« Ascolta Angela, on ne peut plus continuer à payer. Toi tu as de l’argent, paye. D’ailleurs Rajoy est d’accordo avec moi.
— Olé ! j’approuve Mario.
— Et sinon ?
— Sinon on tue le plan de relance de Hollande. Ou on fait sauter l’Euro alors que tu n’es pas encore prête à sortir. Dans les deux cas tu seras regardée comme responsable du désastre.
— Et Betite-Fraise-des-Blagues est d’accord ?
— Oui, oui, moi je suis pas contre… enfin… en somme je suis pour… donc on doit pouvoir dire que je suis d’accord, je pense qu’on peut dire ça, Angela, effectivement. »
Et si l’on ajoute que quelques requins toujours prêts à faire monter les bourses pour revendre leurs saletés ont poussé à la roue, Angela n’a pu que lâcher du lest. Et est rentrée fissa à Berlin expliquer les choses. Ce que la FAZ explique à son tour, loin du lâche soulagement quasi-munichois de la presse économique française dans un pays qui pue de plus en plus ses années Trente :
Frau Merkel hatte zuvor in Fraktionssitzungen von Union und FDP deutlich gemacht, dass die auf dem EU-Gipfeltreffen getroffenen Vereinbarungen die im Bundestag anstehenden Beschlüsse noch nicht unmittelbar berührten. Wenn diese Vereinbarungen in die Tat umgesetzt würden, werde in jedem einzelnen Fall wieder der Bundestag befasst, versprach sie.
Autrement dit, le principe est approuvé, ça ne mange pas de pain de laisser faire un effet d’annonce, même si ça tangue un peu dans les troupes. Mais à chaque fois, il faudra repasser devant le Bundestag. Et donc, pour peu qu’un juriste allemand soit taquin, à chaque fois repasser devant la Cour de Karlsruhe. Où les appels sont suspensifs. C’est dire si on a fini d’entendre parler de la dette. Et si l’Allemagne est près de mettre du cash sur la table — d’ailleurs comment en mettrait-elle ? elle n’en a pas plus que nous, elle a juste pour un temps chaque semaine plus limité moins de difficultés à emprunter.
S’il suffisait de touiller les cerises pourries et les cerises un peu trop mûres pour enrayer la pourriture de tout le saladier, ça se saurait.
Question subsidiaire : combien pariez-vous que les banques allemandes vont en profiter pour vendre à pas trop mauvais prix un peu plus de leur dette détenue sur l’extérieur pour racheter de la bonne moins mauvaise dette boche et préparer ainsi la fin de l’Union monétaire ?
Question sur-subsidiaire : cette petite plaisanterie de prétendre faire financer nos saletés de démocraties-sociales clientélistes et nos États providences obèses devrait, si cela avait lieu, coûter à peut près 4% de PIB par an à l’Allemagne sans même mettre les choses au pire — soit plus que la réunification ne lui a jamais coûté ; combien de temps faudra-t-il à l’Allemagne pour se rendre compte que 2+2 font quatre et tirer la conclusion qui s’imposera ? Car si la sortie de l’Euro coûte 2% de PIB pendant trois ans, et si le maintien dans l’Euro coûte 3% par an en attendant pire, le calcul sera vite fait à Berlin. Et quand on parle de taux d’intérêts qui grimpent, vite c’est rapide.
L’Allemagne qui devait payer les reparations de guerre, l’Allemagne qui doit maintenant payer le maintien du socialisme démocratique en Europe. Pourquoi ? Parce que elle a une importante « Aristocratie » (XP) qui bosse de manière créative. Les notres travaillent et pensent comme des foncs. Les divergences au niveau des mentalités et des actes restent Kolossales malgrés la mondialisation.
L’impression de proximité des peuples d’Europe, d’où vient-elle ? d’une réaction « philosophique » d’apres guerre ? d’une elite seduite par un vaste marché ? de l’installation tout frais payés de Momo et d’Ali ? … ?
L’Allemagne a bien profité de l’UE. Un euro fort et des taux faibles c’était tout bénef pour elle, et même essentiellement pour elle. Maintenant, dire qu’elle doit payer , c’est en effet dégueulasse et c’est une mentalité de mendiant, mais l’Allemagne a tout à fait encouragé cette mentalité à l’extérieur de ses frontières, et même à l’intérieur. C’est d’ailleurs une faiblesse allemande, cette façon de s’imposer lourdement à des mendiants sans jamais piger que les mendiants finissent toujours par s’habituer méchamment à être pris en charge. Si on fait les comptes, les pouilleux grecs auront bien plus niqué les impeccables teutons que l’inverse.
