Et si l’on revenait aux fondamentaux?
Un communiste est une ordure par définition, un salaud qui a placé en toute connaissance de cause dans son héritage politique cent cinquante millions de cadavres d’hommes, de femmes et d’enfants envoyés dans des camps de la mort gardés par des Mélenchon, des ivrognes communistes qui ressemblaient trait pour trait à l’autre, qui avaient ses tics, ses mots, ses manières, sa gueule et ses arrière-pensées.
C’est sur l’absence de liberté d’expression, que prospère la candidature Mélenchon, à l’élection présidentielle française de 2012. Si l’on jouissait du droit de parler, dans ce pays, tout le monde voudrait débattre avec un Mélenchon et serait même demandeur, mais jamais sans avoir exigé en préambule qu’il demande pardon à genoux, pour les cent cinquante millions d’hommes, de femmes et d’enfants morts sous la surveillance d’un Mélenchon.
Pour le coup, il fuirait les micros et les caméras, Mélenchon, et ses électeurs n’assouviraient pas virtuellement leurs pulsions de mort en votant pour lui…. Ca sert aussi à ça, la liberté d’expression, à ce que les salauds rougissent de honte et n’avancent jamais leurs pions.
Pour que 10% d’égorgeurs putatifs puissent voter tranquillement pour un assassin privé de victimes par les circonstances, il faut que la totalité de la population soit empêchée de parler, et l’on peut dire de ce pays qu’il sera libre quand Mélenchon réunira 0,1 de l’électorat, une poignée d’ordures protégée par une espèce de premier amendement, mais quand même surveillée par la police, au cas où.
Un communiste, c’est l’équivalent d’un pédophile. Dans un monde libre, il n’est pas interdit de rêver aux petits culs bien fermes des filles de huit ans, pas plus que de prendre son pied en imaginant les enfants en bas-âge de ses voisins derrière des barbelés, mais il doit être en revanche interdit d’entreprendre quoi que ce soit qui pourrait un jour vous mettre en position de passer à l’acte.
je me souviens d’un débat télé dans les années 90 qui opposait sarko et cette grosse glaire de gayssot , avec son front suant et son rhinophyma façon galabru
sarko ayant amené le débat sur les morts du communisme et ayant dit « 100milliasses de morts , monsieur gayssot , 100milliasses de morts quand même » , le titilleur de mémoire n’avait pas répondu , mais avait ricané dans son coin , hé hé , en haussant les épaules
ceci pour dire que la culpabilité ne s’impose pas de l’extérieur , mais qu’elle s’instille tous les jours , goutte à goutte , depuis l’enfance , grâce à l’educ nat , et ne produit ses fruits qu’après un dressage qui dure quasiment une vie
je me souviens d’une amie , qui ayant reçu dans sa famille à la fin des 70 une correspondante Hallemande , s’était fourvoyée à une soirée télé en famille avec papa maman la bonne et moi ( non, pas moi)
thème du truc « le chagrin et la pitié » ou « shoa » ou une approximation nazilatrique du genre ( on me fera pas croire que cette répétition compulsive des thèmes de l’extermination des juifs ne procède pas de quelque fascination malsaine , mais bon)
la pauvre franconnienne ( voui elle venait de franconie , de chez nous quoi)a alors éclaté en sanglots , en chouinant « mais on savait pas , c’est pas ma faute »
on peut dire que là , le dressage a commencé tôt , quasiment in utéro , pour ces pauvres gosses de rfa
semblerait que pour les gamins de rda , ce fut pas pareil
Arrêtons de voir en JLM un marxiste là où l’observateur avisé ne relèvera qu’une admiration romantique, presque folklorique, pour les régimes d’extrême-gauche d’Amérique Latine. Mélenchon est avant tout et surtout un agent du système, sa gouaille et son -relatif- franc parler lui permettant de draîner avantageusement l’électorat d’un Besancenot déjà passé de mode.
Son appartenance au Grand Orient de France, ce nid de vipères où se côtoient notables provinciaux, opportunistes à la Alain Bauer et instits laïcards, rad-soc à collier de barbe, voilà ce qui devrait faire tiquer l’observateur, bien plus que son allégeance au communiste et ses postures surjouées de Chavez hexagonal. Les vrais cocos, ceux d’avant la période Hue-Buffet, les nostalgiques de Georges Marchais, ne s’y trompent pas : ils sont de moins en moins nombreux mais n’ont pas oublié que l’internationale communiste interdisait explicitement la double appartenance (coco et maçonnique).
