http://www.pacte2012.fr/video.html
Genèse
D’où vient la racaille ? Comment est-elle « née » ? Question essentielle car à priori rien n’obligeait tous ces jeunes majoritairement arabes et noirs à adhérer à ces codes-là, à ce style vestimentaire là, à ces expressions et mode de vie là. Alors comment cette catégorie sociale a-t-elle pris forme ? Puisqu’il n’y a pas eu de « congrès fondateur de la racaille » avec un chef qui qui aurait décrété que désormais, les mecs, il faudra s’habiller de telle manière, parler de telle manière etc ? Les rencontres et recherches de votre éminent serviteur l’ont conduit à cette conclusion audacieuse : le fait que la plupart des jeunes arabes et noirs adhèrent au mode de vie « racaille » remonterait au tout début des années 80 lorsqu’en réaction à quelques groupes de skinheads violents de la région parisienne sont nés les Antifas « chasseurs de skins » (cf le reportage éponyme, instructif) majoritairement FDS et qui peu à peu ont été secondés puis submergés par des auxiliaires CPF qui eux se battaient non par idéologie mais par logique d’autodéfense exagérée, en réalité pure volonté de conquête. A l’époque, les médias ont beaucoup monté en épingle ces affaires (c’était alors le triomphe de SOS Racisme), créant le mythe de la menace skin alors qu’il ne s’agissait jamais que de 100 mecs sur toute la France dont la moitié de paumés inoffensifs au moins. Très peu de vrais « nazis » là-dedans en réalité. Telle est la genèse de la racaille : une injonction très dramatisée de se défendre, question de vie ou de mort. C’était l’époque où l’on croyait que le FN avait des projets secrets de coup d’état et d’épuration ethnique, bref l’époque rêvée pour poser un socle durable de présupposés débiles. Ainsi retenons-cela : la racaille est née en réaction à quelque chose et non en déploiement spontané dans la vie comme un arbre qui sort de terre ou Simba devenant Roi Lion, une petite métaphore comme ça.
Les années 90
Au début des années 90 on disait les « voyous » : « n’allez pas aux Ulis avec les voyous, les enfants! » nous disaient les mamans d’Orsay-Mondétour. On voyait bien qu’ils étaient curieux ces gens habillés en survêtement qui avaient le droit de rester tard dans la rue la nuit, qui crachaient par terre, qui avaient des visages cireux et des airs agressifs, qui parlaient fort dans le bus, qui connaissaient des gros mots très travaillés et des expressions très imagées et parlantes. On se demandait beaucoup pourquoi leurs parents les laissaient se tenir aussi mal. Entre eux ils s’appelaient les racailles, c’est-à-dire que ce mot a toujours fait partie de leurs codes à eux et de leur lexique, et que c’est même un titre de gloire : n’importe quel « petit pédé » n’a pas à « se prendre pour une caillera ». On ne le dit jamais ça, que c’est leur appellation à eux parfaitement banale et admise, un peu comme certains Noirs qui s’appellent « négro » les uns les autres. En 1995 la sortie du film « La Haine » a permis d’observer les us et coutumes des racailles et c’est ceci la dimension la plus intéressante du film : un reflet plutôt fidèle de la réalité en termes de dialogues, de jeu, d’attitudes et comportements. La première demi-heure du film qui se déroule dans la cité est de ce point de vue très instructive (scène du toit de l’immeuble, discussions et déambulations des trois protagonistes dans le quartier…). A la manière des reportages trouvables sur Ina.fr, « La Haine » présente aussi l’intérêt d’avoir fixé sur la pellicule la mode vestimentaire de la racaille des années 90, phénomène passé et qui ne reviendra plus. C’était le temps des Reebok Pump, des jeans bruts noirs serrés, des survêtements Nike avec le sigle complet (de nos jours il y a juste la « virgule »), des dernières étincelles de la traînée « Antifa » avec certains racailleux qui portaient des pantalons de treillis comme un vestige de l’époque des squats, lorsqu’Arabes et Blancs écoutaient les Béruriers Noirs (émission « les enfants du rock » disponible sur Dailymotion) et qu’il y avait un flottement, une incertitude : quels codes et quelle hiératique allait adopter cette nouvelle jeunesse ? Car il faut bien se souvenir et identifier d’où vient tout cela, comment cela a commencé. Est-ce que l’on se souvient par exemple que les racailles des années 90 n’avaient pas les cheveux rasés ? Le Saïd de « La Haine » tiendra lieu d’aide-mémoire. Est-ce que l’on se souvient de la coupe à la Carl Lewis que portaient presque tous les Noirs (qui étaient encore assez rares en France) à l’époque ? Tout cela a changé incroyablement vite.
Le virage de l’an 2000
C’est cette année-là sauf erreur que l’on observe des changements radicaux. Le port des fameux survêtements cesse progressivement, remplacé par des éléments :
– Empruntés au style des gays : jeans délavés artificiellement, hauts moulants en synthétique avec ou sans manches, pantalons de survêtement qui s’arrêtent sous le genou, lunettes de soleil « effet miroir » à la façon Dior et Gucci, épilation des sourcils (parfois).
– Empruntés au style des skinheads : le crâne rasé ou alors juste la galette de cheveux sur le dessus du crâne, le pantalon (jean ou survêtement) rentré à l’intérieur de la chaussette ou de la chaussure.
Le choc de l’année 2005
La génération Bzit (blogueur influent sur Skyblog à partir de 2003) avait préparé une nouvelle classe de racailleux d’apparence plus light qui portaient des choses fluo, qui possédaient des trucs électroniques sophistiqués, qui s’arrogeaient comme on porte un déguisement le style américain (casquettes de baseball à visière plate, baggy large et maillot de basket ou de baseball). En apparence ils étaient « intégrés » (concept très pernicieux) mais en réalité ils étaient bien racailleux, plus que jamais racailleux hostiles et fiers et stupides et bouffis d’orgueil, simplement ils commençaient à utiliser les outils technologique que le progrès était venu déposer jusque dans leurs mains avides.
Mais lorsqu’un jour sur les écrans de télé on a vu dans les manifs anti-CPE le tabassage de jeunes caucasiens par des racailles, on pouvait être autant étonné de la violence de ces derniers que de leur accoutrement : des tenues très sophistiquées comme les gays du Marais à base de baggys à trous et à volants, des hauts serrés, des baskets multicolores, vêtements très seyants, très fignolés et markettés. Sur la photographie ci-dessous, davantage que la violence et la lâcheté de l’agression c’est l’accoutrement du noir qui était surprenant: aucune racaille en province n’était habillée comme cela. On aurait déclaré « ça fait pédé ça », c’était niet. Or quelques mois plus tard ils avaient tous ces fringues-là par exemple à Grenoble. Ainsi c’est bien de Paris que part l’onde d’influence de la classe « racaille ». Que l’on regarde aujourd’hui : la mode racaille est au jean serré délavé à poches et à trous avec la doudoune Moncler « sport » or ça c’est EXACTEMENT le style qui faisait fureur chez les gays urbains friqués il y a 3 ou 4 ans, et en tant qu’ancien résident de la rue de Saintonge en plein Marais à Paris je peux en attester.
En fait contrairement à ce que racontaient tous les sociologues et journalistes des années 90, nous n’assistons à aucun tassement du phénomène « racaille ». Dix ans après, quinze ans après ce sont les mêmes tronches, les mêmes rhétoriques atrocement haineuses, les mêmes techniques de victimisation pour flouer les naïfs et les mêmes histoires sordides qui se répètent et qui prospèrent. L’apparence change mais le fond reste et la catégorie sociale « racaille » dure dans le temps et se renouvelle, chose à laquelle on s’habitue mais que personne n’avait prévu.
Le mouvement invisible
J’ai beau jeu ici de faire le professeur et d’avancer calmement des arguments, d’accomplir un petit exposé. Mais nous parlons de racailles c’est-à dire de gens qui font sciemment saigner et pleurer des innocents et lorsque les infos évoquent le cent millième récit de viol de la seule Caucasienne de la cité, de meurtre d’un petit Cyril 20 ans qui rentrait de soirée, d’un arrachage d’œil d’un FDS pour une cigarette refusée ou de quarante racailles saccageant un train et aussitôt relâchés par la justice je sens la colère monter et l’écœurement aussi, je veux croire que quelque chose va se passer, que tous ces cons de Blancs vont bien finir par prendre conscience qu’ils ont des barbares en face d’eux et qu’il faut les punir avec une extrême sévérité, que les gens vont se retourner contre ces élites criminelles, bref que « ça va changer ». Et puis je vois qu’il ne se passe rien et assez désespéré, aimerais simplement savoir jusqu’où va aller ce phénomène, ce mouvement de mort. La seule question à se poser est peut-être en effet « jusqu’où ça peut aller ? ». Il n’y a jamais eu de digue qui ait arrêté la racaille parce qu’il n’y a jamais eu de digue qui ait été élevé. Et qu’on se le dise personne ne fera rien sur le terrain du combat physique. Personne ne bougera. Personne ne « résistera ». Surtout pas d’ailleurs, les militants de groupuscules d’extrême-droite qui ont des armes chez eux. Si la racaille avance, elle avance sur l’exact modèle du désert, et elle désertifie physiquement morceaux par morceaux sans rencontrer d’opposition un territoire déjà vidé spirituellement : ce qu’elle conquiert est déjà mort. C’est un mouvement, un mouvement régi par des lois naturelles, presque des lois de physique, et qui nous dépassent. Le métissage, la racaille, l’abandon du territoire, ces trois choses sont des mouvements auxquels on ne peut pas faire face avec la posture volontariste. Quelque chose nous échappe, totalement. La pensée et l’initiative passent sur « mute » et c’est effectivement un assourdissant mutisme que l’on peut entendre chez les clercs à la question « racaille ». En 20 ans de racaillisme jamais rien n’a été dit ou écrit qui colle un tant soit peu à la réalité, mais vraiment rien de rien du tout par aucun intellectuel, sociologue, éducateur, avocat, député, leader d’opinion ou n’importe quel intervenant de plateau télé. Personne n’a non plus écrit « l’impunité qui vient » un manifeste gratuit, hors de tout groupuscule ou merde idéologique, un simple condensé d’évidence rédigé brillamment et gratuitement par un Français lambda « gardien de son frère ». On fait tout à côté, on donne soit dans la colère soit dans l’analyse sociologique désincarnée, et on n’invite jamais les bons témoins ou alors on les bâillonne, ou alors on déclare qu’il ne faut pas entrer dans l’émotion, bref on n’arrive pas à évoquer ce sujet avec vérité.
Cela fait un peu « illuminé » de se lancer dans ce qui va suivre mais je crois que si la posture volontariste est impuissante c’est parce-que les racailles sont mus par une sorte de foi, une foi intuitive et instinctive. Ils « sentent » qu’un fossé va peut-être s’ouvrir dans l’avenir et ils ne seraient pas opposés à l’idée de le remplir avec nos cadavres. C’est sans doute une question de foi cette histoire-là. Peut-être qu’une sorte de morale immanente énonce par-dessus nos bavardages que le peuple français de souche n’a le droit de prospérer et de se multiplier que s’il est intimement et visiblement uni à Dieu, or l’arrêt massif du culte chez nous est très récent ne l’oublions pas. Il est quand même étrange qu’au moment précis où l’on cessait de baptiser les enfants à la naissance (années 70-80) on ait assisté à ce moment-là et pas avant ni après en 1500 ans d’histoire à une poussée sans précédent des deux autres religions monothéistes. On a cru qu’il n’y aurait aucune conséquence à l’abandon de la vraie foi or ces conséquences sont toutes écrites dans le Deutéronome au chapitre 28 verset 15 et franchement qui peut nier que ce n’est pas exactement cela qui s’accomplit ? Un initié m’a dit que dans la Bible, lorsque Dieu veut châtier son peuple infidèle il sélectionne un autre peuple, impie celui-là, et le lance à l’assaut du premier pour que les hommes des deux camps s’entretuent. C’est au moins une donnée à prendre en compte.
Dans ce film incroyablement précurseur sorti en 1998 et intitulé « Couvre-feu », on voyait un terroriste islamiste jouer le « gentil » tout le long du film, et se revêtir d’une ceinture d’explosifs à la fin et dire ceci : « Certains pensent que l’argent c’est le pouvoir, ils ont tort. C’est la foi le pouvoir ».
Face à la racaille
Fin 2003 des autocollants des Jeunesses Identitaires parsemaient le mobilier urbain de la ville de Grenoble et proclamaient que désormais « Face à la racaille tu n’es plus seul ». Ah oui dans tes rêves gros! « Tu » as toujours été extrêmement seul face à la racaille et le seras certainement toujours. Très forts pour déceler faiblesse et doute dans le regard et dans le code kynésique les racailleux savent aussi déstabiliser par la parole avec des formules savamment étudiées répétées et testées sur plus fort et plus méchant que toi : « kess tu regardes comme ça t’as cru jrigoilais avec toi tu veux qu’j’te déchire ta gueule ? », « vas-y essaie même pas de faire le vénère genre tu fais le cas soc’ ça marche pas avec moi ça», très forts pour « tester » et bluffer. Très forts pour identifier la désertion intellectuelle et morale, ils savent par exemple que de traiter de « facho » un adversaire FDS plus fort que soi va certainement le faire douter un peu. Presque toute leur vie est tendue vers le but de dominer dans les rapports de force, et tout chez eux est pensé en fonction de cela. C’est pourquoi il n’est pas possible de les tromper, il ne faut jamais les sous-estimer, ce sont des ordures mais pas des naïfs, c’est-à-dire exactement le contraire des membres de la majorité silencieuse.
Il faut comprendre les racailles, comprendre leurs us et coutumes. Une ancienne prof de l’éducation nationale m’expliquait récemment sa démission par le fait qu’elle se retrouvait confronté à des jeunes dont la pensée et les fondamentaux lui étaient complètement étrangers et incompréhensibles. L’honnête jeune enseignante venait d’ambiances FDS studieuses et révérait les belles lettres et se retrouve soudain confrontée à d’atroces CPF passionnés par le rapport de force capables de lâcher des « comment ça « shut » ta kru tété ma mère ? » et de « vas-y c’est bon tu m’as soulé parle même pas avec moi tsé koi oublie tu fais trop rire olàlà ». Or cela c’est l’essence même de la racaille : cette aberration totale, cette inversion des valeurs, cet incroyable culot culpabilisateur. La confrontation brutale et forcée peut s’avérer très surprenante, c’est pourquoi votre humble serviteur serait partisan de s’y préparer en écoutant et en regardant.
Observer les racailles se parler, évoluer et vivre est un spectacle très instructif. Cela permet de comprendre comment ils se voient eux-mêmes, comment ils nous voient « nous », quelles sont leurs quêtes et leurs répulsions etc. Et éventuellement cela permet de les voir se battre. Il n’y a rien de plus instructif que d’observer des racailles se battre, et si l’on n’a pas le loisir de voir ce genre de scène en vrai on aura raison de fouiller Dailymotion et Youtube dans ce but-là. Parce que les racailles connaissent tous les trucs de la bagarre, toutes les techniques et tous les bluffs, toutes les lâchetés et les pièges, à quel moment garder son sang-froid et à quel moment jouer au dingue, comment faire jouer la rue contre l’adversaire et comment échapper à un agresseur plus fort que soi. Mieux que le Kravmaga, la boxe anglaise et la thaïe il y a la « bagarre de racaille », véritable MMA qui regroupe non seulement toutes les techniques, coups et torsions de membres, toutes les armes et toutes les absences de règle mais aussi et surtout toutes les approches mentales. Parce que la bagarre est un truc qui fait énormément jouer le mental : dissuasion, intimidation, énervement, peur, surpassement de la peur etc. Et les racailles sont rompus à cette dimension-là de la bagarre : identifier immédiatement qui l’on a en face soi, ce qu’il est possible d’en tirer en fonction du terrain (caméras vidéos ou pas, témoins ou pas, amis en vue ou pas…) et comment arriver à ses fins. Ce sont dans ce domaine des virtuoses et des experts, toute leur jeunesse ils l’ont passé dans l’admiration des « grands frères », dans l’espoir d’en être un jour de cette classe-là, et dans les rapports de force quotidiens avec les autres racailles. Alors lorsqu’un petit con de Blanc qu’ils peuvent démolir selon une palette de 10 techniques disponible se pointe devant eux comme une fleur pour répondre « quoi ? » à leurs petites provocations gratuites et savantes autant dire que c’est du coq au vin pour un poivrot. Ils n’en font qu’une bouchée, ils n’auraient pas provoqué s’ils n’avaient pas déjà identifié qu’ils pouvaient se permettre de provoquer (comparaison des gabarits, du nombre des forces en présence, port d’une arme sur soi etc…) : jamais les racailles ne provoquent ni n’agressent sans avoir compris qu’il n’y avait aucun risque à le faire. A Grenoble j’ai vu nombre de bastons finir à l’avantage des racailles parce que le ou les petits Blancs agressés étaient entrés dans des pièges : en fait les potes du provocateur si téméraire étaient allé acheter des cigarettes au bureau de tabac du coin de la rue et réapparaissaient en masse, trop ivre untel n’avait compris que le type qui se proposait de l’escorter dehors faisait en fait faisait partie de la bande des deux gars qu’il avait maîtrisé juste avant etc… On ne peut rien comprendre à la racaille si l’on n’a pas idée d’à quel point ils peuvent être vicieux et sinueux et raffinés dans l’obséquiosité.
La bagarre repose sur un équilibre préalable de dissuasion mutuelle. La bagarre commence si l’une des deux parties ne dissuade plus assez l’autre partie.
Scientifiques de l’humiliation et de la physique newtonienne, les racailles ont pour but en un minimum de coups de mettre l’autre (la « viktchime ») hors de combat et surtout en état de déshonneur manifeste. Coup de tête et balayette sont les pièces maîtresses de ce genre de partie d’échec : avec un coup de tête on peut briser un nez, faire jaillir du sang et provoquer une douleur atroce paraît-il. Avec un balayage on peut faire tomber l’autre sur le dos ou l’avant-bras, lui brisant le cubitus ou l’étouffant par choc de la cage thoracique. Il faut savoir que les racailles s’entrainent à ce genre de coup en privé, les types peuvent passer une heure à mettre des low-kicks dans un matelas ficelé autour d’un réverbère d’une cour peu fréquentée comme d’autres liraient un livre, et ce dans le seul but de s’entraîner pour pouvoir le refaire en vrai. Lors de la fête de la musique 2008 à Paris, William-Henri trop ivre s’est endormi dans un bosquet juste devant l’Hôtel de ville vers 3 heures du matin. Etant allé chercher un gobelet Macdonald pour le remplir de flotte et lui jeter à la face afin de le réveiller, j’ai été témoin de cette incroyable bagarre qui a commencé soudainement : environ 10 racailles contre 10 autres, accompagnés de quelques filles, et ça tournoyait et ça cognait et ça sautait incroyablement et à un moment un grand arabe maigre et athlétique a marché raide vers un petit arabe trappu et torse nu et lui a mis un low-kick d’une telle puissance que l’autre a exécuté un 90° parfait, se retrouvant à l’horizontale à 1m 50 du sol et bien parallèle avant d’y tomber comme une pêche, comme dans Street Fighter II ou Tekken III. Ce résultat-là correspondait certainement à des années et des années de passion pour le vice, d’entraînement, de boxe thaïe et de visionnage de K-1. Le low-kick donc. Ensuite le deuxième genre de saloperie dans laquelle excelle la racaille c’est donc le coup de tête, surtout celui sur le nez, surtout sur le nez des bons cons de Blancs qui l’ont bien rectiligne bien droit, défi aux autres races si crochues si busquées si brèves et fonçantes vers le bas, métaphore de leur tropisme pour le bas, pour le sol poisseux et terreux et verdeux, magma qui leur ressemble, matrice de toutes leurs idoles matérialistes vers quoi tous leurs désirs et mouvements tendent naturellement, comme guidés par le panneau indicateur de ces nez atroces. Ils veulent mettre le coup de tête sur le nez et pour cela ils prétendent avancer comme ça, en pleine lumière, bien « courageux » jusqu’à arriver à deux centimètres de votre tronche et là dire « quoi ? kess kiya ? »et là BAM coup de tête terminé, douleur et honte et rancœur impuissante, et la désertification prend un petit morceau de plus.
Pour se sortir d’une marave voici quelques idées que les parents peuvent donner aux enfants :
– On ne joue pas au méchant si l’on n’est pas méchant. On est soi-même, avec ses faiblesses et son accent à soi et ses manières de bouger à soi (beaucoup parfois, perdant leurs moyens se mettent à faire eux-aussi la racaille) et l’on garde bien à l’esprit que la racaille « sent » très bien les choses, et sent si vous êtes faux ou vrai. On n’entre pas dans la provocation car si celle-ci est toujours gratuite et malveillante elle est aussi toujours « réfléchie ». La racaille ne provoque jamais si elle risque d’être prise en défaut par la suite.
– On se tient le plus droit possible. L’anxiété a tendance à faire s’affaisser malgré-lui le mis en cause et ainsi à diminuer d’autant sa capacité de dissuasion.
– On garde à l’esprit qu’un coup peut partir à tout moment mais autant que faire se peut on garde les bras plutôt le long du corps pour ne pas éveiller de soupçons. D’une manière générale on tachera d’avoir l’air inoffensif (mais bien droit) jusqu’au dernier moment.
– Si l’un des racailleux s’approche à deux centimètres du visage pour venir dire des insultes, sans reculer on baissera la tête et louchera un peu pour regarder l’autre toujours bien dans les yeux, ce qui rendra un éventuel coup de tête très peu efficace : au pire on le prendra sur le front ce qui ne fait pas mal ni ne surprend. La tête bien baissée et le menton bien rentré.
– Enfin on prendra garde aux balayages et on sera bien inspiré de s’entraîner dans un club de boxe ou au moins de taper régulièrement dans un sac et de posséder une petite lacrymo à jet puissant (au moins 40 cm de jet très serré, surtout pas éparpillé car ça revient au visage).
En résumé : se défendre et laisser venir, se tenir droit et rentrer le menton et forcer son centre de gravité.
Une hostilité cachée et insidieuse
Dans une conquête, la haine des hommes installés et l’attrait pour leurs femmes ne sont pas deux choses différentes, c’est la même chose, le même mouvement, le même vecteur appliqué à différents points du plan.
90 pour cent des maraves de rue, et même des maraves tout court, ont pour point de départ un litige à propos d’une fille. Et lorsque des racailles se maravent pour un « mauvais regard » en fait inconsciemment ils se battent pour tenir leur rang par rapport aux filles, pour être à la hauteur de ce « côté bestial » qu’elles demandent à l’homme, côté qui l’emporte sur le « côté romantique » du « mec gentil », c’est pour cela qu’elles ont une très lourde mais invisible responsabilité dans ces drames ordinaires de la violence. Faire baisser les yeux à l’autre, le « tenir en respect » (leur exacte définition et usage du mot « respect », dont la polysémie éclaire bien des malentendus), c’est diminuer l’autre, et ainsi grandir d’autant en valeur sur le marché de la reproduction, s’arroger d’autant cette confiance en soi, cet allant indispensable à l’initiative masculine, et en dernière instance à l’obtention de rencontres favorables avec le sexe opposé.
« On s’en bat les couilles de la France on est là juste pour vous baiser et prendre la thune », parfois ils la disent enfin la vérité lorsqu’ils sont un peu énervés. Ce discours, rot bruyant de leurs aigreurs rentrées, c’est l’aveu du paradigme auquel ils adhèrent secrètement.
Emeutes de 2005, des racailles masqués de torchons disent « aya mais là… on est à Jérusa-lem… aya mais là deux petits… deux petits à nous y sont morts là c’est trop ». Texto je m’en souviens. C’est dans un reportage de John-Paul Lepers ou de Kourtrajmé, faut chercher un peu. Les sales putains d’hypocrites ils n’attendaient que ça, ils souhaitaient la mort « d’un des leurs » pour pouvoir lâcher la bride à la bête qui est en eux. Et comme ils n’ont pas le courage moral d’assumer ils retournent la faute «aya on nous agresse on nous tue » pour justifier leurs saloperies. 20 jours d’émeutes et deux FDS tués par les racailles : Jean-Claude Irvoas et Jean-Jacques Le Chenadec.
Ils n’aiment pas vraiment les leurs, ils n’en n’ont rien à faire. S’ils les aimaient ils feraient du Malcolm X et pas du Tony Montana prêt à buter son prochain pour une « carotte ».
L’énergie de la racaille : le rap
Il suffit pour s’en assurer de regarder une seule vidéo de Cortex Pyramides, Morsay, L.I.M. ou Rallice. Leurs exploits sont facilement trouvables en tapant leurs noms dans Google vidéo. Allez juste pour la forme on regardera la foule présente au Stade de France lors d’un concert intitulé Urban Peace 2 et co-financé par vos impôts, on décryptera le contenu de n’importe quel nouveau morceau de rap français (voir les sites rapadonf et n-da-hood) et on s’étonnera que personne ou presque ne l’ai fait avant soi. Exception notable : le site surlering avait fait ce travail en 2005.
Malgré cela les autorités morales déclarent tranquillement que le plus grand danger sur la toile serait la « fachosphère ». Si quelqu’un d’honnête prenait une seule heure pour naviguer de liens en liens à partir d’un seul des 4 petits exemples cités ci-dessus il comprendrait ce que c’est que le vrai fachisme. Malheureusement les honnêtes gens ont autre chose à faire.
L’élite obscène
« Mais attends Lounès ça a rien à voir là, qu’est-ce que tu racontes ? T’es pas du tout au courant des réalités, déjà concernant ta vidéo là sache que les agresseurs n’étaient ni Noirs ni Arabes mais gitans, que l’association qui a monté cette vidéo il y a sûrement une manipulation derrière et puis il faut rester prudent tu sais il ne faut surtout pas entrer dans l’émotion il faut bien soupeser chaque élément et bien vérifier que la procédure a respecté le droit en tous points et puis la garde à vue et puis le menu en prison et puis(…) »
Claire Vanhooijdonk, avocate belge
« Si j’ai bien compris, le type qui a avoué avoir porté des coups de couteau a été placé en détention provisoire, au bout de 14 mois d’attente (donc de prison sans être jugé… et bim pour la déclaration des droits de l’homme). Son avocat a fait une demande de remise en liberté. La loi prévoit que le tribunal doit répondre dans les 3 mois, faute de quoi le détenu est remis en liberté… Comme il n’y a pas eu de réponse dans les délais, la cour de cassation a appliqué la loi. D’un point de vue strictement juridique ce n’est pas choquant d’appliquer la loi (contrairement à ce que dut l’IPJ). D’un point de vue humain, oui c’est choquant qu’un meurtrier présumé soit remis en liberté. Mais le sujet porte alors sur la capacité des institutions judiciaires a juger rapidement. Aucun père n’acceptera jamais que le meurtrier de son fils ne soit pas puni le plus sévèrement du monde. Mais aucune peine n’est jamais assez sévère. Faut-il pour durcir encore plus les peines? ou faut-il essayer de réinsérer les délinquants? Voilà le débat qui fait osciller le droit pénal dans un sens ou dans un autre. Enfin d’un point de vue humain et juridique, doit on se réjouir qu’un type (même s’il est coupable) reste emprisonné 14 mois sans être jugé? C’est toujours pareil : si c’est le meurtrier de votre fils, vous répondrez oui, si c’est votre propre fils qui est accusé de meurtre, vous répondrez non. Je vous conseille la lecture de Maître Mô (un autre blog) pour avoir un ééclairage in vivo de la justice pénale. Rien n’y est jamais tout blanc ou tout noir, sauf peut être que les monstres qui commettent des horreurs, sont souvent des gens qui ont subi des horreurs. Par ailleurs, vu la façon Maitre Eolas dézingue certains de ses commentateurs, ça m’étonnerait qu’il ne vous publie pas juste parce que vous n’êtes pas d’accord… 😉 »
Lorie de La Vieille Cariolle, avocate française
Lorsque l’obscénité donne le vertige. Lorsque tu comprends qu’en fait les pires flétrisseurs de la majorité silencieuse désargentée ne sont peut-être pas les racailles mais toutes ces demi-élites qui prennent systématiquement fait et cause pour les racailles. Aie seulement le loisir camarade d’écouter parler quelques avocats dans leurs conversations privées, et quelques dirigeants d’entreprise, quelques kinés, quelques ingénieurs, quelques professeurs d’université et tu verras toute la saloperie du monde, toute la lâcheté des gens aisés et tout le triomphe des bourgeois les plus caricaturaux et détestables. Tu verras tout ça, et tu comprendras que tout au bout de la chaîne celui qui porte le poids de cette désertion intellectuelle c’est un père de famille au SMIC attelé depuis 30 ans à la profession qui compte le plus de dépressions et de suicides de France (policier) qui perd son fils unique assassiné par dix racailles ; et que cette personne en question qui s’appelle Joël Censier lorsqu’il prend le risque d’alerter l’opinion via une association spécialisée tellement il est écoeuré de l’injustice (risque parce que sa hiérarchie peut le renvoyer pour « manquement à son devoir de réserve » comme cela est arrivé pour le policier qui avait révélé l’affaire du Noctilien) il se fait contrer et de fait se voit nié dans sa souffrance par les catégories sociales les plus aisées et les plus privilégiées de son pays qui lui répondent en substance que non non monsieur, tout va bien, la justice fait son travail et il ne faut pas trop entrer dans l’émotion s’il vous plaît.
J’avoue que dans ces moments-là j’ai des envies de révolution et de retour de l’ordre moral. Oui le Bien existe et le Mal existe. Honte aux menteurs, honte aux riches qui abandonnent les opprimés, justice pour Jérémy Censier, justice pour Julien Quenemer, justice pour Jean-Jacques le Chenadec, justice pour Jean-Claude Irvoas, justice pour Thierry Simon, justice pour Guy Trilles, justice pour Yann Lorence, justice pour Jonathan Laurent justice pour Pascal Orvain, justice pour Yves Lerebourg, justice pour Johnny Salmont, justice pour Jean-Claude Eymery, justice pour Jonathan Vioud, justice pour Fabien Fornies, justice pour Romain Benavent, justice pour Laurent Francazal, justice pour David Estournel, justice pour tous les Français innocents persécutés par de la sale racaille et abandonnés par les élites de ce pays.
Premièrement lorsque l’on se dit chrétienne la moindre des choses est de prendre parti pour l’innocent contre le méchant et pour son prochain avant l’étranger.
Deuxièmement si l’on se permet de donner son avis sur une affaire d’assassinat l’élégance minimum consiste à se ranger à 100% du côté de la famille de la victime. Quand bien même on aurait des objections à murmurer on prendrait soin de se taire par souci de charité et de pudeur, afin de ne pas proférer une seule parole qui ne soit pas motivée par une pure empathie envers la famille du défunt.
Troisièmement lorsque l’on porte des noms aussi grotesques et caricaturaux que ceux des avocates cités plus haut, que l’on vient de souches nobles, que l’on possède un cheval, que l’on a grandi sous de hauts plafonds à moulures, que l’on a été élevée dans un environnement surprotégé bien loin de l’insécurité et que l’on a fait HEC, la moindre des rétributions pour tous les bienfaits que l’on a reçu est d’aimer, de protéger et de sauver son prochain c’est-à-dire son compatriote surtout s’il est moins bien né que soi, chaque fois qu’on le peut. Et ce Joël Censier en l’occurrence qu’était-il d’autre que le pauvre, l’affligé et le spolié des Psaumes? N’ont-elles pas décelé, les commères, la figure de l’innocent opprimé pourtant quotidiennement re-racontée dans les « lectures du jour » ? Vous devriez demander PARDON.
Le piège du bavardage
La plupart des gens encroûtés dans l’antiracisme disproportionné le sont non par intérêt de classe mais par ignorance. Ils ne sont pas au courant de la clameur de la rue, ils ne comprennent pas l’époque dans laquelle ils vivent.
Ils ont oublié de se taire. Ils ont été gâtés de mille avantages et n’ont pas été assez giflé par un père et par la vie, ils ont cru qu’ils pouvaient impunément donner leur avis sur tout et rien et que leur avis ne portait à aucune conséquence.
Ils adhèrent au bombardement idéologique: le Bien n’existe pas, le Mal n’existe pas. Il n’y a pas de vérité. Il y a des vérités, il y a du pour et du contre, il y a du gris et c’est à eux les initiés les sages qu’il appartient d’en extirper les tons les plus clairs.
Lorsque l’on appartient à l’élite (universitaires, avocats, médecins, finance, marchands à haut revenus, ingénieurs…) tout ce que l’on dit et fait pèse plus lourd dans le monde. On connaît des gens importants, on est parfois invité à donner son avis sur un sujet et à être écouté ou lu par beaucoup de gens, on travaille au cœur des sujets de société les plus sensibles. Or si la plupart de ces gens sont d’accord pour jouir du statut de l’élite ils sont très rarement partants pour en assumer les responsabilités.
Croire que tout se vaut, que tout est plus ou moins gris avec du pour et du contre, c’est la condition sin equa non de l’impunité de la racaille et de la perpétuation du mal. Parce que lorsque l’on donne 50% de temps de parole au Bien et 50% de temps de parole au Mal c’est le Mal qui triomphe. Mais c’est agréable de se voir promu à une position d’arbitre, on se sent important. En Juin 2006 sur le plateau de Tout le monde en parle, Michel Boujenah se faisait ainsi l’arbitre d’un débat entre le rappeur Monsieur R et un député. L’objet de la controverse était un clip d’une obscénité et d’une lâcheté sans nom, mais le bon Boujenah s’était lancé à un moment dans un plaidoyer en faveur des valeurs républicaines, admirable consensus qui permettait de voir ce soir ces deux antagonistes discuter dans la paix et ça c’était formidable, jurait le comédien.
Vous prenez une injustice bien ignoble et bien lâche. Vous attendez que les parties civiles se constituent. Vous agonissez alors ces derniers de « oui mais… », de « je comprends votre douleur mais… » et de « je suis d’accord avec vous mais… ». Vous laissez le temps passer, la situation pourrir et le désespoir agir. Vous obtenez ainsi toutes les conditions nécessaires à la perpétuation d’autres injustices plus ignobles et plus fréquentes.
On appelle ça relativiser. Il y a du pour et du contre. Finalement peut-être que… Non non non attends j’ai pas dit ça, j’ai dit que… Non non non je ne défends pas du tout l’assassin je dis juste que normalement la procédure aurait dû… Tu sais il faut pas le prendre si… Je crois que rentrer dans l’émotion d’une affaire c’est pas… N’empêche, quand on regarde tout ça avec objectivité on voit que… Faut se méfier tu sais des initiatives qui…
Affaire de l’IPJ, affaire du Noctilien, mille autres affaires qui ne sont pas parvenues à nos oreilles… Des injustices bien identifiées, bien indiscutables, bien énormes. Et non seulement personne ne se révolte mais en plus lorsque quelqu’un ouvre sa gueule c’est pour trouver que c’est peut-être une manipulation, que peut-être il faut se méfier de cette initiative, qu’il ne faut pas créer un climat de peur, que les racailles sont issus de milieux pauvres, que… Et non seulement les coupables sont défendus et relâchés mais en plus les policiers courageux sont arrêtés, licenciés et conspués puis en dernière instance, abandonnés et jetés dans l’oubli. Tout cela n’arriverait pas si l’élite avait encore une conscience morale. Tout cela n’arriverait pas s’il n’y avait pas la désertion et le bavardage.
Le voilà ce bavardage la voilà cette véritable justification du culot de la racaille, sa photosynthèse, sa certitude d’être excusée. A chacun des mots de ce bavardage dont la finalité est de justifier la racaille ce sont des flèches qui s’enfoncent sous la peau d’innocents que nous ne connaissons pas encore. Dans la bouche de l’élite menteuse il y a déjà en germe le coup mortel qui abattra le prochain Jean-Claude Irvoas.
Ce n’est pas la pauvreté qui engendre le crime mais l’opportunité d’un gain facile et sans risque. Le comportement criminel est une réponse rationnelle à des incitations et des opportunités. La criminalité baisse ou augmente en réponse à ses coûts attendus en termes de probabilité de punition.
Qu’est-ce que la racaille ? C’est le bras armé idiot utile d’une parole anti-française et anti-blanche portée par de nombreux sociologues et leaders d’opinion de plateaux télé, parole qui constitue une sorte de concentré de haine mais qui est délayé en boue par tous les autres, les petits tiédasses d’élite qui produisent une médiation jusqu’à la majorité silencieuse, pour relativiser le truc. Et comme des cons on réplique, on s’interroge, on écrit (comme moi) bref on alimente cet inextricable BAVARDAGE qui ne mène nulle part. Un feu s’allume quelque part, aussitôt un contre-feu est allumé, et un contre-contre-feu et ainsi de suite, et les racailles s’échappent par la sortie de secours et le désert prend encore un petit morceau de territoire et d’autres Joël Censier pleureront demain le meurtre d’autres Jérémy.
Correction : il y a une finalité au bavardage. C’est de dépenser l’argent public. Après des années d’interminables débats pourris par la lâcheté des uns et la mauvaise foi des autres on conclura qu’il faut « davantage de moyens ». Un exemple. En 2010 suite aux agressions à répétition dans les collèges et lycées du 95, des budgets ont été débloqués pour incorporer des « cours de citoyenneté » au programme habituel. Pour y avoir assisté je peux dire ce qu’il s’y passe. Le professeur, drapé dans une fausse dignité va prendre la parole, pharisien soucieux, »citoyenneté… Qu’est-ce que c’est la citoyenneté? ». Mille bras se lèvent… Soumaya puis Boukriba puis Wayans puis Kevin puis Houzkrib égrènent les uns après les autres la monotone litanie des idées chrétiennes devenues folles »oué mais faut aussi que l’autorité y nous respectent. Ché pas quand on voit ski dit sarkozy alors que c’est le président vous trouvez c’est bien ça? ». Voilà le retour sur investissement de millions d’euros d’argent public.
Les conclusions? ‘‘Davantage de moyens ». Des sommes colossales disparaissent en pure perte dans des rénovations. Sait-on que l’un des lycées ou une agression à l’arme blanche avait eu lieu venait juste d’être entièrement rénové ? Un cran de plus de descendu dans le chaos. Voilà le bilan, le véritable résultat des courses.
Soutenir la police
Des châtiments impitoyables contre la racaille, contre l’esprit racaille, voilà ce qu’il faut. Les taper au portefeuille, 72 heures de GAV, punir les parents qui laissent sciemment leurs enfants dangereux dehors, les traquer les épuiser les ruiner les écœurer voilà ce qu’il faut. Ceux qui entrent dans la violence gratuite, ceux qui attaquent les faibles, les moins nombreux, ceux qui attaquent lâchement, pour ceux-là aucune pitié, aucune. Le portefeuille voilà la solution, et le travail d’intérêt général.
Il suffit de dire cela pour soudain réveiller le « bon cœur » endormi de tous les lâches. Comment ? Cette sévérité ? Ah non, not in my name, moi je n’assumerai pas cela. Et c’est bien le problème c’est que personne ne veut assumer d’aller au bout des choses. On dira qu’il y a un problème, qu’il y a du pour et du contre et que tout cela est compliqué, oui c’est tellement plus commode ainsi. On laissera les autres se mouiller, par exemple les FDS qui élèvent des enfants dans des zones mal famées, on les abandonnera bien à leur sort et si on les voit exiger un peu de sévérité on les traitera de facho. Et le tout en restant bien à l’abri de la merde, bien rassasié de confort. Une attitude aussi abjecte s’explique en réalité par des critères très simples. On se pique de défense des racailles lorsque l’on n’a pas d’enfants. C’est lorsqu’on a quelque chose à protéger dans le monde que l’on se sent d’un coup brutalement concerné par le monde qui nous entoure. Or les bobos et les élites ne font pas d’enfants, allez peut-être un ou deux dans des cas exceptionnels et encore.
