L’inclusion dans ton cul

Inclusion ou assimilation ?

Voilà de bien jolis mots pour se demander qui doit subir la violence de l’hybridation actuelle.

Les autochtones ou les allogènes ?

Celui d’hybridation en étant d’ailleurs un autre pour parler de cette dynamique d’acculturation réciproque entre les autochtones et les nouveaux arrivants. Dynamique qui comporte, comme toujours et de l’antiquité à nos jours, une part irréductible de violence en elle.

Traduisons.

Qui va se la prendre la plus profond dans le cul entre les étrangers et les français ?

A cette aune, l’inclusion n’est que le nouveau mot des gauchistes pour désigner leur vieille politique antifrançaise de métissage visant à créer un homme nouveau. Nouveau et surtout à la peau plus bronzée.

Pourquoi ?

Parce que pour eux, le peuple français a fauté.

Fauté irrémédiablement.

Preuve en est que c’est lui qui était à la manœuvre lors des heures les plus sombres de notre histoire, de la colonisation à l’extermination du peuple juif.

A partir de là, l’assimilation est impossible. Comment expliquer aux populations hier soumises au joug de l’impérialisme français, ces populations victimes de la France, qu’il est impératif pour eux de quitter leur culture pour adopter celle de leurs anciens tortionnaires ?

On note d’ailleurs que l’histoire de la colonisation et de l’esclavage, qui est une histoire dont on pourrait pourtant croire qu’elle a tendance à plus diviser qu’à rassembler la communauté nationale, est pourtant un axe fort de ce rapport sur l’intégration par l’inclusion. Avec des recommandations concrètes. Pourquoi ? Parce que la culpabilisation, depuis la fin des années 60, est un élément indispensable à l’intégration par une dynamique dite d’inclusion.

L’assimilation, c’était des dizaines de petites choses et de grandes idées. C’était le collège unique par exemple. Même si, bien entendu, depuis longtemps, par exemple par des tentatives de contournement de la carte scolaire ou par le jeu des options, des stratégies d’évitement existaient.

Demain, l’inclusion validera sans vergogne cette valse pourtant cruelle des options. Elle abaissera encore le niveau requis de français. Puis, ensuite, pour entourlouper le tout, une recommandation envisage de pourrir encore plus les filières sélectives considérées comme les plus prestigieuses.

Ce qui en créera après-demain de nouvelles, et réellement sélectives, elles.

Maintenant, cet exemple parmi d’autres permet aussi de relativiser.

Entre le collège assimilateur et le collège inclusif, rien ne va fondamentalement changer. Ce seront les mêmes professeurs et le même encadrement. Le niveau des élèves sera toujours aussi mauvais globalement et les différences non seulement perdureront mais se renforceront encore.

C’est un peu la mondialisation qui veut ça.

On n’a de toute façon plus le pognon pour assimiler.

Surtout des populations extra-européennes.

Mais, me direz-vous, qu’est-ce que la société inclusive apporte vraiment de plus qu’une assimilation qui ne fonctionne vraiment plus ? Je veux dire, à part constater l’échec et en prendre acte officiellement ?

Eh bien la nouveauté, ce seront des mécanismes visant à empêcher d’autant plus fortement de discriminer les nouvelles populations que celles-ci seront de moins en moins assimilées et donc susceptibles d’être discriminées aisément et sans remords.

On augmentera ainsi le quota de banlieusards dans de grandes écoles décotées comme Sciences-Po afin de mieux masquer la différence abyssale de niveau à la sortie d’un bac ne valant strictement plus rien (jusqu’au passage au contrôle continu pour le bac, sommet de la société inclusive dans l’éducation).

Le paradoxe de l’assimilation était de vouloir assimiler des populations étrangères à un standard autochtone qu’on jugeait dans le même temps comme largement ignoble.

Le paradoxe de l’inclusion tient dans le fait qu’on veut réduire le communautarisme naissant en faisant du… Multiculturalisme.

Et dans les deux cas, l’échec est -ou sera- patent.

