilisés).
Par ailleurs, est-ce que quelqu’un aurait lu « L’accueil critique de Bagatelles pour un massacre », qui vient de sortir, et aurait un avis dessus ?
Vous avez parfaitement raison… Mais ça n’a aucune importance.
Céline était à l’égard de Proust (et des quelques écrivains de son temps qui comptaient vraiment, dont Faulkner) d’une mauvaise foi totale, laquelle avait en en effet pour orignine une blessure d’orgueuil, qu’il magnifiait et integrait dans le spectacle, car Céline, surtout quand il cabotine et qu’il ment, c’est aussi du spectacle.
Il ne s’adressait pas à Proust-il était mort- mais à tous ceux qui le découvraient et l’admiraient pour de mauvaises raisons, en faisant de ses phrases à rallonge et de ses tableaux des salons ou de la campagne profonde des morceaux de Belles Lettres.
Céline n’est pas un vulgaire essayiste, c’est un artiste… Ce qui est important, ce n’est pas qu’il dise la vérité, mais que ses mensonges ou ses erreurs recèlent leurs doses de vérité.
Et un autre écrivain à qui Céline intente un procès en académisme, c’est Montaigne, ce qui est quand même fort de café.
Ne pas oublier que Céline critique ici le « VIDE gréco-romain », pas le gréco-romain en soi. Mépris de la caricature, pas de la chose. Que ceux qui n’aiment pas la chose n’en profitent pas pour grimper en remorque. Céline était désespéré par ce vide, alors que d’autres s’en repaissent, puisque le vide, ils le servent, ils en viennent, ils en procèdent.
Non. Il ne critique pas la « caricature » du gréco-Romain ». Il critique la chose en tant qu’outil d’émancipation et de bienséance. La connaissance et son acquisition comme seules critères de qualité.
C’est un peu plus complexe que vous le dites.
Ce que Céline n’aime pas c’est l’abstraction et, par extension, les peuples qui vivent uniquement de l’abstraction, du seul Verbe, avant les choses, sans les choses. Ceux qui disent, mais ne font pas et qui « font faire ».
Et il ne déteste pas l’Europe en tant que telle (dont le « gréco-romain » est un élément), c’est d’une telle évidence, mais la caricature qui en a été construite ; ce qu’il conspue, c’est la déchéance qu’on lui a méthodiquement préparée :
« On a appris à l’européen à se détester, à haïr d’instinct tout ce qui l’empêche de se livrer aux nègres. »
« Dans Bagatelles pour un massacre, je disais que la France était dans la merde et qu’il fallait faire l’Europe. C’est ça qu’on me reproche encore. (interview avec André Parinaud, Arts, 19-25 juib 1957) »
Il ne jubile pas, il désespère, de cette chute, et quand on se repaît de ce qui a chuté, quand on n’aime pas ce qui a été avant, il n’est pas véritablement honnête de l’accompagner.
Je remercie XP pour répondre à ma question : qu’est-ce que GVD. C’est Gardien de Vaches Diplômé 😆
Merci 🙂 !
Gardien de vache diplômé, ça désigne, en gros, en terme de QI, la classe moyenne supérieure, celle qui tourne autour des 105, alors que la moyenne européenne est de 100. Dans les sociétés où, pour aller très vite, 90% de la population gardait les vaches, ils auraient, donc, gardé les vaches. Or, avec la massification de l’enseignement, ces cons étudient la philosophie, font les beaux jours des débats citoyens, et, in fine, la masse aidant, donnent le ton dans les universités.
Contrairement à ceux qui plafonnent à 90, ils sont capables de comprendre et apprendre ce qu’ont dit Platon et Aristote, Mais certainement pas de les dépasser. Or, l’étude de Platon et d’Aristote n’a d’intérêt que si le but, c’est de les avaler, les digérer, et dans une certaine mesure les oublier.
Pour le dire comme Hannah Arendt, ce sont maintenant les Homo Faber qui pensent, alors que la civilisation occidentale est basée sur la séparation des deux.
Et justement , les éléments au cui-cui élevé se désintéressent rapidement des études « moyennes » conçues pour les esprits moyens . Ils s’il ennuient ou s’intériorisent complétement .