Pour que des peines réellement coercitives soient appliquées il faut que l’élite pousse en ce sens. Or les avocats qui sont par essence des girouettes (un jour on défend le salaud et un jour l’innocent) militent presque systématiquement pour le laxisme et enrobent cela de tout leur baratin grotesque (« en l’espèce », « attendu que » etc), bien dans leur posture de charlatan qui étouffe le débat de formules ampoulées, rendant ce dernier complètement illisible.
L’élite devrait soutenir la police qui lui permet de vivre en sécurité, devrait donner aux orphelins de la police et à toutes ses bonnes œuvres. L’élite devrait monter au créneau lorsqu’elle est invitée dans des débats, des conférences ou des interviews diffusés au grand public afin de soutenir, de légitimer et d’expliquer l’action de la police dans les différentes affaires d’actualité.
La catégorie la plus haïssable de toute la société
Nous vivons et pensons sur des fondamentaux complètements mensongers et caducs. Parmi ce gros tas de fumier de la pensée automatique il y a l’image que nous avons été entraînés à nous faire de la catégorie désignée comme la plus haïssable de toute la société : ce serait l’homme blanc adulte hétérosexuel si possible catholique. Ce monsieur-là essentialisé et unaniment détesté est coupable des tares suivantes :
– Il est « bourgeois » : il gagne de l’argent et habite dans un logement assez confortable et ne veut pas distribuer son argent aux gens qui habitent dans les HLM.
– Il est « de droite » : il se tient avec un certain maintien, porte des vêtements neutres, a les cheveux bien coupés et est plutôt partisan de l’ordre et de la morale contre l’anarchie.
– Il est « brutal » : il est Blanc et français de souche (FDS) en France, pays de longue tradition martiale et patriarcale dont il ne se sent pas assez coupable, au contraire il est partie prenante d’une longue histoire au cours de laquelle la France a été puissante.
– Il est « arriéré » : il vient d’une région française qu’il chérit et est porteur d’une identité particulière avec ses codes et ses habitus et entend vivre chez lui de cette façon-là au lieu d’adopter la culture des étrangers.
– Il est « obscurantiste » : il va éventuellement à l’église catholique qui cherche certainement à profiter du peuple maintenu dans l’ignorance pour le mystifier, et qui est responsable de nombreuses iniquités depuis le Moyen-Âge.
– Il est lâche, colonisateur, hypocrite, suspect, peut-être même fasciste (« facho »), tout ce que l’on veut.
Mais en réalité en France depuis 1990 qui sont les bourgeois? Qui sont les fachos ? Qu’on identifie bien quelle classe sociale remplit quel rôle. Qui sont les skinheads ? Qui sont les arriérés ? Qui sont les obscurantistes ? Qui sont les lâches ? Qui sont les colonisateurs ?
Réponse : les racailles, toutes les racailles, rien que les racailles. Ce sont les racailles les bourgeois qui n’ont de considération que pour les titres, l’apparence et le luxe. C’est les racailles les skinheads qui ont le crâne rasé et fonctionnent par pure solidarité raciale et agressions gratuites contre les autres races en les désignant sans honte et en disant « enculé de ta race ». C’est les racailles les nazis qui exaltent leur animalité et s’inventent des mythes et des martyrs pour justifier leurs nuits de cristal. C’est les racailles les arriérés qui restent crispés sur des traditions barbares, sur des hiératiques grossières et une pensée automatique et primaire. C’est les racailles les obscurantistes disciples d’une religion crispée sur une trouvaille tautologique (Il n’y a de…) qui légitime très fréquemment dans ses textes sacrés de recourir aux massacres, aux viols, au pillage et au mensonge. C’est les racailles les lâches duplices qui ont un double discours facile : l’amour du « bled » mythifié et porté aux nues alors qu’ils ne comptent ni y habiter ni y apporter une aide matérielle. C’est eux les colonisateurs, c’est eux les esclavagistes, c’est eux les homophobes, c’est eux les misogynes, c’est eux les gros beaufs incultes, c’est eux les sadiques qui répandent le mal, c’est eux et pas les autres c’est aussi simple que ça. Tout le monde le sait mais personne ne les attaque ni physiquement ni intellectuellement parce que tout le monde a PEUR.
Y-a-t-il des sceptiques ? Alors un petit conseil comme ça, gratos. Si tu veux savoir à quel point de saloperie en est rendu la racaille, ce qu’elle est et ce qu’elle fait concrètement, va donc t’asseoir sur les bancs du TGI le plus proche un jour d’audience, et reste là pendant toute la séance. Là tu vas voir. Là tu vas apprendre.
Lâcheté, laideur et violence
La racaille est raciste. Que l’on se renseigne sur ce qui arrive aux Blancs qui, parce qu’ils sont paumés et en recherche de camaraderie virile se lient d’amitié avec la racaille. Regardez K-Libre. C’est affreux, affreux a regarder. Et comme il a tourné, le sort que lui ont fait ses «frères », et pourtant il avait donné tous les gages de bonne conduite, s’était même converti, avait tout adopté, tout hallal-bouffé. Malgré tout cela il a quand même été considéré comme un Blanc et un Dhimmi, et a fini comme tel. Parce qu’en face, tout blakblanbeur qu’ils se prétendent ils pensent et agissent en blacks et en beurs. Qui à honte d’être un negro a part Mickael Jackson ? Booba « Double poney ».
Eux ils ne respectent pas par libre adhésion mais par soumission au plus fort. Leur mot « respect » connote « tenir en respect », pas « avoir du respect ». Et le plus fort ils le testent en permanence pour vérifier qu’il est toujours le plus fort. Ne l’est-il plus ? Montre-t-il des signes de faiblesses ? Aussitôt c’est la curée. Des loups, des hyènes.
Comment a été tué Jean-Claude Irvoas ? Et Jean-Jacques Le Chenadec ? Et Yann Lorence ? Et les dizaines de Sébastien, de Kevin et de Cyril depuis toutes ces années ? Réponse : la curée. Seuls contre plusieurs, façon pogrom, façon Mogadiscio (La chute du faucon noir, histoire vraie).
Pourquoi hurlent-ils et réclament-ils des choses ? Pas parce qu’ils sont opprimés. Mais parce qu’ils ne sont PAS opprimés. Ça joue les mâles mais c’est tout femelle en vrai. Ils ne détestent rien tant que la liberté. Ils y sont dans le vide, ils y sont perdus. Ils souhaitent profondément une bonne dictature bien oppressive pour pouvoir jouer le seul rôle qu’ils connaissent, celui de victime. Preuve en est l’exemple systématique de leurs sociétés au « bled ». Pas un seul des 53 pays d’Afrique qui ne déroge à la règle « dictature racketteuse corrompue et obscurantiste ». Parce que l’être humain veut jouir et ne pas prendre la vie au sérieux. Et eux c’est comme ça qu’ils jouissent.
Le problème étant cet accent dégoûtant, résidus de ces langues maternelles effroyablement gutturales, qui sonnent aux oreilles comme un râle de vomissement ou d’égorgement c’est selon. Richard Millet faisait à juste titre remarquer que très étrangement, cet accent se transmet au fil des générations, et que c’est là une preuve concrète d’absence d’intégration. Idem pour le choix des prénoms donnés aux enfants. Mais revenons à l’accent. L’accent et les simagrées, ces façons d’agiter beaucoup les mains comme si leurs paroles étaient tant profondes qu’elles nécessitent l’appui d’une gestuelle. Une gestuelle disgracieuse un code kinésique et proxémique qui chez nous connote la menace. Différence culturelle te revoilà, gouffre même lorsque leur entêtement à « conservé lé tradissions » a pour résultat de paraître quoi qu’ils fassent, agressifs, violents.
Mais au fond est-ce qu’ils paraissent violents ou est-ce qu’ils sont vraiment violents? Pour répondre à cette question nous prendrons l’exemple du « discours de Ratisbonne » de Benoit XVI. Le pape lit un texte dans lequel il cite un auteur qui dit en substance qu’il se désole de voir que les muslims sont violents. Et aussitôt les muslims dans le monde réagissent non pas en disant « comment nous violents mais pas du tout ! » mais précisément se livrent à un déchainement de meurtres de chrétiens, d’incendies d’églises et de pogroms bien lâches et accomplis en situation d’écrasante supériorité numérique. « Tu pues de la gueule » dit le philosophe au bouffeur d’ail cru, et ce dernier de de lui gueuler en face en soufflant très fort « comment ? Moi j’pue d’la gueule ?? Moi j’pue d’la gueule ?? ». Eh bien les aberrations intellectuelles de ce calibre-là sont la spécialité de la racaille.
Un autre exemple survolé tout à l’heure. Ils s’appellent entre eux les racailles depuis les années 1990 c’est une chose acquise. En 1999 le groupe 3ème Œil a sorti « Hymne à la racaille de France ». En 2005 Sarkozy a dit « les racailles ». Mais par une tartufferie incroyable dont eux seuls ont le secret, tartufferie et bigoterie très profondément ancrées dans leurs codes, mode de vie et rapport à l’autre (les « frères », le « respect », la « pureté »)… Par une tartufferie donc, et en hurlant très très fort et en agitant bien les bras et en jouant bien à l’innocent opprimé ils arrivent à faire croire que « racaille » c’est insultant pour eux et que ce mot vient de l’extérieur alors qu’ils s’appellent comme ça entre eux, alors que c’est un putain de titre de gloire depuis des dizaines d’années et qu’ils le savent très bien et qu’ils chérissent cette cachotterie dans le secret du fond de leur trou du cul, que c’est la version souterraine du mot « lascar » qui désigne un mec de préférence arabo-musulman ou noir qui vit de la société sans en payer le prix. Traire la vache sans la nourrir, faire le lierre sur l’arbre sain, prospérer sur la bonté des Blancs. Mais alors pourquoi ils ont joué les indignés à propos du mot « racaille »? Parce qu’ils savent qu’il y a le BAVARDAGE, ils savent que ces cons de FDS vont se mettre à palabrer sans conclure pour savoir si c’était bien ou pas que Sarkozy ait dit ce mot-là. Parce que les racailles connaissent très bien le terrain intellectuel français, ils savent très bien à quel point il est gauchi en leur faveur ce terrain, à quel point la plupart des Blancs sont corrompus par l’espoir de gagner de l’argent et des honneurs et qu’ils vont bavarder beaucoup puis fermer leurs gueules.
Mais c’est extrêmement difficile de parler de cela. Parce qu’il faut opérer une jonction dans le langage et dans les classes sociales, dans le sens que l’on donne aux choses, une jonction dans les mentalités. A la limite ce n’est pas à moi de prendre la défense de la race blanche : je n’en suis pas vraiment. De la même façon qu’il est extrêmement difficile de parler du rap. C’est comme s’il fallait traduire des mots d’une langue à l’autre, avec tous les risques de tomber dans le grotesque que cela comporte. Exemple : les cons à lunettes « penseurs » du rap qui essaient de démontrer que Booba serait proche de Céline etc… Coller de l’analyse universitaire sur de la culture urbaine ça a toujours basculé dans le grotesque, qu’il s’agisse de skateboard, de graffiti, ou de racailles.
« Je vais t’apprendre à devenir un vrai américain, c’est simple : tu encaisses et tu fermes ta gueule. »
A Tombeau Ouvert, Martin Scorcese
Ils font genre qu’ils sont amicaux, qu’ils sont avec la France mais qu’on regarde les faits. Ils ne sont pas partie prenante de son histoire, ils n’ont pas payés pas encaissés en fermant leur gueule toutes les insultes contre l’identité française. Au contraire ils essaient de faire jouer la culpabilité en s’inventant un grand père tirailleur sénégalais. Tu parles en fait c’était un vague grand oncle jamais connu qui était réserviste vite fait mais après la guerre. Ils sont « l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours ». Et puis de la part de gens qui ont facilement cent cousins sur Paris on voit gros comme une maison l’obscénité du mensonge. C’est tellement facile pour eux. Suffit de s’appuyer sur la barque et d’y peser. Ils n’ont pas payés pas endurés pas charbonnés, rien. Ils prétendent ils revendiquent ils réclament… Ils assemblent trois planches et ils hurlent à l’exploitation ouvrière. Qu’ils viennent voir la vie des ouvriers caucasiens, celle des paysans, des bosseurs ordinaires de cette France profonde si facile à mépriser, des bonhommes qui assument des familles et qui ramènent du blé sur la table produit de leur travail et pas des allocations de l’Etat. En quoi sont-ils le moins du monde privilégiés ces gens-là ?
C’est bien joli d’insulter courageusement les Blancs. Les autres Blancs de France, les ruinés qui ne font plus d’enfants, coupés de toute tradition et continuum, livrés cul-nu aux plus vaillants poignardeurs dans le dos, dévitalisés et à un contre dix dans un pays qui ne leur appartient plus. Trop facile là ce n’est pas de ton calibre ça Youssoupha. Pour montrer ta valeur va donc faire la même à des casuals de Huddersfield, de Inverness, de Stoke-on-Trent… Là tu impressionneras. Mais à mon avis tu n’iras pas. Tu resteras en France à t’inventer une vie de conquérant et à toucher frauduleusement le RMI comme un lâche, bouffi d’orgueil et de prétention.
Le trait le plus caractéristique de la racaille est la lâcheté. Frapper l’autre à plusieurs ou avec des armes. Mais surtout s’attaquer à des gens qui ne peuvent pas se défendre. Si les racailles étaient les descendants des communards on pourrait leur accorder un certain mérite. On peut aimer ou pas les communards mais il faut leur reconnaître un certain courage pour avoir assumé la responsabilité de l’indépendance (pas pour avoir massacré des centaines d’innocents). Bref. La lâcheté donc, et un exemple. Le rappeur Mokobé a toujours été en première ligne lors des interviews du 113 sur Canal+ pour dire que les Blancs sont méchants que les Noirs sont discriminés. Depuis quelques années il est dans tous les combats « Africa is the future », genre le militant africain intransigeant. Eh bien récemment il a serré la main de Bernard-Henri Lévy et a fait un clip avec Arielle Dombasle. On pense ce que l’on veut de BHL. Mais Mokobé lui, ne pouvait pas ignorer que BHL et son père ont géré une entreprise de bois précieux en Afrique. Est-ce que le terrible militant Mokobé a fait au puissant BHL la moindre remontrance ou émis une ébauche de plaidoyer contre « le pillage de l’Afrique », poncif que lui et ses potes sont si prompts à répéter ? Nenni. Et voilà ce que c’est la racaille. A 10 contre 1 sur MC Jean Gab1 et bien aimable bien gentil devant les puissants. Tout est à sa place.
La majorité silencieuse
Il est un mensonge criminel qui énonce que »les blancs » seraient privilégiés… Alors que le tout petit point d’avance que détient cette majorité silencieuse, elle charbonne tous les jours pour le gagner et pour le conserver. Cette parole de haine et de jalousie constitue la raison d’être même des racailles (« ils nous ont fait ça, il faut qu’on leur fasse ça pour se venger») et les élites qui encouragent la propagation de cette parole sont des criminels qui ont sur leurs mains le sang de Jean-Claude Irvoas et de tous les autres.
D’une certaine manière nous pouvons nous aussi être la racaille d’un autre. Un exemple. La formation de l’Afrique du sud, du Texas, du Colorado, du Québec. Ce sont des petits Blancs de rien du tout qui ont travaillés comme des damnés pour se payer le trajet en bateau puis en chariot, pour défricher des forêts, construire une cabane, planter du maïs, vendre des récoltes, acheter du bétail, l’élever, agrandir la cabane, placer des clôtures, et décéder après 40 ans d’efforts continus… Des milliers de gens partis de rien, qui se sont gelés l’hiver par moins 30 degrés dans 4 mètres sur 4 en fermant leurs gueules et en priant Dieu de ne pas crever encore maintenant, de pouvoir améliorer encore un peu la propriété pour la transmettre à leurs enfants. Or à l’école que nous a-t-on appris à part insidieusement jalouser et mépriser cet esprit pionnier, cet esprit courageux et authentiquement libre ? Que l’on se souvienne avec quel acharnement on nous a fait rentrer dans la tête que « les zaméricains y zont tout volé leurs richesses aux pauvres et gnagnagna ». Les trois quarts des européens sont les racailles des WASP.
La vie de la majorité silencieuse blanche est une vie absurde dictée par l’argent. Houellebecq, Céline, Zola, tout ça… Des gens qui souffrent et qui l’acceptent absolument. Ce sont les sacrifiés en première ligne, après eux le chaos, ce sont les premiers de cordée, les chevaux de trait avec œillères qui emmènent tout le reste de l’humanité. Leurs sociétés leurs existences sont des cratères dévastés. La damnation c’est d’ignorer la cause de son malheur ? Comment ne pas appliquer cet aphorisme à ces millions de Caucasiens qui tous bouffent 3 repas par jour, ne manquent d’aucune chose matérielle mais qui ne comprennent pas pourquoi ils vivent. Coupés du bien commun, coupés de leur patrie coupés de leur famille, coupé de la transcendance, de la transmission… C’est la dignité qui leur fait fermer leur gueule parce que l’on ne réclame pas, c’est comme ça. C’est la « misère digne » expliquée par Céline, tout le contraire de la posture de victimisation qu’adoptent les « minorités ».A ce titre il y a deux communautés qui sont véritablement écrasées dans ce pays et qui encaissent en silence, ce sont les Asiatiques et les Français de type caucasien.
La police : l’aubaine
La violence de la racaille s’exprime sur les innocents et sur les policiers s’ils sont dans les parages, mais dès que ces derniers se retirent voilà qu’aussitôt les racailles s’enculent entre eux. En fait la police est une aubaine pour eux dans la mesure où elle les empêche de s’entretuer, ils n’ont jamais compris cela. C’est grâce à la police que les cités rivales de Chanteloup et du Val-Fourré sont encore aussi florissantes de racaille, ironie de l’histoire. Et c’est très bien comme ça, c’est la preuve que « nous » (miroir de ce « vous » qui dans la bouche des racailles désigne les policiers et les FDS, c’est à dire « la France ») on ne cherche pas la vengeance mais la justice malgré toutes les saloperies et iniquités qu’il y a en face.
La dernière image a été supprimée pour des questions de droits d’auteur. VV
Bouleversant
j’en reviens au post de l’autre fil « nous avons les zélites que nous méritons »
dans un film de merde (le pacemaker des 95 triomphantes , je crois) , à l’annonce de la profession d’un terroriste , diplômé de cambridge , le mec chargé de l’enquète dit « nous avons diplômé la moitié des terroristes de la planète »
pareil pour nous
la moitié des zélites sont nos bourreaux intellectuels
et nous payons leurs salaires
Une foi, un peuple, des hommes.
Plus de foi, PLUS RIEN.
http://www.youtube.com/watch?v=kxobZSc82fE
Un excellent papier, sinon.
Je lis cet article, et j’ai un haut-le-coeur à chaque section. Parce que c’est trop vrai.
Je sais que j’ai fui. Parce que je n’ai pas su comment aider mes concitoyens. Et j’ai honte. La racaille avance, et je ne sais que fuir. Je ne sais pas comment la combattre efficacement, elle ni l’élite qui la fait pousser. Elle conquerra peut-être l’endroit où je vis actuellement, quoique je n’y crois pas: l’élite locale y vit, et trouvera bien un moyen de rejeter les problèmes sur autrui. Quand bien même la chienlit prendrait racine sur ce quartier, je l’aurais quitté avant, fuyant une fois de plus pour des cieux plus clément.
J’aimerais pouvoir aider les victimes de cette « anarcho-tyrannie ». Je rêve d’être trafiquant d’armes fournisseur de la résistance. Mais pire que le supplice physique des victimes sacrifiées, c’est leur supplice spirituel préalable. Elles sont désarmées mentalement avant d’être livrées aux fauves incapables de se défendre. « Ce qu’elle conquiert est déjà mort. » Exactement. Ce sont d’abord d’armes morales dont ont besoin les français. C’est d’abord moralement qu’ils sont tués, réduits à l’état de zombies par l’Establishment.
Je ne reproche pas au désert d’être désert. Je ne reproche pas au chien enragé d’avoir la rage. Mais je honnis les maîtres qui livrent leur peuple au désert après les avoir tués en dedans.
@Lounes
Texte grandiose !
Cependant, j’ai du mal à voir en quoi il serait « chrétien » de lutter contre la racaille. O_°
La situation que vous dénoncez, cette adoration du méchant et du criminel chez nos élites, c’est l’aboutissement logique de 2000 ans de christianisme. Il se trouve que la racaille immigrée est doublement victime sur le plan spirituelle (puisqu’à la fois racaille et à la fois immigrée) et au yeux du néo-chrétien laïque, il est totalement et chrétiennement correct de prendre la défense de celle-ci (car la victime d’un lynchage ira toujours au Paradis, tandis que la salopard à l’origine, il faut bien prier pour le salut de son âme : Jésus est bien mort sur la croix entouré de brigands).
Le christianisme a initié un vice : celui de l’adoration du faible. L’aboutissement logique de ce vice, c’est d’excuser la crapule.
Les gens qui excusent les racailles sont donc quelque part des chrétiens qui s’ignorent.
XP a maintes fois écrit sur le sujet (cf les articles sur Christinie Boutin) sans se douter que ça cachait un truc plus profond et pervers. Il y a chez certains chrétiens un côté totalement déshinibé dans la saloperie, chose qu’on ne trouvera même pas chez le pire des bobos de merde.
On repère le même type de comportement chez les muslims (donc les racailles de tess) et les juifs, la filiation est bien monothéiste dans le sens où la certitude d’avoir toujours raison sur les autres (en religion) finit par vous donner une absence de culpabilité sur tous les plans (Allah avec moi, les autres contre moi, les autres contre Allah).
La seule réponse contre la racaille est d’essence païenne (dans la mesure où il n’y a que le sang qui peut racheter le sang) : on défonce ton poto, tu défonces ceux qui l’ont défoncé (ça rétablit l’équilibre naturel).
Les chrétiens qui s’essayent à la lutte anti-racaille ne sont plus des chrétiens à partir du moment où ils répondent au piège tendu par le Démon (la violence).
Le bolosse du Noctilien – un certain Foucault Giuliani – est en cela le plus authentique chrétien de ce deuxième millénaire : il s’est fait traîté de sale français, rousté et dépouillé, et il trovue encore le moyen d’excuser ses agresseurs et de dénoncer l’instrumentalisation qui en est faite par l’extrême droite…
« cette adoration du méchant et du criminel chez nos élites, c’est l’aboutissement logique de 2000 ans de christianisme », « Le christianisme a initié un vice : celui de l’adoration du faible. L’aboutissement logique de ce vice, c’est d’excuser la crapule. »
Voilà donc ça ce sont les remarques les plus stupides et les plus fréquentes que l’on puisse faire sur « le christianisme » avec aussi « je veux pas tendre l’autre joue ». Ce sont des remarques de perroquet et c’est typique des fils de commentaires dans Fdesouche, cette manière péremptoire de réduire 2000 ans à quelques phrases, cette manière de se permettre de donner son avis, de croire que l’on a compris quoi que ce soit et de répéter ce que les autres disent, les guéno-évoliens de blogs, les surhommes de salon, les apôtres de Richard Dawkins, les « résistants au nouvel ordre mondial », tous ces petits mecs qui ont un avis comme un trou du cul.
C’est quoi « le christianisme »? Je connais pas ça. Il y a bien la Bible, Jésus, la Tradition de l’Eglise, mais « le christianisme » comme bloc monolithique je ne vois pas du tout.
C’est écrit nulle part dans la Bible ni dans aucune encyclique qu’il faut se laisser défoncer la gueule comme cette tarlouze du Noctilien et ensuite glorifier les agresseurs. Cela s’appelle le masochisme, pas le christianisme. Il y a une très forte perversion depuis quelques dizaines d’années qui gauchit la vertu première de « Caritas ». On peut très facilement lorsque l’on est mal intentionné, appuyer sur cette vertu pour la retourner comme un poison, et laisser le bavardage finir le travail.
Les gens répètent ces phrases toutes faites citées plus haut. J’en n’ai pas après leur auteur mais après cette facilité et cette fainéantise. Par exemple, personne ne s’intéresse au sens réel du passage sur « tendre l’autre joue ». Que signifie la joue droite et que signifie la gauche. Lire dix minutes la Bible par jour, et quelques commentaires d’exégètes c’est l’ébauche d’une démarche d’étude, le reste c’est du bavardage.
@Lounès
Un jour, un missionnaire catholique est venu voir une famille polak.
A un moment donné de sa prédication, il dit: « Un vrai chrétien est celui qui se jette sous les pneus d’une voiture pour sauver la vie d’un inconnu ».
Le prêtre a été chassé à coup de balais et sommé de ne plus jamais revenir.
…
Tu vois Lounès ? Ca c’est pas du Nietzsche ni des phrases de perroquet que j’ai prise sur Fdesouche.
C’est une anecdote bien réelle qu’un polakos tout ce qu’il y a de plus catho m’a raconté récemment, un truc qui s’est passé du temps du communisme (!).
Il y a un côté totalement masochiste dans le Christianisme, qui conduit paradoxalement à la glorification des bourreaux.
Toutes les exégèses du monde n’y changeront rien : le Christ est mort comme un bolosse entouré de deux cailleras de l’époque.
C’est pas du préchi-précha anti-chrétien que je fais. C’est juste une putain d’intuition que j’ai eu ce matin en lisant ton article, après une nuit de travail harassant : la proximité entre le Vrai Christ et la Racaille.
Raison pour laquelle j’adore Jean-Louis Costes (toi aussi tu l’aimes).
Costes a fait un album hommage très touchant à Guy Georges, et tu finis vraiment par chialer pour Guy George « le singe violeur », parce que Costes fait du Léon Bloy mieux que tout le monde.
Je ne pense pas que le Christianisme y soit pour quelque chose dans notre pusillanimité, nous sommes inhibés devant la violence parce que trop civilisés.
Lounès met les mots sur la douleur sobre de Joël Censier, sur le sentiment diffus et accablant d’escroquerie devant le bavardage obscène et dégueulasse des demi-élites habiles à se dédouaner en culpabilisant le plus faible dont elles ne risquent rien, en opérant un glissement de victime à coupable pour n’avoir pas à affronter la réalité brutale du plus fort.
Lounès parvient à retourner une à une toutes les désignations et à montrer qui sont les beaufs racistes brutaux, fachos et lâches.
Et alors? Chez le clergé il y a nécéssairement tout et son contraire. Cette méthode qui consiste à dire « un prêtre a dit ça donc le christianisme c’est… » est très malhonnête. C’est pas du travail ça. Sois gentil si tu cherches la vérité commence humblement et calmement par la lecture des textes point. On ne va pas épiloguer sur ce sujet qui requiert d’expérimenter et d’éprouver le message dans la vie réelle, et non pas de produire de la réflexion aride ou des commentaires politiques faciles sur certaines âneries du clergé. C’est grotesque ce genre de discussion de blogs « christianisme : pour ou contre », ça se passe soit dans la vie soit pas du tout. On parle de cailleras ici.
Relisez votre texte, c’est vous qui dites que si on était plus chrétien, ça irait mieux.
Votre réponse à Fascisme Fun relève autant de l’automatisme et des phrases toutes faites que l’anti-christianisme que vous ciblez.
« Mais non tu peux pas réduire 2000 ans d’histoire… Charles Martel était chrétien… Jésus a parlé aussi du glaive… »
Ne faites pas comme si l’œuvre de Nietzsche n’existait pas. Ce n’est plus possible, vous ne pouvez la nier, vous devez faire avec. Nier qu’il existe une essence du christianisme, un mouvement instauré par Saint Paul, ce n’est pas simplifier c’est commencer à avoir du courage intellectuel. C’est plus rassurant de se dire « Non ils sont méchants c’est pour ça », mais vous n’irez pas loin.
Nier qu’il y a dans le christianisme ce détachement des choses terrestres, ce « L’Existence ne serait que la répétition de quelque chose de plus important », qu’il existe un lien évident entre la morale chrétienne dont la Révolution française et les idées modernes n’ont pas été les meurtrières mais les plus fidèles héritières, les plus impatientes, cela relève de la foi, et donc de la mauvaise foi, la plus tragique.
Cela m’attriste de voir des gens aussi intelligents refuser de dépasser cette ligne rouge. « Comme par hasard tout fout le camp depuis qu’on ne baptise plus les enfants, c’est une punition de Dieu », c’est avec ce genre de phrases que l’on perd tout espoir. Il n’y a donc pas de place sur Ilys pour ceux qui sortent du christianisme. On leur dira qu’ils sont lourds à répéter des slogans, qu’ils sont maladroits, on critiquera la forme alors qu’en réalité le fond est insupportable, vos réponses sont des façons polies et sophistiquées de condamner les hérétiques.
C’est absolument fascinant cette lucidité dans le texte et cette incapacité à ouvrir son esprit vraiment. Les chrétiens ont le droit de mourir avec leur Bible en main et la conviction qu’ils ont été les gentils jusqu’au bout, mais n’embarquez pas les autres avec vous. Sur Fdesouche c’est l’inverse de ce que vous dites que je lis, moi, ce sont de bons vieux réacs qui regrettent comme vous l’époque où l’on croyait, que l’invasion musulmane c’est pas bon pour nos terres chrétiennes, etc.
Laissez ceux qui veulent croire en autre chose que votre Bien et votre Mal commencer à le faire, même maladroitement, on ne sort pas d’un nihilisme de 2000 ans comme ça. C’est déjà très sain d’essayer de s’en affranchir, ce que vous ne semblez pas comprendre.
Paradoxalement, très bon texte.
Dantec par exemple, tout illuminé qu’il paraisse a produit des articulations sur Nietzsche et Jésus de très grande qualité dans chacun de ses 3 tomes du TdO.
Après on croit ou on ne veut pas croire ça s’arrête là sinon ça tourne au débat interminable, le bavardage encore lui.
La posture du « chrétien viril » qui cite Charles Martel et le glaive est caricaturale. C’est aller aux textes qu’il convient de faire. Par exemple cette histoire de « tendre l’autre joue » citée dans un évangile et de « tendre la joue gauche si l’on a été frappé sur la joue droite » dans un autre évangile est-ce qu’il y a encore des gens qui s’intéressent au sens profond de cette métaphore? Non, et ce n’est qu’un exemple, et les gens n’en n’ont plus rien à faire parce qu’ils admettent A PRIORI que y a plus rien à chercher « dans tout ça ».
xyr, nous en savons largement plus que Nietzche, nous avons 100 ans d’Histoire que lui ne pouvait pas anticiper, parce que l’Hiustoire est avant tout l’oeuvre de la Providence et n’est pas un matérialisme. Il avait analysé selon un certain point de vue la décadence occidentale (entre autres), nous vivons en plein dans son remplacement par toutes les formes de barbarie et de régression imaginables. Nietzsche avait-il annoncé qu’en un siècle les noirs seraient plus nombreux que les blancs dans de nombreuses métroploes européennes, que l’islam serait la première force religieuse de plusieurs pays historiquement chrétiens, que nos Etats à son époque si fiers, mangeraient dans la main de ce qui en 1890 n’étaient que des villages de pêcheurs arriérés comme le Qatar ou Abu d’Abhi? non c’était impossible, trop d’éléments, trop d’imprévus sont survenus qui aurait fait déchirer à Nietzsche les 3/4 de son ouevre, les eussent-ils ne serait-ce que devinés.
xyr, C’est amusant, depuis plusieurs commentaires sur différents blogs, vous ressassez Nietzsche et Saint Paul et le détachement de la vie terrestre.
Si je peux vous suivre pour ce qui est du détachement de la vie contenu dans le christianisme, je pense surtout que vous êtes comme beaucoup un marcioniste (oui, un hérétique, je sais, désolé). Le Nouveau Testament ne peut exister sans l’Ancien. Je ne parle même pas de glaive ou de bâton pour chasser les marchands du temple. Je dis tout bêtement que « tendre la joue gauche » répond à/complète/renouvelle (rayer la mention inutile) la loi du Talion et lui est accolée.
C’est « oeil pour oeil » ET « tendre la joue gauche ». On se défend avec mesure (on ne tue pas la famille de l’ennemi pour un frère tué ou on ne prend pas le troupeau du voisin pour une vache volée) mais vu que « oeil pour oeil » entraîne toujours autant de violence (je tue votre frère, vous tuez le mien, je suis en colère je tue votre oncle …), on essaie de casser ce cercle en tendant la joue: à savoir en faisant appel à l’humanité ou à l’intelligence de la personne en face. C’est un signe de force morale, derrière lequel évidemment beaucoup de lâches pourront se ranger pour faire illusion. Et si ça ne marche pas, on repart sur la loi du Talion. C’est un cercle.
C’est exactement comme la plume et l’épée. Il faut de l’épée pour conquérir mais de la plume (droit) pour prospérer/assurer la paix. Mais si la plume est bafouée, il faut repasser à l’épée.
En somme c’est l’un ET l’autre. Pas l’un sans l’autre. On n’a pas attendu les chrétiens pour dire que le présent n’existait pas sans passé, mais quand on pense encore le christianisme, on sait que le Nouveau Testament va avec l’Ancien.
@Lounès
Dantec est le plus mauvais exemple que vous pouviez utiliser, et pourtant je l’aime bien. Mais sur le christianisme il est évident qu’il ne peut aucunement le remettre en cause. Il remettra en cause tout le reste pour que ça colle au christianisme. Nietzsche l’a bouleversé alors il s’efforce de l’adapter comme il peut à sa foi. Parce que Dantec a besoin de croire, comment pourrait-il avoir le recul nécessaire au jugement ?
Dantec, pour survivre aux massacres qu’il a vus en Europe de l’Est, a eu besoin d’une croyance nihiliste. Il est d’ailleurs passé très près de l’islam, quand on le connait un peu plus. Pour Jésus je préfère, encore une fois, lire le moustachu :
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Mais vous allez sûrement me dire qu’il n’a rien compris au passage sur le fait de tendre l’autre jour, comme Kubrick n’a rien compris dans son Orange Mécanique, cet imbécile :
« He will be your true Christian: ready to turn the other cheek, ready to be crucified rather than crucify, sick to the very heart at the thought even of killing a fly! »
Dans le film un curé intervient à ce moment-là, dénonçant l’entreprise de lavage de cerveau servant à domestiquer l’homme pour le rendre inoffensif, pointant du doigt qu’Alex (le personnage principal) n’a plus de libre arbitre donc qu’il n’y a plus de choix moral. Mais il est face au produit du christianisme. La modernité n’est pas le christianisme devenu fou il est son aboutissement logique, fatal, le moment où il n’y a plus de dogme, plus rien de païen, où ce système de valeurs cesse d’être un outil d’apprivoisement mais qu’il devient son propre moteur, qu’il devient autonome.
Comment pourrions-nous encore « choisir » quand tout un pan des émotions et instincts humains a été assimilés au mal absolu ? En vérité même avant il n’y avait que l’ombre d’un choix, même le libre arbitre était une illusion :
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Vous n’avez pas le regard froid nécessaire pour voir derrière les tristes et justes constats que vous faites. Vous ne voulez pas l’avoir, viscéralement pas.
@Aquinus
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Nietzsche avait conscience des cataclysmes qui suivraient, et le fait de pointer du doigt le fait qu’il n’ait pas écrit noir sur blanc que les Noirs envahiraient démographiquement l’Europe a quelque chose de ridicule, pardonnez-moi. Il voyait plus haut mais ce n’en est que la conséquence, il allait bien trop à l’essentiel pour jouer à madame Soleil. C’est une dynamique qu’il montrait, pas chacun des détails. Et encore… quand on lit ce qu’il dit du dernier homme, ou sur le métissage des races découlant des idées modernes, et la fuite naïve vers un homme standardisé, quand il parle de la forme d’esclavage la plus raffinée…
« nous en savons largement plus que Nietzsche parce que nous avons 100 ans d’Histoire », c’est pas quelque chose qu’on devrait lire sur un blog d’élite. Il est déjà rare qu’un homme sache, alors « nous »… puis réduire le fait de « savoir » à l’accumulation d’informations factuelles, c’est vraiment une pensée pour les masses, un truc de GVD, clairement.
Pourquoi les chrétiens deviennent bêtes face à Nietzsche ?
@daredevil
Ce n’est que du bavardage, c’est totalement faux, le Nouveau Testament est une erreur à côté de l’Ancien, ils n’ont rien d’indissociables, ils sont même tellement opposés qu’ils ne peuvent plaire au même homme. Demandez-vous pourquoi Soral fait sans cesse référence à la grandeur du Nouveau et au racisme/sionisme de l’ancien, demandez-vous pourquoi Nietzsche admirait le premier, et vous avancerez :
@daredevil
Posez le problème dans l’autre sens : pourquoi fait-on si souvent référence sur ILYS à l’arrière-monde chrétien, dans des formes aussi variés que le roman d’XP ou l’étude de Lounès ? Je ne fais que réagir à ce que je lis et ce qui m’attriste sous des plumes talentueuses. Et j’essaie d’amener de la diversité, de la vraie, une autre voie.
@xyr : je maintiens. Par « savoir » je parle de recul nécessaire pas de science exacte. En particulier ici comme en référence à votre dernière réponse à Lounès, je pense à l’islam.
Le déterminisme, la négation du libre-arbitre ne sont-ils pas portés au pinacle dans l’islam? n’est-ce pas une sorte de super paganisme à la fin? Nietzsche et d’autres avaient peut-être pressenti cela, mais qu’auraient-ils pensé du raz-de-marée musulman du début du XXIe siècle, qui reste le grand fait historique actuel, et dont nous n’avons vu que le début?
Kubrik, et alors? à l’intérieur même de l’Occident nous pouvons nous enorgueillir d’avoir générer les penseurs et les artistes les plus libres, les plus subversifs en premier lieu contre le christianisme lui-même. Où ces gens-là, ailleurs qu’en Occident, ont-ils pu exister depuis si longtemps dans l’Histoire et bénéficiant d’autant de tolérance? Que doit l’oeuvre de Kubrik à Jésus-Chrst? Kubrik existe en Inde, dernière civilisation païenne de notre espèce?
Je trouve particulièrement léger que certains esprits aussi savants soient-ils, viennent nous expliquer qu’alors que la civilisation avait réussi à tenir debout pendant 15 siècles, en un demi-siècle tout s’en est allé. Par la faute des fondements viciés disent-ils, de ce qui avait existé pendant ces 15 siècles. L’argument est trop léger, beaucoup trop léger, et il s’effondre lorsque l’on voit avec quelle facilité une autre religion monothéiste, opposée en tous points au christianisme, vient conquérir le continent avec une facilité déconcertante après y avoir échoué pendant 13 siècles auparavant, principalement à cause du christianisme, Rome en tête.
Avec ces débats stériles nous sommes encore au temps de Maurras, au tout début du XXe siècle. Nous sommes dans le passé, un monde englouti à jamais. Regardons plutôt les forces de résistance américaines et demandons-nous quels espoirs elles portent en elles. Je remarque que dans les localités du Texas où l’on a le droit de tirer sur les racailles examinées par Lounès, on est souvent très chrétien. Je vois aussi la Russie, son retour spectaculaire quoique pour l’instant très incertain à la foi. Je me demande ce qu’il en sera dans 30 ans, la moisson que tout cela va susciter. En France au moins, on peut être sûr que les choses vont empirer et que nous allons nous enfoncer,ça je ne vois guère d’autres alternatives. Le pays rêvé des racailles est le pays le plus farouchement anti-chrétien du continent, le pays fondateur de ce mouvement relativiste qui vise à leur accorder à eux autant de droits qu’à nous. Curieuse coincidence tout de même…
@Aquinus
Je me doute que vous maintenez, vous avez la foi. C’est pour cela que malgré les apparences nous ne sommes pas en train de dialoguer. Alors j’interviens de façon vaine mais c’est peut-là ma propre foi.
