Un long reportage trouvé sur Zentropa dont on pourra se borner à ne regarder que les 30 premières minutes ainsi que les 10 dernières, et encore, en vacant à ses occupations ménagères (le son seul suffit largement).
40 petites minutes pour comprendre le terreau idéologique de la racaille, sa légitimité, sa dimension avant-gardiste en 1985 et sa dimension de cocu de l’Histoire depuis la fin des années 90. La fin du reportage donne à réfléchir sur l’authentique ressentiment qui peut légitimement animer un racailleux devenu véritablement adulte. Ou comment de gros muscles qui voulaient casser du Blanc se sont fait manipuler par de petits cerveaux jaloux des GUDards d’Assas. 20 ans après, morale de l’histoire : les gros muscles ont fini taulards et chômeurs, les cerveaux ont fini patrons de radio. On notera que dés 1992, lorsqu’il n’y avait plus de Blancs soi-disant skins à dérouiller, les bandes se sont immédiatement retournées les unes contre les autres, sur un exact modèle de tectonique des plaques. C’est cette observation là qui nous permet de dire que la police sauve la racaille : retirez la police des zones de non-droit, et immédiatement ils se massacreraient les uns les autres, et l’expression « quartier sensible » prendrait à posteriori tout son sens.
Un vrai documentaire historique, qui a en plus le mérite d’être très bien réalisé.
http://youtu.be/4lKnqB1bfNo
Intéressant.
J’ai un peu connu cette époque, et je trainais pas mal à la Défense quand j’étais ado. Les Black Dragons n’étaient pas des enfants de choeur. Ils étaient très nombreux à la Défense, et franchement dangereux, mais surtout connus pour leurs exactions contre les gens normaux : vols, dépouille, agressions en tous genre, viols… les classiques de la racaille, tout juste bonne à terroriser les honnêtes gens.
Il y avait aussi pas mal d’histoire d’affrontements entre bandes (BD, Requins Vicieux, Requins Juniors et cie), qui allaient parfois jusqu’au meurtre.
Par contre, la « chasse aux skins » est très largement mythique et romancée. C’était une sorte de légende urbaine de l’époque, bâtie sur le fait que beaucoup de gars adoptaient le look skin et prenaient des claques par des bandes de noirs toujours en surnombre. Et leurs histoires de skins qui attaquent des femmes enceintes, c’est totalement fantaisiste. Comme le reconnaît un des types, il y avait tout au plus une centaine de skins vraiment durs sur Paris à l’époque.
Et bien sûr, on n’a jamais vu les Black Dragons ou autres au Parc des Princes. Bizarre, quand même, pour des guerriers ayant dédié leur vie à la chasse au faf. De toute façon, entre les Red Warriors, les BD et tout le reste, y’a vraiement beaucoup de gars qui se vantent d’avoir chassé du skin. Si toutes leurs histoires étaient vraies, on devrait avoir des cimetières entiers remplis de skins.
Sur le fond, c’est toujours pathétique des anciens voyous qui se plaignent que les jeunes brûlent des voitures, que le rap c’est pas comme ils veulent etc… et essayent de justifier a posteriori leur connerie. Ces mecs sont des losers et le resteront jusqu’à la fin de leur vie, accrochés à leur mythologie ridicule.
Contrairement à ce qu’ils croient, ils n’ont pas fait disparaître les fafs, bien au contraire. Et leur « victoire » ne tient qu’à une seule chose : leur nombre toujours croissant dû à l’immigration massive et à une natalité galopante.
Mais c’est toujours sympa de se rappeler sa jeunesse. À l’époque, les skins comme les zulus, c’était l’objet de conversations interminables avec mes potes au collège et au lycée, y’avait toute une mythologie urbaine autour de ces mouvements, et on les voyait parfois en chair et en os. J’ai même rencontré personnellement Rocky, le chef des Ducky Boys, qui était venu jouer le caïd à la sortie de mon lycée. Il avait 25 ans. Le pauvre, quand j’y pense… Et les médias s’en mêlaient, toujours pour débiner les skins (qui le cherchaient bien) et pour promouvoir la culture hip-hop et ses valeurs « positives » (bonne blague). La Défense, les puces de Clignancourt, les Halles, les concerts à l’Elysée Montmartre… à chaque fois, c’était l’expédition en zone dangereuse. Tout une époque.
Oui j’ai passé mon adolescence aussi du côté de la Défense. Les batailles de Skin contre les bandes de Blacks, je m’en souviens bien. Je balançais des coups de Doc Marten’s dans des gueules de black sur ma console de jeux. En fait, je ne me souviens pas d’avoir croisé une seule bande de skins là-bas. En revanche, fallait pas trop trainer le soir du côté du métro parce que c’était le règne de la dépouille.