Regardons d’ailleurs ce qui se passe lorsque Merluchon est attiré sur des terrains critiques comme l’immigration extra-continentale ou encore l’avortement : la façade populo-compatible, la peau constituée d’une rhétorique gaullo-communiste bien rodée, s’érode dès que l’on gratte un peu pour laisser la place à une chair infectée par la pourriture libertaire servie depuis bientôt 30 ans par LibéMonde. En fermant les yeux, parfois on croirait entendre Stéphane Hessel ou Simone Weil.
Mélenchon est au discours politique ce que Renaud Camus est à la littérature : un ersatz de contestataire, un révolutionnaire en carton-pâte.
Vous avez raison. Mais je pense que votre post intéressera beaucoup plus les lecteurs de Jérome Leroy, qui ont besoin plus qu’ici de s’apercevoir de la supercherie.
Pour rappel, son site : http://feusurlequartiergeneral.blogspot.de/
Alors vous non plus, vous n’avez rien compris?
Jérôme Leroy et sa cour des miracles sont des psychotiques qui ont parfaitement SENTI que Mélenchon en est un aussi, qu’il s’agit d’un authentique ivrogne communiste. On ne joue pas à faire l’Ivrogne communiste. On en est un ou pas. Relisez Dostoïevski
VOus êtes mal réveillé XP. C’est exactement ce que j’ecris.
je pensais avoir été spirituel, mais bon tant pis…
Ah merde, j’avais pas compris. Mal réveillé, en effet.
Comme quoi on est toujours le crétin de quelqu’un de temps en temps^^
Vous ne croyez pas si bien dire. Il y a déjà presque un an, après avoir lu un de ses papiers sur Causeur dans lequel il déclarait sa flamme à Merluchon, je lui avais envoyé un mail pour lui faire part de mon étonnement à voir un fondu du communisme authentique incapable ne serait-ce que de s’interroger sur les contradictions (il y en a et un paquet) de son héros.
Tout occupé que le père Leroy devait être à assurer la promo de son bouquin de souvenirs de vacances adolescentes dans la Moldavie post-brejnévienne, il ne m’a évidemment jamais répondu. J’aurais pu laisser des commentaires sur son blog mais son visuel épouvantable témoignant d’une totale absence de goût plastique m’en a dissuadé, de même que la perspective de voir une meute de laïcards post-libertaires me sauter à la gorge. Je préfère la réacosphère, au moins on peut s’y balancer des amabilités sans pour autant se manger des reductio ad bestam imundum en retour.
Vous avez bien raison.
Vous êtes bien mieux avec nous qu’au milieu de cette cour des miracle.
Et puis on ne discute pas avec ces gens-là. On parle éventuellement d’eux, mais jamais avec eux.
Ca m’ennuie de vous le dire, mais vous venez de nous faire un bon gros raisonnement sociologique, Monsieur Joaozim.
Je vous invite à exercer votre sensibilité, à ressentir à quel point ce Mélenchon ne fait pas de politique mais qu’il assouvit des pulsions de mort, je vous parle de ses tics et du choix des ses métaphores, de sa ressemblance physique avec tous les psychotiques qui ont fait l’histoire du communisme, et vous me répondez « vous vous trompez, j’ai lu dans sa biographie qu’il est-franc-maçon ».
Qu’est-ce que vous voulez que je vous réponde, si vous avez la structure mentale d’un Todd ou d’un Jacques Sapir?
C’est pénible, vous savez, ce genre d’interventions.
On parle quand même d’une organisation fondée sur le secret, la duperie, la manipulation, je ne serais pas si catégorique sur l’absence de liens entre FM et communisme. Même les buts déclarés de la FM puent le socialisme, l’ingénierisme social à plein nez.
D’abord, les FM sont des républicanistes, et un aassassin rentré comme Mélenchon qui fanstasme sur les enfants massacrés par Carrier ne doit pas s’y sentir en territoire hostile.
Et puis chez des gens comme Mélenchon ou Chevènement, il y a l’idée que les Maitres de la République ont moralement le droit de se goinfrer comme des porcs et se placer au dessus des lois… Et quoi de mieux que d’être un frère trois points, pour se goinfrer et se placer au dessus des lois?
Vous avez remarqué que ces gens ont une certaine fascination pour le luxe, à l’instar de cette puanteur de Jérôme Leroy qui n’aime rien tant que de raconter qu’il est allé dans tel ou tel 4 étoiles?
C’est contradictoire qu’en apparence:selon la grille de lectture de ce genre d’ordures, les privilèges et le luxe sont légitimes quand ils recompencent les Maitres du système… j’ai compris ça quand j’ai vu Chevènement sincèrement s’offusquer qu’on lui reproche d’avoir un appart de fonction à Paris alors qu’il est propriétaire de deux appartement dans la ville… Il pense sincèrement que POUR LUI, c’est normal.