Vous n’en avez pas assez de ce refrain ? On a déjà lu ça ici 1000 fois, ça ne peut pas être autre chose, ILYS ? L’Européen ?
Ce que vous dites ici n’a aucune valeur, j’en suis désolé, tirer sur les racailles n’a rien de chrétien, ces gens le sont par culture mais n’ont aucunement le système de valeurs sous la boîte crânienne, contrairement à tous nos moderneux immigrationnistes. Les familles tradis, ici ou ailleurs, ont un fonctionnement bien plus clanique, raciste, païen que chrétien, il en va de même pour ces familles américaines. Vous ne voyez que ce qui plait à votre schéma, et c’est bien humain (trop humain, forcément). Et les paroles de Benoit XVI sur le devoir d’accueillir l’Autre ? Et la symbiose totale entre ce que dit le christianisme depuis Paul et le discours moderne ? Le mouvement moderne poursuit l’héritage du mouvement chrétien, cela crève les yeux mais vous ne le verrez pas car cela remettrait en cause beaucoup trop de choses chez vous et je le comprends, surtout à partir d’un certain âge, on ne peut plus se dire « Et si j’avais fait fausse route », ou même si l’on considère que faire fausse route a quelque chose de sain, que c’est un passage obligé, il est tout de même harassant de changer de direction, de point de vue.
Des raisonnements comme « Curieuse coincidence tout de même… » ça me fait penser à Soral quand il parle du complot sioniste. Tout ce qu’il dit n’est pas faux pris un par un, mais c’est l’assemblage qui est ridicule, qu’il exagère certains trucs et passe sous silence le reste, que lorsqu’il voit un vélo passer dans la rue ou un oiseau dans le ciel ce type pense immédiatement à une origine sioniste derrière. C’est la même chose pour vous, votre esprit est convaincu, vous le dites vous-même, non seulement que le christianisme n’a rien à voir avec le Chute, mais qu’en plus c’est son absence en tant que religion qui en est la cause, de cette Chute. Alors vous ne voyez que les éléments qui confortent cette impression. Et ce sont des « coïncidences »… vous opposez à Nietzsche, à son Antéchrist, sa Généalogie de la morale ou son Par-delà bien et mal l’immigration massive qu’il n’aurait pas décrit au nombre d’immigrés près et « des convictions et des coïncidences ».
Vous savez quoi ? Vous voulez que la fin de la religion chrétienne en Europe soit synonyme de sa perte, et vous constatez effectivement dans plusieurs faits que c’est le cas. En voilà, précisément, une belle coïncidence… Il ne faut pas chercher le vrai qui nous plait.
@xyr : je suis bien content de vous entendre dire que vous aussi avez « la foi ». Que vous croyez en quelque-chose, fusse en l’homme. Nous ne communiquons pas pour rien, nous espérons au fond que du raisonnement jaillise le début d’une conversion, chacun espérant celle de l’autre. On ne se l’avoue pas, mais c’est ce qui tient lieu de décor. Nous ne sommes peut-être pas si différents, même si l’idée va peut-être vous répugner.
Je ne dis pas que la débandande actuelle n’a rien à voir avec le christianisme, je viens d’écire le contraire. Je ne dis pas que la majeure partie du clergé en France n’est pas collabo. J’essaye de brosser un portrait d’ensemble et pas de placer des événements isolés un à un pour appuyer « ma thèse ». J’entends vos critiques, elles portent, vous n’êtes pas le premier. Ivane sur le net, Dominique Venner sont d’autres exemples. Vae Victis, bien sûr, aussi – son dernier texte sur La Raie m’a assomé. J’écoute, je doute souvent. Mais je ne suis pas convaincu, je le suis même de moins en moins. C’est peut-être à cause de mon égo et de mon absence de courage à me renier, en effet. Je n’en sais rien.
En attendant le christianisme est différent, il n’est réductible à rien. Pour un chrétien du Noctilien qui nous fait honte, on en trouvera un autre qui se défendra, et il se peut que les deux personnes soient animées de la MEME foi. C’est ainsi, cette dissonance est dérangeante à la raison, parfois, c’est vrai, mais tout n’est pas raisonnable, n’est-ce pas.
De toutes façons on s’en fout. Il est bien évident que nous sommes face à un phénomène qui nous dépasse totalement, qui est de l’ordre providentiel ou surnaturel, et les possibilités d’échappatoire et de renaissance, nous échapperont aussi. Elles viendront, sont déjà là, et nous verrons bien de quel bois elles se chaufferont à quels saints elles se voueront.
Alors on écrira pour dire qu’on est en train de mourir, jusqu’à ce qu’on crève réellement.
« De toutes façons on s’en fout. Il est bien évident que nous sommes face à un phénomène qui nous dépasse totalement, qui est de l’ordre providentiel ou surnaturel », c’est bien ce genre de phrases qui moi me fait croire une seconde qu’effectivement ça nous dépasse, pour qu’on en arrive à sortir un truc pareil. Mais une seconde seulement, heureusement. Après je me tiens debout, je regarde l’histoire, je porte un regard d’homme, et non de croyant s’en remettant à Dieu.
« les cieux nous vomissent », comme disait l’autre. Mais s’en arrêter là et continuer de croire au Sauveur, c’est être un véritable jobard d’aryen.
« Et la symbiose totale entre ce que dit le christianisme depuis Paul et le discours moderne »
Non, mais…sérieusement. C’est comme de dire qu’il y a symbiose entre l’ûbermensch nietzschéen et la racaille.
Vous avez raison Il Sorpasso, égalité des droits pour tous et pitié pour tous ceux qui souffrent, cela n’a rien à voir avec l’esprit qui écrase le Nord sous le Sud. Et le prêtre qui domine par la perpétuation de la culpabilité n’a rien de commun avec ce qui justifie tout depuis 70 ans, le « souvenir » de la Shoah. Rien à voir non plus avec le traitement Ludovico d’Orange Mécanique.
Désolé de m’être un peu trop étalé.
@xyr
Et le fort qui écrase le faible parce que c’est l’ordre naturel ça n’a rien à voir avec la mentalité de la racaille ? Ce que je veux dire c’est que si vous mettez sur le compte de 2000 ans de christianisme le monde moderne, alors je peux également-en appliquant votre raisonnement- affirmer que la racaille est 100% nietzschéenne.
Sinon, en passant : « les Etats ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières, en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine. En outre, les immigrés ont le devoir de s’intégrer dans le pays d’accueil, en respectant ses lois et l’identité nationale »
Benoit XVI, octobre 2010.
@ xyr :
Pas du tout convaincu par votre explication. Au contraire, vous continuez marcioniste : séparer l’Ancien Testament et le Nouveau. La Bible c’est les deux, vous pouvez critiquer le contenu. Mais techniquement, on ne parle pas de Bible ou de christianisme en disant que c’est juste le Nouveau.
Disons que notre désaccord fondamental que vous répétez tout au long des posts ci-dessous est le suivant: Vous dîtes que la déliquescence est en partie la conséquence ou l’application directe du christianisme ET je pense et je maintiens que c’est dû à une déviation, un vice du christianisme.
Mais je suis d’accord pour reconnaître que le christianisme porte des germes en lui, adoration de la faiblesse, volonté de rejoindre l’autre monde et d’abandonner celui-ci …
@daredevil
Je ne vois pas l’intérêt d’être aussi terre à terre. Certes, la Bible techniquement ce sont les deux testaments. Après on a le droit de lire les deux et de dire que tout les oppose. C’est ce que développe Nietzsche. Cela ne vous convainc de rien, comme vous voulez, écoutez…
La dérive du christianisme, c’est l’éternelle réponse qui sert d’échappatoire dans ce genre de débat. Cela ne vous rappelle rien ? Le communisme ne marche pas, c’est parce qu’il n’était pas assez communiste. La république ne marche pas ? Il faut plus de république. Vous devenez fanatique, j’en ai bien peur. Mais c’est somme toute logique, vous avez la foi. D’où les limites initiales d’un tel échange.
Si dérive du christianisme il y a, c’est depuis l’Eglise, qui s’est construite contre l’Evangile. Le Christ n’était pas venu fonder une nouvelle Eglise, il était venu les détruire toutes, et apporter une nouvelle façon de vivre, non une nouvelle foi. Saint Paul est le véritable Antéchrist, lisez cela ce n’est pas long :
lien
Bonne journée.
@ xyr :
Je ne sais pas s’il est encore utile pour nous de discuter. Nous parlons en parallèle. Vous ne répondez pas à ce que j’avance, vous vous contentez de dire allez voir Nietzsche.
D’accord, je les ai lu vos extraits du philosophe au marteau. Pas convaincu du tout, je comprends c’est tout. Je ne parle pas de foi ici, mais juste de logique interne, de cohérence, de réflexion. Vous me répondez que j’ai la foi. Donc pas de réponse.
Que je veux plus de christianisme, comme on dit plus de communisme. Les USA pratiquent aussi le christianisme et on entend souvent les Américains avancer la loi du Talion pour justifier la peine de mort, par exemple. Pas chrétiens les Américains ?
Je vous parle de lien entre Talion et joue gauche, vous balayez sans aucune autre réflexion que « bavardage » et allez lire Nietzsche ». Bof.
Bonne journée quand même.
@daredevil
La nation américaine est née à la fin du 18ème, elle est chrétienne depuis 2 siècles. Patience. Sa vigueur actuelle n’est pas due au christianisme, c’est simplement son moyen d’expression. Celui-ci ne l’a pas encore fatiguée. Elle est l’exaltation des débuts, le nouveau monde, les derniers européens vivants, la mission des croisés comme l’Europe il y a longtemps et ça lui passera, comme en Europe. Ces Européens, les Américains, ressemblent aux anciens européens. Nous ne pouvons pas les prendre comme exemple car nous avons dépassé ça. Même si c’est inconfortable, effrayant, et j’en conviens, nous ne pouvons créer qu’en dehors du christianisme, nous, sur notre vieux continent.
En regardant vers les USA vous croyez voir l’avenir, mais c’est notre passé.
@daredevil
Pour la cohérence de Nietzsche cela prendrait énormément de place et de temps, et je trouve que j’en prends déjà beaucoup trop. C’est pour cela que je vous dis que si cela vous intéresse vraiment, d’abord lisez tous ses livres, pour étudier la question.
Moi en ce moment, je lis la Bible.
@ xyr:
Je ne vois pas l’avenir dans les USA, je vois un autre. Les USA peuvent se fatiguer vite, j’en conviens et les guerres hasardeuses, les mensonges, l’endettement gigantesque feront plus que le christianisme.
Je pense toujours que 4 grosses guerres en 50 ans pour un seul pays (la France) sur son propre territoire, ça fait beaucoup. Surtout quand les DEUX premières ont bouleversé le monde et brisé la conscience. Tendre la joue dans ce contexte devient salutaire et convient à des personnes fatiguées, mais avant les deux ou quatre guerres, la France et ses habitants étaient déjà chrétiens et n’étaient pas atteints de fatigue.
Je ne parle pas de la cohérence de Nietzsche, je parle de la votre par rapport à mon exemple.
@daredevil
Les guerres ont toujours existé, et bien sûr que l’Européen était maladif et fatigué avant même la guerre contre la Prusse. L’histoire est la conséquence de l’homme, pas l’inverse.
« le christ est mort comme un bolosse entouré de deux racailles »
excellent !
Oui. Mais il est ressuscité.
Qu’est-ce qui peut bien rendre plus fou de rage absolue les racailles, que le plus boloss des boloss qui ne meurt pas? rien, c’est ce qui fait se tordre de douleur tous les démons depuis lors.
Personne n’est ressuscité. Je ne vois pas l’intérêt de persévérer là-dedans face à un texte si crucial. A ce moment-là on peut dire qu’on s’en branle, d’être face à la racaille, toute façon on est chrétien on n’a pas la rage, eux ils ont la rage. Ben ouais mais nous ils nous envoient au cimetière, et s’il n’y avait pas de problème ce texte n’existerait pas.
Ce sont des emmerdes bien terrestres, parler de résurrection aux Blancs qui vivent parmi la racaille, c’est presque diabolique.
Tant que j’y suis :
@Lounès
Non Lounès, bien sûr, il n’y a rien de masochiste dans le christianisme, pas d’automutilation, de diabolisation des instincts vitaux ; et puis si les chrétiens restaient sans bouger devant les lions affamés dans les arènes romaines c’est pour rien. Rien à voir avec la joue, ni le christianisme.
Sérieusement, on dirait que vous êtes heureux de vous retrouver comme des brebis parmi les loups.
que le bolosse du noctilien se prénommât « foucault » , c’est quasi emblématique, quasi mérité
un brevet de républicanisme , ce prénom
un peu comme les potes de mon père, dans le lointain midi rouge des années 20 qui se prénommaient « marrat » et « danton » ( authentique ! j’ai pas assez d’imagination pour l’inventer )
heureusement aucun n’a été baptisé , au baptème républicain , « robespierre »
aucun non plus n’a été baptisé « louis » , ça va de soi
« Le christianisme a initié un vice : celui de l’adoration du faible. L’aboutissement logique de ce vice, c’est d’excuser la crapule. »
Faux, ça c’est l’aboutissement de la religion des Droits de l’Homme. La logique chrétienne est de protéger l’innocent de la crapule, par la force s’il le faut.
Les problèmes, c’est quand les prêtres du cultes des Droits de l’Homme travestissent les victimes en coupables et les bourreaux en victimes. Glorification du barbare et dissimulation des innocents. Jamais on n’aura su à quoi ressemble Irvoas, ni vu ses enfants en train de pleurer, alors que les tronches de Zyed et Bouna s’étalait partout, comme des « martyrs » arabes qui aurait fait sauter une bibliothèque à Tel-Aviv.
Le christianisme n’est pas castré par nature, comme on le dit partout. C’est juste qu’il a abandonné l’esprit chevaleresque, par admiration de la violence des barbares. S’armer pour défendre le faible, sans y avoir d’interêt, ça aurait du rester notre modèle, mais ça nécessite autrement plus de couilles que la violence barbare, c’est le moteur qui poussait des chevaliers de Malte à affronter les turcs à 100 contre 1. La virilité des racailles, c’est du combat de coq, de la violence calculatrice (admirablement décrite plus haut) est-ce qu’on en a déjà vu , par exemple, risquer leur peau pour aller libérer un de leurs potes emprisonné ? Non, les seuls qui font ça sont les bandits de souches, les Ferrara, Dupré et Beaumont.
Pour retrouver la violence chevaleresque, il faudrait déjà départager clairement les faibles des forts. Si Gérard Miller était téléporté en Europe de l’an 1200 il dirait aux rois de ne pas se défendre faces aux hordes mongoles, qu’ils viennent poussés par la faim, qu’ils sont victimes du rejet, que les paysans polonais massacrés l’ont un peu cherché…
Ce n’est pas un résidu de christianisme qui nous coupe les couilles, mais une vision brouillée de la situation, à cause du bavardages des hérétiques comme Gérard Miller.
Assertion gratuite, aucun crédit, aucune étude, aucune généalogie de la morale. Comme si cette religion des Droits de l’Homme était tombé du ciel (ou ailleurs que du ciel, justement…).
L’aveuglement volontaire, c’est fascinant. Les racailles ont de l’avenir, avec des chrétiens en face d’eux.
Si votre post était à signer, je l’aurais fait.
En revanche pas d’accord quand vous dites que la majorité ne crie pas à l’insécurité par ignorance…..la preuve : moi.
En fait à vous lire je ne comprends pas par quel phénomène moi j’ai toujours su….ado je suis même pas allée manifester au deuxième tour. J’ai jamais crié au racisme au fascisme….parce que déjà petite…je SAVAIS.
Et pourtant, jamais grandi en banlieue, suis arrivée en hypercentre à onze ans, jamais de problèmes d’argent, aucune ombre dans mon mon enfance, aucune agressions, et personne dans mon entourage qui n’en ai subi une….
Et pourtant depuis toujours je SAIS. Quand je marche dans la rue, quand je regarde les clips de rap à la télé, quand je les entends parler, et les faits divers je n’ai même plus besoin de les lire ou de les regarder….quand je lis « il meurt à cause d’une cigarette » je ferme les yeux et je ressens de la douleur, de la colère. Quand j’entends les élites, les gens de gauche qui disent « oui mais faut pas stigmatiser » …
Toujours su en marchant dans la rue passées 20h que ma vie pouvait basculer en un clin d’oeil, il m’est jamais rien arrivé pas même un vol à l’arrachée et je sais qu’un jour on va me le faire payer. Je parle même pas de la peur de viol omniprésente quand je marche dans la rue et qu’ « ils » me dévisagent, font exprès de se coller à 2 milimètes de moi quand ils marchent pour me toiser fixer mon regard et tourner la tête vers moi avant de disparaître et que je sente leur regard…..en fait j’ai l’impression qu’à cause de cette clairvoyance j’ai sacrifié une innocence, une insouciance, je sens la violence ou qu’elle soit je la respire mon intuition est gonflée à bloc dans le métro. Je suis celle qui change de trottoir qui dit à mes potes de faire moins de bruit quand on croise un groupe qui interdit à mes copines de rentrer seules alors qu’elles me disent « oh mais ça va il est 23h, ça craint même pas!! ». Le pire c’est toute ma honte et ma rage des fois quand je sais que je dois fermer ma gueule alors que j’aimerai tellement l’ouvrir et faire une remarque cinglante un truc bien castrateur pour le remettre à sa place…..et pire encore quand j’implore mon copain de la fermer aussi parce que sinon on y passe tous les deux….vivre dans une société où ton mec peut même pas jouer son rôle de mâle défendant sinon il finit à l’hosto la face en sang….parfois je me demande Mon Dieu mais Mon Dieu….Comment en sommes nous arrivés là? Et pourquoi? Et jusqu’où ça va aller? Merci Lounès pour ce texte qui prend aux tripes en tout cas. En le lisant je suis résignée et je SAIS que tout ce que vous dites est vrai…Contrairement aux trois quarts de la société qui liraient votre texte en levant les yeux au ciel et en vous traitant de sociopathe de facho de pauvre mec…..
Ariane, vous décrivez finement ce quotidien de la peur et de l’esquive parce que nous savons et sommes ligotés.
Relisez l’analyse de l’imposture des demi-élites obscènes et bavardes que nous faisait Lounès précédemment dans :
http://ilikeyourstyle.net/2011/11/28/elite/
encore plus accablant : nous sommes englués dans un chewing-gum managéro-communicationnel, plus encore que dans la culpabilité judéo-chrétienne.
@Ariane
Ta colère est légitime.
Le pire que tu puisse faire, et ce que les féministes attendent de toi, serait de retourner ta colère « castratrice » vers l’homme blanc.
Tes contemporains ne semblent pas voir le monde de la même manière que toi et rejettent la vérité des faits.
Ce comportement est parfaitement décrit par l’allégorie de la caverne : http://fr.wikipedia.org/wiki/All%C3%A9gorie_de_la_caverne
Hors, dans cette histoire, le porteur de lumière fini assassiné par ceux restés dans la caverne avec qui il était venu discuter (aujourd’hui, il s’agit plutôt d’une mise au banc de la société du « fasciste »).
Mais alors, y a-t-il une solution?
Oui, il faut retourner ces illusions a ton avantage :
Montre à tout le monde que tu es une française fière, belle et qui soutient son homme.
Et de proche en proche, tu auras plus convaincu qu’avec la parole. Et sans tomber dans la rhétorique « anti-raciste ».
Magnifique.
« Ensuite le deuxième genre de saloperie dans laquelle excelle la racaille c’est donc le coup de tête, surtout celui sur le nez, surtout sur le nez des bons cons de Blancs qui l’ont bien rectiligne bien droit, défi aux autres races si crochues si busquées si brèves et fonçantes vers le bas, métaphore de leur tropisme pour le bas, pour le sol poisseux et terreux et verdeux, magma qui leur ressemble, matrice de toutes leurs idoles matérialistes vers quoi tous leurs désirs et mouvements tendent naturellement, comme guidés par le panneau indicateur de ces nez atroces. »
D’anthologie !
La tirade des nez à propos du coup de boule affaiblit l’argumentation, le nez crochu attribué aux Juifs renvoyant à la propagande antisémite, et puis, les noirs des bandes ont le nez droit ou épaté.
Vous voulez dire qu’y fopagénéraliser, même pour faire une image percutante qui résume la situation et l’impression générale qu’on tire d’une bande d’Arabes qui vous agresse ? Que ça rapelle les HLPSETC ? Ah bon…
Padamalgam sinon HLPS, en fait non, mais j’ai signé la pétition, et du coup, je me sens moins fondé à transmettre le lien à d’autres, je veux dire celui de l’article et le lien en tête d’article qu’il faut absolument avoir écouté pour saisir tout le contraste entre victime et victimisé :
http://www.pacte2012.fr/video.html
Bon, petit comm en attente, où d’ailleurs je parlais de la victimisation… alors OK, Dotchi, mais je crois que si une concession au pol.correct (ou à la simple raison, si vous voulez, s’agissant du détail des nez arabes) peut amener un avantage passager, à force de temporiser et de ne pas appeler les choses par leur nom,ça va faire de plus en plus de nous des gens qui avalent tout sans rien dire. Enfin bref.
D’ailleurs, en relation avec ce que vous dites plus haut : « Lounès parvient à retourner une à une toutes les désignations et à montrer qui sont les beaufs racistes brutaux, fachos et lâches. »
C’est vrai. En même temps, ça relance le débat sur la victimisation (des Blancs) : si c’est eux les méchants et nous les victimes, alors tout est dans l’ordre.
Si on veut que ça change, il va peut-être falloir devenir un peu fachos nous-mêmes : ne pas hésiter, pour des raisons de politiquement correct, à dire bien fort ce qui nous distingue d’eux, racialement et physiquement, en se foutant des HLPSETC qu’on nous opposera.
En cela, je trouve que non seulement ça n’affaiblit pas le raisonnement, mais que ce détail des nez (arabes mais aussi européens) lui donne une assise concrète et visuelle très forte.
Très bon texte, Lounès. Tout ça finira mal car nous avons fait venir des gens qui n’ont pas leur place ici, ni ailleurs. Des sauvages dont personne ne veut.
Si la France était restée chrétienne, les Français auraient toujours été instinctivement rebutés par toute cette racaille africano-musulmane. Mais la France a été subvertie dans les valeurs qui la sous-tendaient : par les marxistes rêvant de destruction de l’ordre établi, par la petite bourgeoisie urbaine qui adopte par conformisme, lâcheté et paresse, la pensée clé-en-main de ce néo-clergé marxiste, et je dirais aussi en partie par une certaine église catholique qui se complait dans le tiers-mondisme et qui comprend moins bien les Evangiles que vous-mêmes.
Triste, triste, mais la France finira par retrouver le chemin de la vie et de la vérité, et la vie continuera pour ceux et au travers de ceux qui auront choisi ce chemin.
Bon post , mais qui traite de la conséquence et non pas de la cause.
Mokobé sert la main de BHL parce que pour l’instant le chien ne mord pas son maître.
La racaille est à la bourgeoisie libérale juive française ce que les nwars de ghetto ont été à la bourgeoisie libérale juive US (libéral au sens US du terme) : un bélier pour pulvériser la bourgeoisie locale , WASP aux USA ,
catho/laïc bien pensante affiliée au Rotary en France.
D’ailleurs curieusement avez vous déjà entendu un rap de solidarité avec les frères palestiniens ?
La racaille n’est que l’importation des codes du ghetto afro US en France ,
avec la même finalité politique.
D’ailleurs les cailleras sont tellement connes politiquement que même dans le neuf cube c’est Goldman qui fait tourner le département.
Texte magnifique.
Cependant le commentaire de Fascisme Fun me semble très intéressant, et le dialogue qu’il initie ne l’est pas moins.
Nous avons bien à faire à deux religions :
La première, d’essence violente et dont les musulmans nient la violence ( qui n’est soi-disant jamais le « vrai » islam).
La seconde d’essence pacifique et dont maintenant ( c’est récent) certains chrétiens veulent nier la douceur ( qui ne serait dorénavant plus le « vrai » christianisme)
La religion des droitsdelhom est bien l’enfant de la chrétienté comme le terrorisme musulman est celui de l’islam.
La question me semble être dorénavant : ami, croyant ou non, sauras tu oublier les enseignements pacifiques que tu as reçu pour défendre ta peau et celle des tiens ?
.
Rien ne m’emmerde plus que les gens qui sautent sur leurs pieds en disant « christianisme, christianisme! convertis-toi et va à la messe, si tu veux sauver ton pays! ».
Les blancs sont depuis quelques siècles fatalement divisés sur le sujet. Je suis de ceux qui pensent que l’Histoire montrera que les seuls blancs survivants et non racaillisés, à long terme, seront ceux qui d’une façon ou d’une autre auront eu le courage de rester ou de devenir chrétiens. Mais c’est improuvable, on me ressorira Nietzsche, Maurras, etc…
Cependant y’a un truc que je ne pige pas: le christianisme est arrivé en Europe il y a environ 2 millénaires, et pendant tout ce temps nous sommes restés capables de violence, de dureté, de fermeté voire de barbarie. Ce n’est que depuis 60 ans que tout cela semble avoir irrémédiablement changé. Le mettre sur le compte « du fond chrétien qui aime le faible et hait le fort » me semble complètement illogique, pour ne pas dire plus. Je ne m’expliquerai jamais que l’on ne comprenne pas que si Nietzsche ou Maurras avaient pu entrevoir la racaillisation de nos pays, l’état de délabrement complet de nos sociétés alors même que leurs déchristianisations sont allés à des rythmes qu’eux-mêmes n’auraient jamais pu imaginer, comment l’on ne peut pas comprendre qu’ils auraient alors probablement ravalé grand nombre de leurs positions et de leurs arguments sur le christianisme ou la civilisation occidentale en général.
Vous plaisantez ? Dire qu’il n’y a aucune suite logique dans la révolution française vis-à-vis du christianisme (le méchant Nietzsche appelait cette révolution la « dernière grande révolte des esclaves »), et que cet avènement des idées modernes n’a rien à voir avec les guerres contre l’Allemagne puis directement ce que l’on vit aujourd’hui, c’est une blague. Vos « 60 dernières années » c’est faux, cette vision du « avant ça allait » est entièrement fausse. L’Européen du 19ème était déjà une bête malade, médiocre, nous n’avons vu que les plus gros fruits, les plus récents. L’accélération a été exponentielle pour plusieurs raisons, la guerre, la technologie, mais la constante est là, il s’agit bien de la même courbe. Et ne faites pas comme ces royalistes qui prétendent que le 13 juillet 1789 tout allait bien dans l’ancien régime.
Je ne vois pas en quoi le 20ème siècle aurait fait ravaler quoi que ce soit à Nietzsche, il avait prévu des horreurs inédites dans l’histoire, il savait cependant que c’éta
que c’était le prix à payer pour la fin d’une civilisation, et le début d’une autre. Sauf que l’on sait qui a gagné, et que la décadence à repris de plus belle. Le confort a gagné. Le troupeau a gagné. Le Dernier Homme a gagné.
Nietzsche ne se réjouissait pas de la mort de Dieu, il la constatait, et prenait cette nouvelle pour ce qu’elle était : un formidable espoir de création pour l’homme comme un risque d’anéantissement terminal. L’homme n’a plus rien au-dessus de lui, il doit maintenant croire en lui, c’est là qu’il peut chuter ou se relever, ou les deux. Nietzsche disait, et Vae Victis le disait autrement dans un fil récent, que la barbarie n’était pas le contraire de la civilisation mais son préalable, son passage obligé. Peut-être que le nazisme était nécessaire. Sauf que le 20ème siècle n’a pas été celui de la transition, il s’est écroulé sur lui-même et a signifié un formidable retour en arrière. On va remanger de la morale chrétienne plus que jamais, alors qu’on allait en sortir. Et on y croit même plus, évidemment, on garde ce système de valeurs par habitude, et derrière c’est le vide, la consommation (rien à voir avec l’antilibéralisme ici, je veux bien admettre que ce modèle économique fonctionne mieux que tout autre mais l’homme n’est pas qu’un porc, sauf pour les cyniques).
On peut discuter du christianisme, mais il faudrait essayer d’arrêter d’y croire une seconde, sans quoi vous essayer de mesurer la vitesse d’un train en étant dedans.
On peut discuter sur le fait que le christianisme n’est pas la seule cause de nos problèmes, vous n’avez pas affaire à un manichéen, mais prétendre comme Lounès que le christianisme serait la solution « face à la racaille » ? C’est une blague. Le christianisme regorge de choses belles, nobles, il a apporté du bon à l’homme, Nietzsche parle de l’apprentissage des petits dans la piété, l’humilité, quelque fois loin du ressentiment…
mais de là à dire qu’il serait une arme de reconquête ? Non, ça c’étaient que les Européens étaient encore européens, pas parce qu’ils étaient chrétiens. Le christianisme se situe bien au-dessus des affaires de ce monde, des notions de patrie, de transmission, d’ordre quel qu’il soit. Encore une fois : lien.
Il faudra bien un jour sortir de ce système, redevenir sauvage, ne pas se demander ce que Jésus aurait fait, sauf si vous voulez finir comme lui.
Je ne suis pas certain que l’humanité survive bien longtemps à une nouvelle plongée dans la barbarie, à une dé-civilisation généralisée.
C’est aussi la force de l’eschatologie chrétienne que de nous aider à comprendre cela, me semble-t-il. Nous sommes arrivés à un point dans l’Histoire où il devient évident que la violence ne peut plus être fondatrice, mais seulement utilisée, parfois, pour retarder l’inéluctable apocalypse. On peut avoir une sorte d’immense nostalgie pour ces temps bénis où les hommes pouvaient êtres des héros grecs et y voir de la matière divine. Je comprends et respecte cette nostalgie, mais ces temps sont révolus.
J’attendais cet argument, celui de la bombe atomique et de la fin du monde. Dantec s’en sert souvent. Alors quoi, on crée l’homme confortable jusqu’à l’aboutissement logique de la prudence : la matrice ? equilibrium ? On met au monde un type d’homme qui fait désirer sa disparition ? Ne vous en faites pas, c’est ce qui est à l’œuvre aujourd’hui, rien depuis le nazisme n’a eu l’ambition ni les moyens de changer cette route.
Rien ne tuera tous les hommes jusqu’au dernier. C’est aussi faut qu’un programme écolo. Il y aura des centaines de millions voire des milliards de mort, mais il restera quelque chose. Et si on devait passer par là ? Je ne prône absolument pas un désastre pareil, comme un rêve de puceau énervé bien planqué derrière son ordi, je me demande si nous ne devrions pas nous mettre en position d’au moins être capable de se poser des questions aussi effrayantes ? Ou alors doit-on retourner aux réponses faciles comme « Faut revenir au christianisme », faut revenir à ce que l’on connait ?
Je sais bien que l’époque n’est plus à la guerre à l’épée et que le meilleur gagne. Nous touchons à la fin d’un monde. Et justement, quel est le but de la prudence ? Doit-on préserver le nombre des hommes à tout prix ? Qu’est-ce qui est préférable, la laideur de milliards d’homme dont le cœur bat, ou la possibilité d’un renouveau ? Autrement dit jusqu’où l’homme peut-il descendre pour que vous continuiez à faire prévaloir sa survie sur tout le reste, à l’appeler « homme » ?
@xyr : je n’ai pas les réponses à ces questions et je ne crois pas que le catholicisme par exemple, les ai non plus ni ne prétende les avoir. Mais ces questions se posent de façon bien plus violente que du temps de Nietzsche où l’on pouvait encore se permettre d’être à ce sujet relativement « naïf ».
Ce que je sais c’est que d’autres civilisations vont prétendent savoir et vouloir régler ces problèmes incommensurables qui se posent aujourd’hui à l’umanité – écologie, socialisme, islam, relativisme… et que leurs répones finiront par générer des problèmes encore plus grands en retour.
Mais je ne dis pas que le relativisme suicidaire actuel n’a rien à voir avec le christianisme, enfin! évidemment qu’il en est issu, comme 1789, comme toutes les hérésies que l’Occident a toujours généré. Vous croyez par exemple que le catharisme était une joyeuseté qui, si on lui avait laissé libre court, n’aurait pas fini par donner libre cours au Mal façon racailleries actuelles? Nous avons les faiblesses de nos forces, il y a un prix à payer à la vérité chrétienne, celui d’une plus grande instabilité. Ca n’est pas pour cela qu’il faut en conclure que cette religion est complètement merdique, seule cause de toutes ces avanies, et tirer un trait sur 20 ans de génie européen marqué en profondeur, dans quasiment tout ce que nous avons fait de beau et de spectaculaire, par le christianisme.
Je veux bien à la limite entendre ce que Venner a à en dire, c’est déjà plus actualisé et intéressant que ce que Nietsche nous en dit. Nous sommes au tout début d’une renaissance, n’allons pas nous inspirer de prophètes qui ne voyaient que l’abysse qui s’avançait, et qui arriva.
Très bon article, qui décrit très bien la racaille, qui dit quelque part ce que tout le monde, même les bobos, savent très bien. Mais le truc c’est effectivement de le dire, de pointer le doigt accusateur dans la bonne direction, de dire qui effectivement est fasciste et arriéré en France aujourd’hui…
Totalement d’accord avec Ariane également, je ne suis arrivé en France qu’à l’âge de 12 ans (avant je vivais au Luxembourg où il n’y avait aucun problème d’immigration arabo-africaine) et il ne m’a fallu qu’un mois pour comprendre qui posait problème dans ce pays, quand j’en parlais à la maison mon père me disait tu es trop radical tu n’as aucune mesure « tu finiras à la droite de l’extrême droite ». Tout ça pour dire que pour ne pas voir le problème aujourd’hui, c’est pas qu’on est naïf ou qu’on est manipulé, c’est tout simplement qu’on refuse de le voir, parce que c’est trop douloureux. Cela dit autour de moi je constate tout de même de plus en plus lorsqu’on aborde d’une manière assez habile le sujet, que tous savent, seulement aucun n’est prêt à en tirer la moindre conclusion pratique, ne serait-ce qu’au niveau d’un simple vote…
Sur l’affaire Censier plusieurs personnes ont tenues à me faire partager la vidéo et à me dire que c’était horrible et scandaleux, mais que feront-ils en 2012 ? Ils voteront PS ou Modem… et c’est ça le drame…
@ Lounès : merci. Il y a certains passages dans ce texte, ceux où vous expliquez que le mouvement en question nous dépasse complètement, a un rapport avec la foi (ou taut au moins avec le spirituel) et ne peut se combattre sur le seul volontarisme – qui sont extraordinaires. Je pense la même chose depuis longtemps mais ne suis pas capable de l’expliquer avec autant de style et de force. Il y a longtemps que je suis convaincu moi aussi qu’il y a un lien direct entre le relativisme anti-chrétien qui a submergé la France puis l’Europe, et la racaillisation progressive du territoire. On le sent, mais ça ne se démontre pas. Le pire est que cette cause fondamentale étant caché, les FDS tournent en cage avec leurs concepts creux, et ne font que creuser encore plus profondément leur propre tombe.
Maintenant une lueur d’espoir je crois, car vous avez à un moment dit que ce BAVARDAGE n’avait aucun objectif, puis vous êtes repris en disant « sauf celui de dépenser de l’argent public ». Or il semblerait que celui-ci, à peu près quoique fassent les soci-démocrates qui dirigent le pays depuis des décennies, que cet argent public vienne à sévérement manquer dans les années à venir. Cela devrait avoir tendance à rendre le bavardage plus difficile, et à tendre très rapidement la situation déjà intenable dans ce pays. Nous n’échapperons pas à un face-à-face avec les racailles, même si nous reculons arrivera un moment où les marchés nous diront « bon maintenant connard de FDS, soit tu dégages Mouloud soit tu vas bosser jusqu’à 75 ans et crever dans la rue si tu tombes malade, parce qu’il faut choisir, on va pas financer ad vitam aeternam ton suicide festiviste indéfiniment. »
La guerre civile entre blancs, à ce moment-là, ne sera plus très loin. Mais au moin on verra le bout de l’infernal tunnel du Bavardage, qui n’est que de la collaboration directe à la racaillisation de ce pays.
Un autre point d’espoir: les générations actuelles de jeunes FDS comme vous, voire comme moi (10 ans d’écart environ) ne se sentent plus coupables. L’avantage d’avoir acté l’apostasie de la France et sa punition divine, l’avantage d’avoir accepté sa probable disparition à terme, spirituelle c’est déjà fait, charnelle c’est en cours, c’est de ne pas s’en sentir coupable. Contre ce phénomène, fut une époque allant gross-modo de 1840 à 1914 où il était possible de se battre de façon volontariste. Ca ne l’est plus, depuis longtemps, nous sommes donc innocents de tout cela. On va en prendre plein la gueule, c’est sûr, mais au moins allons nous peut-être sortir enfin du white man’s guilt syndrom. On devrait logiquement, dans la semi-cladestinité, voir surgir des textes comme le vôtre, des romans, des films et des chansons de même accabit. L’art renforce la foi.
Votre texte est superbe, mais la lecture m’en est presque insupportable.
Ce qui est bouleversant, insupportable :
Lounès a commencé par nous proposer la vidéo sur laquelle on entend un Joël Censier lire sobrement son manifeste où il raconte le calvaire de Jérémy massacré par les racailles puis son second calvaire de partie civile bafoué par la Justice. Puis Lounès nous secoue en décryptant les codes vestimentaires racailles. Futilité ? Il affûte notre regard sur les tenues vestimentaires des encapuchonnés dans lesquelles on ne voyait que mode hip hop et baggy, hommage provocateur au « mis en examen » à qui on a retiré ceinture et lacets.
On comprend qu’on est en présence d’une contre-culture au sens le plus primitif.
Qui ne vise pas l’underground, mais au contraire une visibilité extrême, qui vise à anéantir notre culture de civilisés qui arrivons, comme Joël Censier, à lire un communiqué et à organiser une pétition, à interroger les présidentiables, là où la contre-culture aurait mis le feu, saccagé, mis en scène sa qualité de victime, forcé le soutien associatif et médiatique. Aucune spontanéité, le froid calcul, l’évaluation de nos failles. C’est cela qui est bouleversant, le retournement. Ce n’est pas la subversion, c’est le renversement de ce que nous sommes.
Le miroir qui nous est tendu :
« Nous vivons et pensons sur des fondamentaux complètements mensongers et caducs. Parmi ce gros tas de fumier de la pensée automatique il y a l’image que nous avons été entraînés à nous faire de la catégorie désignée comme la plus haïssable de toute la société : ce serait l’homme blanc adulte hétérosexuel si possible catholique. » (Lounès)
Dantec s’est converti après avoir lu Nietzsche précisemment (était-ce pour survivre au choc? Alors il n’y aurait nulle conversion « sincère », rien que des lâches), et bien après la Yougoslavie: 10 ans après.
Kubrick jugeant le message chrétien… Il est évident qu’il n’allait pas applaudir, étant donné ses combats et son positionnement quand même très « nouvelle vague » dés les 50′. Se servir de Kubrick pour taper sur la Chrétienté c’est un peu bizarre.