Voilà, beaucoup de mythologie. Les mecs se prennaient pour les Warriors des Guerriers de la Nuit. On comprend entre 2 discours formattés qu’ils ont sûrement passé beaucoup plus de temps à taper les petits bourges (Neuilly-Puteaux- Suresnes, La Déf c’est pas Bobigny ni Sarcelles) puis à se bagarrer entre eux.
Même s’ils n’ont pas tord sur la qualité du rap, c’est assez « kiffant » de les entendre parler comme des vieux cons. On imagine les jeunes blackos et arables qui les ecoutent en se marrant, les arthritiques du Tae Kwon Do.
Un jour le vent tournera…
Merci Jean-Jacques Bourdin, de nous expliquer ce matin sur RMC que dans ce beau pays qu’est la France, nous avons la chance d’avoir de plus en plus de diversitude, même si bien évidemment, ça ne va pas assez vite. Plus de femmes à l’assemblée et plus de divers, des maghrébins, un tchadien, et même un Brésilien même si ca compte moins.
C’est bien. Rien sur le vote communautariste, non. Evidemment, cela n’existe pas. Par contre, on peut s’étonner du fait que ce sont tous des députés de gauche. Encore une fois, la Gauche est en avance. Mais que fait l’UMP?
Bon, par contre rien sur ce fait divers :
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/femmes-gendarmes-tuees-comment-un-vol-de-sac-a-main-a-degenere-7365835.html
On a le nom des victimes mais pas le nom du tueur. Sans doute la présomption d’innocence.
Ce matin, incroyable, j’ai entendu le journaliste sur BFM citer le nom. Abdallah me semble-t-il ou Mohamed. Un prénom maghrébin de chez maghrébin. Mais l’article nous rassure. C’est la boisson qui l’a rendu fou. Un truc occidental, la boisson. Rien à voir avec la diversitude.
Réjouissons nous donc.
Sur RMC, avec cet horrible Bourdin qui a toujours un ton « bon enfant » pour distiller ses mensonges, qui a eu le culot de dire que les peines planchers ne garantissaient en rien la dissuasion (allons-y les poncifs qui ne se basent sur RIEN si ce n’est la Bonne Parole de Bourdin) et il s’est fait remballer par un interlocuteur extra que je salue bien bas, un certain Jean Michel je crois vers 9H15 (il a terminé à 9h22 je suis sûre de cela)… Je bouillais au volant de ma voiture.
Un petit passage d’une publication de l’IPJ, un entretien avec Didier Gallot Magistrat en exercice et ancien juge d’instruction
http://www.publications-justice.fr/publications/entretiens-témoignages
« Vous ne faites donc pas partie de ceux qui considèrent que la prison est l’école du crime… »
DG : « Si la prison est l’école du crime, on y entre au minimum avec son diplôme en poche. Car je n’ai jamais vu de chauffards ou d’auteurs de crime passionnels devenir des truands après leur passage en prison. Ce sont bien les délinquants ayant la « carrière » la plus prometteuse qui profitent éventuellement de leur passage en prison.
Mais surtout, on a tendance à oublier totalement l’efficacité neutralisante et dissuasive de la prison. La mise à l’écart, même pour seulement quelques mois, des délinquants les plus actifs permet d’éviter un grand nombre de délits, et donc de victimes.
S’agissant de la dissuasion, j’ai pu constater de mes yeux ses effets. Mon tribunal a acquis une réputation de fermeté, et le résultat est notable : notre région est très nettement épargnée par la délinquance saisonnière que l’on constate dans la plupart des stations balnéaires. »
« Autre idée reçue que vous contestez, celle selon laquelle les libérations conditionnelles permettraient de réduire la récidive. »
DG : « C’est une idée qui s’est développée à partir d’études montrant que les gens relâchés en liberté conditionnelle récidivaient moins que les autres. L’erreur vient du fait qu’il y eu une inversion de la relation de cause à effet : ce n’est pas parce qu’ils ont été libérés plus tôt qu’ils ont moins récidivé. C’est parce qu’ils étaient moins dangereux en moyenne qu’ils ont été libérés… et qu’ils ont moins récidivé !
