Discours de campagne de Bidou du 29 janvier 2012 devant ses troupes au Vél d’Hiv.
Mes pelucheux, chers pelucheux, pelucheux,
La France est une nation.
Une nation douce.
Une nation douce et ignifugée.
Une nation devant le monde.
Une nation de douceur devant le monde dur.
Une nation ignifugée devant le monde en flamme.
Notre grande nation doit aujourd’hui faire face à ses ennemis.
Les ennemis de la nation.
(huées)
Nous ne laisserons pas passer les ennemis de la nation ! Les ennemis de la nation ne passeront pas ! Les ennemis de la nation resteront cantonnés à nos frontières ! Nous fermerons les frontières ! Les frontières garderont les ennemis de la nation en dehors de la nation ! Il n’y aura pas de répit pour les ennemis de la nation !
(applaudissements)
Les ennemis de la nation sont nombreux.
Les ennemis de la nation ne sont pas des chances pour la nation.
Nous ne pouvons pas nous permettre d’ennemis.
Les ennemis de la nation doivent être supprimés !
(applaudissements)
Vous êtes doux. Vous êtes doux avec moi. Vous êtes la fourrure de mon amour. Vous êtes ma fourrure.
Une seule nation faite de ma fourrure.
Mes pelucheux.
Je vous aime.
Nos frontières seront de granit émeraude. Nos sciences seront de marbre rose. Nos marches en ipé noir.
Je suis votre peluche et vous êtes mes bouloches.
Fières peluches ! Un peuple de peluches ! Un peuple de peluches solitaires !
Et, partout, nous ne voyons que des pulls ! Et de ces pulls naissent des bouloches ! Et de ces bouloches naît une unique nation avec de nombreuses peluches ! Qui de ses bouloches peuvent s’emparer dans l’ordre et la liberté !
Mes peluches, mes fières peluches, inoubliables peluches, un peuple de peluches fières ! Mes qualités vous guident mes fières peluches !
(clameur)
Je voudrais vous remercier.
Je vous remercie.
Avec amour.
Je suis au-dessus des autres partis. Je ne suis pas un parti. Je ne suis pas parti. Je suis vous.
Ici.
Demain je serais vous.
Au sommet.
Vive la Führurre !
Il ne reste qu’à théoriser le Führurprinzip.
AMEN !