Super Mario Draghi

Extrait des règles du Monopoly, jeu amusant où l’on joue avec de l’argent fictif sous forme de billets fantaisistes de toutes les couleurs :

Some players think the Bank is bankrupt if it runs out of money. The Bank never goes bankrupt. To continue playing, use slips of paper to keep track of each player’s banking transactions, until the bank has enough paper money to operate again. The Banker may also issue « new » money on slips of ordinary paper.

La Banque ne fait jamais faillite : elle peut mettre en circulation autant d’argent que nécessaire sous forme de reconnaissances de dettes écrites sur du papier ordinaire.

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À propos Nicolas

« Fabrice les entendait qui disaient que le diable était sur la toit, et qu'il faillait essayer de le tuer d'un coup de fusil. Quelques voix prétendaient que ce souhait était d'une grande impiété, d'autres disaient que si l'on tirait un coup de fusil sans tuer quelque chose, le gouverneur les mettrait tous en prison pour avoir alarmé la garnison inutilement. Toute cette belle discussion faisait que Fabrice se hâtait le plus possible en marchant sur le toit et qu'il faisait beaucoup plus de bruit. Le fait est qu'au moment où, pendu à sa corde, il passa devant les fenêtres, par bonheur à quatre ou cinq pieds de distance à cause de l'avance du toit, elles étaient hérissées de baïonnettes. Quelques-uns ont prétendu que Fabrice, toujours fou,  eut l'idée de jouer le rôle du diable, et qu'il jeta à ces soldats une poignée de sequins. Ce qui est sûr, c'est qu'il avait semé des sequins sur le plancher de sa chambre, et qu'il en sema aussi sur la plate-forme dans son trajet de la tour Farnèse au parapet, afin de se donner la chance de distraire les soldats qui auraient pu se mettre à le poursuivre. »

4 réflexions sur « Super Mario Draghi »

      1. Gil

        Crevette ! Comment ça, tout mon temps dans la prison ? Je ne suis pas musulman, pas encore… hi. De fait, j’ai surtout joué au monop’ espingouin, dans la chaleur accablante de l’été catalan, avec mes cousins, me too… tiens, d’ailleurs, le monop’ espagnol ne se passait pas à Madrid, mais à Barcelone; je crois que la rue de la Paix et les Champs, c’était le Paseo de Gracias et les Ramblas… je me rappelle aussi des rues Aribau et Muntaner, les rues violettes, je crois… en m’installant à Barcelone, j’ai découvert que ces rues étaient remplies de bordels… stupéfaction ! J’ai crié à la face de Dieu en maudissant ce monde impie… ensuite je suis allé tiré ma crampe, passque ces rues c’est quand même bien pratique quand on veut pas perdre son temps dans un plan-drague interminable, coûteux et qui fini en eau de chorizo :mrgreen:

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