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À propos Blueberry

Il faut pourtant qu’il y en ait qui mènent la barque. Cela prend l’eau de toutes parts, c’est plein de crimes, de bêtise, de misère… Et le gouvernail est là qui ballote. L’équipage ne veut plus rien faire, il ne pense qu’à piller la cale et les officiers sont déjà en train de se construire un petit radeau confortable, rien que pour eux, avec toute la provision d’eau douce pour tirer au moins leurs os de là. Et le mât craque, et le vent siffle, et les voiles vont se déchirer et toutes ces brutes vont crever toutes ensemble, parce qu’elles ne pensent qu’à leur peau, à leur précieuse peau et à leurs petites affaires. Crois-tu alors qu’on a le temps de faire le raffiné, de savoir s’il faut dire "oui" ou "non", de se demander s’il ne faudra pas payer trop cher un jour et si on pourra encore être un homme après ? On prend le bout de bois, on redresse devant la montagne d’eau, on gueule un ordre et on tire dans le tas, sur le premier qui s’avance. Dans le tas ! Cela n’a pas de nom. C’est comme la vague qui vient de s’abattre sur le pont devant vous ; le vent qui vous gifle, et la chose qui tombe dans le groupe n’a pas de nom. C’était peut être celui qui t’avait donné du feu en souriant la veille. Il n’a pas de nom. Et toi non plus, tu n’as plus de nom, cramponné à la barre. Il n’y a plus que le bateau qui ait un nom et la tempête. Est-ce que tu comprends, cela ? Créon, Antigone, Jean Anouilh.

16 réflexions sur « L’inclusion dans ton cul »

  1. Cherea

    Ce qui est terrible, c’est que les propositions de ce rapport ne sont absolument pas demandées par les nouveaux arrivants. Au contraire, beaucoup demandent une hausse des standards de l’école. Il y a encore des gens pour qui la France signifie quelque chose, son école, son excellence…Il faudra vraiment, un jour, se pencher sur les raisons pour lesquelles une élite a décidé de saper les fondements de sa propre nation. Vous verriez le nombre de personnes arabes que je connais qui vous expliquent que l’école est vraiment merdique, qui les mettent dans le privé. Les parents, les professeurs, les derniers arrivés, même les élèves demandent une école saine et d’excellence et on s’amuse à la bousiller.

    Ils veulent vraiment faire de la France, une page blanche, lorsqu’on écoute la pastille avec Finkielkraut…on entend que le Français est la langue dominante, et pour parler des Français de souche, on parle de population majoritaire…

    C’est absolument incroyable. L’avantage est que cela plante encore un clou dans le cercueil du PS. Putain, on les voit une fois tous les 15 ans au pouvoir mais on les entend. Après Hollande, je pense que le PS ne pourra pas revenir avant une quinzaine d’années.

    La tendance bobo, terranova…est absolument insupportable et ne doit représenter que quoi 5-10% de la population en France.

    1. nicolasbruno

      Ce qui anime les auteurs de ce rapport ainsi que leurs commanditaires, c est l envie de sang. L envie de revolution, d etre a la tete des bandes qui iront couper les tetes, d etre a l instigation des camps de reeducation.
      C ‘est ce qui a toujours anime les gauchos. Je crois que les emeutes, ca les fait triper. Pol Pot, Mao, des peuplades de tueurs totalement decerebres sous leurs controle. Le pouvoir et le sang.
      Se debarrasser une fois pour toute de la bourgeoisie blanche, des entrepreneurs, du prive, etc… faire table rase

            1. Archonte Spontex

              Ca dépend du sens que l’on donne à l’aliénation mentale. Si être aliéné désigne un état dans lequel nous sommes devenus étrangers aux autres, j’ai bien peur que ce terme définisse ceux qu’on affuble affectueusement du qualificatif de « réac ».
              Par contre si ça signifie être coupé des réalités par un trouble psychique, les gauchistes/progressistes ont trouvé là un costard sur mesure.

  2. NOURATIN

    Même des socialistes pur jus s’offusquent que leurs copains puissent se mettre 250 pour pondre un tissus de saloperies de cette envergure. Pourtant, tout cela est parfaitement logique et rigoureux : le moment est arrivé où, succombant sous le nombre, le brave Franchouille va devoir se faire inclusionner le derche jusqu’à ce que ça ressorte par la bouche…et comme ça, même s’il ouvre sa gueule, c’est pas un son, qui en sortira…