Lorsque l’on adopte le regard froid on n’en a plus rien à faire de dénoncer la racaille, et plus rien à faire de protéger les siens. En fait, plus que ça, le regard froid n’aurait même pas pu détecter la saloperie globale de ce que c’est profondément que la racaille. Quand on a le regard froid on méprise logiquement sa race on méprise les siens on méprise sa religion on méprise tout. Enfin il me semble.
Je ne suis pas froid, ne l’ai jamais été et c’est ça qui me permet de mener cette vie de galérien mais que j’aime au fond, c’est ça qui me fait douter, rencontrer des mecs comme ceux de Grenoble et opérer des jonctions (j’en ai dégauchisé plus d’un), me battre avec des salauds, me force à faire du sport, c’est ça qui m’a emmené en Asie avec 20 euros en poche, qui m’a forcé à dépasser la routine, à passer outre l’anxiété pour draguer des meufs et réussir à les ramener, qui me fait voir la beauté dans des petites choses, c’est ça ma « musique » à moi.
Tout cela est une controverse sans fin, très chronophage et improductive mais si tu y tiens, envoie moi un mail stp et on se parle comme ça.
Ne pas confondre la froideur du robot et la froideur au sens où on laisse passer la fournaise des passions…
Évidemment que nous sommes tous des boules de désirs, Nietzsche le premier, c’est même là toute sa théorie ! Tout n’est que volonté. Mais lorsque l’on prétend faire le diagnostic de quelque chose, toucher du bout des doigts quelque chose qui ressemble au vrai, on doit orienter sa volonté vers une rigueur d’esprit impitoyable, une véritable correction à coup de bâton de notre instinct qui dit « Choisis cette vérité, elle me rassure… », c’était mon sens du regard « froid ». Sinon on peut être lyrique et écrire des romans, cela peut être très beau, bien plus beau que la vérité.
Pour Kubrick je trouve la réponse un peu rapide, comme le fait de balayer Nietzsche d’un revers de Bible d’ailleurs, mais soit… c’est effectivement chronophage et j’ai à faire. A un de ces jours.
« Tout cela est une controverse sans fin, très chronophage et improductive mais si tu y tiens, envoie moi un mail stp et on se parle comme ça »
En philosophie comme en théologie, ce sont les questions qui comptent, pas les réponses. Quans on a trouvé, il faut déconstruire et recommencer.
C’est le propre de l’esprit à la fois chrétien et occidental, et c’est ça, paradoxalement, défendre l’esprit chrétien.
D’où la phrase où Nietzsche affirme que sa démarche de l’Antéchrist est celle de tout chrétien véritable.
On est revenu sur Ilys^^
Un bémol : quand il s’agit d’agir, il faut arrêter de penser, et s’entêter jusqu’à la bêtise de façon ponctuelle. En déconstruisant tout dès que l’on a construit, on reste dans la pensée pure. C’est passionnant d’ailleurs, mais il me semble que cet article appelle des actes quand-même. C’est dans cette optique que j’émettais l’effrayante possibilité de la nécessité du nazisme. Rien à voir avec une ode à ce régime, bien sûr, on s’est arrêté de penser à ce moment-là, mais la logique devant peut-être aller au bout. Ensuite on aurait repensé, rien n’arrête la pensée. Sauf, précisément, la volonté de paix à tout prix.
Il y a un autre bémol, le fait qu’il est devenu aujourd’hui beaucoup plus difficile qu’avant d’oublier. De nier. Déconsruire est une chose, mais encore faut-il avoir tout oublié de ce qui précédé les ruines. La technologie actuelle nous le permet-elle? probablement pas, en tous cas pas comme avant. C’est un autre aspect des choses à prendre en considération, avec la fin de l’illusion de la violence fondatrice dont nous avons déjà parlé.
Excellent commentaire. Sans tomber dans la vision complotiste privée de tout hasard, ou de toute action agissant d’elle-même, on peut se demander qui cela avantage que l’on n’oublie rien, aujourd’hui. Et pourquoi une telle technologie arrange bien les choses, pourquoi elle existe.
Un avenir possible doit peut être se couper momentanément du monde. Je pense que je serais plus heureux dans une cabane en Islande, personnellement. J’y pense de plus en plus sérieusement.
Sur l’apparition de la racaille : plus simplement, il se pourrait bien que les nwars et les zarabs qui fournissent les gros bataillons de la racaille (environ 99,9%) soient tous simplement trop stupides et trop agressifs naturellement pour devenir autre chose que de la racaille, dès lors qu’ils ne sont plus tenus par des régimes brutaux et autoritaires comme il en existe systématiquement dans leurs contrées d’origine. Ils confondent liberté et open bar parce que c’est ainsi depuis 5000 ans.
Sur la capacité à se battre de la racaille est justement étonnamment faible par rapport à leur impact psychologique. La racaille n’est forte qu’en bande, et encore, il arrive qu’elle dérouille sévère lorsqu’il y a confrontation. La différence est que la racaille, qui n’a aucune retenue ni éthique, ne va pas hésiter à poignarder mortellement un ennemi, là ou un fds se contentera d’un coup de pompe dans la tronche.
Nos élites sont évidemment des complices actifs de la racaille par une incroyable naïveté, qui consiste à croire qu’avec une éducation adéquate, on fait d’un âne un cheval de course. Et en plus, nos élites judiciaires ont une incompréhension effrayante de la racaille : elles ne se rendent pas compte que toute racaille qui se respecte est capable de mentir à n’importe qui en le regardant droit dans les yeux.
La solution ? La balle dans la tête. Donnez des fusils de de l’impunité à des fds, ça ira vite. Le problème, c’est que personne n’a envie de faire 20 ans de prison pour avoir débarrassé la terre d’un untermensch inutile et vicieux. Et cela risque de perdurer.
Ceci dit, nous aurons les allogènes à l’usure : quand ils auront tous des crédits, des assurances-vie et des pel, ils seront aussi vulnérables que les fds moyens, avec le handicap d’appartenir à des peuples naturellement feignants et incapable de rigueur et d’organisation. Il se peut fort que lorsque ce moment adviendra, la France sera transformé en un pays sous-développé crasseux, une sorte de maghreb du nord, mais on s’en foutra, puisqu’on aura disparu définitivement en tant que peuple, et que ces abrutis se feront exploiter sans pitié par les Chinois et les Juifs.
ça fait envie !
Tiens ! Je me disais justement qu’il était temps d’en finir avec la vieille soupe nietzchéenne, voilà qui en donne une belle occasion (d’autant que je m’y attaque alors que je ne suis pas chrétien, que je ne l’ai jamais été et que je ne fréquente pas de chrétiens). Alors voyons précisément ce qu’il en est. L’idée c’est qu’il y a quelque chose comme une essence-de-christianisme et que cette essence-de-christianisme est germe de haine de soi et de faiblesse et de dégoût de la vie. Or la décadence, qui est la marque de notre époque, verraient fructifier ces caractéristiques dans des proportions insoutenables. Donc le christianisme, par influence, ouverte ou souterraine, est responsable de l’abattement qui saisit notre civilisation. Ce raisonnement se base sur le postulat selon lequel une religion peut avoir une influence significative dans l’amollissement du caractère des hommes.
Je pense que cette présupposition est dénuée de fondement. L’immersion excessive dans l’écrit favorise certainement cette croyance, naïve, en l’idée que des théories peuvent être des causes efficientes. Je crois au contraire que c’est le corps qui soutient et qui meut l’esprit. On peut faire une analogie entre le corps individuel et le corps social : si c’est le corps qui oriente l’esprit, une religion ne peut pas miner la santé d’une société.
Une civilisation s’éteint parce qu’elle doit s’éteindre. Les théories qu’on trouve pour l’expliquer ne sont que des prétextes pour discuter (et/ou s’engueuler) et les formes que prend la décadence ne sont que les symptômes d’un inévitable processus de vieillissement. La chute de l’Empire romain était nécessaire parce qu’il s’était délibérément inscrit dans l’histoire : il est né, il s’est développé jusqu’à rayonner dans des proportions inimaginables et s’est effondré. J’opte donc pour une approche naturaliste de l’histoire. C’est la seule vision conséquemment tragique de la vie d’ailleurs. Croire qu’on n’enraye la mort avec des déclarations d’intention sur le sur-homme c’est déjà placer un espoir (faut il dire une foi ?) dans le langage que je trouve délirant et même, dans notre contexte, complètement kitsch.
De toute façon, les faits sont avec moi : comment prétendre sérieusement que le christianisme serait un ferment de décrépitude alors que 1. Les périodes de rayonnement les plus fortes de l’Europe sont celles où le christianisme et ses dévoiements révolutionnaires supposés étaient les plus installés, 2. La période de déclin de l’Europe ne coïncide pas avec l’apogée du christianisme (c’est même l’exact contraire) mais plutôt avec une suite de boucheries guerrières (de Napoléon à la Première Guerre Mondiale) qui ont saigné l’Europe de ses hommes les plus forts et les plus vaillants. On constate bien, du reste, que de nos jours les agents les plus convaincus de la décadence sont, dans une large mesure, anti-chrétiens et qu’au contraire ceux qui luttent contre leur influence de la manière la plus efficiente (séparatisme vis à vis de l’Etat et éducation saine des enfants) sont plutôt, justement, des chrétiens.
Je ne dis là que les plus plates évidences mais elles ont l’impardonnable tort d’interdire ou du moins, veut on espérer, de limiter drastiquement cette passion frénétique du bavardage dont parle justement Lounès et qui consiste à se ronger et à s’étendre sans fin sur un pourquoi dont la seule réponse qui résiste à l’analyse est un parce que. Mais, par goût du bavardage et par volonté de « ne pas s’en tenir là », on nous explique vaillamment qu’il ne faut pas croire aux apparences, que Saint-Louis et les rednecks ne sont pas chrétiens mais que Caroline Fourest, elle, l’est etc. Le vrai est le faux, le blanc est le noir et tout est inversé, par la grâce d’un indicible « paradoxe », mot valise qui a le mérite de faire accepter le plus grossier contre-sens avec un halo de profondeur et de mystère.
Pour ce qui est de Lounès, je n’ai pas compris son propos comme un « il est nécessaire de se convertir pour lutter contre les racailles » qui serait effectivement faux (mais pas plus que la thèse de Xyr qui n’en est jamais que le pendant inverse). Je l’interprète en tant que non-croyant donc il pourra rectifier si je m’égare mais je l’ai compris plutôt comme « le christianisme étant le seul ciment possible entre nous autres européens, le retour aux églises serait le signe d’une réagrégation communautaire, nécessaire pour être prêts à lutter contre les racailles ». Et si c’est bien ça, je suis bien entendu d’accord. Je pense qu’une communauté se dissout dans la révérence individualiste envers l’Etat-Providence (qui n’est jamais qu’un palliatif à la mort de Dieu) quand elle n’a pas de religion pour la faire « tenir ensemble ». Personnellement, bien que n’étant pas croyant, je ne verrais pas de problème à me rendre à la messe le dimanche ou en tout cas à suivre un certain nombre de rituels religieux, dans la mesure où ils maintiennent les liens de la communauté (à la Pascal : je feint de croire en la légitimité d’un culte, même si je n’y adhère pas véritablement, parce qu’aucun ordre social ne peut se maintenir si ses membres ne croient pas sincèrement en ses instances de légitimation).
(J’ajoute enfin, plus en aparté, que qui se prend pour un membre d’une supposée élite intellectuelle devrait au moins avoir la sagesse d’abandonner cette attitude d’étudiant attardé qui pense avoir tout compris mais qui n’a surtout presque rien lu. Le fil consacré à un énième démontage à la truelle de la métaphysique est édifiant à ce sujet (et j’ai préféré ne pas y intervenir, le flot de stupidité et de vantardise est tellement fort que j’ai peur de m’y noyer). Entre les disciples, les nietzchéens sont décidément les pires -probablement parce qu’ils prétendent en avoir fini avec la discipline.)
Bravo, Nietzsche est aux oubliettes. Félicitations.
Bonne continuation.
C’est quand-même hallucinant, une crasse intellectuelle pareille.
La morale chrétienne n’est pas la cause de tout, elle accompagne largement un mouvement de déclin qui peut être ailleurs, aussi, dans une fin de vie oui évidemment. Ce sont précisément les êtres fatigués qui choisissent le christianisme, mais aussi le christianisme qui fatigue les êtres. Inutile d’être si intransigeant, même Nietzsche ne l’était pas autant et même au sujet du christianisme. Vous ne semblez pas l’avoir lu.
Je n’avance pas de « thèse », je ne fais qu’essayer de répondre à l’affirmation insensée de Lounès qui prétend que le christianisme serait la solution, ou du moins que toute cette merde viendrait de son absence. C’est véritablement placer la vérité sur la tête.
Votre commentaire est une blague, comme beaucoup d’autres ici. Prétendant pointer du doigt le manque d’humilité du nietzschéen en arrivant pour dire « Je vais en finir avec Nietzsche en 30 lignes ». Personnellement je ne prétendais à aucune conclusion définitive mais à des bases saines, en répondant à Lounès qui me semble commet une erreur fondamentale en « espérant » encore dans le christianisme, et omet tout Nietzsche. On peut ne pas avaler Nietzsche tout cru, on le doit même puisqu’il veut être contredit, mais faire comme s’il n’était pas là, ou comme vous prétendre le rayer de la carte avec des choses qu’il a de toute façon dites lui-même, c’est ridicule.
Tout ce que vous faites, c’est précisément du bavardage. Vous avez le droit de prétendre à un déterminisme pur (encore un truc écrasé par Nietzsche mais peu importe le texte, n’est-ce pas), mais je ne vois pas pourquoi tout le monde ici ne fait que me contredire moi alors que Lounès dit qu’il faut se reconvertir pour sauver quelque chose. Pourquoi critiquez-vous mon espoir et pas le sien ? Cela relève d’un parti-pris qui vous disqualifie d’emblée.
Si vous êtes persuadé que de toute façon on doit crever parce que c’est l’heure, très bien, mais alors répondez à Lounès avant de me répondre, surtout pour me dire que Nietzsche c’est nul avec du vent. Un corps meurt, nous n’avons aucun pouvoir là-dessus, aucune volonté n’est possible, très bien c’est votre thèse. Celle de Lounès c’est un retour au christianisme qui n’aurait rien à voir avec la morale sous-terraine qui justifie tout cela.
Vous êtes tous épuisés de l’Homme. La moindre des choses serait de se taire pour ne pas propager votre fatigue. Il y a encore des gens vivants qui nous lisent, je l’espère.
Ce papier sur la racaille était passionnant, le débat était passionnant, jusqu’à ce que vous veniez avec votre obsession (Nietzsche) transformer le fil en café philo. Dommage.
Pouvez-vous comprendre que l’on peut vivre sans Nietzsche et même sans aucun philosophe, et, à vrai dire, qu’on se fiche de la philo et que vos posts sont le dernier bavardage obscène ? Je le dis comme je le pense.
Voici votre première intervention au bémol qu’est venu apporter Fascisme Fun :
Il n’y avait dès lors plus de débat possible. Mais soit, si vous le pensez, ça doit être vrai. Mon obsession n’est que le miroir de la vôtre, mais au fond on s’en fout puisque tout ça nous dépasse, on ne décrit cette tragédie que pour le grand style et non pour y chercher les causes, car tout cela nous dépasse et nous venons d’ailleurs.
Ne vous inquiétez pas, je vous laisse dans votre café chrétien.
Je rappelle juste que c’est Lounès qui a amené le christianisme au débat, en le proposant comme solution, et qu’il me paraît difficile de discuter de cette religion sans Nietzsche. Ce qui me paraît passionnant c’est justement l’antagonisme qui ressort de cette discussion, mais je comprends que vous préféreriez les divergences amicales de points de vue (qui n’ont rien de bavardages, évidemment) aux véritables remises en question. Vous confondez peut-être passionnant et agréable. Peu importe.
préfériez*
C’est amusant toute cette agitation sur ILYS (Texte passionnant, merci Lounès)…
Ce débat pour savoir qui est à l’origine de la prise de
Rome par les Wisigothsla décadence de l’Occident est éternel.Je relisais justement Saint-Augustin, les arguments n’ont pas changés… Les païens accusaient déjà les chrétiens et leurs valeurs d’avoir salopés la gloire de Rome…
Sur le fond, il me semble que Nietzsche n’a pas tort lorsqu’il décortique le christianisme de son époque (critiquant l’église catholique)…
L’idéologie des droits de l’Homme, le socialisme et tout le reste découlant évidemment des valeurs apportées par le christianisme à l’Occident.
La petite nuance qu’il faut apporter, c’est que le Nouveau Testament, ou la Bible en général, ce n’est pas le Coran,
c’est un texte qui laisse une énorme marge d’interprétation.
« Si on te frappe sur la joue droite, tends la joue gauche » peut être pris littéralement, mais tout aussi bien signifier le contraire: pour être frappé sur la joue droite, il faut être frappé d’un revers de la main, réservé à l’époque aux femmes et aux esclaves-> Il faut donc se comporter en Homme (en humain splendide) en toute occasion, se prévaloir de sa fierté.
Ce n’est qu’un exemple parmi des milliers…
Il me parait difficile de mettre notre décadence sur la pratique de 2000 ans de christianisme,
tout comme il me parait difficile de dire qu’un retour au christianisme enrayera notre décadence, (et d’ailleurs, ce retour collectif, le peut on?)
Je m’intéresse particulièrement à l’essor des mouvements évangéliques (et pas évangélistes comme disent les journaliques), je vais faire l’unanimité contre moi, je n’ai aucune preuve, juste une intuition, mais une réforme salvatrice du christianisme et de l’Occident peut venir de là…
De Gaulle, Leclerc, d’Estienne d’Orves étaient des chrétiens amollis, épuisés de l’homme sans doute…
Un chrétien n’est pas forcément quelqu’un qui va à la messe ou porte un crucifix autour du cou, c’est une façon d’être au monde, inversement un homme qui se dit chrétien ne l’est pas forcément, ne partage pas forcément le retournement des valeurs qu’a incarné le christianisme. C’est assez désespérant de devoir encore écrire ça, on se croirait sur Fdesouche. Si vous ne voyez aucun cheminement, aucune logique dans l’Empire romain christianisé, puis la réforme protestante, puis la révolution française, puis l’idéologie shoatique post-1945, si vous ne reconnaissez aucun lien de parenté dans les mots, cette course vers l’égalité et la pitié, il sera alors impossible de vous le prouver. Certains sont faits pour voir et d’autres non.
C’est votre jugement légèrement à l’emporte-pièce qui vous fait penser ça de moi… qui fais d’ailleurs exactement la même chose sur votre compte, à ne voir qu’un anti-chrétien furieux. Je vois très bien la logique de ce genre d’argument où on embrasse les mouvements de l’histoire d’un beau regard d’aigle à la Spengler… qu’y a-t-il à ajouter? (tout de même les révolutionnaires ont coupé la tête au roi chrétien et buté pas mal de prêtres, et que serait l’idéologie shoatique sans les communistes…)
Le retournement des valeurs du christianisme…
parce que les valeurs d’avant, ou à côté, ou maintenant, c’est quoi, c’était mieux? Mais il y a un malentendu sur mon genre de christianisme… c’est vraiment personnel, intérieur et d’ailleurs je me sens mal d’en avoir parlé. Il faut sans doute avoir eu quelques exemples autour de soi, et sentir le truc, s’intéresser. En ce qui me concerne, quelques splendides personnes – qui sont un idéal humain, valant bien votre surhomme 😉 – pour, hélas, beaucoup trop de Christine Boutin.
Lounès parlait simplement je crois d’un certain esprit qui fout le camp maintenant à vitesse grand V, et d’un vide où prend place le sordide cauchemar qu’il décrit si bien: quelque chose comme la France vieux pays de civilisation… chrétienne, désolé [et judéo-gréco-romaine], cela me semble très juste. Il dit simplement: « c’est à prendre en considération » (au chapitre « illuminations » – et je fais pas de ce qui suit un article de foi, c’est juste une indication en passant, une curiosité si vous voulez – les prophéties catholiques ont beaucoup parlé d’un conflit terrible qui débuterait par une guerre civile, en France et dans d’autres pays).
Le christianisme a bon dos! Emil parlait du désastre des guerres napolénoniennes et de la guerre de 14 et comment ne pas être d’accord… la taille moyenne de la population française avait diminué de plusieurs centimètres après la guerre de 14. Un truc pareil à l’échelle d’une population…
Parce que les révolutionnaires étaient des impatients et que dans « roi chrétien » il y avait un mot de trop, la monarchie était une barrière à l’égalité de tous, pour tous. Toutes les barrières sautent une par une, et les oppositions que vous voyez n’existent pas, c’est la même différence entre un homme d’Etat socialiste et un anarchiste de gauche, les deux se battent pour la même chose, mais pas au même rythme. Comme Tariq Ramadan se bat pour la même chose que Ben Laden.
Le surhomme n’est pas un idéal humain, il est justement quelque chose que les idéalistes, ne raisonnant qu’en terme d’idéaux, ne peuvent cerner. Le surhomme peut être un peuple.
Et Nietzsche ne parle pas que de cela. Il dit que le christianisme a apporté aux Européens, à travers son masochisme et son intransigeance, une certaine rigueur à l’esprit européen, une fermeté. Nietzsche lui-même était le fruit du christianisme, et il a dit que sa démarche de l’Antéchrist était précisément celle des véritables chrétiens, vivants, en mouvement. C’est donc plus subtil que ce que vous semblez penser.
Bien sûr qu’il y a eu retournement, la pitié sacralisée alors qu’avant elle existait sans être une religion, elle était un moment de faiblesse, bien sûr que tout ce qui était viril, assumant sa force, a été calomnié. Il vous faut lire quelques trucs quand-même…
Pour ce qui est de votre christianisme « intime », là précisément on entre dans une autre sphère, et je ne me permettrai pas de dire « c’est de la merde ». Là le christianisme a un sens, justement, mais il est un détachement naïf jusqu’à la sainteté de toute forme de lutte ici-bas. Alors si on ne veut pas admettre que ce détachement a des responsabilités dans les problèmes bien terrestres dont parle ici, c’est une blague de dire qu’il en serait une solution : le véritable chrétien ne résiste à rien, ne se bat pas, il est sa foi, il n’incarne, il ne crée pas d’Eglise, ne prêche pas. C’est bien pour cela que le seul chrétien est mort sur la Croix, et que Paul est son premier faussaire…
Jésus était un véritable saint, et libre à vous de suivre ses pas, ce serait tout à votre honneur, mais cela n’a rien à voir avec un rapport de forces pour la survie. Et si vous défendez l’Eglise, celle de Paul, là c’est carrément le ressentiment fait chair, la domestication de l’homme par refus de sa nature, jusqu’à l’affaiblissement définitif, et par tous les moyens.
Pardon, j’ai dit « idéal humain », au sens de gens remarquables, mais il s’agit d’hommes concrets… pas d’un surhomme théorique. Un exemple de peuple surhomme?
« Pour ce qui est de votre christianisme « intime », là précisément on entre dans une autre sphère, et je ne me permettrai pas de dire « c’est de la merde ». Là le christianisme a un sens, justement, mais il est un détachement naïf jusqu’à la sainteté de toute forme de lutte ici-bas »
Non mais on rêve, là. Manifestement quelque chose vous échappe. Philippe Leclerc, donc, chrétien fervent, était un naïf « détaché de toute forme de lutte ici-bas »? Rappel, sans ces gens-là vous auriez grandi en territoire administratif allemand, soviétique voire américain.
Plus de temps, bonne continuation à vous.
Mais fondamentalement la foi chrétienne est morte en France et j’avoue une certaine perplexité devant cet entrain à pester contre un cadavre – dans une sorte de confusion perpétuelle, qui plus est, de l’envers avec l’endroit. Il est vrai que peu d’individus aime autant à vivre tout seul dans sa tête que le Français. Née à une époque où les mouvements religieux pullulaient, il est évident que la foi chrétienne aurait disparu de l’histoire si elle avait été inopérante. Pour un Américain – beaucoup d’Américains – le recours à Dieu à toute heure de la journée – « priez sans cesse » – pour sa famille, dans les affaires, pour un souci de maison ou de bagnole… est un acte banal, même s’il réclame dans le détachement, au départ, une certaine folie. Celui qui voudrait expliquer ça en France, serait considéré aujourd’hui comme un demeuré.
@j.ax
Erreur fondamentale. La Foi chrétienne est plus forte que jamais, au sens où c’est la Foi au système de valeurs chrétiens. Plus besoin de Dieu, mais les messes égalitaires et la haine contre ce qui se tient debout et fort sont toujours là. Elles ont juste changé de nom, on changé de degré mais pas de
nature.
Vous avez déjà essayé de remettre en cause l’égalité des hommes, devant Dieu ou pas c’est aujourd’hui un détail, mais l’égalité des hommes ? Remettre en cause une publicité pour les dons avec un gamin africain maigre à la télé pendant un diner de famille ? Vous ne voyez pas les réactions viscéralement chrétiennes ?
Êtes-vous simplement aveugle ou fermez-vous les yeux ?
xyr en vous lisant (plutôt vous parcourant, because manque de temps) c’est carrément des souvenirs de lecture du moustachu, distants de 15 ans qui reviennent et je me dis quelle faculté d’assimilation ce garçon – on s’y croirait. D’un autre côté vous ne voyez pas qu’on ne parle pas de la même chose. Je vous ai dit jusqu’à présent croire deux choses: que l’histoire de Jésus, en particulier relatée dans Jean, est vraie de A à Z; que la foi est opérante – je l’affirme par vécu personnel : non seulement opérante, mais stupéfiante par la beauté, l’élégance, l’efficacité des réponses. Ce sont les deux aspects (le 2° avant le 1er: je suis un pragmatique) qui m’ont fait « revenir à la foi » – abus de langage car ce n’était pas un choix au départ. Je ne suis pas un catho conventionnel. La plupart ne s’intéressent même pas à la Bible, n’ont aucune idée de la puissance qu’elle recèle. Au mieux, ce n’est qu’une oeuvre littéraire. Je reste (ou suis redevenu) catho par culture et par respect pour l’Eglise dont je trouve que dans son rôle de gardienne elle n’a pas fait un si mauvais boulot depuis 2000 ans.
Sur l’égalitarisme inhérent au christianisme il y aurait à redire: Jésus ne faisait pas de différence entre riches et pauvres. Jean (l’évangéliste) et Nicodème par exemple étaient des hommes riches et importants. Jésus était de sang royal (descendant du roi David). Les foules le mettent mal à l’aise. Voir aussi ce qu’il répond à Judas (socialiste avant l’heure?) qui veut revendre le nard pour distribuer la recette aux pauvres.
Mais je le reconnais: beaucoup de récupérations, d’interprétations souvent par les chrétiens pour faire vous donnent très certainement raison. Quant à votre exemple: ces réactions à une pub pour les enfants africains pendant un dîner sont-elles viscéralement chrétiennes… Il y a plein d’arguments à opposer qui ne sont pas antichrétiens: sans aller jusqu’à quitter la table répondre déjà que c’est de très mauvais goût de parler de ça pendant un dîner de famille; et toutes les critiques parfaitement raisonnables qu’on peut faire sur l’efficacité de ce genre de campagne. Qu’ils mettent leurs actes en accord avec leurs paroles, aillent donc voir sur place: ce n’est pas mon cas, mais une suisse (vaudoise catho) parmi mes connaissances en était revenue dépitée – ça ne leur apprend qu’à tendre la main, ce n’est pas digne, c’est un très mauvais service à leur rendre, etc.
Tout à fait .
La Chrétienté n’a été grande que tiraillée entre les Cieux et la terre . Le « bon Chrétien » , ce n’est jamais que le barbare qui se met en quête de la rédemption .
Seulement , la terre était un impératif vital . Pas un choix . Le choix entre la terre et les cieux est un choix entre vie médiocre et mort salutaire . Il faut penser au premier avant de penser au second . Nourrir les porcs avant de bâtir des Cathédrales .
Seulement , l’homme est libre , la vie est facile . Ce n’est pas un scandale divin , juste un défi supplémentaire à relever .
Qu’on le veuille ou nous , l’homme est coincé entre terre et cieux . La perpétuation de la (de SA vie et de son héritage) vie sur terre est la condition essentielle de la perétuation de la vallée de larmes . La construction du paradis sur terre comme la volonté de disparaître de l’Histoire constitue la même hérésie .
Il n’y a pas un avenir de la Chrétienté et un avenir du pré-surhomme . Coincés sur un même monde , ils constituerons la même personne . L’avenir est à ceux qui sont debout .
Si la Chrétienté a un avenir , il se trouve chez les barbares sains . Les Protestants , malheureusement .
La pulsion de mort qui traverse droit-de-l’hommistes et curés V. II n’existe pas , ou moins , au-delà de Luther .
C’est sur des bases saines que l’on bâtit l’avenir .
L’heure est à la déchéance de la Civilisation , pas de l’Homme .
Nietzsche… moi aussi j’ai été très impressionné par le bonhomme quand j’étais jeune étudiant en philo. Mais après, quand on sait que c’était un prof de grec qui ne sortait jamais de chez lui, qui était malade tout le temps et qui n’avais jamais baisé, on a tendance à relativiser ses envolées sur le surhomme et tout le reste.
Comme quoi la santé de l’esprit est plus vigoureuse lorsqu’on est jeune.
C’est le nouveau site d’Alain Soral en fait ?
On peut tout aussi bien interroger notre évolution la plus récente, les blocages d’une société qui se judiciarise (pas encore comme aux Etats-Unis, ça vient). Les assassins de Jérémy relâchés pour un infime vice de forme, la mise en place de dispositifs de censure de la parole et de la liberté d’opinion par le subventionnement d’associations autorisées à poursuivre en justice pour racisme (MRAP, HALDE). Etape suivante, la class action. Un bobo indisposé par un yaourt, buzz sur internet, une association porte plainte, entreprise coulée avec ses 50 salariés.
Ce formalisme soutient l’activisme des minorités en direction des médias pour imposer une société coca-cola, uniformisée dans sa consommation mais fragmentée en communautés juxtaposées de minorités sexuelles et ethniques, ayant chacune des revendications de privilèges qu’elle estime légitimes.
Cercle vicieux de l’activisme et du formalisme ? Evolution inéluctable d’une société sophistiquée ?
Laissez Nietzsche dans sa naphtaline.
Ce que vous dites n’a rien d’incompatible avec la prévision du dernier homme de Nietzsche, et je ne vois pas en quoi il serait meilleur de laisser des penseurs de côté plutôt que de les prendre en compte. Mais en l’occurrence parler de « naphtaline » pour Nietzsche vous disqualifie d’office sur ces sujets, donc je n’irai pas plus loin.
En revanche si vous regardez bien je parle dans mes interventions du traitement Ludovico d’un film de Kubrick qui parle de la société des années 60-70 et du lavage de cerveaux des Blancs via la culpabilisation nazie, il ne s’agit donc pas de concepts abstraits datant du 19ème (et donc forcément rouillés, n’est-ce pas), mais des causes directes de notre société contemporaine.
« Evolution inéluctable d’une société sophistiquée ? »
Oui, impliquant la possibilité d’un retour relatif à la barbarie, comme Vae Victis le disait il y a peu la barbarie est consubstantielle à la civilisation, et non pas son contraire. Nietzsche disait que tout peuple civilisé était d’abord barbare, mais on s’en fout de ce vieux fou périmé.
Putain on en est à 24h de débat stérile. Les 24h du Nietzsche. Super comme débat, super productif, super pertinent. C’est vrai que c’est ça le plus urgent: la taille la couleur et la pilosité du sexe des anges lorsque les barbares sont sous les murs de Constantinople. Ca me fait penser aux groupuscules comme l’AF et le RF qui se bastonnent parce l’un est nationaliste royco et l’autre est nationaliste révolutionnaire. De la dispute pour des queues de cerise ça s’appelle, de la fuite et de la désertion vers le concept pour se décharger de l’énergie qu’on a pas le courage de balancer dans la tronche des vrais méchants.
Je ne prône pas le « christianisme » comme solution mais certains passages de la Bible comme explication pertinente, lumineuse et intuitive à nombre de problèmes autour de la thématique du Camp des Saints en général et de la racaille en particulier.
Merci à tous ceux qui font des compliments mais ils doivent savoir que ce n’est rien, trois fois rien, une goutte d’eau dans l’océan ce texte. Ca semble important mais c’est rien du tout, en fait il ne se passe tellement rien face à la racaille, on a tellement d’inertie et de désespoir en face de ce phénomène que dés que quelqu’un fait un tout petit quelque chose il apparait presque comme le Messie. « ah voilà! c’est ça! c’est tout à fait ça! ». Oui et alors? Est-ce que demain ce texte va changer quoi que ce soit à la totale impunité de la racaille? A son adoration par les élites et toutes les putes à racaille? Il est bien évident que non. Celui qui arrivera à enrayer ces phénomènes là, celui là sera digne de louange.
Je ne fais pas le malin avec des textes j’en ai rien à faire, je voudrais juste que les FDS vivent et se déploient heureux chez eux et selon LEURS VALEURS REELLES A EUX, et que tous les autres les racailles les menteurs les élites soient punis pour leur méchanceté point. C’est aussi bête et manichéen et simpliste que ça, je crois au Bien je crois au Mal et je crois que les bons doivent être élevés et les méchants abaissés. Et je pense comme celà pas de moi même mais parce que de bonnes personnes me l’ont appris et qu’ils se trouvent que c’était des chrétiens, et qu’eux même tenaient leur pensée et leurs valeurs de NSJC et de la Bible.
Vous pensez donc que je critiquais le christianisme non pas pour que les FDS se réveillent et ne subissent plus la « racaille » mais uniquement pour faire valoir un concept sur un autre, pour une bataille intellectuelle ? Vous n’avez pas saisi, je crois. Ce qui m’a fait réagir c’est bien que je trouve catastrophique l’effet de vos « NSJC » sur ceux qui veulent s’en sortir, se remettre debout, ce n’était pas de faire le « malin ».
Mais c’est intéressant que votre « Oui et alors? » appuie sur le caractère également stérile des louanges.
« La racaille est méchante et c’est pas normal qu’elle soit pas punie, et que les filles aiment ça, et que les Blancs on les laisse pas vivre dans leurs valeurs tranquillement, j’aimerais que ça cesse ! »… cela ressemble aux paroles d’une civilisation à bout de forces, quand-même…
J’avoue trouver la pugnacité de Xyr assez admirable et le débat pas du tout stérile.
Marrant, je tombe hier soir sur un passage des Somnambules de Broch (publié en 31 je crois) où le personnage de l’homme d’affaires Bertrand dit que l’Europe ne vaut plus rien pour l’Eglise alors que l’Afrique offre un terrain neuf et gigantesque… il prophétise l’arrivée de millions de nègres qui détruiront/régénèreront une Europe redevenue païenne (huhu), tout cela finissant par la montée sur le trône d’un pape noir^^
Très intéressant Gil! Dans le petit livre d’entretiens que je cite dans ce fil, Ratzinger (bon évidemment il est pape et membre de l’Eglise alors c’est un peu bancal comme
crédibilité mais il se trouve que c’est aussi un homme éminemment intelligent) dit qu’en fait il est fort probable que l’Eglise telle qu’elle se présente à nous aujourd’hui
disparaîtra mais que perdureront l’essence de la papauté et la réalité des dogmes et des sacrements.
Finalement c’est tout ce qui importe, l’essence du christianisme.
« Ce qui est vraiment contenu de la foi, « dogme » ne peut pas devenir faux après coup, de même qu’en science ce qui est une bonne fois établi comme juste demeure valable
mais peut se retrouver placé dans un tout autre contexte et apparaître ainsi avec une signification différente.(…) Sans aucun doute les sacrements resteront (…) Mais avec
le changement des temps, ils seront différemment vécus.(…) Dans cette mesure, permanence et mobilité sont totalement conciliables comme toute l’Histoire le montre. »
Merci Crevette. Y a que les belles femmes pour s’intéresser à mes anecdotes. Moi aussi je m’ntéresse aux belles femmes. Et pourtant i s’pass jamais rien 🙁
Bon, le passage de Broch est évidemment sarcastique, mais vous voulez dire qu’un pape noir sur une Europe métissée ne vous gênerait pas, pourvu que l' »essence du christianisme » demeure ? 🙂
Je ne sais pas honnêtement si ça me gênerait ou pas mais en tout cas c’est fort probable que cela arrive.
Ce que je veux souligner c’est qu’être chrétien peut prendre des formes tout à fait inattendues (je parle de structures ecclésiales par exemple)et être chrétien (et là je veux évoquer Buck Danny qui se demande ce qu’est un vrai chrétien) à mon sens c’est garder au coeur de soi cette foi enracinée dans la Bible et le dogme et vivre complètement sa vie terrestre, c’est à dire s’impliquer dans tous les ordres qu’ils soient politiques, sociaux, intellectuels, que sais-je.Personnellement je n’ai jamais trouvé de contradiction à être chrétienne et me battre pour ce monde qui est ou à venir.Cela nécessite cependant, c’est vrai, des réajustements permanents, une réflexion la plus active possible (et oui c’est pénible et fatigant) mais si on avait que des certitudes sur tout, je suppose qu’on ne serait pas des hommes.
Et il me semble que ces réajustements (le mot n’est pas terrible) ne sont pas des habiles contorsions pour contourner le texte biblique mais simplement une application logique de principes très généraux à une réalité toujours très singulière.
Je ne sais pas quoi répondre. je n’ai pas la foi. Je juge donc le christianisme de l’extérieur, pas de l’intérieur, comme quelqu’un qui le vit de l’intérieur de sa foi. Outre que je suis sensible aux arguments nietzschéens et cie, je vois la majorité des chrétiens actuels, et ils ne me donnent guère moins envie de vomir que les gauchistes.
Alors, que vous vous adaptiez à l’essence du christianisme en vous fichant de ce que font et pensent les autres chrétiens, par un travail constant et personnel, et qu’un pape noir ne vous dérange pas plus que ça, je comprends.
Mais je ne peux m’empêcher de vous voir comme la dernière chrétienne européenne, dans une Europe métissée, entourée d’un clergé noir, progressiste et métissolâtre, et je me demande : est-ce la meilleure manière de s’en sortir ? (ce n’est pas ironique : je ne prétends pas comprendre votre foi, je le répète.)
Je ne sais pas si tout ce que je viens de dire a beaucoup de sens. Excusez-moi, je suis crevé et déconnecté ce soir. je balance le truc quand même.
« Mais je ne peux m’empêcher de vous voir comme la dernière chrétienne européenne, dans une Europe métissée, entourée d’un clergé noir, progressiste et métissolâtre, et je me demande : est-ce la meilleure manière de s’en sortir ? (ce n’est pas ironique : je ne prétends pas comprendre votre foi, je le répète.) »
Oui il faut reconnaître que ça n’est pas très réjouissant, surtout pour mes enfants… Je veux qu’ils conservent leur foi, très profondément et très fortement et ils la conserveront en dépit d’un clergé pas toujours et de moins en moins clairvoyant il faut l’avouer.
Conserver sa foi et le goût d’une vraie liberté intérieure (ce n’est pas très clair comme concept). Pour le reste, le Bon Dieu s’arrangera bien avec nous tous, je veux Lui faire confiance.