Car il y a 15 ans, quand ces études ont été réalisées, même le plus angélique des juges d’application des peines ne relâchait pas les fauves dont on était certain qu’ils récidiveraient. Ils lâchaient ceux qui étaient entre guillemets « réinsérables », et gardaient les autres jusqu’en fin de peine. »
« A propos de libération conditionnelle, vous avez déclaré « qu’il ne faut pas faire de la charité avec le sang des autres »
DG : « C’est une formule un peu ancienne contre le dogme de la réinsertion obligatoire. Il existe des fauves, j’en ai rencontré. Ils ne sont pas nombreux mais ceux-là ne devraient jamais pouvoir sortir de prison.
De façon plus générale, je reproche à certains de mes collègues de vivre dans un monde virtuel, déconnecté des citoyens ordinaires. Vous remarquerez que les magistrats habitent rarement dans la ville où ils exercent. »
Et puis cette synthèse du délégué général de l’association, Xavier Bébin :
http://www.publications-justice.fr/publications/notes-syntheses/la-sanction-penale-est-elle-dissuasive
Résumé
L’efficacité de la sanction en matière de prévention de la délinquance passe par deux canaux
principaux : la neutralisation (voir la note « la prison est-elle criminogène ») et la dissuasion.
Personne ne conteste aujourd’hui que la « certitude » de la sanction a un effet préventif
important. Plus la probabilité d’être arrêté et condamné augmente, plus la délinquance
diminue.
L’effet dissuasif d’une plus grande « sévérité » des sanctions est moins puissant, mais il n’en
est pas moins réel, comme en témoignent les études économétriques les plus rigoureuses.
Les peines alternatives
Ce genre de fait « divers » (dans tous les sens du terme) nous rappelle que les femmes dans les forces de l’ordre, ce n’est pas toujours une bonne idée, surtout face à des criminels dont le profil culturel ne fait pas grande place au respect de la femme.
Et il faudrait revoir aussi la formation des personnels affectés au maintien de l’ordre sur la base de méthodes qui ont fait leurs preuves, genre Malek Oussekine ou métro Charonne.
Ou de ce genre-là :
http://fr.news.yahoo.com/vol-%C3%A0-porti%C3%A8re-d%C3%A9g%C3%A9n%C3%A8re-finit-grave-accident-110700998.html
Encastrement + vol plané. Sympa.
Au fait, ils seraient pas de votre famille ces Bataves, Crevette ? Y a comme un air de famille dans la manière de conduire… remarquez, j’aime bien la méthode, ça évite les erreurs judiciaires genre Abdallah B…. mais je crains que ce héros, en plus d’être grièvement blessé, n’ait, lui, à faire à la justice frankaoui… poursuivre des racaillese en France, même la police ne fait pas ça !
C’est évidemment tragique mais je ne peux m’empêcher de comprendre (et d’approuver) la réaction du néerlandais qui poursuit le voleur. (multirécidiviste, mais là, il s’agit d’une petite moyenne, 17 affaires « seulement » et en liberté).
Tragique ? J’avoue ne plus rien voir de tragique là-dedans (à part les blessures de vos cousins hollandais, si elles s’avèrent graves).
Oui oui tragique pour les hollandais évidemment.
Mais je veux revenir là-dessus avec ce que disait le sieur Jean Michel sur RMC : évidemment le coupable ce n’est pas ce néerlandais qui s’est lancé à la poursuite du voleur (et qui doit se sentir affreusement responsable de ce qui lui est arrivé ainsi qu’à sa pauvre femme) mais bien ces juges qui ont libéré 17 fois la petite crapule. LA il y a une vraie responsabilité, une vraie impunité donnée pour des motifs purement idéologiques et ça c’est insupportable.
De fait, ce que j’ai eu du mal à comprendre en écoutant Verdeilhan sur F2, à propos des peines-plancher et d’Abdallah B., c’est qu’il disait que les magistrats, pour juger AB après les violences sur sa mère, n’avaient pris en compte qu’une « enquête sociale » (?)(son père buvait ? il vient d’un « quartier en déshérence » ?) et une « expertise psychiatrique »; si je comprends bien, ils n’ont donc pas pris en compte le passif pénal du type… ce qui revient donc à ne pas le considérer comme un récidiviste, à effacer tout son passé purement délictueux… et dans ce cas, de fait, il n’y a même pas à se poser la question sur le fait de savoir s’ils auraient dû appliquer la fameuse peine-plancher, puisque cette peine est destinée aux récidivistes… Verdeilhan disait que ceci était la « procédure normale »… quand on voit le passé du gars, c’est absolument ahurissant, quelle que soit l’orientation idéologique des juges.