Exemple très concret , sur un échantillon moyen de tout mes ex-camarades ( quel mot immonde ! ) de primaire-collège , les élèves moyens qui se trainaient lamentablement à 12-15 qui constituent les 80% des écoles sont tous à la fac , les 15% d’élèves médiocres vont en lycée technique ou autres , mais les bons élèves soit abandonnent les études en étant découragées assez rapidement , ou partent à l’étranger , explorent la vie à coup de machette , etc … Et voient les médiocres se vanter d’être en K.R.D.R. option S.A.O. ou encore Q.P.C.R. spécialité V.C.A.D. Mais c’est en quelque sorte une revanche sociale pour la caissière de dire que son fils est à l’universitééééeee .
Ils n’ont pas compris que le monde à changé .
Nous vivions auparavant dans un monde qui avait un esprit général » de Droite » , le service militaire était en quelque sorte une préparation à la vie d’adulte , où l’on apprennait de valeurs tels que la discipline , le sens du devoir , l’honneur , la responsabilité , etc …
Nous vivons à présent nous vivons dans un monde de gauche , où l’université joue le même rôle et apprent de valeurs qui correspont à la societé actuelle tels que l’égalitarisme , le renoncement à la vonlonté de puissance , l’anti-individalisme , le pseudo subversisme , la haine de l’Occident , etc …
Imagine-t-on un Tourneur-Fraiseur des année 50 se vanter que son fils fait son service militaire ?
Non , parce que c’est la norme . Comme l’université .
L’éducation c’est, quoi, 80% de femmes ? Ça doit retomber vachement après, à l’université, selon les matières. De ce que j’ai vu en Droit et de ce que je constate en informatique, les seules femmes à enseigner sont des profs de sociologique, ou d’un truc en rapport avec la communication, les filières bidons quoi, qu’on donne aux autres filières pour remplir les horaires.
Mon bon XP vous allez m’obliger à faire un effort de formulation et de synthèse pour vous répondre sur le fond, ah là là …
Il me semble avoir compris le fond de votre thèse, qui serait qu’un des signes que nous devenons musulmans serait que nous accordions plus d’importance au Savoir qu’à la Pensée, et d’ailleurs cette citation de Céline en serait un énième illustration. J’ai déjà échangé avec vous et Rodion sur un autre fil, et bien que j’aie affiché un accord, d’accord je ne l’étais qu’à moitié. Disons : d’accord sur un constat de nivellement par le bas et d’abrutissement de tous par l’éducation, mais pas d’accord pour dire que cet abrutissement général provenait d’une substitution de l’ordre hiérarchique entre Pensée et Savoir (j’espère ne pas déformer votre propos).
Petite digression : cette phrase de Céline répond selon moi à l’air de son temps, encroûté dans le pompiérisme pictural, le verbiage vermoulu, l’esprit académique poussiéreux etc. en cela Céline parle bien de son temps.
Cependant, ce dont parle Céline n’est selon moi pas représentatif de ce que nous devenons en Europe : musulmans.
Si donc nous pouvons devenir musulmans, c’est tout simplement parce qu’un des piliers fondamentaux de ce qui fait l’Europe est tombé dans l’oubli, et ce pilier c’est … le Christ. Voilà pourquoi nous devenons musulmans. A vrai dire, si les personnes en nombre sur notre territoire n’étaient pas les musulmans mais les juifs, nous pourrions tout aussi bien devenir juifs (ce qui vaudrait bien mieux que de devenir musulmans, soit dit en passant). Accessoirement, ce qui pend au nez de l’Europe, c’est aussi un retour brutal à son paganisme atavique et à une authentique guerre des civilisations, et si le message du Christ n’en finit pas de disparaitre de nos contrées, c’est encore ce choix-là qui pourrait constituer un moindre mal pour nous-mêmes …
Je crois que la bonne explication à chercher dans le fait que nous devenions musulmans, c’est du côté de René Girard qu’il faut aller la chercher …
« Ce qui est important, ce n’est pas qu’il dise la vérité, mais que ses mensonges ou ses erreurs recèlent leurs doses de vérité ».
Parfaitement d’accord. Mais, personnellement, j’ai encore du mal à déterminer s’il se moque de son lecteur quand il raconte des calembredaines (calembredaines qui dans tous les cas demeurent pour la plupart objectivement intéressantes) ou s’il n’a même pas conscience de sa mauvaise foi. Je me pose cette question à chaque fois que je vois Céline insérer un peu de comique au sein du grotesque. Par exemple quand, après avoir critiqué les journaux de son époque, il glisse entre parenthèses « ils sont tous juifs », comme si ce n’était qu’incident alors que c’est là le centre de sa « thèse » : ça semble vraiment être du « cabotinage », pour reprendre votre expression, mais je n’arrive pas à en être certain. C’est d’ailleurs pour cela que je m’intéresse au livre dont j’ai cité le titre plus haut — recueil d’articles de journaux d’époque commentant la parution des Bagatelles — : pour savoir si les journaux de droite avaient su faire la part du délire dans l’ouvrage ou s’ils l’avaient pris au premier degré.