Un camarade m’envoie ce mail très important:
J’ai découvert hier soir ton texte sur la caillera. Bien vu, notamment le fait que PERSONNE n’a jamais su parler de ce phénomène avec justesse et honnêteté. Mais j’aurais volontiers ajouté un petit paragraphe pour parler de l’idéologie de l’embrouille. Les racailleux passent leur temps à s’embrouiller. Vazy kess tu m’embrouille là ! N’importe quelle conversation, dans ce milieu-là, est incapable d’être sereine. Il y a toujours une embrouille. Une paranoïa devant le moindre mot qui vient d’en face. Ce qui n’est pas d’eux est à bannir ; un mot inconnu est une menace, une idée « autre » est toujours chelou ; alors c’est l’embrouille. Kader devait venir à deux heures, et puis finalement c’est son cousin qui est venu, mais comme il avait pas le portable de Icham il a demandé à la soeur de Kader, du coup Kader est venu en retard, c’était la grosse embrouille et tout, il l’a redit à Rachid qui lui a promis de lui niquer sa race, sa soeur à Icham hamdoullah tu touches pas à ma soeur, ça a fini en balle perdue devant l’école primaire. L’embrouille, quoi. Tout ça parce que Kader est arrivé en retard et a envoyé son cousin à la place. Les conversations entre filles-en-survêt qui se téléphonent, et qu’on a tout le loisir d’entendre dès qu’on prend un métro, sont composées à 2% d’informations échangées, et 98% d’ « embrouille ».
Très pertinent. La paranoïa semble être le mode d’être-au-monde de la racaille : tout est perçu comme manque de « respect » ou agression, que ce soit un regard, une parole, une attitude. Même domestiqué, le racailleux moyens est incapable de prendre quoi que ce soit à la légère ou au second degré, toute relation est une attaque potentielle à son intégrité morale et physique.
Très juste aussi l’emploi du langage par la racaille : 98% consiste à former des suites de mots vides de sens sur le fait qu’il y a embrouille, c’est à dire que quelque chose est caché, malhonnête, vicieux. La racaille ne peut pas envisager un échange qui soit franc et sain et imagine toujours qu’il y du louche. Cela abouti a un discours paranoïaque dans lequel le langage devient incompréhensible. On a littéralement l’impression de se trouver face à des fous.
C’est pârfaitement logique.
Les « racailles » sont tous des musulmans, métaphysiquement des musulmams (qu’ils aillent à la mosqué ou pas n’a ici aucune espèce d’importance), et l’Islam est avant touche chose une religion de pinx, tandis que la nôtre est celle du conflit permanent.
Ca veut dire concrètement que tout ce qui relève du conflit ordinaire est insupportableaux racailles. Une allusion, un regard, un désaveu, tout ce qui relève du conflit ordinaire leur est insupportable et doit être éradiqué.
La volonté d’éradication de toute souffrance, et donc de tout conflit, n’aurait donc rien à voir avec la religion chrétienne. J’ai comme un doute, si c’est permis.
Disons qu’avant d’avoir un lien avec la religion chrétienne elle a surtout un lien avec l’esprit humain.L’homme s’est toujours questionné sur le mal, la souffrance, etc depuis qu’il est homme, pas depuis qu’il est chrétien!
Et le Christ ne donne guère de réponse « évidente » en mourant dans d’horribles souffrances.
Je me permets de mettre des extraits d’un livre d’entretiens du Pape (à l’époque de ce livre il n’était que Cardinal Ratzinger)ça peut intéresser tout le monde je crois sur cette notion : qu’est-ce qu’être chrétien.
http://oralaboraetlege.blogspot.com/2011/12/le-sel-de-la-terre.html
Je vais vous dire ce qui m’embête, mais profondément : l’intrusion de l’islam dans ma vie. La coexistence pacifique entre l’athéisme et le Christianisme jusqu’à il y a une dizaine d’années me convenait. Chacun pense et croit selon ses inclinations.
Personne ne parlait de laïcité. Maintenant, on ne peut plus ouvrir la télé sans qu’il y ait une émission sur les banlieues, le voile, les œuvres d’art outrageantes, les caricatures, le hallal des cantines, des Quick, les horaires réservés des piscines, les cimetières profanés, lesquels sont les plus profanés, ah non, ce sont les nôtres, il faut aller s’excuser d’avoir dit ceci, d’avoir dit cela, les prêtres pédophiles, les prières dans les rues aussi légitimes que les processions, ah non, mais si, les médecins femmes des hôpitaux, les incendies des Charlie.
Les racailles sont pesants, mais cet Islam omniprésent par rapport auquel on doit tout redéfinir, c’est pire que tout. Comment ne pas devenir islamophobe, si quelqu’un a la recette.
« C’était bien avant, confortable, je veux pas que ça bouge, pourquoi ça bouge ? »
Honnêtement, vous pensez aller où avec ce genre de complaintes ?
J’ai l’intuition qu’on n’est pas dans un problème philosophique, ni dans un problème religieux, mais dans un problème juridique d’application de la loi. Lounès nous a démontré qu’il s’agissait de délinquance sûre de son impunité. Les juges n’appliquent pas les lois à cause de l’intimidation permanente.
Les médias nous bassinent avec la religion, et tout le monde s’engouffre dans une discussion sur le fait religieux. Sans voir que les racailles qui nous pourrissent la vie sont des délinquants indifférents à la religion, mais avides d’argent facile. Qui ont compris comment nous fonctionnons. Idem pour l’immigration illégale. Non respect de la loi, mais culpabilisation et victimisation par la religion et la colonisation. C’est du côté de la loi que ça se passe.
Alors, nous amener dans les méandres du dernier homme ou du surhomme, de la tarentule ou du danseur de corde, du rire ou du ressentiment ou de l’éternel retour ne fait qu’embrouiller le problème. Objectivement, on est déjà assez enfumés par les médias, sans qu’il y ait besoin d’en rajouter avec Nietzsche.
Ah, donc tout ça c’est du détail, une histoire de loi, je pensais que ce phénomène était d’une tout autre ampleur. Désolé de vous avoir « enfumé » par mégarde donc.
—… délinquance sûre de son impunité. Les juges n’appliquent pas les lois à cause de l’intimidation permanente.—
C’est trop simple. Et le background idéologique ? Comme beaucoup l’ont déjà dit ici ou ailleurs, le problème racaille pourrait se régler en deux coups de cuillère à pot, si l’on en avait la volonté. Pourquoi n’en a-t-on pas la volonté ? Bien sûr, depuis s’est ajouté le problème de l’intimidation physique et directe, de la massification racailleuse etc, mais ce n’est pas le fond du problème.
—mais culpabilisation et victimisation par la religion et la colonisation. C’est du côté de la loi que ça se passe.—
Voilà : culpabilisation et victimisation apprises de nous. Et si ça se passe du côté de la loi, comment allez-vous changer cette loi et son application, si vous ne changez pas toute l’idéologie derrière ?
C’est donc beaucoup plus vaste qu’une question de loi.
Bien entendu que c’est plus vaste qu’une question de loi. Tout a été subverti, les victimes au sens chrétien du terme sont devenues des bourreaux, et les bourreaux sont devenus les victimes. Nous revenons à une vision pré-chrétienne qui fait le jeu des racailles, la loi du plus fort, du plus nombreux, du plus rusé, du plus tricheur comme seule morale qui vaille. Le background idéologique à cela, c’est le déterminisme, le fatalisme et donc l’absence de libre arbitre. « C’est pas ma faute m’sieur, c’est la société » – pas plus anti-chrétien que ce genre d’assertion, et c’est cette hérésie gigantesque qui se niche au coeur du Grand Remplacement et de la Dé-Civilisation.
Parce qu’il suffirait de dire « Je pense » pour avoir une présence du libre-arbitre ?
On devrait décortiquer chacune de ses phrases avant de l’écrire.
Je suis assez désolé de lire trop de commentaires baignant dans un hygiène intellectuel douteux, pardonnez-moi, mais j’estime la plupart des gens qui interviennent ici, et si je suis si exigent c’est parce que je fais pareil dans ma tête.
xyr, pas sûr de comprendre votre question. Pour le reste…
Nous en sommes arrivés à avoir une Justice qui décide qu’elle n’est plus apte à juger, qui nous dit qu’en gros il n’y a plus de coupable, que rien n’est de leur faute si l’on creuse un peu. Tout juste consentent-ils encore à maintenir en quarantaine les individus vraiment trop dangereux, mais même cela est en train de sauter.
Je suggère que l’on se demande pourquoi et que l’on tente d’analyser l’hérésie qui se cache derrière. On y trouvera le désert mental sur lequel nos envahisseurs prospèrent, ou la zone de bavardage dont parlait Lounès.
Je suis d’accord avec vous Aquinus, mais ma question avait pour but de revenir sur la notion de libre arbitre que vous mentionnez comme si elle allait de soi. En parlant de son absence parce que la racaille dit « c’est pas ma faute ». Symétriquement, je signalais simplement que dire l’inverse, « je pense et je suis responsable de tous mes actes » n’est pas synonyme de présence de libre arbitre. Ce ne sont que deux mots.
lien
Se méfier des mots, les déconstruire sans arrêt, et d’abord les notions chrétiennes. C’est ça avoir l’esprit chrétien, la discipline chrétienne dans ce qu’elle a de bon.
Je n’ai jamais dit que le libre arbitre allait de soi, il ne va tellement pas de soi qu’il ne fait aucun sens pour 99.9% des cultures humaines existant et ayant existé, à une ou deux exceptions près. Même pour la nôtre, les plus brillants théologiens se sont arrachés les cheveux à vouloir le mettre en équation, jusqu’à conclure très sagement quelque part à la Renaissance, par la voix des papes, que la question devait rester à jamais ouverte. Néanmoins cela reste une des pierres de touche de notre civilisation; cesser d’y croire, c’est courir le risque de voir des juges refuser de faire leur métier, parce qu’ils ne croiront plus avoir à faire à des coupables mais seulement à des victimes entrées en collision par la faute « de la société ». Bullshit et mensonge que cela.
Enfin le libre arbitre ne consiste pas à dire « je pense et je suis responsable de tous mes actes », mais à reconnaître une part de responsabilité individuelles dans chacun de ses actes. Une part qui peut être infime mais qui existe néanmoins, et sans laquelle l’acte ne saurait être posé.
Moi, ce n’est pas tant le libre arbitre ou le serf arbitre que je ne comprends pas, que le débat sur le libre arbitre. Je crois que c’est au-delà de l’intellect humain.
« …à reconnaître une part de responsabilité individuelles dans chacun de ses actes. » (aquinus)
Je crois que c’est ça : reconnaître sa responsabilité même si on ne saura jamais en quoi on l’est vraiment, ni même si on pourra définir un jour en quoi consiste vraiment la « responsabilité ». Là oui, je crois qu’il faut avoir la foi^^
Question à Xyr, sur le problème de notre décadence : Nietzsche ne dit-il pas plusieurs fois que la maladie n’est pas la cause de la faiblesse, mais la conséquence et le symptôme de la faiblesse (bon, on pourrait discuter sur l’équivalence des mots « maladie » et « faiblesse » et réduire cette proposition à une tautologie mais passons) ?
Si l’on admet que le christianisme et ses avatars comme la religion droitdelhommiste sont une maladie, ne doit-on pas admettre qu’ils ne traduisent qu’un état de faiblesse qu’on ne peut que constater ? Dans ce cas, l’attaque du christianisme n’est-elle pas vaine ? Pourquoi sommes-nous faibles ? et peut-on le déterminer, et déterminer des remèdes ?
Le droitdelhommisme vient globalement du christianisme, OK. Mais d’où vient le christianisme ? Pourquoi a-t-il triompher à un moment donné ? Peut-être parce que Rome était faible à ce moment pour x, x, et x raisons. Ça s’est traduit par le christianisme. Pourquoi ensuite n’empêche-t-il pas l’Europe d’être forte ? Peut-être que pour x, x et x raisons, elle est redevenue forte, et qu’alors le christianisme n’est qu’un vernis (le symptôme disparaît). Tout ça à la hache, hein. Et si l’on admet que son dernier avatar est le progressisme, pourquoi revient-il à ce moment ? Parce que l’Europe, pour x raisons etc, est redevenue faible (l’une de ces raisons étant peut-être le christianisme, symptôme devenu cause efficiente, mais pourquoi à ce moment ?).
Je veux dire : tout ce qui se passe vraiment n’est-il pas souterrain, biologique, perdu entre des milliards de causes, inaccessible et impossible à manier et changer de la part d’un homme, encore plus d’un peuple entier, vu le nombre d’éléments qui s’entrecroisent et rendent la direction générale impossible à percevoir ?
Et ce que je viens de dire là n’est-il pas nietzschéen, le déterminisme, la biologie, les innombrables causes, etc, et n’est-ce pas encore une grosse contradiction du nietzschéisme, cette vision déterministe et biologique (à la hache, toujours), qui cependant prétend déterminer des causes (humaines, idéologiques, religeuses qui plus est) à une situation à un moment donné ?
Le problème idéologie se réglera pareil, « en deux coups de cuiller à pot si l’on en a la volonté ». Et on en aura la volonté quand le ras-le-bol se traduira sur la toile, dans les sondages, dans les urnes, et que les décideurs sentiront que leurs sièges seront éjectables. La démocratie est fragile, mais c’est d’elle que viendra sans doute la solution.
Et d’abord de l’économie, les leaders d’opinion suivent l’opinion, ils ne la précèdent pas. La publicité s’est mise au diapason de la mode écolo quand il y a eu de l’argent à se faire. Les leaders d’opinion mettront le bémol qu’il faudra quand leur intérêt sera en jeu, quand leur discours ne sera plus suivi d’invitations dans les talkshows. Quand l’obscénité de leur bavardage ne fera plus recette.
Un régime peut s’effondrer du jour au lendemain, on l’a vu avec le communisme. Il n’est pas sûr que ce soit le nôtre qui s’effondre, nous avons les atouts technologiques pour arriver à bout du problème idéologique quand la subversion mettra en cause notre survie. Ça reste une question d’application de la loi, regardez les face à face police/racaille, flashball/armes de guerre. La police est dans la retenue. Sans cesse contredite par le juge. Ce verrou sautera.
Un peu de volonté de puissance ?
Peut-être que ce qui se passe en ce moment est absolument porteur d’espoir.
On voit incontestablement les Marchés financiers faire plier les hommes politiques et les opinions publics, en étant tout à fait indifférents aux torrents de merde que les médias déversent sur eux.
Or, toute cette racaille, ces cages d’éscaliers qu’il faut repeindre tous les deux ans, ces quartiers presque neufs transformés en taudis, etc… Entre autre chose, ça coute cher.
Je ne dis pas que le miracle viendra de là, mais enfin, ça ve peut-être aider.
Je me dis la même chose, ça ne peut qu’aider. Tout le monde sait le boulet financier que ces gens représentent, l’effort colossal pour toute communauté de se traîner ça (sans parler des autres désagréments). Suffit de mettre de vrais chiffres en face, de tendre la note aux électeurs, certains commencent à s’y filer ou vont le faire apparemment…
A côté de ça, l’intégration de la RDA, piece of cake.
J’attends d’ailleurs le jour où une agence citera l’immigration massive et le boulet social qui en résulte, comme causes de la dégradation de la note et de la mise en quasi-banqueroute de l’Etat. Ca pourrait bien arriver…
Justement, c’est pas tellement aux électeur, qu’on va montrer la note, mais aux marchés financiers.
Et puis, cher Aquinus, si un jour une agence de notation dit « nous vous sommons d’arrêter du fric dans vos banlieues »… Les souvrainistes de tous poils vont devoir tomber le masque…
C’est la réaction de Marine, surtout, qui sera intéressante^^
Oui vous avez raison, dans le processus en cours la démocratie n’a à peu près plus rien à dire ni à imposer.
Ce sera en effet fort intéressant.
En attendant cependant, il y a la boule au ventre en sachant que cela :
http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2011/12/06/m-jean-dans-une-cite-de-la-region-parisienne-tout-le-monde-se-fout-de-notre-sort_1613884_1471069.html#ens_id=1613847
est le sort de millions de compatriotes qui se sont retrouvés piégés presque du jour au lendemain, sans l’avoir vu venir, dans une sorte d’enfer. Ne pouvant plus en sortir pour les plus faibles ou les moins dégourdis d’entre eux…
Le problème avec Nietzsche en particulier, et avec les philosophes en général, c’est que même si on leur concède d’avoir été des visionnaires, de grands esprits perspicaces, il n’en reste pas moins que leur influence sur le monde est proche de zéro.
Une poignée de conquistadors cupides et brutaux ont plus changé le monde que n’importe quel philosophe. Et que dire de l’Angleterre, nation de commerçants arrogants et impitoyables, qui a produit peu de grands philosophes mais qui a dominé le monde d’une façon jamais égalée ?
Je suis un peu dérouté par votre commentaire et par le tour qu’a pris ce fil en générale.
Personne ne vous a dit que la philosophie se mange en salade et qu’elle doit être utile à quoi que ce soit.
Je suis peiné de voir que Xyr est ici, paradoxalement, le seul qui raisonne en chrétien, dans la mesure où il nous aide à déconstruire. A mettre à plat, il nous tent une perche pour ça… Et il n’y arrive pas… Etrange impression qu’on n’est plus sur Ilys, un endroit où l’on sait habituellement faire ça. Se comporter en juif talmusiste retors, en théologien qui se torture le cerveau, qui met tou parterre.
Par ailleurs, on s’en fout de savoir si Nietzsche avait raison ou tort. Un philosophe n’a pas a avoir raison,il n’est pas là pour apporter les raisons; il doit être intéressant. Et Nietzche est intéressant.
Sur ce fil, j’ai la désagréable impression qu’on se met à chercher des réponses, comme si on était sur « les intransigeants » ou sur Oumma.comm.
Ce commentaire est intéressant, on dirait celui d’un nazi. Et ceci n’est pas une leçon de morale. Cela me rappelle simplement Hitler qui disait que si l’on veut qu’une parole reste il ne faut pas l’écrire mais la dire. Sauf qu’évidemment, un mot à destination des foules ne peut être de qualité. Mais si c’est le sacrifice qui permet l’action, pourquoi pas. Votre commentaire amène la notion de saleté nécessaire pour faire de la politique, c’est-à-dire pour agir.
Sinon, bien sûr que si que Nietzsche a influencé des gens, même sans le vouloir, et contrairement au monde qu’il désirait. Il n’aurait effectivement personne aujourd’hui en qui placer ses espoirs.
Sinon je pense que Jésus était un putain de visionnaire, et dire qu’il n’a influencé personne serait une folie.
Hitler raisonnait en non-occidental, il raisonnait comme Ben Laden ou les samourai Japonais.
En l’occurence, il disait « vous les occidentaux, vos enculez les mouches sans fin pendant que nous sommes dans l’action ».
Il était inconsevable pour lui que les enculeurs de mouches soient capables de bombarder Dresde et Hiroshima.
Restons nous-même, c’est à dire des enculeurs de mouches ET des gens capables de déstructions froides qui laissent les barbares sur le cul.
Il y a pourtant quelque chose à changer, cet article en est le témoignage.
Bien sûr qu’il y a quelque chose à changer. C’est le changement permanent, qui doit être la seule constante d’un occidental.
Pour le reste, il faudrait s’entendre sur le terme de « bavardage ».
Ne faisons surtout pas d’amalgame entre le babillage incessant des sociologues et cette propention toute chétiene à préferer les questoins aux réponses.
La pensée chrétiene n’est qu’une longue conversation qui n’a nullement vocation à prendre fin.
Nous ne sommes pas une religion du livre, nous somme celle de l’incarnation.
Le débat même sans traduction pratique, n’en est pas moins intéressant. Je n’interviens presque jamais sur ilys, mais je dois dire que je suis toujours fasciné par la façon d’être chrétien, ou la vision que l’on a du christianisme sur ce site. Je dis fasciné dans un sens réellement positif, dans le sens où j’aurais vraiment envie d’être chrétien de cette façon là, d’être un chrétien comme xp, et même comme Lounès (à défaut d’être chrétien vous en manifestez en tout cas l’envie, et vous en avez une certaine vision qui vous est propre). De concilier cette foi en un monde qui vient, tout en se battant pour notre monde bien terrestre et en sachant vivre à fond les joies et les plaisirs, mais aussi les peines, terrestres.
Cette façon d’être chrétien me paraît tout simplement incompatible avec les textes, contradictoire, on refuse de voir ce que Jésus a dit, ce que Paul, Pierre ou Jacques ont dit, on affirme que le christianisme c’est ceci ou c’est cela, que ce serait la foi des occidentaux et des blancs en général qui permettrait de lutter contre tout ce qui nous menace. On parle du passage de l’évangile sur tendre l’autre joue, et on en fait des interprétations alambiquées pour expliquer qu’en fait c’est plus compliqué que ça, et que si on réfléchit bien, Jésus dit qu’on peut péter la gueule au méchant et avoir des couilles… Ça me paraît totalement erroné, et d’ailleurs Jésus ne dit pas que ça, il dit aussi « aimez vos ennemis » « ne résistez pas au méchant ». Le seul courage chrétien, ne consiste pas à résister, concrètement, physiquement, au méchant ici bas, mais à faire la démonstration de sa foi en s’en remettant totalement à Dieu qui lui jugera et punira le méchant en temps voulu. Le christianisme ça appel à renoncer à tout espoir de trouver des solutions humaines aux problèmes rencontrés ici bas, la seule solution c’est Dieu, qui se trouve par la foi dans le sacrifice du Seigneur. La Bible je l’ai déjà lue plusieurs fois, jusqu’à il y a peu je la lisais chaque jour, je me rendais à des réunions de protestants évangéliques d’étude de la Bible. Je m’efforçais habilement de concilier combat politique avec la foi chrétienne, me disant que l’un appel à l’autre. Qu’il en est forcément ainsi, puisque l’occident est chrétien depuis plus de 1500 ans, que donc le christianisme a été une force pour lui, etc. Sauf que la vraie question comme elle a déjà été suggérée ici, c’est de se demander si l’histoire passée de l’occident est véritablement chrétienne, ou si elle est autre chose… Nos ancêtres par leurs valeurs, leurs pratiques, leurs combats, ont-ils été des chrétiens ou des païens ? Ou peut être un peu des deux ?
C’est là je pense que le rôle de l’Eglise catholique devient intéressant, je me suis tourné vers le christianisme en lisant la Bible, ce qui m’importait c’était de trouver des chrétiens qui se montraient fidèles aux textes et à ce qui y est enseigné, c’est donc en tout logique que je me suis tourné vers le christianisme évangélique… Or que dit-on dans ces milieux là ? On dit que l’Église catholique n’est pas chrétienne, que c’est une religion païenne qui a souillée la vraie foi, on dit même que les sociétés passées de l’occident n’étaient pas chrétiennes, que les « vrais » chrétiens ont toujours été une petite minorité au sein d’un océan de païens. Des vrais chrétiens qui ne se mêlaient pas de politique, qui se souciaient forts peu des problèmes d’ici bas, pour être entièrement tournés vers le Royaume des cieux. Seulement cette vision de la foi, qui est à mon avis, incontestablement, la plus conforme aux enseignements bibliques, est également totalement mortifère… Elle appel à voir comme coupable et mauvais tous nos désirs, tout ce qui peut nous attacher ou nous faire aimer ce monde ici bas, elle enseigne que la vie terrestre ce n’est pas la vraie vie, que la vraie vie c’est à venir, dans le Royaume des cieux, qui est réservé à une petite minorité d’élus que Dieu a choisi. Des élus qui ne pourront que souffrir ici bas, puisqu’ils ne sont que des étrangers sur cette Terre, et qu’ils seront persécutés et incompris des autres hommes, des païens, qui eux iront en enfer…
A partir de là, vouloir le salut de la France, vouloir lutter contre la racaille, contre la saloperie qui avance ici bas, pas seulement avec des prières, mais concrètement, politiquement, physiquement, m’a paru de plus en plus contradictoire avec la foi que j’avais choisi de suivre. D’ailleurs toutes les églises aujourd’hui (protestantes ou catholiques) appellent à l’accueil de l’autre, à une tolérance envers l’immigration, à aimer même les musulmans (il faut haïr le péché mais aimé le pécheur). Le christianisme aujourd’hui désarme totalement toute conscience ou tout esprit de résistance, qui est vu comme un péché, une marque d’égoïsme, de manque de charité… On me rétorquera qu’il y a des milieux chrétiens (catholiques traditionalistes notamment) qui n’ont pas du tout cette vision des choses, et bien ma théorie c’est que ces gens là ne sont pas vraiment ou totalement chrétiens, ils sont autant païens que chrétiens, des pagano-chrétiens, bref des catholiques sous l’ancienne acception de ce terme. Parce que je crois que traditionnellement comme l’avait déjà expliqué bien mieux que moi, Vertumne sur son blog, l’Église catholique romaine a œuvré pour concilier paganisme européen et christianisme, pour mettre l’un au service de l’autre. Mouvement qui a été stoppé par la réforme protestante, qui a fait remarqué qu’en faisant cela, on était en totale contradiction avec les textes fondateurs de la foi chrétienne, ce qui est vrai…
Nietzsche dans sa description qu’il fait du christianisme, me semble viser juste, il dit froidement, clairement, ce que tout véritable chrétien sait, mais qu’il préfère habiller et déguiser un peu parce que ça paraît trop difficile à avaler. Là où en revanche Nietzsche à mon avis, se plante, c’est quand il prétend savoir ce que Jésus voulait vraiment, ou qu’il affirme que Paul a perverti l’idéal chrétien, pour ma part je n’en crois rien, on ne peut pas inventer les intentions ou les paroles de Jésus, les paroles du Christ dans l’évangile vont dans le même sens que ce que Paul enseignera plus tard, il n’y a aucune contradiction. Comme d’ailleurs il n’y a pas vraiment de contradiction entre l’ancien et le nouveau testament, si ce n’est que l’ancien permettait la violence contre les ennemis de la foi, alors que le nouveau enseigne que cette tâche est réservée à Dieu. Mais sur le renoncement au monde et à l’espérance dans un au-delà à venir, c’est exactement la même chose… Mais pour ça évidemment il faut avoir lu les textes eux mêmes, et non pas ce que d’autres ont dit de ces textes.
Vous oubliez l’essentiel:
Le Crist n’a jamais rien dit de dfinitif, il n’a rien écrit, c’est une religion de l’incarnation, pas du livre.
C’est pourquoi il y a eu l’Eglise catholique et ses conciles à répétition, puis la Sorbonne.
On dit tellement de choses^^
C’est à ça qu’on reconnait les CAB:ils prennent XP pour un protestant:)
Mais le Salut viendra des protestants!!!
Ce serait intéressant d’expliquer en quoi… Et aussi de quels protestants vous parlez ? Réformés, évangéliques, luthériens ?
Allez assister à un culte réformé un dimanche matin, vous n’y verrez pas de signe de salut, mais en revanche vous aurez sûrement envie soit de vous pendre soit de massacrer tous les « fidèles » pris d’un soudain et surprenant accès de haine anti-religieuse…
D’ordre général, chez de nombreux luthériens et réformés, on trouve les mêmes tares que chez les catholiques (enfin presque).
Beaucoup de gens très « concernés » par la question des migrants (cf: la Cimade qui est un beau rassemblement d’ordures).
Toutefois, comme je l’ai dis quelques posts plus haut, même chez ces églises protestantes institutionnelles, demeure un sentiment fort d’appartenance à une communauté (qu’XP ne pourra considérer comme relevant du tribalisme ou propre aux PAB)
Ainsi, si on trouve des gens plus athées que chrétiens chez les libéraux,
chez les évangéliques (et pas évangélistes, comme le disent les journaliques) j’ai apprécié la foi sincère (de ces gens souvent simples). Leur foi est vivante, et les actes de la plupart sont en accord avec leur foi (la plupart des jeunes ne couchent pas avant le mariage, ce qui a notre époque révèle une force de caractère hors norme). Avec eux, pas de détour, l’Islam est une religion créée par le démon, sans doute la pire, et les évangéliques que j’ai rencontré n’hésitent pas à parler de la grâce qui sauve à ces mahométans qui s’imaginent que le paradis est un truc qui se gagne en faisant des courbettes sur un tapis et en mangeant pas pendant Ramadan.
J’ai pu aussi remarquer leurs doutes quant aux bienfaits de l’État et de l’élite.
Xyr, considère que la passion pour l’égalité vient du christianisme, et cela me parait rigoureusement exact.
Mais je ne comprends pas comment le Christianisme, qui considère l’Homme avec une partie divine, vivant dans un monde emprunt de combats spirituels, aurait pu déboucher sur une vision matérialiste du monde, dans lequel l’Homme n’est qu’un ramassis de particules et de connections entre synapses…
C’est là quelque chose qui me dépasse et me parait incohérent, il y’a quelque chose d’autre…
Je ne crois pas que la foi en Dieu et à un monde spirituel puisse déboucher sur la foi en rien…
Je crois que ce que xyr veut dire c’est que l’on devient chrétien quand il est trop insupportable d’être nihiliste. Mais ce qu’ils partagent en commun c’est le regarde qu’ils posent sur le monde dans lequel on vit, les uns comme les autres trouvent l’existence absurde, sauf que là où les nihilistes ne trouvent aucune solution à cela, les chrétiens eux donnent du sens à l’existence en croyant dans un monde qui vient..
Pour ce qui est du sentiment d’appartenance des protestants, je crois qu’il s’explique par le fait d’être depuis des siècles une minorité religieuse jusqu’à il y a peu très marginalisée dans un pays massivement catholique, ça laisse des marques quand même.
Chez les évangéliques c’est différent, là c’est vraiment la ferveur de la foi commune qui tisse des liens forts entre les croyants. Cela dit pour en revenir à la question de la subversion migratoire et autres, les églises évangéliques sont celles où l’on compte le plus d’africains, ce qui explique d’ailleurs largement leur dynamisme.
C’est tout à fait juste.
Ceci dit, j’ajouterai que vu qu’il n’y a pas de prêtre, pas d’autorités, la sauvegarde de la communauté repose symboliquement sur chacun.
Sinon, pour les églises évangéliques pleines de noirs, c’est tout a fait exact, mais cela reste un phénomène francilien.
Dans le sud et l’ouest, les églises évangéliques sont composées essentiellement de FDS.
Les évangélistes sont prédisposés à se tourner vers l’Afrique, leurs rites ont été influencés, subverti, même, par les noirs américains. Les cérémonies évangélistes, ce n’est jamais que du vaudou dans une église, en costume du dimanche.
Énorme préjugé… Les pratiques des évangéliques sont communes aux traditions mystiques et monacale des orthodoxes et des catholiques. Bref, c’est un courant avec des traditions anciennes qui fut exclusivement blanc et anglo-saxon jusqu’à la colonisation, et les leaders sont principalement des blancs aujourd’hui encore (les coréens prennent une part de plus en plus grande).
Je parle bien des protestants évangéliques, pas des mouvements ésotériques et syncrétistes d’Afrique…
La clé de voute de certaines des questions que vous soulevez est peut-être le « rendez à César… ». Ca n’est pas, du point de vue chrétien, que les problèmes humains n’ont pas de solution mais qu’il n’ont pas de solution divinement sanctionnée. Les solutions seront humaines et seulement humaines, et se révèleront bancales, puis s’écrouleront, et il faudra tout reprendre à zéro selon une autre perspective, 2 siècles plus tard.
Aucun ordre terrestre n’a d’onction divine – sauf un seul, vous savez lequel, qui est à cheval entre terre et cieux, constamment balloté.
Le plaisir, la jouissance terrestre ne sont en rien « interdits » ou diaboliques, malgré les interminables débats de la chrétienté sur ce sujet. Ce dont il faut se garder c’est de les absolutiser et d’en attendre autre chose qu’une pure jouissance… et bien, terrestre.
Oui il faudrait donc penser le problème politique, comme par exemple le problème de l’immigration et de la racaille ultra-violente, en-dehors de toute considération religieuse.
Le truc c’est qu’ici Lounès semblait parler de comportement individuel, dans la rue, face à des racailles, là pas d’institution, pas de pouvoir établi, pas de politique, c’est une histoire d’hommes. Un chrétien dans une telle situation est-il mieux armé qu’un athée ? Je n’en sais rien…
Non je ne pense pas que pris individuellement un chrétien soit mieux armé que quiconque face au phénomène des racailles. Il est tout autant impuissant, et il subit la rage au ventre.
En revanche ce qui est possible, c’est que jamais dans un pays globalement porté par le christianisme, de tels comportements racaillisants n’auraient fini par devenir aussi banalisés. Il y aurait eu rejet immédiat, dégoût, de quelle façon se serait-il manifesté je ne sais pas, mais il reste encore plusieurs de tels exemples de rejet dans plusieurs endroits dans le monde. Au Texas par exemple, mais pas que.
Il y a eu toute une façon d’affaissement collectif en France et en Europe, mais en en France particulièrement, qui a préparé le terrain à la racaillisation de la société. La fin de la croyance en un libre-arbitre en est une des manifestations, il y en a bien d’autres. Le socialisme en lui-même est un pré-racaillisme ou un pré-islamisme, une avant-garde qui vient saper les immunités existant précédemment.
@Buck Danny
Il parle de style pour différencier l’Ancien et le Nouveau Testament. Dans le premier il y a un peuple, une terre, une époque, c’est quelque chose de charnel justement, une fable merveilleuse et intense, le second n’est que son application froide au reste de l’humanité, sa transformation en une morale universelle. Car oui, pour le contenu de cette morale, rien ne change de particulier, mais ce n’est pas laid si ça ne concerne qu’un peuple à un moment donné, en l’occurrence le peuple juif. La laideur c’est d’allumer cet incendie universel du ressentiment.
Pour Jésus, peut-être que Nietzsche se trompe. Ceci dit il n’a rien écrit, donc il suppose que lui était le christianisme, quand Paul a décidé d’en faire une arme en le prêchant. Mais dans l’Evangile de Judas parait-il caché par l’Eglise, Judas raconte que Jésus lui a demandé de le tuer, comme s’il avait compris ce qu’il pourrait devenir en mourant. En l’occurrence Jésus passerait du statut d’homme naïf jusqu’à la sainteté à celui du plus génial pervers de l’histoire de l’humanité, mais cela ne change plus grand chose aujourd’hui je crois…
@XP
Le Christ n’a rien écrit parce que précisément il n’a pas voulu fonder une religion, une Eglise. Il a apporté la Bonne Nouvelle, et cette Nouvelle n’est pas la nécessité de bien se conduire pour aller au Paradis, elle est précisément cette attitude de détachement total des choses terrestres. On ne peut pas s’inquiéter, s’occuper des problèmes d’ici-bas et se dire chrétien. Enfin si on peut, mais alors on peut dire n’importe quoi.
Je ferais juste remarquer que Soral, qui aime le Nouveau Testament et déteste l’Ancien, pense comme beaucoup ici que les catholiques traditionnels sont les vrais chrétiens, comme vous prenez exemple sur les Texans qui dorment avec un flingue sous l’oreille et un crucifix au-dessus, et que les chrétiens se laissant tuer/dominer/voler n’ont rien compris au message du Christ.
Soral est un bon marqueur car il dit souvent l’exact inverse de la vérité, et encore une fois ça n’a pas raté. Il faut toujours comprendre le contraire de ce que dit Soral, à savoir : les catholiques qui défendent leur terre, la vie de leurs gosses face aux racailles, leur intégrité physique, sont bien plus proches du paganisme que du Christ, et ceux qui ne font rien contre tous les problèmes dont nous parlons ici sont véritablement chrétiens, car ces problèmes ne les concernent tout simplement pas.
Alain lit la Bible
Ce qui me gène chez certains, c’est qu’ils prennent comme base de départ le fait que nous serions une civilisation décadente, et que ce serait la cause de nos peurs faces aux casquettes.
La peur de la racaille, c’est quelque chose de particulier.Il y a un coté irrationel là-dedans. Je me suis souvent dit que je préfererais être pris à partie par dix FDS que par, mettons, trois racailles. Parce qu’ au-delà danger physique, il y a en plus une forme d’angoisse à être confronté à l’ inconnu total. Se retrouver face à un spécimen de banlieusard, ça équivaut à dialoguer avec un papoue, ou un martien. Une inquiétante étrangeté. Ni le même langage, ni les mêmes codes, impossibilité totale de lui répondre. notre éducation nous empêche de venir sur son terrain.
Même notre courage est un handicap. Combien blancs naïfs ont proposé à un arabe d’aller s’expliquer dehors à l’ancienne et se sont retrouvés entourés de vingt cousins sortis de l’ombre ? Individuellement, nous sommes désavantagés par nature, ce n’est pas notre décadence, c’est au contraire le raffinement de notre civilisation qui nous mets en état d’hébétude face aux crocs-magnons des cités. (Les identitaires, avec leurs camps de vacances homo-culturistes, sont à coté de la plaque). Notre problème n’est pas la haine de soi, la castration, ou autres conneries de « sida mental » mais parce que ,Dieu merci, nous ne sommes plus du même monde. Il est ridicule de se culpabiliser parce qu’on a peur devant un être violent qui grogne, crache par terre, et se marie avec sa cousine.
Le sauvetage de l’Europe ne se fera jamais par une « regénération » individuelle. La solution sera technique, et j’oserais dire, « bourgeoise ». Un simple problème de police.
Ce continent est un Rotary Club où une meute de pit-bulls s’est introduits. Pour les convives, il ne s’agit pas de se demander pourquoi ils sont dévririlisés, ou par quelle haine de soi personne n’ose maîtriser les clébards à mains nues. Il faut juste que quelqu’un prenne le téléphone et somme la fourrière de venir piquer les bestiaux.
Excellentissime commentaire!
Le problème, c’est que la haine de soi, elle est portée par ceux qui nous invitent à être par ceux qui proposent d’être comme eux.
Exactement comme les cathos tradis proposent ne nous transformer en mus en faisant ddes femmes françaises des pondeuses pallestiniennes comme les autres.
D’autant plus que d’une certaine manière, sur certain point, notre civilisation n’a jamais été aussi peu décadente:
Moins d’inceste dans les familles, moins de viols impunis, plus de mortalité infantile, La religion qui devient un choix personnel, le fric moins omniprésent que dans les sociétés traditionnelles (plus de mariages arrangés, mais de très chrétiens mariages d’amour…)
lE DISCOURS R2AC SUR LA décadence est très ambigu: ce sont les fruits de notre civilisation occidentale et chrétienne, qu’ils semblent rejeter, quand on gratte un peu.
Vous me faites penser à Gilles Lipovetsky, parfois (ce n’est pas une insulte, hein).
A chaque fois qu’on parle des méchants xénophobes, il y a toujours un connard de sociologues pour nous sortir René Girard. Le bouc émissaire, la violence sacrificielle, tout ça. Comme bien souvent, c’est très juste, si on prend la chose à l’envers: la racaille à prodondément besoin des boloss pour se souder entre eux. Quel plus bel exemple de violence sacrificielle que l’éxécution du pauvre Irvoas ? Les tournantes dans les cave sont moins un besoin sexuels assouvis de façon rustiques, qu’une façon de souder le groupe.
Voilà pourquoi ils nous font autant peur qu’ils nous fascinent, ils nous rappellent nos anciens démons enfouis. C’est là la nostalgie secrète de certains réacs, ressouder les français oui, mais avant tout par le meurtre, le moyen passe avant la fin. Les racailles leurs proposeraient de s’en aller pacifiquement,là, tout de suite, hé ben au fond d’eux ils en serait profondément déçus.
Une volonté de se débarrasser du christianisme cette révolution anthrompologique qui a mis l’individu au centre, pour revenir à un monde tribal, où seul le groupe et les Traditions ont de l’importance.
à savoir :
http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/12/06/le-meurtre-de-sadia-un-complot-familial_1613947_3214.html
y’a tout là-dedans.
Absolument pas d’accord avec ça, la révolution chrétienne n’a pas été celle de l’individu mais celle de l’inversion des valeurs aristocratiques, c’est-à-dire celles dont prétend être proche ILYS, quoi qu’on en dise. Le christianisme c’est la masse, la plèbe, le troupeau. C’est grâce à lui qu’aujourd’hui tout le monde peut voter. Le christianisme, ce platonisme pour le peuple.