Je pense qu’il faut voir les choses de manière différente. Tous les peuples civilisés ont une part de leur population qui est dure à la tâche, efficiente, créative, et qui entraine la prospérité de son pays. Cette proportion varie d’un pays à un autre, si elle est très faible en Grèce, elle est plus nombreuse en Allemagne ou aux USA.
Mais si en France cette part est numériquement plus faible qu’en Allemagne, cela peut aussi vouloir dire qu’elle plus efficiente, puisqu’en France cette petite population fait vivre tout un pays d’assistés et de fonctionnaires ou quasi-fonctionnaires.
Exact.
C’est bien pour ça que l’Arabe, l’andalou ou l’Italien du Sud qui n’a n’a rien a voir avec ses congénères, qui est en quelque sorte une erreur de la nature, peut être vraiment un cador.
Mais c’est « une erreur de la nature », il faut pas perdre de vue cette idée.
Si j’étais Angela Merkel, je sortirais de l’euro, je retrouverais mes bons marks sonnants et trébuchants, enfin, pas trop trébuchants, ou je ferais une zone euro du nord avec les vertueux, et je laisserais les fainéants et tricheurs du sud se démerder entre eux.
Ce qui faut pour que l’euro y soit sauvé c’est que les valeureux fils de la grande Albanie y rentrent dans l’Europe, là c’est sûr mon Arthur nous aurons du sang neuf !
« Tous les peuples civilisés ont une part de leur population qui est dure à la tâche, efficiente, créative, et qui entraine la prospérité de son pays. Cette proportion varie d’un pays à un autre, si elle est très faible en Grèce, elle est plus nombreuse en Allemagne ou aux USA. »
C’est tout à fait cela. Mais il existe également une différence comportementale et culturelle extrêmement forte entre ces populations vertueuses du nord et celles du sud. Ces dernières sont souvent « contaminées » par la mentalité dysgénique ambiante.
« C’est bien pour ça que l’Arabe, l’andalou ou l’Italien du Sud qui n’a n’a rien a voir avec ses congénères, qui est en quelque sorte une erreur de la nature, peut être vraiment un cador. »
Pas si sûr. Les mécanismes de médiocratie tribale sont extrêmement forts dans le sud et poussent au conformisme à faible QI. Par exemple, le fait d’aimer lire autre chose que le journal local est considéré comme une activité indigne d’un homme dans de nombreuses sociétés du sud. Les sociétés à bas QI produisent ainsi une batterie d’anticorps contre l’intelligence, visant à réduire les chances de survie de ceux qui se distinguent de la masse. Plus le QI local est bas, et plus il est difficile pour un QI élevé de s’imposer sans violence.
Cher Vertumme, je me suis mal exprimé.
Je suis d’accord avec vous, je pense que les chances d’une « erreur de la nature » de déployer ses talents au sein de sa communauté sont faibles. J’irais même plus loin, son combat personnel contre ses origines sera tellement prenant qu’il partira avec un handicap majeur, même en dehors de sa communauté.
Il devra gérer des blessures psychiques, en particulier, parce que s’extraires de son milieu d’orignine, c’est un combat qui laissé des traces.
Par Cador, j’entendais que « l’erreur de la nature » est souvent INTRINSEQUEMENT MEILLEUR.
Sinon, je ne me lasse pas de le dire, c’est toujours un plaisir de vous lire ici^^
» Les mécanismes de médiocratie tribale sont extrêmement forts dans le sud et poussent au conformisme à faible QI.
Par exemple, le fait d’aimer lire autre chose que le journal local est considéré comme une activité indigne d’un homme dans de nombreuses sociétés du sud.
Les sociétés à bas QI produisent ainsi une batterie d’anticorps contre l’intelligence, visant à réduire les chances de survie de ceux qui se distinguent de la masse. Plus le QI local est bas, et plus il est difficile pour un QI élevé de s’imposer sans violence. »
Commentaire INDISPENSABLE….
Trois petites réflexions:
-En caricaturant, l’anthropologue occidental au milieu des Papous a peu de chances de survivre s’il n’est pas armé ou équipé de joujous technologiques qui lui permettent de bâtir un rapport de domination quasi-religieux.
-Par ailleurs, le nerd sicilien n’a aucune chance de monter sa start-up et de gagner un salaire conforme à son QI s’il ne passe pas par la mafia locale qui l’embauchera en-dessous de ses capacités.
-Ces erreurs de la nature sont souvent trop peu nombreuses pour pouvoir constituer une communauté viable. Si elles y parviennent (comme en France sous l’Ancien Régime ou dans l’Iran des Pahlavi), une révolution formée de la gauche de la courbe de QI constituera une menace constante.