  3. Vertumne

    Ceux qui sont au pouvoir dans les pays leucodermes d’Occident ont un tel acharnement a faire disparaitre leurs peuples que cela me rappelle le concept d' »élite hostile » développé par Kevin McDonald.
    Les élites hostiles de nos pays ont au moins deux bonnes raisons de poursuivre ce mouvement.
    1)On peut supposer qu’une foule bariolée de métèques intellectuellement limités constituera un danger bien moindre pour leur position qu’un peuple de souche homogène.
    2)Cela fera plus de sous dans les poches des 1%; en effet, plus un pays est hétérogène racialement et plus les inégalités en son sein sont fortes. Pas mal d’études ont montré que les périodes d’immigration étaient corrélées avec les revenus des 1%

    http://mangans.blogspot.com/2012/06/spot-correlation-wealth-vs-immigration.html

    1. Rosco

      Admettons. Mais est-ce si rentable à long terme ? Quand le peuple sera une vaste masse beige-marron d’individus au QI moyen de 75, une société industrielle sera tout simplement impossible à maintenir, et les élites en pâtiront.

      De plus, il me paraît difficile de croire qu’on peut faire tourner un pays avec uniquement des larbins qui bossent dans le tertiaire comme serveurs, esthéticiennes ou éboueurs. Il faut aussi des gens qui créent de la richesse, et je ne crois pas que Singapour, modèle de réussite remarquable, soit transposable universellement.

      Tous ces gens ne semblent pas comprendre Henry Ford, qui avait eu le génie de faire construire des voitures que ses propres ouvriers pouvaient se payer.

      1. Paul Hodell-Hallite

        Sur le long terme ils seront tous morts, ou dans leurs résidences secondaires à l’étranger. Il n’y a plus que leur personne physique qui est là, et la personne physique ne risque rien. Quoi qu’ils fassent, ils y échappent. Ils peuvent ruiner l’école, leurs enfants ne vont pas dans les mêmes, ruiner l’économie, ils n’en vivent qu’indirectement. Ruiner les entreprises, ils n’en ont pas. Voir 65% d’allogènes dans certaines villes, ils ne les verront pas. Pourrir la vie des automobilistes, ils ne conduisent pas. Etc, la liste est interminable…
        Ce gens ne sont pas « dans la cité », à quoi bon se préoccuper d’effets néfastes qui ne les concernent pas? Il y a des places à prendre, des coups à faire. La situation est déjà existante quand ils arrivent, ils ont le choix entre en profiter et aller dans ce sens, et refuser de jouer le jeu. Naturellement, ils n’y ont aucun intérêt.

      2. Vertumne

        Ford, un véritable patriote américain avait d’ailleurs dans le courant du XXe siècle commencé a identifier le remplacement d’élites nationales par des élites plus….hmmm… »internationales » 😉

        Je ne pense pas que nos élites veuillent faire du Singapour. Un Sao Paolo leur irait très bien en revanche. Et puis un QI de 75 c’est vraiment très bas, meme pour une population métissée. Les memes causes produisant les memes effets, on devrait descendre a 85 environ (valeur que l’on retrouve au Maghreb et en Amérique Latine) et cela « leur » conviendrait parfaitement. Les riches Brésiliens sont plus riches et certainement moins menacés que les riches Français. Et les pauvres la-bas ne veulent pas les destituer, ils souhaitent seulement se joindre a eux.

    2. waroch

      Complètement d’accord avec toi. Les élites sont protégées du peuple par un cordon d’immigrés, comme jadis elles l’étaient par un cordon de CRS…

      Il y a Paris, le premier cercle. Il y a la banlieue, le deuxième cercle. Et il y a le périurbain, le dernier cercle, c’est-à-dire les autochtones.

      La guerre entre les immigrés et les Français cache une autre guerre, bien plus parce qu’idéologique, entre les Français eux-mêmes.

  4. Rosco

    Bien vu sur les injonctions paradoxales du socialisme libéral-libertaire qui ne peut que pousser à la folie et au chaos.

    Cependant, je ne crois pas qu’un allogène parfaitement intégré soit nécessairement une bonne chose. Certes, la racaille afro-musulmane de cité ou le prêcheur islamiste sont des gens immédiatement détestables, mais l’épicier maghrébin honnête et travailleur, pour sympathique et respectable qu’il soit, n’en constitue pas moins un danger bien plus grand. La minorité de voyous allogènes actifs n’est que l’arbre qui cache la forêt. La masse des allogènes plus ou moins respectueux des lois est plus dangereuse à terme, car c’est par elle que se fait la véritable substitution de population, et donc de culture.

    L’avantage d’un allogène non-intégré, c’est qu’on peut s’en distinguer facilement. Il n’y a rien de pire qu’un allogène qui dit « nous les Français », s’incluant ainsi d’autorité parmi les autochtones.

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