Je ne suis évidemment pas d’accord non plus sur le fait qu’il ne faille pas apprendre de violence à nos enfants sous peine de les voir devenir musulmans, comme si on ne pouvait pas être « barbare » et penser, comme si l’individu occidental allait disparaître parce qu’en temps de guerre il se rassemble en groupes. Comme si le christianisme était l’individu sans cesse renouvelé et comme si toute alternative au christianisme était un retour à une tradition moisie, comme s’il n’y avait pas d’esprit libre avant le christianisme ou ailleurs, comme si…
Il faudra bien un jour décider de se battre au lieu de dire « Non je reste sur ma Nintendo et j’appelle la police pour me débarrasser des chiens », évidemment que dans le mouvement identitaire il y a quelque chose d’anti-occidental et d’anti-chrétien, car votre Occident est un endroit virtuel où seul l’individu aurait de l’importance, où toute mouvement de groupe est un rabaissement, comme si l’individu pesait face à la nature, mais que croyez-vous ?
Dès que l’on parle de naissance, rôle initial de la femme tout de même, on associe ça à palestinien et palestinien à islam et islam à mal absolu, c’est une pensée systématique et systémique, vous n’en sortez pas et vous êtes tous d’accord. Ces schémas sont moisis.
L’alternative christianisme/islam est une arnaque, il y a un monde non sémite ailleurs, quelque part, votre besoin d’absolu est révélateur et vous perdra.
—Il faut juste que quelqu’un prenne le téléphone et somme la fourrière de venir piquer les bestiaux.—
Et si personne veut prendre le téléphone ? Et si personne ne veut se charger de la fourrière ? Et si, quand par la force de choses les gens finissent par le faire, on s’aperçoit que la moitié de convives sont des pit-bulls, et la fourrière tenue par d’autres pit-bulls ? (p… on se croirait dans la Ferme de animaux^^)
Au fond d’eux-mêmes, combien de français seraient mécontents si on remplissait des ferrys et qu’on réexpédiait des milliers de smalas vers le Maghreb, en y mettant les formes et une bonne dose de légalisme ? Beaucoup moins qu’on le pense, j’en suis certain. Même le plus Dhimmi des potes à Besancenot n’y trouverait pas quelques avantages. Par exemple, si on offrait à chaque militant d’extrême gauche le logement d’une famille de racailles expulsée, je suis sûr qu’ils seraient beaucoup moins regardant sur la « Franceterredaccueil ».
Pour sauver les français, les moyens sont là, il suffit juste de les aider à accepter ce qu’ils souhaitent au plus profond d’eux. Rien qu’une réthorique adaptée ne puisse accomplir.
« si on offrait à chaque militant d’extrême gauche le logement d’une famille de racailles expulsée »
^^ Bon, mais entre temps, on aurait miné les apparts, hein ?
« Pour sauver les français, les moyens sont là, il suffit juste de les aider à accepter ce qu’ils souhaitent au plus profond d’eux. Rien qu’une réthorique adaptée ne puisse accomplir. »
A nouveau, le temps manque. Bientôt, les Français ce seront eux.
La peur de la racaille, c’est juste une habitude.
La racaille est naturellement stupide, donc encline à la violence sans reflexion : c’est sa connerie qui la rend dangereuse.
Ceci mis a part, le fds normal a des parents qui lui ont toujours dit que la violence, ce n’était pas la solution. Le fds normal a toujours eu des choses plus urgentes à faire que de traîner dans la rue : des devoirs, des visites aux grands-parents, des cours de sport etc…
La racaille, depuis toute petite, a toujours été encouragée à traîner dans la rue par la passivité criminelle de ses parents, la violence est son mode de vie, encouragée par son entourage.
La racaille est souvent, sinon toujours en groupe, et a le temps d’occuper le terrain. Le fds est seul, ou en petit groupe, et même s’il habite dans la même rue que de la racaille, il ne prendra jamais le contrôle de cette rue car au fond, il ne fera qu’y passer pour aller travailler ou rentrer chez lui. La racaille, elle passe son temps dans la rue.
La racaille a toujours usé de violence, dès le plus jeune âge, à l’encontre de fds a qui on enseignait que la violence était mal. Du coup, la tâche a été facile, et ils n’ont jamais arrêté, vu que celà marchait pour eux.
Le phénomène racaille n’existe que très peu en Angleterre, parce que là-bas, les jeunes anglais des classes populaires se chargent de faire le boulot : ils passent leur temps à se taper dessus dès qu’ils ont l’âge de marcher ou presque, et que leur environnement les encourage à la brutalité grégaire. Bref, le créneau racaille est déjà pris.
En clair, la racaille prospère en France parce qu’on éduque les fds à courber l’échine dès leur plus jeune âge. Et après, impossible de redresser la barre.
Le seul antidote à la peur de la racaille, c’est d’agresser en bande soi-même les racailles. En plus, c’est souvent rigolo, puisque les racailles se retrouvent dans une situation que leur logiciel ne prévoit pas. Et ils dérouillent.
—Le phénomène racaille n’existe que très peu en Angleterre, parce que là-bas, les jeunes anglais des classes populaires se chargent de faire le boulot : ils passent leur temps à se taper dessus dès qu’ils ont l’âge de marcher ou presque, et que leur environnement les encourage à la brutalité grégaire. Bref, le créneau racaille est déjà pris.—
Je trouve ça intéressant, savez pourquoi ?
Je me dis souvent, comme beaucoup : le problème racaille, avec de la volonté, serait vite réglé. Mais alors les politiques auraient beau jeu de nous dire : vous voyez, c’était pas si grave… vous voyez, l’immigration en soi n’est pas un problème… et donc : encore plus d’immigration. D’ailleurs, le RU n’est-il pas encore plus envahi que nous ?
On peut quand mème remercier les racailles de MONTRER l’invasion.
« parceque l’avantage d’une racaille arabe sur une racaille FDS, c’est pas de faire de la boxe, mais d’avoir trente-quatre cousins. »
C’est logique. Il faudrait, pour que ça marche, non seulement transformer nos petits en racailles, mais aller au bout de la logique: déchristianiser et transformer nos sociétés en sociétés tribales.
« On peut quand même remercier les racailles de MONTRER l’invasion. »
Mille fois oui.
Tout, plutôt que le lent pourrissement que nous subissons. Cette lenteur de l’infection est ce qui nous fait courir le plus grand risque.
Que fleurissent les bubons, que la maladie soit visible, y compris par les aveugles.
Ce que vous appelez courber l’échine, c’est simplement l’héritage d’une culture civilisée . Apprenez la violence à vos enfants , transformez les en racailles, et la seule chose que vous gagnerez, c’est qu’ils iront à la mosquée avant que vous ayez le temps de dire ouf.
D’abord, ils ne feront jamais le poids, parceque l’avantage d’une racaille arabe sur une racaille FDS, c’est pas de faire de la boxe, mais d’avoir trente-quatre cousins.
Les racailles anglaises, il n’y a pas plus dhimmies. Les entendre parler donne l’impression qu’ils ont grandi à Karachi.
« Apprenez la violence à vos enfants , transformez les en racailles, et la seule chose que vous gagnerez, c’est qu’ils iront à la mosquée avant que vous ayez le temps de dire ouf.
»
Tout est dit.
Mouais… vos théories sont séduisantes, mais à force de pousser le paradoxe ou le bouchon trop loin, on ne sait plus de quoi on parle, là… j’apprends la violence à mes gosses, et ils vont se transformer en racailles allant à la mosquée ? Parce que l’usage de la violence fait de vous un muzz, donc ? Ou vous voulez dire que la rue est tellement aux muzz qu’accepter le défi de la violence vous fera tomber dans leurs rêts ? Ben, c’est que les jeux sont déjà fait, alors, violence ou pas.
Et puis c’est oublier ce que dit Lounès plus haut, qu’un Blanc ne s’intègre jamais dans une bande de racaille. Et oublier la différence ethnique entre nous et eux, pourtant souvent soulignée par XP.
Exactement. Bien sûr qu’il faut retrouver une action de groupe, et cela n’aura rien d’une islamisation des esprits ou autre bêtise dans le genre, car nous n’avons pas attendu les racailles pour nous battre. Bien sûr qu’il faut se regrouper et frapper fort, comme si cela pouvait d’un coup lobotomiser chaque membre et lui faire perdre son individualité, c’est cela la force que certains supposent chez l’individu occidental ? Un truc qui disparaîtrait comme un rien ?
Nous irons en bande et le soir nous irons au bar pour en parler et rigoler, en faisant les mêmes blagues, en étant encore des individus occidentaux, nous aurons simplement pris la décision qu’il fallait pour garder nos femmes et nos gosses.
A voir absolument l’extrait de ce film où un connard vient expliquer à une classe de lycée que la violence n’est pas la solution, il se prend dans la gueule ceci « I think you’re the fucking Antichrist ». Magistral :
lien
—comme si cela pouvait d’un coup lobotomiser chaque membre et lui faire perdre son individualité, c’est cela la force que certains supposent chez l’individu occidental ? Un truc qui disparaîtrait comme un rien ?—
Exactement. Merci.
C’est d’autant plus étonnant chez XP pour qui le « chrétien ethnique », le Blanc, quoi, reste ce qu’il est, même athée, bobo, gauchiste ou autre, plus que n’importe quel oriental occidentalisé ne pourra jamais le devenir. Et voilà que ce Blanc deviendrait muzz par la seule force de la violence ! Même ce crétin absolu de K-libre dont parle Lounes n’a pas réussi à devenir une racaille.
Bon, peut-être que vous avez raison, voilà, ça vous va? Z’allez me foutre la paix, maintenant?
Non mais c’est dingue ça…
Mais je maintiens une chose quand même; il faut laisse les jeunes geeks tranquilles, c’est notre chance et notre fierté.
Pace qu’il y a de ça quand-même, dans ce discours. Une aataque en règle contre le premier de la classe rêveur et boutonneux. Et c’est pas bien.
Je ne peux que t’embêter XP, je suis ton symétrique, l’anti-XP !
Plus sérieusement, le geek premier de la classe, je connais, crois-moi. Mais le problème est qu’une horde de mecs arrivent pour péter la vitre, là, juste à côté du geek. Et ils vont le tuer. Alors il faudra un jour les buter. Et buter ceux qui nous font croire que la violence c’est pas bien, que c’est islamo-nazi. La violence c’est la nature, le groupe aussi. L’individu ne peut exister sans un groupe, un peuple avec lui. Un homme seul ne peut faire une pyramide humaine, sinon il se casse la gueule. Il faut une discipline, un esprit soudé en dessous de lui. Si on arrive jusqu’en haut, à l’individu, alors tant mieux, et on doit y tenir. Mais aussi à sa condition nécessaire.
—il y a de ça quand-même, dans ce discours. Une aataque en règle contre le premier de la classe rêveur et boutonneux—
Mais non, mais non. En échange de sa protection, les troupes de choc natio auront le droit de le tabasser une fois par an. Mais sans coup de boule ni coup aux burnes. Vous voyez bien qu’on pense aussi aux boutonneux.
—Si on arrive jusqu’en haut, à l’individu, alors tant mieux, et on doit y tenir. Mais aussi à sa condition nécessaire.—
Y sait trouver les formules justes, quand même, ce petit c…
Et merci pour l’extrait. ce film n’est pas loin du chef-d’oeuvre, et en plus, c’est le meilleurs rôle de Patrick Swayze.
De rien. Je viens de tomber par hasard sur cet article :
lien
Ça nous raconte l’horreur que vivent M. Jean, mais surtout l’horreur plus grande de revoir ses « convictions ». Il préfère mourir et se lamenter. C’est beau le hasard quand-même. A croire que Dieu existe et voulait que je lise ça maintenant, après cette journée de « débat » :
Tu m’emmerde parce que tu es une racaille, c’est tout…. Tu devrais avoir honte!
vivent M. Jean et Mme Françoise (qui elle n’a pas de convictions chrétiennes et voter Le Pen, bizarrement)
Xyr, ce lien a été donné, si je ne me trompe, sur ce même fil, par… Aquinus. Le coup du « syndicaliste chrétien » m’a aussi bien fait rigoler. M’enfin, il est chrétien, mais il est aussi syndicaliste. ça fait beaucoup pour un seul homme.
Il me semble qu’il y avait eu une étude publiée il y a peut être 6 mois ou 1 an, dans le journal la croix et qui montrait que l’électorat du FN était un des moins christianisé qui soit, tout particulièrement l’étude notait que parmi les chrétiens pratiquants le vote FN était le plus faible qui soit…
xyr : « Bien sûr qu’il faut se regrouper et frapper fort,(…)Nous irons en bande et le soir nous irons au bar pour en parler et rigoler, »
Avant d’en arriver là, xyr, je veux espérer en un dernier mouvement de fermeté, disons, de retournement de nos esprits si bien ancrés dans nos idéologies pacifistes (par ce Bavardage qu’évoque Lounès avec justesse me semble t-il et que l’on voit sous nos yeux chez ce Mr Jean qui réfléchit à son vote alors qu’il est littéralement en train de crever!)avec des initiatives comme ce Pacte pour la Justice. Je m’explique : si les réformes proposées par ce pacte étaient entérinées, hé bien l’impunité dont jouissent nos racailles serait globalement stoppée. En gros, il y aurait quelqu’un qui appellerait la fourrière et la fourrière ferait son job.
Sinon, effectivement, nous serons obligés de « frapper fort » (ne me demandez pas de préciser, j’en ai des hauts le coeur) car il s’agit en effet de protéger les siens.Si la justice ne fait pas son boulot nous serions alors tenus de le faire tout simplement.
xyr, l’article je l’ai posté en pensant à vous lorsque j’ai lu la dernière ligne sur le syndicalisme chrétien de Mr Jean qui l’empêche de voter FN. Voyez que je ne fais pas que tordre les événements selon ma structure mentale, cet article donne du grain à moudre à votre moulin.
Dans cet article du Monde il y a un truc hallucinant subrepticement glissé au milieu par Mr Jean ou Mme Françoise: alors que dans les années 60 dans le même quartier tout le monde bossait, ils constatent qu’aujourd’hui plus personne ne travaille. Personne. Faut pas être sorcier pour comprendre que ce cirque est à peu près équivalent aux cartons-pâte des soviets visités par Tintin, et que ce système volera spectaculairement en éclat. Alors on est peut-être pas décadent, mais y’a quand même un petit hic…
Qu’est-ce que vous entendez par action de groupe ? Se transformer en petites frappes et aller dans le rues en bandes, se bastonner, puis rentrer chez soi pour mater « Fight Club » avec un chocolat chaud ? Alors oui à la longue on finira par les ressembler, puis les rejoindre. Parce que pour se battre correctement avec eux il faudra s’adapter à leur codes, les imiter, et tôt ou tard on finira par s’assimiler. Et en aucun cas on ne pourra vaincre, ils auront toujours un train d’avance, car nous serons obligés de forcer notre nature, quand ils n’ont qu’à suivre la leur.
Après, je dis pas que la violence de groupe nous est impossible, mais elle devra alors être « européenne »: technique, pragmatique, sophistiquée. En gros, rentrons dans l’armée, la police, et formons des groupes secrets qui appliqueront le savoir-faire appris. Une toute petite organisation de style IRA, serait plus efficace que les gesticulations d’un milliers de Boulogne Boys, et nous n’aurions pas à perdre notre âme en singeant les singes. Moi à la place de Guéant, je t’aurai déjà crée une bonne dizaines de cellules dans la couronne parisienne.(et une mission commando pour libérer Breivik^^)
@aquinus
« Personne. Faut pas être sorcier pour comprendre que ce cirque est à peu près équivalent aux cartons-pâte des soviets visités par Tintin, et que ce système volera spectaculairement en éclat. »
Les agences de notations!
Elles aiment pas ca, les villages Potemkine!
Qu’on s’imagine un quartier entier, je sais pas moi, trois mille foyers avec une moyenne d’au moins 5, voir plus, habitants par foyer qui… et bien qui ne fout rien, hormis se livrer à des activités nocives du genre traffic de drogue revendue aux enfants des honnêtes gens, braquages de commerce, terreur soft par une délinquance capable de se déporter loin grâce aux transports en commun. Il doit y avoir de ces tableaux, des gens cloîtrés chez eux, terrés de peur, des cadavres qui empuantent, des scènes dignes des tableaux de maître espagnol – mon Dieu. Des milliers de gens qui ne branlent absolument rien. Mulitplié par des centaines de quartiers dans tout le pays, c’est à se taper la tête contre les murs. Ce pays va connaître un effondrement économique absolument terrifiant, ça va être l’exode bilbique hors de France, il est trop tard. Et y’en a qui veulenbt intégrer de force ces bons à rien dans le circuit économique… ça précipiterai encore les choses. On imagine aisément ces racailles gérant partiellement une centrale EDF, une chaîne d’assemblage industrielle ou une compagnie d’assurance. En 2 ans c’est l’Afrique, l’anarchie, corruption généralisée, loi du plus fort, main-mise des gangs sur le pays. On y va tout droit.
« On imagine aisément ces racailles gérant partiellement une centrale EDF, une chaîne d’assemblage industrielle ou une compagnie d’assurance. »
Et la France ne doit son AAA qu’à « sa bonne santé démographique » et à la « grande qualité de sa formation »…
—alors que dans les années 60 dans le même quartier tout le monde bossait, ils constatent qu’aujourd’hui plus personne ne travaille.—
Ce qui est drôle, c’est la manière dont est présentée la chose :
« L’ancien photograveur décrit la paupérisation croissante du voisinage. « Plus personne ou presque ne travaille » ETC » »
On a l’impression que l’Ange Paupérisation est descendu sur la ville sur ses grandes ailes et a pris tous les boulots de gens qui ne demandaient qu’à travailler.
La collaboration de cette saleté de profession de journalistes, leur abaissement tant intellectuel que moral, est sans fin. C’est… spectaculaire.
T-Moule :
« je dis pas que la violence de groupe nous est impossible, mais elle devra alors être « européenne »: technique, pragmatique, sophistiquée. »
Ben voilà. Ça me fait penser d’ailleurs à une connerie qu’on entend souvent : que nous n’avons aucune chance face à eux parce que nous sommes détribalisés, donc incapable d’action coordonnée etc. Mais agir efficacement en groupe ne nécessite pas nécessairement une structure ou un sentiement tribaux. C’est ce que démontre d’ailleurs depuis deux siècle le capitalisme occidental (et ses forces armées). Décider froidement et rationnellement de collaborer ensemble, pour des Occidntaux, est plus efficace que n’importe quelle cohésion tribale « à mort ».
Je suis pour la violence organisée si nécessaire, mais contre une retribalisation, comme vous. Mais je n’y vois aucune contradiction, au contraire. Le tout étant bien sûr qu’il y ait unanimité suffisante entre Blancs pour commencer à faire quelque chose.
Putain, je me mets à orthogrphier comme XP, ça craint… je me racaillise…
Oh ça va, vous, hein!
Le problème c’est qu’il s’agit d’une guerre larvée qui frappe un peu tout le temps, et non beaucoup à un moment précis. Il ne suffit donc pas d’organiser des milices, qui seraient d’ailleurs arrêtées par la justice de ce pays. Si l’on espère qu’au moment où la racaille passe à l’action les Blancs autour réagissent pour contrer l’assaut, on parle bien d’esprit tribal.
Ou, du moins, si l’on souhaite pouvoir ramener des gens très vite sur les lieux, il faut penser à un groupe organisé, pas à une bande de types complètement indépendant agissant comme des pros à telle heure. Des gens prêt à s’entraider à tout moment, qui sont donc soudés par autre chose que des montres synchronisées. Allez, je lâche le gros mot : une… communauté ?
Mais les communautés chez les blancs existent encore, (mauvais exemple: les arméniens de mon entourage, 4 générations après parlent encore arménien, se marient encore entre eux, s’entraident et pratiquent une foi chrétienne sincère)
Quand aux protestants (en France et aux USA), il y’a encore une cohésion très forte.
Sinon, sur les milices et les bandes de racailles blanches, j’objecterai que les russes se sont débarrassés de 3 siècles de terreur mongoloïde et ont inversés le processus jusqu’au fin fond des steppes de Manchourie, sans abandonner leur identité, leur foi, et en copiant trait pour trait les techniques et l’art guerrier mongol: Les cosaques étaient nés…
Putain des cosaques… vlà cqu’il nous faut !
—qui seraient d’ailleurs arrêtées par la justice de ce pays—
Attendez, de quoi on parle là ? Ou plutôt de quel moment ? A l’heure actuelle quioqu’on fasse, la justice nous stoppera. J’imaginais plutôt un moment où l’Etat fermerait les yeux (si tant est qu’il soit encore blanc), où il ne s’agirait pas seulement de résistance à des escarmouches etc. Mais bref, oui, une communauté. Mias plutôt régie par l’intérêt de chacun que par un sentiment tribal fort. Bon, c’est peut-être jouer sur les mots. et tout ça reste assez théorique.
Je rêve, même vous, vous vous y mettez à ce délire de guerre civile pour boutonneux de 14 ans? On y est dans la menthe là, tient.
Bon Dieu, pourquoi est-ce que le hasard m’a amené à naître dans un tel pays de larve?
Allons vlad, calmos tranquilos… il ne faut pas refuser les hasards zet opportunités dans lesquels nous emportent parfois la discussion… des fois je me relis et je me demande en effet ce que je raconte et dans quel état j’erre… j’en fais pas une maladie. Moi, le ridicule, ça fait longtemps que ça me tue plus…. devriez le savoir.
Parce que croire au christianisme comme rempart contre la racaille et le Sud en général, ce n’est pas un délire ?
La guerre civile on est en plein dedans mon vieux. Certains quartiers sont une vision du futur, qu’est-ce que vous croyez. Vous devriez plutôt apprendre à vous battre qu’apprendre le numéro de la police par coeur, conseil d’ami non-chrétien.
« Parce que croire au christianisme comme rempart contre la racaille et le Sud en général, ce n’est pas un délire ? »
Je ne pense pas vraiment avoir écrit ça, vous ne faîtes qu’interpréter les propos qui vous arrangent. Sans doute pour ça que vous n’arrivez pas à construire un univers personnel et que vous êtes sans cesse dans le montage permanent, entre citations diverses, petits totems et positions dépendants uniquement de votre affect, et qu’au final vous ne parvenez pas à construire grand chose malgré vos prédispositions innées.
L’égalité entre tous les hommes devant Dieu, c’est ce qui a amené l’Occident à mettre au même niveau la théorie et la pratique, pendant que les si brillants cerveaux grecs et romains considéraient qu’un intellectuel n’avait pas à mettre les mains dans la boue. L’égalité entre tous les hommes devant Dieu, c’est ce qui a permis l’avènement de la science expérimentale, de la machine à vapeur, etc…
L’atomisation des individus, c’est il me semble la base même du libéralisme, ce qui permet d’investir dans ce progrès, ce qui permet que même le dernier des benêts, à partir du moment où il travaille et qu’il consomme, investira d’une manière ou d’une autre dans une avancée qui fera avancer l’humanité.
Maintenant sortez un petit peu la tête de Nietzsche et mettez un peu les mains dans les cambouis, vous en êtes capable. Est-ce que faire venir par millions des abrutis incapables annonce un bon avenir pour ces principes, où est-ce que ce n’est pas de nature à les faire considérablement reculer? Qui au final participe à considérablement améliorer la vie de millions de gens, Bill Gates, un bon courtier ou Mère Thérésa? On gagne plus à sortir des gens de la pauvreté en favorisant un homme intelligent, honnête et travailleur ou momo de La Courneuve? Poser la question, c’est y répondre.
Par ailleurs quand à votre critique du christianisme, comme quoi il prépare les gens à la vie d’après et les empêche de se concentrer sur la vie terrestre, il semblerait que vous n’ayez même pas daigné écouter la formidable argumentation de La Crevette sur l’autre fil. La Mort, c’est malheureusement la seule et unique chose que l’on peut prévoir avec certitude, comment voulez-vous l’ignorer, et ne pas y répondre d’une façon ou d’une autre? Partir l’âme en paix, c’est probablement l’objectif dont tout le monde finira plus ou moins par rêver, et est-ce que vous penser qu’un FDS lambda partira l’âme en paix, si il sait que ses enfants seront condamnés au sous-développement parce qu’il aura été trop lâche pour empêcher l’installation massive de chimpanzés?
Ce que vous reprochez au christianisme, vous le reprochez en faîte à des lâches, qui se cachent derrière des principes pour ne pas affronter le véritable message que nous a laissé Jésus.
« La guerre civile on est en plein dedans mon vieux. Certains quartiers sont une vision du futur, qu’est-ce que vous croyez. »
Nous y voilà, et dire qu’un garçon comme vous se condamne à tenir les élucubrations d’un bof de fdesouche et à parler le même langage que Alain Soral, c’est juste pitoyable un tel gâchis. Mon vieux, j’affirme avec force et conviction que la France risque moins la guerre civile qu’un raz-de-maré submerge toute la Provence. Je quelques idées de quoi ça peut ressembler un pré-climat de guerre civil, on y est pas du tout, pour la simple et bonne raison que les allogènes et les fds ont plus ou moins le même objectif, celui de refuser la mondialisation libérale et de conserver un généreux modèle social, ajouté au fait que les allogènes n’étant pas des populations de souche, ils ne se troueront pas la peau pour rester coûte que coûte.
Ce que vous pensez être des prémices de guerre civile, ce sont juste les actions de gens à qui une propagande de longue date a donné la conviction que tout leur était permis. (Tient, et d’ailleurs, le fait que les plus pauvres et les plus colorés ait un droit supérieur sur les blancs bien portant, vous trouvez ça en cohérence avec l’égalité de tous devant Dieu?) Une bonne petite politique répressive, un changement dans la propagande, un recrutement massif en milice de ces racailles pour combattre le mondialisme, et tous les problèmes seront réglés. La vie pour vos descendants sera meilleure pour autant?
« Vous devriez plutôt apprendre à vous battre qu’apprendre le numéro de la police par coeur, conseil d’ami non-chrétien. »
Mais oui, voilà, c’est évident, j’appelle la police quand j’ai un problème parce que je ne suis qu’un Occidental efféminé qui n’a aucune chance face à la virilité légendaire des chévrophiles.
Ridicule, j’espère vous avoir apporté une petite lumière, parce que je ne perdrais pas plus mon temps si vous continuez sur cette voie.
« Mais plutôt régie par l’intérêt de chacun que par un sentiment tribal fort ».
Je l’espère de tout coeur. Une réponse « tribale » serait une régression tragique. De nos jours un occidental ne meurt pas pour l’idée saugrenue de protéger un voisin qu’il ne connait ni d’Eve ni d’Adam, mais pour qu’un barbare au front bas ne viennent menacer ses libertés individuelles. Walker Bush ne s’y est pas trompé, et à réussi faire lever son peuple d’individualistes obèses pour aller écrabouiller un pays à l’autre bout de la terre, en agitant cette menace.
L’Etat retournera sa veste le jour ou sa propre survie sera en jeu. Imaginons que la crise de la dette arrive à un tel point que la Caf du 93 ne puissent plus subventionner la racaille.Les émeutes qui en suivraient feraient passer 2005 pour une pyjama party. Ce jour là ce sera peut-être le gouvernement lui-même qui nous distribuera les fusils. En peu de jours tout peut arriver.
Quand on voit ce qu’arrivent à faire ces merdeux d’Anonymous, on se dit qu’une bande de Hackers natio, qui irait traffiquer les ordinateurs de la sécu,serait largement suffisant pour allumer l’étincelle.
Mais il n’y a pas de liberté individuelle sans groupe. Le « barbare » que vous pointer du doigt c’est la nature, la vie. Cela existe que vous le vouliez ou non. Cela ne signifie pas que les Blancs doivent devenir frère les uns pour les autres, ça n’a aucun sens d’aimer des inconnus, mais que nous avons tout de même quelque chose en commun. Et si vous ne voulez pas le voir, la racaille vous le rappellera bien vite : « Sale Blanc ».
Non le barbare, ce n’est pas la vie, c’est celui qui ne crée rien, qui stérilise tout et fabrique des déserts. Les barbares n’ont pas d’élan vital, juste un instinct de parasite surdevellopé. Ils disparaissent dans le néant quand ils ne peuvent plus piller. La vie elle est chez les peuples qui créent, pas chez des tribaux qui auraient le sens du rythme.
Nous ne sommes plus un peuple créateur, pas à cause d’un mal-être métaphysique, mais parce qu’on est anesthésié par l’Etat-Providence et ses valeurs féminines. Or, l’Etat-Providence, ça n’a jamais que 50 ans d’existence et Moody’s est en train de le poignarder dans une ruelle sombre. Tout n’est pas perdu.
J’ai un peu survolé cet article et les commentaires, pas eu du tout envie de me concentrer à fond.
Je pense avoir une seule chose à dire: arrêtez de vous faire peur devant TF1 les gens. Je suis sans doute un grand bourgeois totalement coupé des réalités, mais je n’ai vraiment pas l’impression de vivre à Bagdad, ou dans les favelas de Rio. Pourtant c’est pas le nombre d’allogène par jour que je croise qui est petit. La propension de la « fachosphère » à dramatiser la situation et à se croire constamment au bord de la guerre civile est quand même hallucinante, et ce fait en lui-même est environ un milliard de fois plus intéressant à étudier que les affres de momo le dealer de shit.
Moi la racaille, je ne la prend même pas en compte dans mon schéma de pensée. Les seules question qu’il y a à se poser, c’est quel est l’essence de ce qui la fait venir et qui lui permet de s’installer définitivement en France. Car je suis bel et bien certain que ceux qui tiennent tant que ça à leur venue ne sont pas des faibles qui se courbent face au droit du plus pauvre, ça ça ne concerne que des lambdas, mais sont de vrais pourritures avec de vraies idées derrière la tête.
Entrer dans l’idée que les racailles en elles-mêmes représenteraient un vrai enjeux, c’est entrer dans une logique territoriale, clanique, devenir comme elles alors que leur présence n’est justement que le reflet des dernières résistances à la mondialisation. Leur prêter plus d’importance qu’elles n’en ont sera au final beaucoup plus nuisible qu’autre chose à terme, car ça ne fera que grossir artificiellement les risques que représenteraient une expulsion massive, et est donc de nature à effrayer le vrai peuple de France pour rien, et à donner du grain à moudre aux milliers de Soral qui auront prochainement pignon sur rue.
J’ai un peu survolé cet article et les commentaires, pas eu du tout envie de me concentrer à fond.
Je pense avoir une seule chose à dire: arrêtez de vous faire peur devant TF1 les gens. Je suis sans doute un grand bourgeois totalement coupé des réalités, mais je n’ai vraiment pas l’impression de vivre à Bagdad, ou dans les favelas de Rio. Pourtant c’est pas le nombre d’allogène par jour que je croise qui est petit. La propension de la de la réacosphère à dramatiser la situation et à se croire constamment au bord de la guerre civile est quand même hallucinante, et ce fait en lui-même est environ un milliard de fois plus intéressant à étudier que les affres de momo le dealer de shit.
Moi la racaille, je ne la prend même pas en compte dans mon schéma de pensée. Les seules question qu’il y a à se poser, c’est quel est l’essence de ce qui la fait venir et qui lui permet de s’installer définitivement en France. Car je suis bel et bien certain que ceux qui tiennent tant que ça à leur venue ne sont pas des faibles qui se courbent face au droit du plus pauvre, ça ça ne concerne que des lambdas, mais sont de vrais pourritures avec de vraies idées derrière la tête.
Entrer dans l’idée que les racailles en elles-mêmes représenteraient un vrai enjeux, c’est entrer dans une logique territoriale, clanique, devenir comme elles alors que leur présence n’est justement que le reflet des dernières résistances à la mondialisation. Leur prêter plus d’importance qu’elles n’en ont sera au final beaucoup plus nuisible qu’autre chose à terme, car ça ne fera que grossir artificiellement les risques que représenteraient une expulsion massive, et est donc de nature à effrayer le vrai peuple de France pour rien, et à donner du grain à moudre aux milliers de Soral qui auront prochainement pignon sur rue.
Je rajouterai même que cette histoire d’immigration masque par son caractère immédiat et visible, un problème plus important encore :
Le taux de fécondité catastrophique des européens.
Et ça, les chrétiens, malgré le fait qu’ils tendent l’autre joue, ont un « coup » d’avance…
Catastrophique, pourquoi ? Passqu’on fait pas 7 ou 15 gosses comme le premier Arabe ou le premier Malien venus ? Ça n’est catastrophique que si on garde les vannes de l’Europe ouvertes (et encore, mème si on se mettait à faire 4 gosses, ça changerait quoi ?). On est des Européens, pas des poules pondeuses. Fermons les vannes et que d’autres continents s’étouffent dans leurs 3 ou 4 milliards d’habitants, si ça leur chante…
Et finir en nation de vieillards comme le Japon?
Si c’est catastrophique, c’est parce que les européennes se complaisent dans la vanité stérile, et les européens dans la procrastination passive.
L’avenir ne se joue pas dans un poste de télé ou dans un livre, aussi pertinent soit-il. Il se joue dans la rue, par la possession des femmes. C’est pourquoi les racailles enferment les leur dans les HLM, et trainent toute la journée…
Bien sûr que non, le véritable chrétien se fout de la transmission, de l’héritage ou de toute notion de race, il est un individu complètement hors du monde matériel. Les familles traditionnelles auxquelles vous faites allusion ont un état d’esprit bien plus clanique et païen qu’autre chose.
« soyez féconds et multipliez-vous. »
Du Nietzsche dans le texte ?
Non, mais le don de mettre des enfants au monde comme rôle fondamental et essentiel de la femme, oui. Quelque chose que le progrès occidental, et sa motivation chrétienne, a toujours voulu abolir parce qu’il est encore une barrière, une différenciation, un obstacle à l’égalité parfaite. La modernité n’est pas faite de valeurs chrétiennes devenues folles, mais de valeurs chrétiennes tout court, ou plutôt : cette modernité n’est pas plus folle que d’aller se laisser bouffer par des lions sans broncher durant les premiers siècles de notre âge. Le christianisme est une folie séduisante, mais on ne peut profiter de ce spectacle sans les conséquences dans le monde réel.
Comme un mec un peu fou-fou qu’on croiserait au bar le vendredi soir et dont on apprécierait le côté excentrique, en dehors de tous les cadres. Sauf que ça c’est bien de loin, ses gosses doivent moins apprécier ce caractère, eux qui grandissent avec. Nous sommes les enfants du christianisme.
Eh bien, quelle énergie dépensée pour ne répondre à aucune des objections soulevées ! Le niveau de l’argumentation est vraiment faible quand même (« allez lire N. », « on ne peut pas dire ça », « je refuse de répondre », « c’est de la crasse intellectuelle » etc.). Je me vois donc contraint de reformuler mes arguments :
1. Cette croyance/foi en la puissance de l’esprit et des idées est infondée, et ne résiste ni à l’analyse conceptuelle ni à la confrontation avec les faits. Les périodes de rayonnement les plus fortes de l’Europe sont celles où le christianisme et ses dévoiements révolutionnaires supposés étaient les plus installés ; la période de déclin de l’Europe ne coïncide pas avec l’apogée du christianisme (c’est même l’exact contraire) mais plutôt avec une suite de boucheries guerrières (de Napoléon à la Première Guerre Mondiale) qui ont saigné l’Europe de ses hommes les plus forts et les plus vaillants ; les agents les plus convaincus de la décadence sont, dans une large mesure, anti-chrétiens ; au contraire ceux qui luttent contre leur influence de la manière la plus efficiente (séparatisme vis à vis de l’Etat et éducation saine des enfants) sont plutôt, justement, des chrétiens.
2. Du coup, le discours que vous tenez, ou plutôt que vous reprenez, ne tient pas non plus et vous contraint à des biais de raisonnement énormes pour le maintenir. Puisque les faits démentent le lien de causalité christianisme-décadence que vous posez, vous redéfinissez le christianisme en le rendant équivalent… à la décadence. En substance : d’accord, peut-être que le christianisme paraît largement plus coïncider avec l’apogée qu’avec la décadence mais, en fait, et là attention paradoxe (dit le nietzchéen en plissant les yeux et en prenant un air profond et inspiré) c’est parce que quand les chrétiens vivent le plus sainement du monde, ils ne sont pas chrétiens mais quand ils ne sont pas chrétiens et qu’ils pataugent dans la haine de soi… ils sont chrétiens. Donc Louis XIV et les rednecks = pas chrétiens mais Onfray et Besancenot = chrétiens. Cherche pas c’est un paradoxe.
Les deux failles se recoupent mais elles sont également fatales. Je les découple pour bien qu’on voit que, du point de vue du raisonnement, ça ne tient pas. Mais on me dit qu’il ne faut pas se contenter de détruire les faux discours et qu’il faut apprendre, face à l’urgence, à être « constructif ». Pourquoi pas. Alors, pour ma part, je pense que « le christianisme », au plan théorique, n’est ni l’Ancien Testament ni le Nouveau Testament, mais la réunion, et parfois la tension, des deux et que chaque époque fait face à cette dualité fondatrice en fonction de la vitalité de ses hommes. Dans une période de grande santé, la tendance Schopenhauerienne/NT, le culte de la compassion et l’attrait pour le néant (qui n’est jamais qu’une question de caractères) peuvent être supportés sans problèmes. Mais quand la civilisation vieillit (ce qui est le cas de la notre), ses forces déclinent, elle est prise d’un sentiment de fatigue et ressent la vanité de ses anciennes passions. Les deux courants, vitaliste et décliniste se maintiennent, probablement dans les mêmes proportions qu’avant (parce que la marque de notre époque ce n’est pas plus le masochisme que le vitalisme, au niveau de ses discours) mais reconfigurés : là où le vitalisme, avant, était un élan naturel, il devient une affirmation théorique. C’est là qu’arrive Nietzche, ou l’introduction de la méthode Coué en philosophie : un homme malade et empêché pour un continent malade et empêché qui pense qu’il suffit d’appeler de ses voeux la vie, la santé et le déchaînement dyonisiaque pour qu’ils deviennent effectif (raison pour laquelle je pense que Nietzche est, sous cet angle là, le père spirituel du festivisme, mais c’est une autre histoire). Je le dis mais je répète : la foi dans le langage est la compréhension la moins tragique du monde.
Bref, ne nous égarons pas : le christianisme est plastique, preuve en est les mutations qu’il a subi en Europe, sans parler de ce que les autres peuples en ont fait et qui dément sans appel la reconstruction monolithique que vous en faites a posteriori. Un retour au christianisme aujourd’hui relèverait, à mon sens (et encore une fois je ne suis pas croyant), plus d’un mouvement d’élan et de renouveau civilisationnel (réagrégation des troupes avant la bataille) que l’inverse. Et nul doute pour moi qu’on s’arrangerait alors pour mettre en valeur la part ethnique et guerrière qui est, aussi, au coeur du christianisme. Que la force nous revienne, l’intendance théologique suivra. Elle suit déjà, du reste, avec par exemple la notion de chrétien ethnique développée XP, qui sera sans doute reconnu Père de l’Eglise en 2562 par le Saint-Empire-Terrien Galactique.
Ah tiens j’avais pas vu les « plans » qui sont en train d’être élaborés pour se débarrasser des racailles…
« Le mouvement démocratique continue l’héritage du mouvement chrétien ».
Je n’ai rien d’autre à vous dire, tant de mauvaise foi est insurmontable.