Vertumne, j’aimerai votre avis. J’ai remarqué qu’il était aisé de déterminer à-priori si un peuple pouvait atteindre un certain degré de civilisation. Ma méthode est empirique, simple, mais je pense qu’elle est efficace. Il suffit de regarder les femmes de ce peuple. Etrangement, si un peuple a de jolies femmes, on peut être certain qu’il deviendra relativement prospère. Il y a comme un rapport inexplicable (?) de cause à effet.
A contrario plus les femmes sont laides, plus le peuple en question se complait dans le sous-développement. Je ne citerai aucun exemple parce que je pense qu’on en a tous à l’esprit.
On pourrait penser que le rapport est inversé, et qu’avec son développement un peuple s’occidentalise, donc adopte des critères de beautés plus occidentaux, qui nous séduiraient. Mais ce n’est pas convainquant parce que ces femmes laides, même plongés dans la modernité de nos Etats, restent laides. Tandis que les ornements traditionnels culturellement éloignés ne pénalisent pas tellement les femmes de ces peuples prospères.
Au doigt mouillé, on peut estimer que les femmes s’embellissent parce qu’elles prennent plus soin d’elles. Donc il y a sophistication et également du temps pour le faire. Au départ seules les couches les plus élevées peuvent le faire mais si le nombre de femmes est étendu c’est parce que ce savoir se répand.
Il se peut également que les femmes de riches donnent le « la » et que les autres copient.
Compétition entre femmes pour être les plus belles et donc bataille entre hommes pour les séduire sachant qu’elles ont leur mot à dire, donc elles choisissent le meilleur parti (fortune, muscles, savoir, position sociale). Bataille des hommes pour avoir la meilleure progéniture donc production de richesses, de meilleures outils et techniques améliorant la vie afin de faire le paon et attirer les plus belles donzelles. Pourquoi se décarcasser pour lever des thons ?
Pour répondre à la 2ème partie, l’embellissement résulte d’un esprit et des techniques qui vont avec et non pas de techniques que l’on plaque sur des personnes sans l’adapter. Je ne crois que les Asiatiques débridées soient les plus recherchées en Asie. Enfin je dis sans savoir tandis qu’en Afrique subsaharienne et donc également aussi en région parisienne, les femmes (relativement âgées de 40+ ans) utilisent des produits pour se blanchir la peau parce que les femmes les plus recherchées sont celles dont la peau est la plus claire (plus proche de l’Occidentale) sauf que ces produits détruisent la peau, font des plaques sur le visage et dégagent des odeurs pestilentielles => plaquer un modèle étranger sans l’adapter à sa culture ne réussit pas.
@ Vae victis: J’avais lu quelque part (Peter Frost si je ne m’abuse) que l’on trouve les plus jolies filles dans les sociétés où les femmes célibataires sont surnuméraires par rapport aux hommes. Dans les sociétés très polygames (comme en Afrique Noire) (et dans une bien moindre mesure faiblement polygames comme dans le monde musulman), le sex-ratio est déséquilibré au point que les hommes célibataires sont beaucoup plus nombreux que les femmes. La sélection sexuelle s’effectue donc sur les hommes puisque ce sont les femmes qui sont le facteur limitant. Les traits masculins vont donc être privilégiés d’un point de vue génétique, avec les implications que cela comporte sur le physique des deux sexes.
Dans les sociétés où les femmes célibataires sont majoritaires mais que la polygamie est interdite/impossible comme en Europe, la pression sexuelle se fait sur les femmes puisque dans ce cas c’est l’homme qui est le facteur limitant. Les traits féminins vont se répandre plus facilement que les traits masculins. Les femmes européennes sont physiquement plus jolies parce qu’elles sont le fruit de plusieurs milliers d’années de sélection reproductive inconsciente ^^.
Concernant le niveau de développement, les sociétés polygames et à dominante masculine laissent tout pouvoir aux mâles alpha. Elles sont incapables de s’assurer le concours des mâles bêta, qui sont souvent sans femme et sans emploi et cherchent par tous les moyens à renverser cet ordre établi qui ne leur est pas profitable. A l’inverse, dans les sociétés monogames les mâles bêta peuvent malgré tout se marier et contribuer à la société en cherchant à accroitre leur richesse personnelle plutôt que de détruire le pouvoir en place.
Tiens, un article de rentrée qui nous vient d’Allemagne et pourtant pas d’un journal réputé de droite :
http://www.slate.fr/lien/60673/paris-tue-industrie-francaise