Cette citation n’a bien entendu aucun rapport avec quelque actualité que ce soit. Vous pensez bien. Oh là là.
Devant les tribunaux, où beaucoup finiront par être traînés, ils revendiqueront hautement leurs actes, se transformant en accusateurs, comme en témoigne cette réplique de l’un d’entre eux, August Blum :
« Vous dites, monsieur l’Avocat général, qu’il est clairement prouvé que j’ai commis un meurtre. Vous exigez ma tête au nom de la Justice, la Justice de l’État au nom duquel vous parlez. Mais cet État n’est pas mon État et sa Justice n’est pas ma Justice. Cet homme, ma victime, dont vous avez tant vanté l’humanité et pour la mort duquel vous avez demandé châtiment avec tant d’éloquence, cette victime est un traître vulgaire. Il méritait la mort. Je n’ai pas peur de prononcer les mots qui vous choquent. Oui, je l’ai tué ! Vous, monsieur l’Avocat général, et vos enfants, et chaque Allemand devraient nous baiser les mains au lieu de nous poursuivre pour meurtre. Vous me traitez avec mes camarades comme des meurtriers ordinaires, comme des criminels. Mais je vous dis que si quelqu’un est coupable, c’est moi et moi seul, car j’ai donné l’ordre de tuer, clairement et sans possibilité d’erreur. Ordre, troupes, soldats, lois de la guerre ! Nous sommes des soldats, non des criminels ! Vous auriez dû participer à tous les combats de la frontière, à l’Est et à l’Ouest. Si vous l’aviez fait, vous ne seriez pas ici à proférer des platitudes mélodramatiques. Vous ne parleriez pas de « libérer le peuple d’aventuriers dangereux », de « bandits sans principes ». Vous ne pouvez nous en imposer avec le verdict de votre cœur. Nous sommes jeunes. Nous avons beaucoup souffert et nous pouvons encore souffrir beaucoup plus. Nous ne sommes qu’une partie de la jeunesse qui est déjà pénétrée de notre esprit et qui sait que le moment viendra ou nous détruirons l’État, votre État, monsieur l’Avocat général ! »
Kampf : Lebensdokumente deutscher Jugend von 1914-1934 (Leipzig, 1934), ici cité par Dominique Venner : Les Corps-francs allemand de la Baltique, chapitre XVI, La « Vehme » châtie les traîtres.
«Ce n’est pas anodin de s’appeler « chasseurs de skins », ce n’est pas anodin de se dire « antifa », ce n’est pas anodin de chercher partout à lutter contre un fascisme qui n’existe pas» Serge Ayoub
lien FH au japon qui marche : http://www.france24.com/fr/20130607-japon-tokyo-lapsus-francois-hollande-hommage-au-peuple-chinois-prise-otages-in-amenas-algerie-elysee-shinzo-abe-twitter
C’était un jeune homme frêle avec un visage poupin… très bon élève, ferme dans ses convictions, profondément engagé…
http://www.pileface.com/sollers/article.php3?id_article=232
Il criait « pas de quartier pour les fachos, on va biser les os de MLP », il s’est battu contre les fachos et il est mort. Etonnant, , non?
Lol
Comme dit la justice, il va falloir déterminer qui a provoquer la baston. Or, tout le monde sait qui a provoqué la baston; c’est Mélenchon, Besancenot et compagnie.
Ce sont eux qui disent en long et en large « les fafs, on leur donne rendez-vous dans la rue, pas de quartier pour les fachos ».
Dans la vraie vie, les fafs, ils savent mettre des gifles à Besancenot et Mélenchon.
Maintenant, je suis sûr que cette affaire, c’ est tout bénéf pour l’ED. On a changé d’époque, nous ne sommes plus à l’époque de Carpentras. Les mélenchonistes vont se mettre à raser les murs.