» les femmes dans les forces de l’ordre, ce n’est pas toujours une bonne idée, »
Tout à fait d’accord et j’irai plus loin : il y a d’autres métiers qui à mon sens ne correspondent guère aux natures féminines. J’ai regardé sur une chaîne justice un reportage sur la journée d’une avocate, on la voyait défendre son client (ou plutôt sa cliente) coupable d’assassinat sur son amant. L’avocate était très impliquée affectivement dans la défense. Je ne dis pas que c’est néfaste ou incongru, surtout de la part d’une femme, mais il me semble que le manque de distance peut être préjudiciable dans une procédure judiciaire quelle qu’elle soit. Vous allez me dire que les hommes, avocats, éprouvent aussi des sentiments, ils sont humains,Dieu merci, mais je ne sais pas, cela m’a gênée de voir cette avocate quasiment pleurer avec sa cliente à l’énoncé du verdict.
Il y a des trucs comme cela qui me turlupinent.Comme ces avocates femmes qui tombent amoureuses de criminels célèbres et finissent par se marier avec eux.
En fait, ce type de métier (avocat au pénal) nécessite certainement des « qualités » ou caractéristiques masculines que peu de femmes à mon sens possèdent alors qu’il y a énormément d’avocates.
Un peu comme l’EN envahie de profs. femmes et cela est certainement préjudiciable en matière éducative.
J’essaie de nuancer mon propos au mieux mais bon.
Y’a aussi les magistrates http://www.leparisien.fr/faits-divers/quand-l-avocat-de-kerviel-fait-sortir-la-cour-de-ses-gonds-20-06-2012-2058047.php
Il est particulièrement bon, ce David Koubbi, limite jubilatoire.
Et puis il choisit bien ses clients. Tristane Banon, Jérôme Kerviel, c’est vraiment des gens que je me battrais pour défendre, si j’étais avocat.
Vous avez vu son visage ? Typique du petit con au grand coeur.
Il me donne envie d’écrire un texte.
Exactement. L’innocence de Kerviel ne fait pas l’ombre d’un doute.
Une bonne nouvelle cependant:
Il y a encore des européens ni communistes, ni musulmans dans leurs têtes. Et qui ont de l’humour.
http://www.lefigaro.fr/impots/2012/06/19/05003-20120619ARTFIG00521-cameron-ouvre-les-bras-aux-riches-qui-fuient-la-france.php
C’est tout de même assez rafraichissant
Moi je veux bien sauter dans les bras de Cameron mais je suis pas très riche!^^
Bah malheureusement, moi non plus chère crevette.
Mais j’aime la fraîcheur de cette pointe d’ironie cameronienne (qui ne lui profite d’ailleurs pas dans les sondages), comparée à la pitoyable réponse de notre Sapin national ou bien comparée aux traits d’humour de notre humoriste en chef :
http://www.ozap.com/actu/les-meilleures-blagues-de-francois-hollande/439097
Humour dont tous les médias n’ont pas manqué d’en targuer notre Président.
Effectivement on appréciera la légèreté de l’humour sozialist :
« Qu’est-ce qu’une sardine ? Une baleine qui a vécu cinq ans de sarkozysme »
– « Quelle est la différence entre le Concorde et Sarkozy ? Le concorde s’est arrêté de voler, lui ! »
Putain, elle est nulle la blague de Sapin.
après l’histoire du tapis rouge qui coule dans la Manche – mer de sang, là c’est sans doute l’inconscient du socialo qui parle – la journaliste lui lance une pique, « M. Cameron compte utiliser cet argent pour financer des hôpitaux et des écoles », Sapin ne sait pas quoi répondre, à part quelque chose du genre « ah c’est malin » (je n’ai pas retenu les mots), sur un ton pète-sec de petit fonctionnaire, c’était priceless.
Prise d’otages à Toulouse :
D’après le rédacteur en chef France Bleu Toulouse, l’agence bancaire où a lieu la prise d’otage est située à « deux rues du domicile de Mohame Merah ».
Je sens qu’Aquinus va bientôt changer de quartier… en attendant, en tant qu’envoyé spécial d’ilys à Toulouse, il pourrait nous commenter le drame en direct, encore une fois…
A moins qu’il ne fasse partie des otages!!
Si le preneur d’otages n’est pas d’Al Qaeda, ce sera sans doute une une nouvelle coincidence que cet homme soit musulman et que son nom nom soit d’origine maghrébine.
Un mal de vivre lié à la consommation abusive de vin rouge français, la consultation excessive de blogs violents discrimatoires envers la diversitude et les reportages TV qui donnent une mauvaise image des banlieues.
Si Aquinus fait partie des otages, je ne doute pas qu’il saura utiliser à bon escient les recettes de survie mises à disposition sur Ilys.