Je suis sûr que Mélenchon boit du Romanée Conti et qu’il n’éprouve absolument pas le besoin de cacher l’étiquette devant sa femme de ménage.
En fait ces gens là ne sont pas hostiles par principe aux privilèges, aux écarts de richesse et à ce que certain puissent accéder au luxe. Ils pensent juste que cette richesse est illégitimes quand elle est acquise dans le cadre de l’économie de marché.
Mélenchon ne reproche pas à un patron d’être riche, mais d’avoir volé son argent, ce qui est différent. C’est pour ça qu’on se goure, quand on leur reproche de s’en prendre aux patrons et pas aux footballeurs ou aux rappeurs milliardaires.
Mélenchon, il ne crache pas sur le luxe, le grand vin, les chauffeurs, mais le genre de pouvoir qui l’intéresse fondamentalement c’est celui dont parle O’Brien dans 1984.
@ XP,
En fait il y a une question que je voudrais vous poser, qui peut-être va vous choquer: est-ce que c’est structurant et utile, pour vous de détester les socialos-communistes?
Avant de m’engueuler, juste un témoignage, le mien: ado, je pensais qu’un curé était « une ordure par définition, un salaud qui a placé en toute connaissance de cause dans son héritage politique cent cinquante millions de cadavres d’hommes, de femmes et d’enfants » envoyés ad patrès par une religion fondée sur la message d’amour du Christ. Et tout y passait: l’Inquisition, l’évangélisation, le colonialisme, les curés pédophiles, etc.
Et puis, j’ai mis de l’eau dans mon vin.
Et ça m’a été utile dans la mesure où j’ai compris des choses que je n’aurais pas comprises autrement.
En fait ma question: y-ta-il des choses qu’il ne faut pas comprendre autrement que comme on les voit?
Ou: faut-il parfois être irrémédiablement con?
On apprecie les « socialos-communistes » pour toutes leurs qualités d’esprit que l’on décortique sur ce blog.
GriBleu, de la part d’XP (mais si mais si)
Voilà pourquoi ce pays va mal. Parce que nos élites sont imprégnées de fumisterie bling-bling et de tape-à-l’oeil de lettré au détriment du pragmatisme terre-à-terre:
« Les présidents de la Ve République sont longtemps très largement restés de culture classique. De Gaulle s’affirmait comme un passionné d’Histoire autant que comme l’un de ses héros. Mais ses Mémoires sont aussi ceux d’un écrivain et il en désigna un autre, André Malraux, pour être son ministre de la culture. Georges Pompidou était un normalien, amoureux d’art contemporain et de poésie. Elle fut même parfois pour lui un outil politique. Lorsque, le 22 septembre 1969, on l’interrogea dans une conférence de presse sur un fait divers qui avait divisé la France, le suicide de Gabrielle Russier, professeure de 32 ans condamnée pour avoir eu une histoire d’amour avec un élève, il évita le piège des polémiques en se réfugiant derrière ces vers de Paul Eluard : « Comprenne qui voudra. Moi, mon remords, ce fut la victime raisonnable au regard d’enfant perdu, celle qui ressemble aux morts qui sont morts pour être aimés… »
Valéry Giscard d’Estaing possédait une culture plus scientifique, celle des polytechniciens, mais regrettait ouvertement de ne pas écrire comme Maupassant. Quant à François Mitterrand… « Il avait fait de l’Histoire, de la géographie et de la littérature l’une de ses clés de compréhension des peuples, rapporte encore Erik Orsenna. Je me souviens de l’avoir entendu évoquer la question yougoslave à travers la lecture du Pont sur la Drina, de l’écrivain croate Ivo Andric. Sur la Russie ? Voilà que surgissait Guerre et Paix. Et ces discussions inouïes qu’il a eues sur l’Allemagne avec l’écrivain Michel Tournier ! »
Même Jacques Chirac, qui avait longtemps joué les incultes, comprit pour sa troisième tentative à l’élection présidentielle qu’avouer sa passion et afficher son érudition – réelle – pour les civilisations asiatiques (qu’il découvrit jeune en arpentant le Musée Guimet), notamment chinoise et japonaise, ne l’éloignerait aucunement de ce peuple français qu’il aspirait à gouverner. Et, du reste, les présidents, lors de leur mandat, ont souvent laissé un bâtiment en lien avec leur dada culturel : Beaubourg pour Pompidou, le Musée d’Orsay pour Giscard d’Estaing, la Bibliothèque nationale de France pour Mitterrand, le Musée du quai Branly pour Jacques Chirac. »
http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/03/25/un-president-doit-il-etre-cultive_1674340_1471069.html
« »La culture était pour Mitterrand une manière d’avoir du temps, analyse Erik Orsenna. »
Oh putain…