Oui c’est oui, non c’est non

Cette négociation portera sur plusieurs sujets. D’abord, le partage de la richesse. Nous sommes dans une crise très grave et il va falloir redéfinir nos fondamentaux. Et, pour moi, le fondamental, c’est la personne humaine autour de laquelle la société doit être organisée, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui où la finance et l’argent régissent le monde. Désormais, la personne humaine n’est plus qu’une variable d’ajustement. Voilà pourquoi je souhaite qu’il y ait une réflexion approfondie sur le partage de la richesse. (…)

— Christine Boutin évoquant les conditions auxquelles elle soutiendrait Nicolas Sarkozy au deuxième tour de l’élection présidentielle de 2012.

Comparons avec quelque chose d’au moins aussi chrétien et de plus net :

Tu ne voleras point.

— Dieu, à Moïse, dans le décalogue.

Cette entrée a été publiée dans Citations, et marquée avec , , le par .

À propos Nicolas

« Fabrice les entendait qui disaient que le diable était sur la toit, et qu'il faillait essayer de le tuer d'un coup de fusil. Quelques voix prétendaient que ce souhait était d'une grande impiété, d'autres disaient que si l'on tirait un coup de fusil sans tuer quelque chose, le gouverneur les mettrait tous en prison pour avoir alarmé la garnison inutilement. Toute cette belle discussion faisait que Fabrice se hâtait le plus possible en marchant sur le toit et qu'il faisait beaucoup plus de bruit. Le fait est qu'au moment où, pendu à sa corde, il passa devant les fenêtres, par bonheur à quatre ou cinq pieds de distance à cause de l'avance du toit, elles étaient hérissées de baïonnettes. Quelques-uns ont prétendu que Fabrice, toujours fou,  eut l'idée de jouer le rôle du diable, et qu'il jeta à ces soldats une poignée de sequins. Ce qui est sûr, c'est qu'il avait semé des sequins sur le plancher de sa chambre, et qu'il en sema aussi sur la plate-forme dans son trajet de la tour Farnèse au parapet, afin de se donner la chance de distraire les soldats qui auraient pu se mettre à le poursuivre. »

6 réflexions sur « Oui c’est oui, non c’est non »

  1. Baraglioul

    « Et, pour moi, le fondamental, c’est la personne humaine autour de laquelle la société doit être organisée »

    Ca, ça s’appelle l’individualisme ma p’tite dame, et c’est la marque de fabrique des libéraux.

  2. Paul Hodell-Hallite

    Il paraît que le Diable se cache dans les détails , mais là , il manque de finesse .
    La grosse Boutin qui fait St-Jacques de Compostelle en voiture , en s’arrêtant à chaque mairie pour quémander ses signatures , s’indignant quand un maire lui envoie un « sous-fifre » , c’est merveilleux …

Laisser un commentaire