Harcelée, Marion 13 ans s’est suicidée

La petite Marion 13 ans s’est suicidée parce qu’elle était harcelée et haïe par les élèves de sa classe qui la traitaient d’intello et de boloss, qui l’insultaient sur les « réseaux sociaux » et la persécutaient quotidiennement.

Cela s’est passé au collège Jean Monnet à Briis-sous-Forges dans l’Essonne en 2013.

Marion se plaignait de ne pas pouvoir travailler. Elle revenait du collège un peu triste à force d’être vue comme une « balance » ou une « intello », parce qu’elle osait demander le silence dans sa classe. Au collège Jean Monnet à Briis-sous-Forges, c’était la foire, bavardages, insultes et provocations imposés par quelques fortes têtes. Un garçon à une enseignante : « Toi, je te baise ! » Un autre avait jeté son carnet de correspondance au visage de la prof d’histoire-géo. A la récré, baston, picole et fumette dans les toilettes. Les élèves le racontaient, tout fiers. Le jour de son suicide, elle avait été violentée dans la cour de récréation, en présence des surveillants.

Le collège Jean Monnet de Briis-sous-Forges est dirigé par Monsieur Chabanon. La responsable de la vie scolaire (CPE) responsable du maintien de la discipline est Véronique Luchini et son adjointe est Alexandra Caillot.

Sachant que les élèves de la classe persécutaient leur fille, les parents de Marion avaient demandé 3 fois au principal Monsieur Chabanon que Marion change de classe. Or, non seulement le principal Monsieur Chabanon a refusé 3 fois de changer Marion de classe, mais il n’a pas accordé de rendez-vous aux parents.

Avant de commettre son geste, la jeune fille avait envoyé une lettre à son collège pour dénoncer le harcèlement qu’elle subissait de la part de certains de ses camarades.

« Je peux vous dire aujourd’hui : 9 mois après le décès de Marion, aucun enseignant n’a pris contact avec nous. Aucun n’a donné un mot de condoléances », témoigne la maman de Marion.

Nous savons que généralement, dans un cas de suicide dans un établissement scolaire, la hiérarchie de l’établissement consacre toute son énergie non à punir les coupables mais à se disculper de la faute par tous les moyens possibles : rejeter la faute sur l’élève, répandre l’idée que les parents essaient de se venger, prétendre que personne n’était au courant etc… En l’occurence la hiérarchie de l’établissement Jean Monnet de Briis-sous-Forges refuse de communiquer ou de faire amende honorable de quelque manière que cela soit. Monsieur Chabanon a même demandé aux professeurs de ne pas entrer en contact avec les parents de la défunte.

On ne s’étonnera pas d’ailleurs, qu’aucune mention du suicide de Marion ne figure sur le site internet de l’école, qu’aucun membre du personnel n’ait été renvoyé ni traduit en justice suite aux graves fautes et manquements, ni qu’aucun élève n’ait été renvoyé ou inquiété.

Ce que l‘on voit : Marion était une française blanche poussée au suicide par des français blacks-blancs-beurs et personne n’en n’a parlé autrement que sous un aspect abstrait, non racial.

Ce que l’on ne voit pas : Si une française arabe ou noir avait été poussé au suicide par des français blancs toute la presse en aurait parlé jour et nuit pendant 1 mois sous un aspect racial en exigeant le renvoi immédiat de tout le personnel de l’école.

Ci-dessous les coordonnées de l’établissement pour joindre éventuellement Monsieur Chabanon, Véronique Luchini ou Alexandra Caillot.

 

Discuter avec eux n’est de toute façon pas utile. Ce qu’il faut c’est qu’ils soient traduits en justice un par un et condamnés de façon exemplaire pour avoir sciemment ignoré les persécutions dont l’élève qui leur avait été confié était victime quotidiennement depuis des mois.

 

Sources: Nouvel Obs, Rue 89

3 réflexions sur « Harcelée, Marion 13 ans s’est suicidée »

  1. Rosco

    Chabanon… j’avais un maître d’école en CM1, il y a presque 30 ans de ça, qui s’appelait Chabanon. C’était un gros naze faussement sympathique qui préférait nous faire faire des activités culturelles plutôt que de nous apprendre des choses utiles pour la suite de notre scolarité. Résultat : 3 mois à patauger l’année suivante pour rattraper tout ce qu’il ne nous avait pas appris. Serait-ce le même individu ? De tous les cons de l’éduc naze que j’ai dû supporter, c’était en tout cas le plus lâche.

  2. Vertumne

    On s’en fiche, ce n’est qu’une boloss’ babtou, une française persécutée jusqu’à la mort par des racailles parasites allogènes. Si ça se trouve cette brillante jeune fille serait devenue virologue et aurait trouvé un vaccin contre le SIDA, maladie qui affectera un bon pourcentage des congénères des petites ordures qui l’on poussée a en finir. M’enfin c’est bien moins grave qu’un pigiste métrosexuel de Libé flingué par un tireur « de type européen et au crane rasé ». La République est en danger!

  3. kobus van cleef

    En l’occurrence ( l’eau/cul/rance ?) ,le nazi était…. un gnoule…..
    Mais bon ( comme on entend de plus en plus sur vronze cul), c’est moins grave que s’il avait tué des ‘tits chouifs, pas vrai ?
    Et puis en plus, il l’a pas vraiment tué, l’assistant de la photographe…..
    Il l’a seulement un peu chatouille avec du plomb….
    Ce faisant, d’ailleurs, il a tenté de porter un coup fatal à la democrature, mais aujourd’hui, tout est oublié, plus personne n’en cause
    Plus bizarre, mais, malgré tout compréhensible, le silence et l’absence d’incantations catastrophistes lorsqu’on a appris que le tireur fou ( fou, il faut l’être lorsqu’un enrichisseur s’attaque à la democrature, genre main nourricière ou ombre tutélaire, on n’attaque pas la democrature, seuls les fous et les néo nazis ont ce triste privilège) avait AUSSI tiré sur la façade de la banque machin-chose….
    Expliquons nous…..il était en droit de plomber la rédaction de libe et, ce faisant, de déclencher la levée en masse contre le fascisme
    Mais il pouvait vider son chargeur sur une banque, personne n’aurait dit que l’institution banquaire DONC la democrature était en péril…

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