Nouveau fascicule totalement indispensable de Laurent Belkacem, en pdf :
Se préparer aux
situations d’urgence
Imprimez pendant que vous le pouvez encore.
NB : une antique version
11 réflexions sur « Le pdf d’après »
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Ah c’est très bien ce petit fascicule!
Petite objection : dans la bétaillère, il y a toujours un canif (ouvert)et une batte de base-ball (sous le siège avant); Les agressions en voiture, contrairement à ce qui est suggéré ci-dessus sont de plus en plus fréquentes.
N’est ce pas ? J’imagine que vous faites une queue de poisson à la voiture-escargot, alors un de vos gosses descend crever les pneus avec le canif tandis qu’un autre explose les phares avec la batte.
Néanmoins je pense que ce fascicule s’adresse aux victimes potentielles, chère Crevette.
Ah vous pensez que de « m’indigner » contre les voitures escargots peut provoquer quelques rancœurs agressives de la part d’icelles ?? Vous croyez vraiment qu’une queue de poisson avec une horde de gamins hilares et qui tirent la langue ça peut rendre nerveux un abruti qui ne sait pas conduire comme il faut c’est à dire comme moi?? Je n’avais jamais songé à cela, dans ce sens… Je dérape dans un abîme de perplexité…
Il y a un peu de ça , oui …
» http://video.google.com/videoplay?docid=-4572798303941859256 «
Oui oui c’est exactement cela!^^
Ah vraiment c’est dur pour nous faibles femmes de survivre dans cette jungle féroce des Mères de Famille Prêtes à Tout pour les Siens et qui Emm.. l’Autre.
Je précise que ce style de MFPTSEA, prend sa forme aboutie dans la pratique intensive de l’égoïsme vertueux qui, comme chacun sait, est à la base de toute civilisation d’élite!
Toute information pratique est bonne à prendre, mais j’ai toujours eu un peu de mal avec le survivalisme, religion millénariste difficilement assumée qui tend à ne pas être basée sur les faits et surtout à ne pas tenir compte du progrès technique ayant eu lieu depuis l’époque des famines irlandaises.
Même dans Berlin pilonnée par les Katyushas en avril 45, les grands hôtels tournaient toujours, et on pouvait bouffer du foie gras… (cf. La Campagne De Russie, Degrelle). Ca en dit long sur la capacité de résilience des chaînes de production humaines.
Une situation où le savoir survivaliste de certains pourrait les amener à tirer leur épingle du jeu, c’est une catastrophe nucléaire (guerre incluse), ou une catastrophe bactériologique. Mais pour une hyperinflation ou une guerre classique, vous survivrez davantage avec un revolver, des pièces d’or et de bons renseignements sur la situation qu’avec un couteau, une machette, un briquet, une tente, un arc et des cartons de bouffe 😉
Cela dit, le guide en lui-même, que je viens de terminer, est d’excellente facture, à la fois scientifique, intelligent, clair et discriminant; ça change des trop nombreux blogs de survivalisme apportant plus de confusion à l’esprit qu’autre chose (“alors, là vous pouvez utiliser cette méthode, ou peut-être celle-la, ou encore telle autre, faites selon votre feeling…“).
« blogs de survivalisme apportant plus de confusion à l’esprit qu’autre chose »
Ils sont contrôlés par la CIA.
Ce guide est de très loin le meilleur que j’ai lu sur le sujet. Il est très concret, bien pensé, intelligible, plein d’expériences, bref mais dense. Pour chaque domaine de la vie quotidienne, il s’intéresse efficacement à ce qui peut être préparé de manière réaliste, sans s’encombrer de matériels rares et chers, et avec un minimum de moyens.
Le survivalisme connaît plusieurs familles :
– Les apprentis redneck qui veulent absolument vivre dans la forêt comme dans L’aube rouge de Milius, et qui essayent d’inventer des problèmes qui leur permettraient de jouer aux Robinson suisses.
– Les urban tactikal qui passent leur temps à débattre des qualités des sprays, des matraques, des lampes torches, des formes et du type d’acier permettant d’occire une portière de voiture, ainsi que des arts martiaux les plus mortels.
– Les gauchistes décroissants, complétés de quelques disciples d’Alain de Benoist, qui veulent revenir au local, opposés à la mondialisation, le commerce, la marchandise, et qui ne rêvent que de chiottes à sciure auto-suffisantes.
– Les couilles-molles dans l’air du temps, qui veulent apporter des solutions aux problèmes sans jamais décrire ces derniers par respect religieux envers le politiquement-correct. Généralement ils passent leur temps à censurer les conversations, à se sentir vaseux et outrés, et bien-sûr à dénoncer les « dérapages ». Au final ils concluent toujours qu’il y a des gens méchants partout et qu’il ne faut pas généraliser.
Si vous voulez éviter cette faune, sans négliger votre sécurité, ce guide est fait pour vous. Il écarte le folklore en examinant froidement les situations de risque, de manière réaliste, et il apporte des éléments de réponse.
Il y a paradoxe magnifique dans le survivalisme c’est ce fétichisme de l’objet ultime, le meilleur de sa catégorie.
Le meilleurs moments des films de survivalisme/zombies sont ceux où les héros s’équipent dans des supermarchés/armureries.