Sinon, pour pousser un peu la contradiction, ne trouvez-pas que Lévi-Strauss lui-même relève pour une part de sa propre (co)trouvaille, du GDV ? Je ne parle pas de CLS l’anthropologue, mais de CLS l’écrivain : est-il possible de concevoir un style littéraire plus ampoulé, plus servilement académique que le sien ? une description de coucher de soleil plus prétentieuse et poussive que celle figurant dans les Tristes tropiques ?
Je ne trouve pas…
La description du couché de soleil dans triste tropique, on peut le lire ici : http://www.archipope.net/article-25686129.html. Ce n’est pas pour être contrariant mais je trouve qu’il s’agit de très belles pages et je me souviens m’être dis avec tristesse à leur lecture qu’il n’existait plus d’antropologues susceptibles d’une telle maitrise de notre langue aujourd’hui.
Pour le sujet du post, je vous fait part de mon point de vue. Simpliste, mais enfin. Le rapport entre Céline et Proust est assez simple selon moi. Céline invente en quelque sorte une nouvelle façon d’écrire. Il écrit au nom des pauvres (et non pas à la place des pauvres). Pour ce faire, il faut avoir vécu parmi eux et subi les mêmes expériences, puis en être sorti. C’est le parcours de Céline, et cela donne, quand on a son talent, le Voyage. Orwell a fait la même démarche mais sans inventer une langue. Proust n’invente rien, il raffine à l’extrême des états de conscience universels, ou à tout le moins occidentaux. Il atteint un somment dans un genre connu. Un peu comme Ingres dans la peinture figurative.
Pas lu votre bouquin Baraglioul, mais je sais que Gide prit Bagatelles pour une grosse blague. Quant à Rebatet il rapporte que dans les milieux pro Mussolini Actions Françaises, on le prenait pour un énergumène.
(Les pire gardien de vache ne sont guère à la Fac, mais dans les médias.Ce sont les Gérard Miller, Lapaque etc. Pour ma part, j’ai fréquenté quelques normaliens docteurs à chaire qui comptent parmi les gens les plus intelligents que j’ai jamais rencontrés. Il est nettement plus enrichissant de passer un moment à tailler la parlotte avec eux qu’avec des ceusses qui ne vous apporteront rien, mais rien de rien.Faire gaffe aussi à ne pas retomber dans la vieille haine bolcho de l' »intello »-lire le passage des Hauteurs béantes de Zinoviev là dessus).)
Ps D’ailleurs, en vérité XP les types dont tu nous parle ne sont pas le bon vieux spécialiste du 17ème mais les spécialistes en relation internationales, ou en « faits de société », enfin tous ceux qui crachotent dans le poste au lieu de peaufiner leurs articles. Parce qu’une chose que j’ai remarqué c’est que les vrais ont ne les entends jamais. N’importe quelle mange merde journaleux pond un Stendhal on l »invite mais pas Michel Crouzet qui en est le meilleur connaisseur. Lui, inconnu au bataillon.
Ce n’est pas d’ être exclu des Belles lettres qui confère automatiquement du talent; dans le style gouailleur pourvoyeur de néologismes intrépides,ou plus précisément d’associations surprenantes, Audiard possède un gros avantage sur le fourrier LFC: il fait vraiment rire .
Les GVD chez Ortega :
Car une des plus grandes infortunes de ce temps c’est que les hommes d’Occident, se heurtant brusquement aux terribles conflits publics d’aujourd’hui, se sont trouvés équipés avec un arsenal archaïque et grossier de notions sur ce qu’est la société, la collectivité, l’individu, la coutume, la loi, la justice, la révolution, etc.
Une bonne partie du désarroi actuel est due à la disproportion entre la perfection de nos idées sur les phénomènes physiques et le scandaleux retard des « sciences morales ». Le ministre, le professeur, le physicien illustre, le romancier ont généralement sur toutes ces choses des idées dignes d’un coiffeur de faubourg. N’est-il pas tout naturel que ce soit le coiffeur de faubourg qui donne le ton à notre époque ?
http://willardland.wordpress.com/2011/01/03/ortega-y-gasset-et-les-gardiens-de-vaches-diplomes-g-v-d/