Si vous tenez à faire un lien entre christianisme et démocratie (et je suppose que vous entendez démocratie dans sa forme contemporaine), je répéterais simplement ce que j’ai dit plus haut, à savoir que l’atomisme des individus et le culte de l’Etat sont proportionnels à la déchristianisation. Pour être schématique : la France est un pays anti-chrétien, individualiste et étatiste ; le Texas est chrétien, communautaire et libertarien. La corrélation est évidente : l’Etat (et la destruction des structures traditionnelles que son expansion induit) a été inventé pour pallier à la mort de Dieu, que la plupart des hommes n’ont (et n’auront à l’évidence jamais) la force d’affronter. D’ailleurs, si on prenait les idéologies pour des causes efficientes on pourrait dire que l’abandon du christianisme, en ce qu’il a laissé vacante une place qui est désormais occupé par l’Etat, a été une cause de décadence. Mais nous ne mangeons pas de ce pain là n’est ce pas. Donc si lien entre christianisme et démocratie il faut établir ce serait, à mon sens, celui de vases communicants (la nature a horreur du vide).
Pour le reste, reconnaître son incapacité à contre-argumenter, c’est bien, mais c’est dommage de s’en tenir là.
Ce n’est pas tant l’expansion de l’Etat qui induit la destruction des structures tradi, même si vous avez raison, c’est la volonté directe de la République Française de supprimer toutes les structures intermédiaires entre elle et l’individu pour interagir directement avec lui.
Si Alain Soral me dit « Prouve moi que les Juifs ne contrôlent pas tout » et que je lui réponds « Je n’ai rien à vous dire », ce n’est pas une incapacité à contre-argumenter. Je me suis largement étendu sur ce fil, en arguments, vous ne voulez pas comprendre et je ne crois pas aux miracles.
Vos arguments sont d’une faiblesse incroyable, et vous n’écoutez pas les miens. L’avènement des idées modernes par la révolution française n’est anti-chrétien qu’en apparence, il n’est anti-chrétien que pour les esprits superficiels.
Cette ère démocratique est la suite logique du mouvement chrétien, l’atomisme de l’individu est l’application directe de l’atomisme des âmes, notion inventée par le christianisme. Nous parlons d’un même mouvement vers l’égalité des droits et la pitié pour ceux qui souffrent, ce sont les mêmes piliers, la même façon de voir le monde, les mêmes valeurs anti-artistocratiques. C’est évident et je ne vois pas l’intérêt de ré-invente la roue.
Oui et cela a commencé avec la Réforme. La République est la dernière révolte des esclaves en date, elle est la suite logique de la volonté chrétienne, supprimer toutes les structures parce que tous les hommes sont égaux devant Dieu.
La morale chrétienne
La hiérarchie est insupportable, nous avons Dieu et nous sommes égaux devant lui.
Dieu est encore trop loin, trop abstrait. Il nous faut un Dieu à la portée des hommes, pour lequel on puisse voter, qui garantirait l’égalité ici et maintenant. L’Etat.
L’Etat est encore trop hiérarchique, il faut abolir toute verticalité, les gens doivent se diriger eux-mêmes sans plus aucune caste, aucune différenciation, l’égalité tout de suite ou rien.
Vous prétendez que la révolution moderne n’a aucun lien avec le christianisme si ce n’est celui de l’avoir remplacé ? Des vases communicants ? Aucun lien de contenu, de nature, d’horizons et de buts ? La révolution s’est faite chez la fille aînée par hasard ?
Bien sûr qu’on reste dans la même famille de pensée, le même système de valeurs, et il y a un sens à tout cela. Cela ne ce serait jamais fait dans l’autre sens, un Etat égalitaire passant à une monarchie de droit divin, vous l’imaginez ? Non, car l’esprit chrétien ne veut pas cette évolution. Il veut l’égalité de plus en plus stricte.
Ce que vous prenez pour une opposition n’est qu’une rupture de façade entre tenants du même système de valeurs, Robespierre était juste plus pressé que les prêtres.
J’en reste les bras ballants. Vous avez vu le reste de l’humanité? les cultures pré-chrétiennes, ou totalement non-chrétiennes? partout le même désir mimétique, la même jalousie maladive, la même course effrénée vers l’égalité et l’indifférentiation. Toutes les cultures tentent d’échaffauder des rites qui maintiennent la différence, mais immanquablement ces rites s’affaissent, perdent de leur force et la crise toujours se rapproche. Ca a été une constante de l’Histoire de l’humanité.
Le christianisme n’a rien aggravé à la situation. En revanche en dé-mystifiant brutalement les sociétés humaines, en leur révélant ce sur quoi elles ont toujours été fondées, en faisant le distingo entre ciel et terre, il laisse parradoxalement peut-être plus de place que toutes les autres cultures, à un ordre humain qui soit un peu plus supportable que s’il était d’ordre divin. C’est pour cela que ces structures hiérarchiques volent en éclat au moment où les individus perdent leur foi, parce que la morsure de la jalousie n’en devient que plus terrible, parce qu’ils retombent dans des schémas absolutistes et mystiques, bien avant la Révolution, où comme l’a si bien dit Emil, la mort de Dieu leur est tellement insupportable qu’il faut le remplacer par un léviathan.
@Aquinus
Voilà qui devrait vous intéresser:
http://www.24hgold.com/francais/contributor.aspx?article=3723472656G10020&contributor=Damien+Theillier
@Aquinus
« Il ne faut vouloir ni enjoliver ni excuser le christianisme : Il a mené une guerre à mort contre ce type supérieur de l’homme, il a mis au ban tous les instincts fondamentaux de ce type, il a distillé de ces instincts le mal, le méchant : — l’homme fort, type du réprouvé »
C’est pourtant tout à fait cohérent. Dieu était devenu inutile puisque la morale chrétienne était jusque dans les tripes des hommes. A partir de là Dieu n’était plus qu’une barrière de plus à abattre, un scandale, il ne doit plus rien y voir au-dessus de l’homme.
Alors l’Etat, qui présente l’avantage d’être une certitude, un truc que l’on voit, a pris sa place. L’égalité concrète, pas dans un paradis éventuel. On préfère mourir sur la certitude d’un néant assuré plutôt que sur la possibilité que Dieu n’existe pas.
Puis l’Etat a constitué lui aussi une barrière aux yeux des plus impatient. Le révolutionnaire jacobin tue le prêtre, l’anarchiste tue le révolutionnaire, et ainsi de suite, leur opposition n’est qu’une différence de degré, d’impatience, leurs visées sont les mêmes, leur horizons est le même.
Petit à petit, l’égalité du troupeau s’impose contre tout ce qui lui fait obstacle, l’objectif est la masse parfaitement homogène et plate. La croyance c’est maintenant celle-ci, même si évidemment nous n’y voyons que du vide.
Vous touchez ici à un point crucial magnifiquement résumé dans la dernière phrase de la Généalogie de la morale :
« L’homme préfère vouloir le rien plutôt que de ne rien vouloir. »
Je ne sais pas si on mesure la portée d’une telle sentence. En VO la puissance du jeu de mots est bien plus belle. Ou comment conjuguer à la fois le fond et la forme.
Ce message répondait au commentaire de Mr Monaparte du 7 décembre 2011 à 10 h 17 min…
Je crois avoir un peu mieux saisi le mécanisme.
Reste que je ne vois pas comment un arbre peut vivre sans ses racines?
Il existe un postulat de départ indémontrable et qui relève de la foi et pas de la raison: « Tous les êtres humains naissent égaux en dignité et en droit »
Cela est valable uniquement dans la mesure où on croit que Dieu a créé le monde et qu’il a accordé son fils pour que n’importe quel être humain au delà des limites de temps et d’espaces puisse vivre éternellement.
En deux coups de cuillère à pot, par la raison, on peut tout aussi bien démontrer qu’on ne pouvait naitre d’une mère vierge au Ier siècle, et que nous ne sommes égaux en rien, et ce déterminé génétiquement.
Xyr, vous me semblez sous-estimer (ou est ce moi qui surestime?) le rôle des découvertes scientifiques, du « désenchantement du monde » (comme dit l’autre)…
Inévitablement, la raison, la modernité, la science, devraient abattre la république, l’universalisme et l’égalité, bien plus surement qu’elles ont affaibli la croyance en Dieu…
On devrait logiquement tendre vers quelque chose de froid et athée, une société technique et aristocratique, voire racialiste…
On n’en a jamais été aussi éloigné…
Vous êtes sur le bon chemin.
Justement, Nietzsche a démontré combien la science de son époque n’avait rien d’indépendant vis-à-vis de la Foi. Un homme qui naît dans notre civilisation ne s’affranchit pas par miracle de siècles de valeurs uniquement parce qu’il est bon en maths. Leur croyance en une vérité absolue est aussi une foi. Il y a un très bon passage sur la physique dans Par-delà bien et mal qu’il faut que je retrouve. En posant des lois sur le fonctionnement de l’univers, les physiciens sont déjà dans l’interprétation. Les règles qu’ils posent collent un maximum avec ce qui se produit dans les faits, mais ne sont pas les faits. Il se pourrait que de toutes autres forces donnent naissance aux phénomènes que nous voyons. Autrement dit les scientifiques aussi ne voient que ce qu’ils sont prêt à voir.
Effectivement je crois que vous surestimez la découverte scientifique. Elle aussi a son plafond, ses axiomes. Vous même êtes en train de formuler une croyance lorsque vous considérez comme allant de soi que la découverte du vrai devrait faire vase communiquant avec la foi. C’est la croyance au progrès que vous formulez en filigrane.
Certes un scientifique se rapproche plus, en théorie, de la liberté qu’un croyant, mais là encore cette opposition n’a pas toujours lieu d’être. La religion ne se cantonne pas en la croyance en un Dieu créateur de la planète en 7 jours. Les phénomènes qui nous entourent ne sont enfermés que dans nos lois, « C’est nous seuls qui avons inventé comme autant de fictions la cause, la succession, la réciprocité, la relativité, l’obligation, le nombre, la loi, la liberté, la raison, la fin ». Nietzsche résume ça en disant « Nous ne sommes pas débarrassés de Dieu, nous croyons encore à la grammaire ».
Donc non, la science va dans le sens de la république car toutes deux sont portées par le même espoir, la même volonté. Les scientifiques ont besoin des vérités qu’ils trouvent, comment voulez-vous qu’ils ne trouvent pas ?
Comme Voltaire, ils ne cherchent le Vrai que pour faire le Bien – je parie qu’ils ne trouveront rien…
Il faut se méfier de toute démarche dite « scientifique » ou « indépendante ». Ces gens n’ont plus besoin de Dieu pour croire en l’égalité de tous, et les découvertes qu’ils peuvent faire ne doivent pas aller à l’encontre de cela. Tout est idéologique, à partir du moment où l’on prononce ne serait-ce que le premier mot, on fausse, on réduit, on rabote, on interprète le réel.
La foi n’a plus besoin d’objet. Nous sommes égaux parce que Dieu ? Non, nous sommes égaux parce que nous sommes égaux, récursivité et boucle infinie, si la république était un programme informatique il aurait planté depuis longtemps. D’ailleurs qu’est-ce que notre Europe actuelle si ce n’est un gigantesque écran bleu windows ?
« Reste que je ne vois pas comment un arbre peut vivre sans ses racines? »
C’est bien pour ça que nous crevons. En plus d’être imprégnés d’un système de valeurs mortifère nous tourons à vide, sans plus aucune transcendance, même pas l’ombre d’une volonté de hauteur.
Céline
Tenir tête à la racaille ne fait pas nécessairement de nous des racailles.
Le problème, c’est que dans notre culture, les petites frappes de cour de récré qui terrorisent les autres gamins sont perçues comme des « forts » par les mômes, mais les parents leur explique qu’en fait ils sont faibles. Ils ont en partie raison, vu que ces graînes de racailles finissent « grand frère de cité » (i.e. petit voyou sans envergure payé par la mairie pour calmer les esprits quand ça menace de trop déraper) puis finalement chômeur au rmi ou marchand de kebab ; alors que les « faibles » des cours de récré finissent avec un vrai boulot.
Cependant, est-ce que tout cela vaut de subir humiliation sur humiliation dans son enfance et sa jeunesse, et de voir sa progéniture exposée au même sort ?
Deux anecdotes dont on pensera ce qu’on voudra :
Quand j’avais 14 ans, embrouille avec une simili-racaille locale (un portugais, on n’avait que ça sous la main). Je me prend une droite mais je tiens tête à ce débile. Rentré chez moi, je raconte le truc à mes parents qui paniquent et se perdent en discussions interminables sur ce qu’il faut et ne faut pas faire. J’aurais préféré que mon père me dise : » c’est bien, tu as tenu tête à ce connard, la prochaine fois, met lui un bon coup de tronche ». Manque de pot, j’ai été considéré comme une VICTIME plutôt que comme un PROTAGONISTE. Et de plus, je sentais que je ne pouvais pas trop compter sur le soutien physique des nombreux autres gamins qui avaient assisté à l’altercation.
Quelques années plus tôt, le même individu jouait déjà les terreurs au centre aéré. Un jour, un gamin qui avait l’air d’une asperge mais qui était visiblement un nerveux s’est fait prendre à partie par le caïd. Il lui a mis un coup de tronche aussi sec, le caïd en question est resté assis à récupérer pendant 20 minutes. Mais l’adulte qui supervisait le groupe est venu engueuler l’asperge en lui disant « quand on n’a pas les moyens de jouer au dur, on reste tranquille ». En clair, l’adulte avait peur d’un môme de 13 ans qui jouait les durs, et de voir que la hiérarchie qu’il considérait naturelle parmi les gamins avait été bouleversée l’emmerdait. J’en ai conclu que les adultes étaient lâches et que la situation de domination exercée par quelques petites voyous sur la masse des autres gamins les arrangeaient bien, et qu’il ne souhaitaient pour rien au monde que les gamins gentils relèvent la tête face aux méchants.
A bon entendeur, salut.
—En clair, l’adulte avait peur d’un môme de 13 ans qui jouait les durs, et de voir que la hiérarchie qu’il considérait naturelle parmi les gamins avait été bouleversée l’emmerdait.—
Aha, ça oui c’est une anecdote intéressante…
@ Xyr
—–Erreur fondamentale. La Foi chrétienne est plus forte que jamais, au sens où c’est la Foi au système de valeurs chrétiens. Plus besoin de Dieu, mais les messes égalitaires et la haine contre ce qui se tient debout et fort sont toujours là. Elles ont juste changé de nom, on changé de degré mais pas de
nature.
Vous avez déjà essayé de remettre en cause l’égalité des hommes, devant Dieu ou pas c’est aujourd’hui un détail, mais l’égalité des hommes ? Remettre en cause une publicité pour les dons avec un gamin africain maigre à la télé pendant un diner de famille ? Vous ne voyez pas les réactions viscéralement chrétiennes ?—–
N’y a-t-il pas quand même une différence de nature, en ce sens où s’il y a Dieu, on ne prétend pas tout résoudre, tout comprendre ici-même des inégalités que l’on ne peut éviter de constater ? Car le christianisme, ça n’est pas QUE l’égalitarisme. Alors que si Dieu disparaît, on est entre hommes, et donc l’inégalité devient inacceptable et doit-être réglée ici-même ? N’est-ce pas tout de même une différence fondamentale ?(de même que la Paradis socialiste doit être instaurée ici-même, contrairement au Paradis chrétien qui laisse une large autonomie sur Terre).
Ce que je veux dire, c’est que même en établissant la filiation entre l’égalitarisme chrétien et l’égalitarisme moderne progressiste (indubitable), on n’a pas démontré que la « Foi dans le système de valeurs chrétien » est encore du christianisme : car il y manque, à ce système de valeurs, un élément de poids : Dieu, avec toute la part d’incertitude et de non-égalitarisme (sur cette Terre) qu’il porte.
Il y a des différences mais pas fondamentales, c’est la suite logique, l’accélération inéluctable produite par cette aspiration à l’égalité (qui est quand-même une invention chrétienne, ce judaïsme désincarné parce qu’à portée universelle).
Je ne dis pas que c’est la même chose, le socialiste et le chrétien, je dis que le premier a tué le second non en lui disant « Je déteste ce que tu dis, ce que tu représentes » mais en disant « Tu es vieux, pas assez énergique, trop patient, laisse place grand-père, on prend la relève que tu le veuilles ou non ». C’est là qu’il n’y a pas d’opposition fondamentale, comme il n’y en a pas entre une jeune femme de 20 ans et une vieille peau de 89 : c’est la même femme prise en photo à des moments différents.
Dans la Bible on dit déjà que les riches n’iraient pas au Paradis. Je veux dire, non, aucune opposition fondamentale. Ce système de valeurs est identique.
Après il y a des choses nobles dans le christianisme, l’apprentissage dans la piété pour les petits, vivre sans moyen et sans exiger d’en avoir (parce que ce monde n’est pas essentiel), il peut permettre d’éviter de tomber dans le ressentiment. Il peut aussi éduquer l’esprit à une rigueur intellectuelle remarquable, ce sont les restes talmudiques ça…
Mais ça ce ne sont que les effets d’une religion employée comme un outil par des gens plus forts, sur la masse. Le problème c’est quand une religion se met en mouvement d’elle-même, devient son propre moteur. Là elle devient force indomptable aboutissant à sa logique interne, son essence. Et la grande révolte des tchandala dans la morale ne peut pas aboutir à quelque chose d’autre que Jean-Luc Mélenchon, j’en suis désolé.
—je dis que le premier a tué le second non en lui disant « Je déteste ce que tu dis, ce que tu représentes » mais en disant « Tu es vieux, pas assez énergique, trop patient, laisse place grand-père, on prend la relève que tu le veuilles ou non ». C’est là qu’il n’y a pas d’opposition fondamentale—
Admettons. Admettons que ce soit ce que pense et dise le socialo au chrétien. Que dans l’INTENTION il n’y ait pas de différence.
MAIS, dans les EFFETS, ce « changement de rythme » (pour dire ça comme ça) induit bien une différence de nature : on veut le paradis et l’égalité SUR TERRE, alors qu’avant on l’espérait dans l’au-delà. Ce qui fait une sacrée différence quant à la manière dont la vie va être gérée ici-bas. C’était bien le sens de mon objection, et la réponse ne me convainc pas.
« Ce qui fait une sacrée différence quant à la manière dont la vie va être gérée ici-bas »
Et je dis ça aussi parce qu’historiquement et concrètement, ça a fait une sacrée différnece.
Les effets ? Ce que je vous réponds c’est précisément que le socialiste est l’effet du bourgeois démocrate, et que ce démocrate est l’effet du chrétien.
Est-ce l’effet inéluctable ? Outre qu’il y a des Aquinus, si c’est inéluctable, on doit considérer que le christianisme aussi était inéluctable, et qu’on ne peut donc rien changer à rien.
Mais sans vouloir être chiant, je ne parlais pas de ça. Je parlais des effets SUR TERRE. Le chrétien a Dieu et la Foi, qui l’empêchent de demander l’impossible ici-bas ici-même. B (le progressisme) est la conséquence de A le christianisme). OK. Mais B n’a plus le garde-fou que possédait A. Or, ce garde-fou n’était pas un détail, mais un aspect essentiel, qui concernait à la fois sa conception du Ciel et de la Terre. Qui le gardait les pieds sur Terre, en fait (le catholicisme, l’équilibre entre ciel et terre toussa).
Donc même question : la foi dans le système de valeurs chrétien sans Dieu est-il encore du christianisme ?
« on veut le paradis et l’égalité SUR TERRE, alors qu’avant on l’espérait dans l’au-delà. Ce qui fait une sacrée différence »
Evidemment, l’abolition de la différence entre Ciel et Terre est contraire à l’esprit chrétien. C’est une déviation. C’est bien parce que le royaume de JC n’est pas de ce monde qu’il peut induire un dégoût de ce monde-ci. Avec faire advenir le royaume ici bas, on abolit temporel et spirituel, politique et religieux et on trouve normal que l’Etat remplace Dieu.
@xyr : Ne me dîtes pas que l’Esprit du christianisme c’est de mélanger César (Etat) et Dieu ou de remplacer l’un par l’autre. Vous dîtes que Jésus ne se défend pas contre les envoyés de César venus le chercher, c’est bien la preuve qu’il ne cherche pas à remplacer (je n’ai pas dit influencer) César. Et ceux qui font le contraire sont donc la déviation et non dans le droit fil.
Autre chose, égalité des individus ne signifie pas réplication des individus.
xyr, sortez des années 1910 de grâce. Le socialiste n’a pas tué le chrétien, il a essayé comme tous les hérétiques avant lui, et comme tous les autres il a échoué. Car le socialiste triomphant de 1910 a laissé la place au socialiste mourrant de 2010. Leur hérésie est mourrante, elle est en train d’être défintivement balayée. Alors même que vous écrivez tout cela, l’Europe socialiste, l’Europe social-démocrate, est en train d’être rayée de la surface de la planète plus brutalement qu’aucun régime totlitaire n’aurait jamais pu le fantasmer. Un référendum? le souci d’équite sociale? le dialogue social? un scribouillard de S&P’s hausse le ton et ces fadaises sont vite oubliées, c’est assez inouï. Le christianisme va donc évidemment survivre au socialisme, il porte en lui non seulement infiniment plus de vitalité mais aussi des espoirs de renaissance pour bien des peuples. Ce sont les peuples affaiblis et malades qui rejettent le christianisme car le miroir tendu est trop douloureux; les peuples sains et ambitieux, eux, comprennent instinctivement ce qu’ils ont à y gagner.
Tétanisé par le XXe siècle et l’affreuse déchéance des blancs qui s’en est suivi, vous croyez l’Histoire terminée et en tirez des considérations définitives. Comprenez bien que c’est faux.
Il y a eu une guerre engangée il y a longtemps maintenant, entre chrétiens et chrétiens dissidents, dits « progressistes ». Ne faites pas comme si cette terrible guerre de religion n’avait pas existé, ne faites pas comme si les chrétiens avaient capitulé, comme si les résistances les plus féroces à ce progressisme relativiste n’avaient pas toujours été, et ne continuent pas à être, de nature chrétienne. Et surtout ne feignez pas de croire que les progressistes ont gagné la guerre; ils ont gagné une bataille, celle du XXe siècle, ils perdront celle du XXIe. Que va faire Mélenchon? convaincre l’armée de déclarer la guerre à l’Allemagne, les pères de famille de s’enrôler et l’ensemble de la population de voir son niveau de vie brutalement revenir en arrière de 70 ans? c’est ridicule, seul un dictateur incroyablement puissant et tenant son pays quadrillé pourrait tenter l’expérience. Mélenchon est impuissant, il est sorti de l’Histoire lui et sa funeste idéologie.
Tout votre commentaire est basé sur une erreur de lecture.
« Le socialiste n’a pas tué le chrétien », je ne fais aucune description historique là-dedans voyons, je parle de la nature de cette envie de meurtre, j’aurais pu dire « Quand le socialiste veut tuer le chrétien, il le fait pour… ». Cessez de vous offusquer juste parce que vous lisez « tué le chrétien », ne lisez pas au pied de la lettre, le sens de ma phrase n’est pas celui auquel vous répondez et je crois que dans le contexte de mon commentaire ça se voyait bien.
Pour vos guerres de religion je ne fais pas comme si elles n’existaient pas, je dis précisément qu’elles existent et qu’elles sont une guerre de chrétiens contre chrétiens. Le chrétien « de droite » que vous opposez au chrétien « progressiste » n’est qu’une apparence de surface. Ou alors, les chrétiens « de droite » dont vous parlez ne sont pas chrétiens réellement. Le christianisme c’est précisément la source du progrès moderne, du progressisme. Tous ceux que vous appelez texans, cathos qui enfantent, tout ceux qui maintiennent une hiérarchie dans les idées ou dans les institutions vont à l’encontre de tout ce qu’est l’essence du christianisme, ce sont des païens qui s’ignorent. C’est précisément à eux que je parle depuis le début.
« Tétanisé par le XXe siècle et l’affreuse déchéance des blancs qui s’en est suivi, vous croyez l’Histoire terminée et en tirez des considérations définitives. Comprenez bien que c’est faux. »
Vous plaisantez ? Lisez l’article intitulé « Sans commentaire » ici : lien
Vous ne me cernez pas du tout je crois.
« Le socialiste n’a pas tué le chrétien, il a essayé comme tous les hérétiques avant lui, et comme tous les autres il a échoué……..Il y a eu une guerre engangée il y a longtemps maintenant, entre chrétiens et chrétiens dissidents, dits « progressistes »
Je ne sais comment le dire, et pourquoi en lisant ça exactement, mais quand je lis ça, je me dis qu’il n’y a aucune différence fondamentale entre Aquinus, Xyr et les autres. Me viennent des souvenirs chestertoniens sur le catholicisme, son choix entre les extrêmes toujours parfait, l’équilibre toujours maintenu entre Ciel et Terre, la raison et le délire toussa. Il peut répondre parfaitement aux attentes d’un « vrai chrétien », d’un qui a la foi, tout en permettant les théories d’un Nietzsche.
Curieux, même l’opposition que fait Xyr à la suite de N. entre l’AT et le NT en est une preuve. Lui dit qu’ils sont irréconciliables, les catholiques que c’est d’avoir joint ces irréconciliables qui permet une vie entre Ciel et Terre. Mias ils disent la même chose.
Bref, on est tous des « chrétiens ethniques » (conscients), qu’on se sente chrétiens ou pas. On sait de quel côté sont les vivants, de quel côté les morts, qu’on les appelle « hérétiques », « socialistes » ou « tschandalas ».
Il y a quelque chose de cela oui. C’est bien pour cela que je fais toutes ces interventions ici et pas sur le site de La Question ou chez des chrétiens gauchistes assumés. Je le fais ici car je sens chez beaucoup d’intervenants de la liberté, de la force, de la volonté de puissance qui ne cherche qu’à s’exprimer. J’essaie simplement de ne pas leur faire perdre leur énergie, de le dire de ne pas placer leurs espoirs dans des schémas qui selon moi sont erronés. J’ai l’impression de les voir emprisonnés dans ce qu’ils ne sont pas.
C’est ça la bonne nouvelle de Nietzsche. Deviens ce que tu es.
Gil : « Il peut répondre parfaitement aux attentes d’un « vrai chrétien », d’un qui a la foi, tout en permettant les théories d’un Nietzsche. » Ah enfin quelque chose que je comprends!^^ Et puis ça me plait bien!
Une pondeuse nietzschéenne qui la foi, c’est jouable??
(Mon curé cite Nietzsche -favorablement- dans ses sermons, XP peut en attester…)
Tout a fait.
Ca m’a d’ailleurs tellement choqué que j’ai failli rentrer chez moi en stop.
Non, ça c’est parce que tu as peur de la bétaillère, c’est un autre problème.Quand tu es dedans tu as le sentiment que l’Equilibre chestertonien n’est pas respecté et que t’es plus près des Cieux que de la Terre. Illusions! te répondrait Nietzsche…
« Une pondeuse nietzschéenne qui la foi, c’est jouable?? »
Arrêtez d’écrire des phrases pareilles, ou je ne réponds plus de rien. La différence entre un pondeuse malienne et une pondeuse crevette, c’est qu’avec la deuxième mon imagination s’emballe. Passque j’me dis : 9 gosses, d’accord. Une pondeuse, donc. Oui, mais… les 9 gosses, il a fallu les FAIRE avant, non ??? Et c’est ainsi que votre serviteur devint fou.
Et pis non c’est pas jouable. Il y manque l’essentiel. Moi.
Rappelez-vous zarathoustra, IV, 1 :
« Et de nouveau Zarathoustra pensait à part lui, entre le lion et l’aigle : « O comme il me plaît bien maintenant, cet Homme aux ADM magnifiques ! » — c’est ainsi qu’on reconnaît les hommes supérieurs. Je te laisse, ô Homme, je vais jouer du pipeau dans la montagne, car c’est le grand Midi.—
Mais alors arriva la Femme-au-mouvement-de-self-dans-les-burnes-qui-termine-dans-le-mur, magnifique entre toutes, et elle commença à parler : « homme aux ADM prodigieux, grâce à toi je pondrai de belles brutes blondes aux cheveux gominés d’espingouin, en très grand-nombre, race métisse et cependant supérieure entre toutes, et ferme-la sinon tu termineras dans le grand Placard de Zarathoustrette. »
Mais vous n’avez pas su interpréter ce passage-clef.
Comment ça j’ai pas su l’interpréter? Je l’ai fort bien interprété, oui, mais avec mon mari, c’était lui le surhomme, le vrai évidemment!^^
Sinon, « la femme au mouvement de self dans les burnes » veut revenir là dessus, non pas sur les burnes, Gil! mais sur le cour de self défense.
Je fais ça depuis deux ans environ, non pas pour jouer à me faire peur*, mais simplement au départ pour lutter contre un « carcan » pacifiste ou non-violent qui nous touche tous, nous les occidentaux. Lounès explique l’importance du « mental » dans une bagarre. Je crois que ces cours qui devraient être imposés à tous (enfants, hommes, femmes), nous apprennent non seulement une technique mais aussi et surtout à posséder ce mental « violent » que l’on veut éradiquer à tout prix aujourd’hui de nos esprits. A surmonter notre pacifisme dévoyé et complètement immoral pour le coup et qui nous ferait douter de notre devoir de protéger les nôtres.
* Vlad Tepes , le monde décrit ci-dessus n’est pas que celui de quartiers abandonnés. L’impunité dont jouit la racaille aujourd’hui provoque l’élargissement de son « action » partout et les campagnes et petites villes de province sont très touchées.Il y a deux jours, ma fille lycéenne est rentrée en m’expliquant qu’un de ses camarades de classe s’est fait tabassé dans un passage souterrain de la gare locale, vers 17h, par une bande.Cette dernière a attendu que le petit groupe de lycéens dont faisait partie ma fille se disperse, le gamin a emprunté seul ce passage.Résultat : mâchoire fracassée, multiples fractures, le gamin ne reviendra pas avant Janvier en cours. Et des histoires comme celle-ci mes enfants en ont beaucoup trop à raconter.
« Je crois que ces cours qui devraient être imposés à tous (enfants, hommes, femmes) »
Farpaitement ! Surtout aux femmes, ces petites choses sans défense. J’ai d’ailleurs voulu organiser un cours de self pour jeunes filles dans ma cambrousse, mais je ne sais pas pourquoi, ça n’a pas marché… je demandais juste qu’elles luttent entièrement nues, pour pouvoir corriger leurs mouvements au, euh, poil près. Chuis un perfectionniste, moi. Elles ont refusé. Allez comprendre, pauvre Occident !
Plus sérieusement, je ne peux que plussoyer (1), Crevette zarathoustrienne. Sans vouloir relancer le débat sur l’origine chrétienne du pacifisme actuel, je crois que « pacifisme dévoyé » est un pléonasme. Il suffit de voir à qui a bénéficié le pacifisme au siècle dernier : Lénine, Staline, Hitler, encore Staline, Castro, Pol pot, Saddam, les Kim de Corée etc etc. D’ailleurs, plutôt que m’embêter à discuter, je rappelle cette petite généalogie de l’Immoral aux pacifistes quand j’en rencontre (ils continuent pareil actuellement, d’ailleurs : je me souviens une affiche récente pour « la paix » : on y soutenait contre « l’impérialisme américain » Cuba, l’Iran, les palos et la Corée du Nord – belle brochette !). Bref, on ne peut être pacifiste que quand tout le monde l’est.
(1) Votre mari me demande cependant de vous dire d’arrêter de vous en servir comme puntching-ball pour l’entraînement… on a beau être surhomme, on n’en est pas moins homme !
« Dans la Bible on dit déjà que les riches n’iraient pas au Paradis. »
Si, si ils peuvent c’est plus dur mais ils peuvent. Personne n’est exclu au départ. Vous savez ce truc d’égalité que vous ressassez depuis plusieurs messages. Il y a juste une hiérarchie (oups !) entre le riche et le pauvre (non prisonnier de l’argent).
Oui ils le peuvent, c’est plus dur car la richesse, la réussite, la force sont des tares. Mais c’est vrai que « ce truc de l’égalité » je ne devrais pas le ressasser, ce n’est pas du tout une question centrale de la morale qui règne en Europe depuis deux millénaires.
Bon j’abandonne ce fil, je suis las.
Amusez-vous bien
@ Emil :
—La corrélation est évidente : l’Etat (et la destruction des structures traditionnelles que son expansion induit) a été inventé pour pallier à la mort de Dieu, que la plupart des hommes n’ont (et n’auront à l’évidence jamais) la force d’affronter ……… Donc si lien entre christianisme et démocratie il faut établir ce serait, à mon sens, celui de vases communicants (la nature a horreur du vide). —
C’est vraiment tout à fait passionnant.
Mais pour faire une critique un peu inverse à celle que je viens de faire à Xyr : une fois que Dieu est mort, et si sa mort induit, par le système des vases communiquant, l’Etat tel que nous le voyons se déployer (et un même système de valeurs, comme le dit Xyr), n’en demeure-t-il pas moins que la critique de la religion que portait ce Dieu est justifiée ? Parce que si Dieu est mort, eh bien il l’est. Si cependant nous continuons sous le même régime de valeurs, et que ce régime, sans Dieu, se révèle désastreux, eh bien c’est qu’il est mauvais. Il est mauvais parce que Dieu n’est plus là, d’accord. « Idées chrétiennes rendues folles », passque Dieu absent, et la foi. Mais bref, mauvais.
Alors : ou l’on croit comme Aquinus qu’il va ressusciter (plutôt, puisqu’il l’est déjà, que la foi en lui va renaître), et on continue à vivre chrétiennement, ou si l’on y croit pas (et vous dites que vous ne croyez pas), ne faut-il pas en effet remettre en question tout le système chrétien ?
(Pour résumer : les « vases communiquants », d’accord. Mais il faut tirer les conséquences sur ce que le 1º vase (le christianisme) donne dans le 2º (l’Etat tentaculaire et égalitariste))
Ce que dit Emil sur les vases communicants n’est pas faux mais incomplet, et j’y ai répondu je crois.
Oui, Dieu est mort, l’homme est livré à lui-même. Et comme la nature a horreur du vide, que l’homme doit croire en quelque chose, il doit combler le trou. Sauf qu’Emil s’arrête là. Comme si l’avènement des idées modernes n’était que le remplacement d’une croyance par une autre, il ne parle pas de contenu du tout.
L’homme aurait pu créer réellement, devenu orphelin il aurait pu avoir la force de se façonner en artiste, or ce n’est absolument pas ce qui s’est passé. Non seulement un vase s’est vidé pendant qu’un autre s’est rempli, mais c’est la même eau que l’on a fait passer de l’un à l’autre. La mort de Dieu n’a pas donné naissance à de nouvelles valeurs, elle a simplement rapproché les mêmes valeurs de l’homme, du concret, elle a voulu les appliquer encore plus directement.
Mieux : la mort de Dieu était précisément la conséquence de cette impatience chrétienne. C’est évidemment l’esprit chrétien qui a tué Dieu. D’abord la Réforme qui dégage tous les étages, toute hiérarchie entre l’homme et Dieu. Quelques siècles plus tard c’est Dieu lui-même qui est une hiérarchie. De quel droit serait-il plus haut que nous ? Nous sommes à son image parait-il ? Alors dégage. Ce meurtre est un acte profondément chrétien.
—–Sauf qu’Emil s’arrête là. Comme si l’avènement des idées modernes n’était que le remplacement d’une croyance par une autre, il ne parle pas de contenu du tout—–
Oui, voilà. Le contenu de ces fameuse vases communiquants, c’est vrai.
Mais ce n’est que le début de cette histoire-là. La mort de Dieu est insupportable à l’homme, ce qui veut peut-être dire que Dieu est ressuscité. La grande affaire peu arpès la réforme, ce fut l’Etat. L’Etat-Nation. Le nationalisme. Puis le socialisme, le fascisme. Nous vivons les derniers feux de comète. Attendez de voir ce qui vient derrière. Ce qui est en train de travailler en profondeur les âmes en ce moment, en Europe, c’est la fin de la croyance en l’Etat. Malgré le discours bien-pesant et dominant, au fond, les gens croient ce qu’ils voient, et ils voient que ces fameux Etats tremblent, tremblent comme des feuilles, quand un jeune yuppie de NYC rédige une note depuis son open space, exprimant les raisons de ses doutes quant à la solvabilité dudit Etat.A-t-on chose plus invraisemblable en Occident depuis 1789? peut-être pas. Attendez de voir comment l’onde de choc se prépare, et à quoi les gens croiront dans 40 ans.
D’ici quelques temps la parenhèses égalitariste des Lumières apparaitra comme une hérésie de plus dans la longue histoire coccidentale, avec ses musées, comme on visiste les chateaux cathares. Personne aujourd’hui ne soutiendrait que la catharisme et le christianisme, c’est la même chose, une suite logique, etc… et pourtant, bien ont du le penser lorsqu’ils avaient le nez collé dedans à l’époque.
« Ce qui est en train de travailler en profondeur les âmes en ce moment, en Europe, c’est la fin de la croyance en l’Etat »
Oui, mais malheureusement les gens risquent alors de porter leurs espoirs vers la gouvernance globale. Les médias travaillent en ce sens en tout cas, ce sera l’ultime étape. Nous ne verrons pas la suite de notre vivant, hélas.
Et surtout peu importe la structure, cela ne change pas le regard des gens. Le même regard avec les mêmes attentes se posera sur un autre espoir similaire. Les gens croient que telle ou telle chose ne va plus dans le bon sens, mais leur conception de ce qui est bon reste intacte, malheureusement.
La gouvernance globale, peut-être oui. Après avoir atomisé la Chine alors.
« ces fameux Etats tremblent, tremblent comme des feuilles, quand un jeune yuppie de NYC rédige une note depuis son open space, exprimant les raisons de ses doutes quant à la solvabilité dudit Etat.A-t-on chose plus invraisemblable en Occident depuis 1789? »
Oui, c’est assez impressionnant. Voir les états obéir comme des toutous, les médias, les associations, les syndicats devenir aussi impuissants que nous jusqu’à présent devant un désastre… Je vais en faire un billet, tiens.
Enfin un bon article sur ce putain de site.
Style puissant, efficace, direct, pas de putasseries argumentatives ni d’effets de manche.
Contenu bien ciblé, excellemment développé, parfaitement mis en forme.
Et une conclusion de mon cerveau de pachyderme monomaniaque :
Que ferait la racaille dans une France où chacun, tout le temps, serait armé, a minima d’un petit 9mm, potentiellement d’un bon .38 ou d’un .45 ?
Réponse : tout dépend des lois sur la légitime défense. Si elles restent ce qu’elles sont aujourd’hui, la racaille sortira armée et tuera impunément. Si on a des lois sur le modèle US, plutôt du côté Louisiane que du côté NY, on peut espérer un nombre raisonnable de suppressions physiques.
Absolument.
Avec en premier lieu la question de la proportionalité, i.e il devrait être possible de faire feu sur un agresseur « désarmé » si sa carrure ou son niveau d’entraînement supposé le justifie.
Autre élément important à réviser, le critère de la nécessité. Il n’est pas normal, ni souhaitable, ni socialement bénéfique, que le fait de disposer d’une hypothétique possibilité de fuite vous interdise la légitime défense (ce qui est, de façon hallucinante, le cas aujorud’hui). Tuer un malfaiteur-prédateur est un devoir civique, et devrait être encouragé plutôt que rendu impossible.
XP : y a votre pote JL là-dedans (vers 50:00 entre autre) !
Je recommande à tous la réaction hilarante de la philosophe tatouée Elsa Dorlin à une intervention de Zemmour, barre de rire assurée, à 56:30…
http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/?page=emission&id_rubrique=1508#
Pouvez nous résumer cet échange Zemmour-philosophe tatouée, please?