Vous aurez noté la nouvelle coincidence :
http://sauvonslaliberte.wordpress.com/2012/06/25/killian-13-ans-battu-et-etrangle-par-souleymane-16-ans-dans-la-cour-de-son-college-jusqua-ce-que-mort-sen-suive/
L’éternel point commun… mais il ya une multiplication en ce moment qui ne peut échapper même au plus endormi.
Souleymane le tchétchène.
Un blanc qui a une attitudde aussi clanique que la racaille, qui sait parfaitement les mimer et qui en plus ne se laisse pas marcher sur les pieds par eux.
Il y en a qui devraient être contents, un bon exemple à suivre.
Ah oui pardon, on m’appelle au standard pour me signaler que ce types de comportements était aussi dommageables aux autres blancs, et que ce n’était pas de nature à faire décoler des fusées et à composer du Lovecraft.
Ces gens sont une bonne petite piqûre de rappel pour ceux qui doutaient encore que l’environnement, l’identité et les influences étaient des facteurs très importants dans le comportement des hommes et des peuples. Sans doute moins que la race, mais des éléments importants aussi.
Les tchétchènes, peuple blanc ayant toujours vécu dans ses montagnes sans autre apport que l’islam, qui a toujours vécu en faisant la guerre à tout ce qui passait par là, et qui a reçu pour seul influence occidentale les goulags communistes…c’est du joli, c’est je pense le peuple le plus sauvage et violent que l’on peut recontrer en Europe, immigrés allogènes compris.
Enfin cela dit, et ce sans ne rien enlever à ce fait divers, en prenant du recul je suis en fait assez effrayé par le concept d’éducation gratuite et obligatoire.
Imaginer mes gamins dans un de ces trucs à les obliger à fréquenter la lie de la société (et ce avec ou sans immigration), c’est un truc qui me dégoûte d’avance, et qui me fait dire sans exagération ue ça a dû être inventés par de beaux salopards.
C’est peut-être ça avant tout le problème, obligé les gens biens à cotoyer de près ou de loin cette engeance alors que eux et l’humanité aurait beaucoup plus à gagner avec l’apartheid.
L’aboutissement de l’éducation gratuite et obligatoire, sa logique poussée à terme, ce sont les jeunesses communistes et les jeunesses hitlériennes.
Si l’éducation est nationale, centralisée dans un ministère, appliquant le même programme à toute une classe d’âge sans contestation possible, c’est dans un objectif d’endoctrinement.
Aujourd’hui les enfants son appelés à dénoncer leurs parents racistes, pas assez écologiques, qui fument, ou qui ne mangent pas 5 fruits et légumes par jour, il y a pas si longtemps on les appelait à dénoncer les mauvais communistes.
Faycal Mokhtari
Le quartier est bouclé, je n’en sais pas plus. Je connais un peu une personne qui travaille à cette agence, ne sais pas si elle est dedans. Quant aux otages, étant donné que je passe par ce carrefour plusieurs fois par semaine et connais quasiment tous les commerçants et bien des riverains, ne serait pas étonné que l’un au moins soit d’une famille de nos connaissances.
Voilà. L’école de mes enfants bouclée, évacuée, l’épreuve du bac annulée.
Un arabe schyzophrène qui a « la rage » est juste passé dans notre rue, c’est la routine. Va falloir s’y habituer.
Et non je ne vais pas changer d’endroit. Ils restent ultra minoritaires ici, c’est à peu près le seul facteur décisionnel qui me ferait déménager. Tant qu’on reste entre blancs, c’est plus que vivable. Là on est dans le rezzou, pas encore dans la nasse. Mais suffirait de 2 gros plans de logements sociaux bien ambitieux là où il faut pas, et en 15 ans tout bascule.
Super vidéo.
Afin d’avoir un aperçu plus complet de ce que pouvait être le Paris des 80’s, on pourra aussi consulter Antifa (le même docu version redskin), et Sur Les Pavés (version skin tout court). Cela permet une mise en perspective des différents regards que portent chaque « gang » sur les deux autres.
On notera d’ailleurs pas mal de similarités, bêtise, violence, idéaux stériles, refus de grandir…
Je cherchais ce troisième point de vue, le coté zoulou/racailleux/tagueurs. Y’a bien un documentaire sur le tag en France qui n’est pas mal non plus, qui parle de bombes Krylon, de redskin, de skin heads, de racailles, et de sous culture anglo-saxonne inepte. Mais la c’est encore plus sincère, plus cheap et plus déprimant, c’est parfait !