Oups, desolé ! Mais y a pas d’échange, c’est ça qui est drôle. C’est de l’humour visuel involontaire (un camarade de chambrée de blog m’a depuis informé que cette Dorlin était une féministe extrêmement, heu, lourde. C’est ce qui doit lui rendre la vue et l’écoute de Z. à ce point insupportable^^). A 56:40.
J’ai regardé d’un oeil distrait. Cette émission n’est rien d’autre qu’une réunion de bistrot. Aucun intérêt. Et si c’est le plus sympathique, Zemmour n’a pas été loin d’être le pire.
Un point positif: ce genre de programme (une exception frankistanaise, ou presque) est en train de disparaitre, audimat et recettes publicitaires obligent.
Un jour, on sera peut-être un pays où la parole est lible, où des intellectuels à la con ne viendront pas bourrer le mou aux gens et seront dans des uninersités d’excellence, où il n’y aura à la télévision que de l’entertainment.
C’est un truc de cubains ou de vénézueliens, ça, des intellectuels à qui on n’a rien demandé qui se font filmer quand ils refont le monde au bistrot.
Je précise: je ne dis pas qu’il faudrait trois Pascal Salin pour trois Zemmour ou un truc comme ça, hein… Je dis que la télévision n’est pas faite pour ça.
Ce genre de conversation relèvent de l’université, on ne les tient pas dans un show télévisé. C’est absurde. Aussi grotesque que les hauts-parleurs à Cuba qui crachent des classiques de la littérature pour distraire les ouvrières qui roulent les cigares.
Oué bon. Pas mal, mais après ?
Défoncez-vous, et barrez-vous en zone libre tant qu’il en est encore temps, il en reste, des coins sympas, en France et sur la planète. A défaut regroupez-vous et serrez-vous pour vous réchauffer en attendant que ça saute. Parce que çà va sauter. Le vivre-ensemble ne marche que dans les rêves humides des imbéciles, la réalité du terrain, c’est la fracture, le choc, le fossé qui se creuse, et pas que culturel, c’est tendu comme un string, à tous les niveaux. Si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour vos gosses. Mais prenez les devants, mettez-vous à l’abri un maximum, sans complexes, de toute façon les bourges le font aussi…
Bientôt, quand y aura plus de fric, que la gamelle sera vide, que la pompe a subventions et à allocs tournera à vide, on rigolera bien.
Un jour viendra ou les racailles et les nouveaux obscurantistes s’en prendront aux naïfs qui nous font la morale la bouche en cul de poule aujourd’hui, et perso, pour ce jour, je prépare le pop-corn.
Le christianisme, ou tout du moins, le fond chrétien de notre civilisation est-il responsable de l’invasion que nous subissons ? Afin de bien quantifier les effets du christianisme sur ce facteur, il est nécessaire de faire une véritable comparaison sur des bases scientifiques, d’utiliser une civilisation témoin qui aurait atteint un niveau de richesse et de confort comparable au nôtre, aurait une économie intégrée à la mondialisation, mais ne serait pas chrétienne, et, très important, ne l’aurait jamais été, de sorte que son corpus culturel ne soit pas descendu en droite ligne d’un christianisme sécularisé. Nous avons une telle civilisation: le Japon.
Le Japon est bien plus riche que la plupart des pays blancs, son économie est très liée à celle des USA, la population subit un bombardement idéologique constant de la part des Yankees et est occupée militairement par ce dernier. Sa population est extrêmement éduquée et travaille dans le secteur tertiaire. Bref, le Japon, selon cette analyse devrait recevoir et accepter des immigrés à ne plus savoir qu’en faire et à se métisser joyeusement avec eux. Qu’observe-t-on ? 2 millions d’étrangers (à 70% Chinois et Coréens) sur un pays de 130 millions d’habitants. Pour information, 84% des Japonais disent ne professer aucune religion.
Ce n’est donc ni le niveau de vie, ni la sécularisation, ni le capitalisme qui sont responsables de la marée humaine que nous subissons, c’est bien l’humanisme égalitariste et ethnoindifférent prêché par le christianisme et son rejeton les DDH.
Ne pas oublier le fait que les japonais ont un phénotype commun, ce qui leur permet de mieux résister aux invasions. Contrairement aux européens, trahis par leur propre diversité génétique…
Et il y a très peu de représentants du peuple élu au Japon.
Deux clips essentiels pour comprendre la Caillera (une pleurnicheuse psychotique)
http://www.youtube.com/watch?v=ObjpPljnTwI (La Fouine – C’est ça le thème)
http://www.youtube.com/watch?v=do23sTe4dhA (La Fouine feat. Kamelancien – Vécu)
L’immense masse des maghrébeux/af-requins qu’on a fait rentrer en France sont si bouseux et crétins que même leur pays d’origine n’en veut pas.
Essayer d’éduquer ces gens, c’est comme éduquer les gros bouseux de Delivrance : un tonneau des Danaïdes judéo-chrétien.
Y a un problème génétique à la base (dans chaque peuple, il existe une frange d’abrutis consanguins qu’il est impossible d’extirper de sa merde mentale et sous-culturelle).
En France aussi, on a nos beaufs-abrutis-racaillos-de-souche (de la graine de prix nobel chtimi qui astique sa GTI aux rugymens cassoulet qui violent ta copine un soir de Féria), et c’est pas en leur faisant découvrir Ronsard qu’on va enlever leur vieux fond de connerie populeuse.
Les black bamboula des Stats, ils adorent aussi se complaire dans leur chiasse (NBA, Rap and Crack). Ils sont jamais sorti de leur ghettos, ils en sortiront jamais (sauf pour les noirs qui ont un QI assez élevé pour quitter cet enfer de perpétuation du vide).
You can take them out of the jungle, but you cannot take the jungle out of them
Superbe !
Vous avez résumé tout le problème.
Bon, blague à part, quand est-ce qu’on les tue tous jusqu’au dernier ?
Merci Lounes pour ce tres beau texte, tres instructif et detaillé.
Je voudrais juste rajouter un petit mot apres tant de com et de debat passionné sur le probleme religieux à l’attention des Xyr, facisme fun et autres.
Il faut bien comprendre que la religion catholique n’est pas une religion de lettre mais d’esprit. Tous les commentaires que j’ai lu raccourcissent etrangement la religion catholique à une explication cartésienne qui ne pourra qu’aboutir à ce que l’on a vu au cours des siecles: des schismes et des heresies, jusqu’à l’atheisme.
Concernant les 2000 ans de christianisme qui nous a mené jusqu’à ce qu’on voit aujourd’hui, je dirai seulement que c’est la faiblesse de l’homme qui refuse depuis 2000 ans la force morale qu’exige la religion catholique par la pratique de la vertu et l’amour de Dieu qui nous a mené où nous en sommes. 2000 ans que l’homme essaye vainement de se debarasser d’un Dieu qui l’oblige à l’amour, à s’élever au-dessus d’une vie charnelle qui n’est qu’un passage vers une eternité, qui refuse sa vocation spirituelle pour se pencher lamentablement vers son nombril, ses tripes et son confort, qui n’utilise son intelligence que pour un progres destructeur et qui voyant la merde qu’il s’est construit accuse ce meme Dieu et meme decrete tout bonnement que ce « Dieu est mort ».
Oui, effectivement, Dieu est mort dans les ames, Dieu s’est retiré des ames ingrates et laches, mais vit dans ces ames genereuses et courageuses, chez les hommes forts, maudissant la faiblesse des épaves livrées à leurs instincts, les faisant sombrer dans le chaos de leur propre nihilisme.
« Il faut bien comprendre que la religion catholique n’est pas une religion de lettre mais d’esprit. Tous les commentaires que j’ai lu raccourcissent etrangement la religion catholique à une explication cartésienne qui ne pourra qu’aboutir à ce que l’on a vu au cours des siecles: des schismes et des heresies, jusqu’à l’atheisme. »
Vous êtes juste sur le site qui a le plus abordé cette question ces dernières annés… Un peu de modestie n’a jamais fait de mal à personne.
Il est vrai je découvre et ne bénéficie donc pas de vos lumières précédente. Mais si vous en etes arrivé là aprés avoir autant et si bien creusé le sujet, c’est un peu dommage.
« Il est vrai je découvre et ne bénéficie donc pas de vos lumières précédente. »
Et bien lisez, apprenez dans le silence au lieu de débouler en lâchant avec morgue « il faut bien comprendre que… » en parlant d’un sujet que vous ne maitrisez pas.
Félicitations, vous venez de signer le pire commentaire de ce fil et peut-être même d’ILYS.
Oui? C’est tout? encore un distributeur de bons et mauvais point? Un peu de modestie ne fait de mal à personne.
Vous utilisez des notions sans les connaître, comme le nihilisme, pour défendre le christianisme, ça relève de l’exploit. Et votre commentaire entier est une ode contre l’homme, contre sa volonté « Il a cru qu’il pouvait tuer Dieu, l’imbécile ! », vous avez la vue extrêmement courte d’une moraliste, vraiment aucun intérêt, plus de temps à perdre désolé.
Et c’est assez drôle de lire « C’est tout ? » sur un fil où j’ai publié quoi… 40 commentaires ? Lisez le fil. C’est tout.
Oui, 40 commentaires, c’est juste du gavage.
On n’en peut plus, pitié !
Ah ben non. Pas d’accord. Moi les 40 commentaires de xyr ne me suffisent pas.Je les trouve passionnants ces commentaires, parce que profondément intelligents et je regrette qu’ils soient perdus dans la masse de délires (auxquels j’ai participé un peu et je m’en excuse).
e regrette que l’aspect juridique et judiciaire ait été mis de côté :
L’outrecuidance des juges qui ne se remettent jamais en question, ils trônent en majesté et veulent bien concéder que s’ils avaient une greffière en plus, ils rendraient mieux la justice.
Jamais le système judiciaire ne se demande comment les juges en viennent à inverser les rôles de victime/coupable, à donner un sentiment d’impunité à la racaille, à se soutenir avec une telle constance dans le corporatisme, quelle que soit la défaillance.
Non, ils sont intellectuellement tellement fainéants qu’ils se contentent de toujours tenir le même discours du manque de moyens qui peut se traduire par :
« Nous sommes infaillibles, donnez-nous encore plus de postes de fonctionnaires et le problème sera réglé ».
L’excuse du manque de moyens est d’une outrecuidance inouie, personne ne la relève jamais.
A noter sue c’est exactement la même chose avec les pédagoques.
Quand le client a le choix et peut frapper les incompétents et les fumistes au portefeuille, les corporations s’autofliquent et se remettent en cause en permanence.naturellement (On imagine pas le syndicat des restaurateurs prendre la défense d’un blaireau qui empoisonne ses clients avec de la nouritture avariée). Quand ils sont fonctionnaires, et qu’il y a un monopole, ç’est impossible… A moins qu’ils soient élus.
L’élection des juges se trouvent ainsi parfaitement justifiée. C’est la seule façon de palier au fait que le consommateur n’a pas les moyens de sanctionner un mauvais service.
Les moyens : on pensait que cette masse de fonctionnaires serait moins nécessaire avec l’informatique. Eh bien non, ils en réclament encore PLUS. Et vent debout contre les fichiers de délinquants. Vent debout contre l’ADN aux fraudeurs du regroupement familial.
Par contre, encombrer les tribunaux avec des affaires de diffamation, de racisme, de coqs qui chantent et dérangent les bobos néoruraux. Là ils sont dans leur élément : pinailler à l’infini (« Allons-nous prendre le risque de créer une jurisprudence ? »). Et pas de frères vengeurs qui les attendent à la sortie.
Donc, oui, les élire. Bien que l’élection des juges ait d’autres inconvénients qui font qu’ils se défilent dès qu’ils sentent que leur élection pourrait en pâtir, cf Le juge qui a enchaîné puis relâché DSK à la vitesse du son.
Mais chez nous, les juges sont mauvais, tout le temps. C’est une corporation méprisable parce que sans courage et cramponnée à ses privilèges. Les cris qu’ils ont poussés quand on a supprimé deux-trois tribunaux de trous du cul du monde. Ils ont hurlé à l’assassinat de la justice de proximité. Comme si vous aviez besoin de justice de proximité. Vous y allez combien de fois au tribunal dans votre vie, vous ?
« Comme si vous aviez besoin de justice de proximité »
^^
Cela-dit, ça fait partie des dossiers secondaires mais pas sans importance que Sarko a réussi à mener à bien, quand les deux précédents ce sont applatis comme des merdes.
Comme quoi Sarko, ce n’est peut-être pas grand chose, mais ce n’est pas rien, tout de même.
Xyr,
40 com…c’est un peu long pour si peu d’idée transmise.
Le nihilisme,(du latin nihil), est une notion philosophique qui induit l’idée d’un monde sans dieu, sans but, voué au néant, point de départ du chaos (un monde sans le vrai Dieu, en grec), alors que le christianisme n’est que but, ordre et transcendance divine. Vous ne voyez vraiment pas le rapport? ces 2 notions ne s’opposent pas a vos yeux?
Il y a fort à parier que sur un seul de vos 40 com vous ne saviez pas en fait ce que vous disiez et nous serviez du Nietsche jusqu’à l’écoeurement sans en avoir compris sa philosophie. Savez-vous que votre maitre à penser sombra dans la demence…
Bien à vous mr Trissotin.
« Le nihilisme,(du latin nihil) »
Oh putain…
Il a certainement sombré dans la démence parce qu’il était entouré, pour ne pas dire cerné, par des gens comme vous.
Le nihilisme ce n’est pas l’athéisme, l’athéisme était selon Nietzsche un premier pas nécessaire pour la grandeur, l’expression de la volonté. Et le christianisme est une forme de nihilisme dans le sens où le nihilisme n’est pas ce que vous en dites très bêtement, c’est d’abord le refus du monde réel et le placement de ses espoirs dans un autre monde, imaginaire. C’est du nihilisme passif. Bref je ne vois pas l’intérêt de dialoguer avec quelqu’un qui n’a même pas le niveau d’une page wikipédia.
« Il y a fort à parier que », j’admire votre rigueur intellectuelle et votre instinct. En fait vous n’avez aucune de ces deux formes d’intelligence, ni laborieuse ni douée, c’est très indécent de s’exprimer quand on est à votre niveau vous savez.
En tout cas je vous remercie pour vos quelques commentaires, ils démontrent bien mieux la bêtise chrétienne que mes 40 interventions réunies.
Témoignage intéressant d’un prof sur la racaille.
http://fascismefun.wordpress.com/2011/12/09/le-fascisme-africain-explique-aux-antifascistes-cretins/
Journée devenue attrayante : je viens de découvrir ce blog,qui (c’est assez rare pour le souligner: compile avec justesse bon nombre de mes propres observations et réflexions). En ma qualité de jeune femme française entre 25-30 ans, je cotoie malheureusement bon nombre de FDS démissionnaires, rompus à la chose, eux même victime du laxisme gaucho-bobo de nos parents. Comment la situation a t-elle pu dégénrer à ce point? Comment avons nous laisser les choses en venir à ce point là. Il est temps qu’après avoir subi l’expension sans borne des racailles, nous instaurions un clivage qui lui aussi viendra à recouvrer notre fierté envolée. A tous les FDS, défendeur des pauvres petits descendants d’immigrés qui nous pissent dessus, (êtes vous fervent de l’urophilie??), je vous poserai la question suivante: pourquoi, en 2011, je ne puis arborer la tenue que je veux ou me ballader seule sans me faire importuner par des types belliqueux et ignorants comme s’ils sortaient d’une grotte???
Merci pour ce superbe plaidoyer, que ne manquerait pas de faire connaitre, aux trops rares, proches qui partagent ce point de vue, et non celui de panurge, largement diffusé par les « bienpensants ».
Xyr,
le probleme est que vous ne connaissez pas la religion catholique. Votre rigueur intellectuelle devrait vous faire comprendre la difference entre nihilisme et abnégation. Le christianisme fait appel a l’abnégation mais n’est en aucun cas une sorte de nihilisme, encore moins une recherche d’un monde imaginaire!!
De plus, pour un catholique, l’athéisme est un refus de Dieu, donc une regression intellectuelle car c’est le refus de la Verité (j’imagine d’ici les hauts cris: ode contre l’homme, contre sa liberté i tutti quanti…). Que ce soit en religion, en sciences, en mathematiques, en philosophie, si l’on s’ecarte du vrai, forcement on regresse et on arrive a la décadence que nous vivons aujourd’hui. D’ailleurs cette actualité devrait faire reflechir sur justement cette puissance (dé)constructrice de l’atheisme.
Quand je lis sur une de vos interventions cette phrase: « cette aspiration à l’égalité (qui est quand-même une invention chrétienne, ce judaïsme désincarné parce qu’à portée universelle) », et tant d’autres phrases du meme acabit, je me dis qu’effectivement on ne combat pas dans la meme categorie… des mots, des gros mots qui ne veulent rien dire et ne collent a aucune realité.
quelle aspiration? à quelle egalité? il faut preciser, car les 2 mots ne peuvent cohabiter dans le cas du catholicisme. « Judaisme desincarné »…diantre, quid? « parce qu’à portée universelle »…le rapport?
Peut-etre que je n’ai pas votre facilité à faire des phrases ronflantes et ébouissantes, mais s’il y a un domaine que je connais c’est ma religion que j’ai etudié pendant des annees (sans me servir de wiki), et j’ai toujours cherché à parler simplement et clairement sans fioriture…MA rigueur intellectuelle.
Mais effectivement le dialogue sera difficile, voire impossible, car le sens des mots n’est pas le meme pour vous et pour moi.
Je vous laisse donc à vos elucubrations, mais essayez une fois d’etre honnete: avant de citer St Paul, lisez ses epitres en entier, cela vous evitera de graves contre-sens.
Vous avez raison, ce que je dis ne colle à aucune réalité. En revanche ça c’est totalement fondé : « De plus, pour un catholique, l’athéisme est un refus de Dieu, donc une regression intellectuelle car c’est le refus de la Verité »
Et d’accord le christianisme n’a rien à voir avec un judaïsme universalisé, ni avec l’égalité, d’ailleurs Nietzsche est une grosse merde et vous avez raison. Je vous souhaite une bonne manifestation devant la pièce de théâtre « Golgota picnic ».
Grave d’être con à ce point, quand-même.
vous parlez en tant qu’athée, je parle en tant que catholique et sure que la Verité fut revelée par le Christ…
Ha, un mot encore: vous me dites que Nietzsche sombra dans le demence a cause de gens comme moi…que diriez-vous d’un curé d’Ars qui passa sa vie dans un confessionnal (plus de 10 heures par jour) pour entendre tous les secrets des ames, ce que n’importe quel homme normal n’aurait pu supporter sans devenir fou. Jusqu’a sa mort, il resta sain d’esprit et convertit des milliers de gens. Aujourd’hui, vous pouvez meme aller voir cet homme en chair et en os, epargné de la corruption charnelle. Miracle d’ailleurs qui peut apporter le debut de preuve de la Verité…
S’il vous plaît on va arrêter avec ce débat merci de votre compréhension.
bien sur qu’on peut arreter le debat, si cela vous derange, Lounes. Je trouve seulement dommage de laisser Xyr dire des choses aussi erronées sur le christianisme (judaisme universalisé, aspiration à l’égalité…), et à partir de cette fausse conception batir une argumentation qui detruit votre réflexion sur la nécessité de revenir vers des valeurs chrétiennes.
La racaille ne se trouve pas que dans les cités, elle se trouve aussi (et plus vicieuse) sur le net, sous une couleur bien moins sanglante, mais encore plus destructrice, car elle sape les fondements de la morale chrétienne, quand la petite racaille des quartiers s’attaque uniquement au corps.
« Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. » Mat, X, 28
Bien à vous.
oui arrêtons et arrêtez ce débat merci, ça devient rengaine. Cordialement
Je suis donc la racaille parce que je ne suis pas catholique, et les racailles de banlieue ne sont au final que des adversaires de circonstance, comme diraient Soral ou Guibon. Le vrai fléau c’est Nietzsche.
C’est bien Lounès, continuez sur cette voie, il y aura de plus en plus de sonia et de moins en moins de xyr ici, ce sera cool.
Merci de m’avoir fait comprendre que je n’ai plus rien à foutre ici.
Tu es ici chez toi, mon cher, et tu vas nous faire l’un se ces billets dont tu as le secret!
« Je suis donc la racaille parce que je ne suis pas catholique »
–> Qui a dit cela ? Personne, vous caricaturez les propos de vos contradicteurs.
« et les racailles de banlieue ne sont au final que des adversaires de circonstance »
–> Comme Lounès (que visiblement personne ici ne lit) l’explique ci-dessus, les racailles n’existent que par le laxisme, la lâcheté, la lopetisation et l’ethnomasochisme du français. Il ne tient qu’au peuple autochtone de calmer, et in fine d’expulser ces crevards puants du tiers-monde.
« comme diraient Soral ou Guibon »
–> Croyez vous que quiconque ici éprouve du respect pour ces pleutres ?
« Le vrai fléau c’est Nietzsche »
–> Le vrai fléau ce sont ces millions d’occidentaux qui ont renié leur race et leur foi.
« C’est bien Lounès, continuez sur cette voie »
–> Tout à fait, mais peut être ailleurs.
« la lopetisation »
On est sur Ilys, ici, pas sur Oumma.soral.com.
En conséquence, on ne psychologise pas et on ne sexualise pas, on ne parle pas de sa bite, et on n’emploie pas des mots comme « lopétisation ».
Pas la peine d’en appeler au républicain islamolâtre soral, ou à je ne sais quel site d’admirateurs du prophète chamelier inculte pillard et pédomane. Vous êtes finalement aussi abrutis et inconsistent que dans vos billets.
Bien sûr que le peuple français est « lopétisé » mon garçon, sans quoi il n’accepterait pas de se faire insulter, au quotidien, dans son sang et dans son identité par des hordes haineuses d’arabo-négros sans réagir. Jamais nos aïeux n’auraient pacifiquement admit l’invasion de ces millions d’afro-maghrébin dans leur espace naturel. Il y a en effet laxisme, lâcheté et ethnomasochisme de la part du peuple français dans sa majorité. Sans ces divers phénomènes, la racaille allogène n’existerait pas, tout ceci est, encore une fois, démontré dans le billet de Lounès.
Tout à fait d’accord. A ce propos, comment va votre ami Travis Marshall ? Il joue dans la série Dexter, vous lui direz que je trouve sa quête pour le retour de la Vérité et des Majuscules en général tout à fait admirable.
Amen.
« dommage de laisser Xyr dire des choses aussi erronées sur le christianisme (judaisme universalisé, aspiration à l’égalité…), et à partir de cette fausse conception batir une argumentation qui detruit votre réflexion sur la nécessité de revenir vers des valeurs chrétiennes. »
Je me trouvais un peu seul contre tous sur ce fil mais finalement, pas besoin d’amis quand on a des ennemis comme ça. Merci sonia.
Hum… Ne râlez pas xyr et continuez à nous parler de Nietzsche, moi je n’arrive pas à le lire bien comme il faut, avec vous ça marche mieux. Et moi je continuerai à vous enquiquiner tous avec de la métaphysique et Delsol et tout le bataclan.
Désolé de ne pas respecter l’ordre de mettre un terme au débat, mais le verset cité par Sonia m’a vraiment fait rire, puisqu’elle le cite pour appuyer le fait qu’il ne faut pas se soucier de ceux qui tuent le corps (à savoir les racailles si j’ai bien suivi), mais de celui qui peut tuer l’âme (à savoir xyr par ses arguments nietzschéen). Je tenais juste à dire que celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne dans ce verset, c’est Dieu lui-même…
Xyr,
je tiens a finir mon idée, question de rigueur, apres juré, je me tais.
Pourquoi je parle de racaille du net? il n’y a pas que vous, mais vous etes effectivement concerné par les methodes que vous employez envers vos contradicteurs: humiliation, moquerie, appréciation hautaine, mepris, insulte etc…sans donner le choix a l’autre de s’expliquer, mais seulement de se retrancher derriere les memes armes.
Donc pour ne pas vous laissez sur votre faim (si tant est que cela vous interessat), voici en bref pourquoi vous avez tort sur l’egalité et le judaisme universalisé.
Y-a-t-il une égalité dans le christianisme? la seule qui existe (à laquelle il n’y a aucune aspiration puisque c’est un fait etabli), c’est celle de tous les hommes devant Dieu. Du Pape, au petit Gabonnais, en passant par vous-meme, l’ame de chaque homme créée par Dieu est de meme valeur à ses yeux, il est mort pour chaque ame, chacune d’elles peut etre sauvée. Par contre, dans la vie de tous les jours, le christianisme respecte les differences et meme les encouragent. Lisez la parabole sur les talents, celle de l’ouvrier de la derniere heure, et vous verrez que jamais le Christ n’a preché une quelconque égalité.
Le judaisme universalisé ou la religion « judeo-chrétienne »: ce concept est faux, et largement utilisé par les athées et meme certains catholiques progressistes. Le christianisme n’a de commun avec les juifs que l’ancien testament, mais ni la pensée, ni la spiritualité, ni le but ne sont commun (pour tout dire nous avons plus de choses en commun avec l’islam, Confucius et meme avec Nietzcshe, qu’avec les juifs). Le Christ est venu pour abolir l’ancienne alliance et instaurer la nouvelle, avec toute une spiritualité propre qui ne plaisait pas du tout aux Juifs et ne correspondait en rien à ce qu’ils attendaient (d’où leur rejet). La spiritualité chrétienne a trouvé son assise dans la pensée aristotélicienne, et c’est propagé avec la civilisation grecque, qui avait d’ailleurs beaucoup d’influence sur la civilisation romaine en Europe. C’est pourquoi, il est plus juste de parler de religion, voire meme de civilisation, helleno-chrétienne.
Voila.j’ai essayé de faire court et concis, a vous de developper par vous-meme.
« pour tout dire nous avons plus de choses en commun avec l’islam qu’avec les juifs »
CQFD
C’est bien ce que je disais, le christianisme prend ses origines de racines juives mais a dévoyé tout ce qui était bon chez les Juifs pour effectivement, préparer l’islam. C’est pour cela que je suis en train de parler avec une musulmane. Donc que je parle tout seul.
Heu oui, vous démontrez tout seul mais vous êtes lu par beaucoup.C’est tout ce qui importe.
Je ne vois pas l’intérêt de répondre à cette CAB, qui correspond rigoureusement à la définition du troll.
Qu’elle est la principale activité du troll? Revenir sans arrêt avec les mames arguments comme s’ils n’avaient jamais été démontés, jusqu’à ce que l’interlocuteur se lasse.
Or, les arguments des CAB, s’il y a bien un endroit où ils ont été démontés, c’est bien ici. Ca n’a donc aucun sens de remettre sans arrêt le couvert. A ce petit jeu, le troll finit toujours pas gagner en fatiguent tout le monde, et c’est alors qu’il en vient d’autres, et qu’ils s’approprient un site.
S(il y a bien un endroit où l’on n’a pas à discuter avec cette Sonia, c’est bien sur Ilys. Si elle veut savoir ce qu’on pense des gens comme elle, qu’elle consulte les archives, mais qu’elle la ferme.
« Revenir sans arrêt avec les mames arguments comme s’ils n’avaient jamais été démontés »
C’est exactement ça oui. Et elle ose écrire
« Voila. j’ai essayé de faire court et concis, a vous de developper par vous-meme. » après mes 40 commentaires.
Ces gens me font penser à quelqu’un qui arriverait dans une salle de cinéma bondée une heure en retard, la bouche pleine de pop corn, faisant du bruit et gênant tout le monde en cherchant une place assise et une fois installée dirait « Attendez j’ai raté le début là, faudrait remettre à zéro j’arrive pas à suivre ».
Manque d’éducation…
« Quelle est la principale activité du troll? Revenir sans arrêt avec les mames arguments comme s’ils n’avaient jamais été démontés, jusqu’à ce que l’interlocuteur se lasse. »
Cette définition peut être appliquée à Xyr dont la grille de lecture a étouffé le débat. La différence avec Sonia, c’est que Sonia est bête.
Lounès a livré une analyse éblouissante, qui, à la limite, se suffisait à elle-même.
J’aime bien l’intervention de Dotchi9.
Moi j’suis d’accord avec Lounès parce que j’aime ce qu’il dit et xyr il fait rien qu’à nous embêter parce que bon quand-même Lounès il a raison vu que j’aime bien ce qu’il dit.
Je ne savais pas qu’ILYS était un site où on ne pouvait dire qu’amen, dans tous les sens du terme. Mais c’est noté.
« La différence avec Sonia, c’est que Sonia est bête. »
Vous avez raison ça ne change pas grand-chose, au final, des interventions intelligentes ou de la connerie en barres : c’est du troll si vous n’aimez pas quoi.
« c’est du troll si vous n’aimez pas quoi ». C’est du troll quand on monopolise.
Je trouve que Fascisme Fun a fait avancer le débat en quelques lignes plus que vous en 40 posts obsessionnels :
http://fascismefun.wordpress.com/2011/12/09/le-fascisme-africain-explique-aux-antifascistes-cretins/
Il signale Thierry Jonquet « Jours tranquilles à Belleville », « Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte ». Précipitez-vous. Autrement plus futé.
Ras la casquette des profs, surtout les profs de philo, les pires car ils vont inventer le goulag rien qu’en théorisant et en utilisant l’argument d’autorité.
@dotchi9
« Ras la casquette des profs »
sonia a dit :
« Le nihilisme,(du latin nihil), est une notion philosophique qui induit… »
Merci au revoir.
avec des ennemis comme ça en effet… c’est à en devenir nietzschéen.
L’auteur aimerait qu’on laisse ce fil tranquille mais vous faites bien de relever cette phrase hallucinante:
« pour tout dire nous avons plus de choses en commun avec l’islam qu’avec les juifs » (la seule culture de Jésus était juive, sa religion, juive, son horizon, juif – en bonne chrétienne vous devriez savoir ça pourtant).
Il y en a aussi qui disent ou laissent entendre, dans le même style, « nous avons plus de choses en commun avec les Africains qu’avec les Anglo-saxons ».
« le Christ n’a preché une quelconque égalité. »
Oui, et il n’a jamais prêché tout court, c’est bien pour ça que Saint Paul, vous et tous les autres êtres le véritable Antéchrist.
lien
Vous ne comprenez pas ? C’est normal, le fait que j’existe et que vous aussi démontre l’inégalité fondamentale des Hommes, y compris devant Dieu, c’est-à-dire la nature, car ce que vous appelez Dieu n’est qu’un produit de votre faiblesse intellectuelle. Et rassurez-vous, la plupart des « athées » sont aussi religieux et fanatiques que vous.
Dans un monde un peu plus juste, c’est-à-dire moins infesté de morale chrétienne, vous ne pourriez même pas discuter avec moi, vous en seriez rester aux tâches ménagères, et ce serait bien plus décent et digne pour votre personne.
« Y-a-t-il une égalité dans le christianisme? la seule qui existe (à laquelle il n’y a aucune aspiration puisque c’est un fait etabli), c’est celle de tous les hommes devant Dieu. »
Bien sûr que si il y a une aspiration à faire correspondre cette égalité des hommes devant Dieu sur la Terre également. Toute l’histoire des pays chrétiens n’est que ça, une course vers l’horizontal. Ce n’est pas deux commentaires de sonia qui vont casser l’Antéchrist, Par-delà Bien et Mal ou la Généalogie de la morale.
Il n’y a d’égalité des Hommes « que » devant Dieu ? Comme si c’était un détail, c’est une véritable révolution au contraire. Bien sûr que si le christianisme est de racines juives, et il a élargi la morale juive à l’échelle universelle pour devenir cette grande entreprise égalitaire, avec ou sans Dieu, qui se prolonge aujourd’hui. Vous vous arrêtez à la Lettre, c’est complètement antichristique de ne pas comprendre qu’il n’y a aucune différence entre Mélenchon et Saint Paul.
Effectivement le christianisme a des points communs avec l’islam, et pas les meilleurs, votre aveuglement le démontre sans arrêt. Le christianisme est un mélange de ce qu’il y a de pire dans les deux autres religions, c’est la morale juive sans cette capacité talmudique à décortiquer les textes et à poser des questions au lieu d’exiger des réponses, et c’est la bêtise islamique de la Lettre sans la vigueur et la puissance que cela peut amener dans la vie.
Alors continuez d’éduquer vos enfants avec le Nouveau Testament, faites leur réciter comme des Sourates que la racaille c’est moi qui corrompt les esprits en m’éloignant de la Vérité, de Dieu.
I think you’re the fucking Antichrist
Trop bon, je ne peux pas me retenir de vous offrir un petit texte d’amoyquechault qui vous va comme un gant:
« Les gens tirent une étrange fierté et un tout aussi curieux sentiment de supériorité du fait de ne pas être compris. Cela flatte sans doute leur goût de l’exclusion comme symbole d’une originalité exquise et extraordinairement précieuse, leur certitude d’appartenir à une caste planant à mille lieues au dessus des capacités intellectuelles de la vulgate, leur besoin d’unicité symbolique au sein d’un monde (et d’une existence) de plus en plus parfaitement uniforme et indifférenciée dans les faits…
Pourtant il y a bien des raisons différentes de ne pas être compris, dont la principale et la plus courante est tout simplement d’être inintelligible au sens le plus strict et le plus entier du terme, que son interlocuteur ou lecteur soit Robert Bidochon ou Blaise Pascal.
Le delirium tremens, la logorrhée charabiaesque, l’enflure sémantique, l’hyperbole hallucinée ou la complaisance dans le contradictoire et l’incohérent ne sont ni des signes d’élection ni de génie mais bien plutôt des symptômes cliniques à remiser au rang des diverses névroses qui forment désormais le décor banal de nos sociétés artificielles, maladives et pédantes. »
Ça me rappelle ce débile de Nietzsche, ce décadent qui refuse la Vérité Chrétienne, qui disait que tout homme profond s’efforce d’être clair, et tout homme superficiel s’efforce de paraître trouble pour simuler la profondeur. Amoyquechault est gentil mais il n’est que souffrance, c’est lassant. A force de voir le monde comme laid et méchant, le chrétien rend le monde laid et méchant. C’est certainement pour ça que vous l’aimez tant, au fond vous êtes de la même famille.
Je connais ce texte, et je ne vois pas le lien avec la situation. Je suis au contraire très pédagogue, d’où le nombre de mes commentaires, je mérite une médaille tellement je suis patient avec les gens comme vous, tellement je me force à réinventer la roue. Mais c’est évidemment plus confortable pour vous de croire que tout ce qui vous dépasse est incompréhensible, mais j’ai un scoop pour vous : tout ce que j’ai écrit sur ce fil est aisément compréhensible, presque vulgaire tellement je grossis le trait, je simplifie justement pour schématiser. Vous êtes simplement extrêmement stupide.
Voici une phrase qui vous va comme un gant :
« C’est à ceux qui ne croient pas en l’au-delà que revient le mauvais qualificatif, tandis qu’à Allah Seul est le qualificatif suprême et c’est Lui le Tout Puissant et le Sage »
Je répète : Nietzsche est certainement devenu fou à force d’entendre parler sa mère, sa sœur, d’avoir été entouré de gens comme vous.
Amoyquechault? Celui qui écrit :
« …Atteinte symbolique à l’image du Christ via une énième provocation cultureuse: hystérie, mobilisation générale, crucifix géants, Montjoie, Saint Denis, guerre à mort, croisade, règlements de comptes internes, épuration, exorcismes et étendards au vent !
Comme si l’image du Christ, sa représentation, était plus importante et fondamentale que ses paroles et son enseignement… Il y a comme un fumet d’hypocrisie très 19e siècle qui plane au dessus de tout cela: continuons à vivre dans un monde capitaliste, individualiste, hédoniste et matérialiste qui, chaque jour, bafoue, insulte et nie les principes de la religion catholique mais, surtout, ne touchez pas aux symboles de celle-ci, à sa vitrine! Qu’on rafistole les églises de campagne menacées de ruines et qu’on arrête de glavioter sur les icônes et nous serons contents!
A croire que certains aiment à jouer le rôle qu’on veut leur voir incarner, celui de censeurs obscurantistes rêvant de retour à l’Index et au délit de Blasphème, frères siamois des incendiaires de Charlie Hebdo (dont l’histrionnisme poussif et fonctionnarisé ne mérite, lui non plus, pas tant de passion) »
S’il est vrai qu’on peut comparer les « censeurs obscurantistes » aux musulmans, il est particulier de lire une telle critique de l’individualisme et donc de préférer que le peuple chrétien se rende en rangs serrés dans les églises écouter des sourates d’amour et d’égalité entre les hommes. La logique m’échappe.
La racaillisation est un cercle vicieux entretenu par les femmes.
Il serait bon que des skins, identitaires ou autres viennent faire violemment contrepoids aux racailles pour reconquérir l’espace peu à peu. Il n’y aura pas de retour à l’innocence des 30 glorieuses mais il y aura plus de dignité et d’équilibre communautaire des forces, comme aux USA, dans un premier temps…
Néanmoins, cela ne se passera pas de si tôt à cause de 60 ans de traitement Ludovico et de lavage de cerveau shoatico-nazi.
A l’heure actuelle, les femmes aiment les racailles et les bolos (bourgeois bohèmes lopettes). Elles n’aiment pas l’homme blanc fort, dur et sûr de lui.
Mais le changement vient, c’est cyclique.
Xyr,
si Nietzsche est devenu fou c’est qu’il etait faible, comme vous d’ailleurs, qui ne supportez pas la controverse et risquez de finir comme lui.
vous etes incomprehensible de contradiction et d’axiomes erronés, pédant dans votre argumentation, orgueilleux à l’extreme…le plus drole est que vous me trouvez bete et stupide (c’est toujours ce qu’on finit par dire quand on n’arrive pas à demontrer que ce que dit l’autre est faux…) et continuez inlassablement de me repondre. C’est bien que je vous derange dans vos idées sans fondement solide, dans votre assurance que la seule verité qui soit est celle que vous avez elaboré du haut de votre genie pedagogue, ecrasant avec rage le christianisme qui vous emmerde au plus profond de vous-meme, plus que l’islam meme…seriez-vous juif, Xyr? et si vous ne l’etes pas vous en avez en tout cas tous les symptomes.
Mais vous etes sur la bonne voie, vous continuez a me lire. Je ne doute pas que la grace fera son oeuvre un jour ou l’autre, j’espere avant que vous deveniez fou.
Nicolasbruno,
Amoyquechault a raison de critiquer ces manifestations de civitas. Un chretien n’a rien a faire dans la rue comme un vulgaire syndiqué à scander des sloggans à caractere sacré. Cela fait de la pub gratuite à ces spectacles; spectacles qui auraient de plus pu passer inaperçus…ils sont tombés dans le piege de la provoc.
La religion catholique est une religion de coeur et de priere. (Gardez vos sourates pour vous, il est clair que vous n’avez jamais appris la meditation et la contemplation). Je pense sincerement qu’une priere en famille et en paroisse en reparation des blasphemes, accompagnée de mortifications individuelles et genereuses auront plus de valeur aux yeux de Dieu que des hurlements dans les rues.
Si le monde va mal, c’est bien parce chacun au niveau personnel gache sa vie dans un materialisme forcené et le refus de la morale chretienne. C’est à un niveau individuel que doit se faire la révolution, pas dans la rue.
« si Nietzsche est devenu fou c’est qu’il etait faible »
C’est le risque que l’on prend lorsqu’on affronte le monde, la nature, le grand univers. C’est évidemment plus confortable de rester dans le nihilisme, le christianisme en étant un parmi d’autres.
« comme vous d’ailleurs, qui ne supportez pas la controverse »
Voici un extrait d’un de vos premiers commentaires :
« Je trouve seulement dommage de laisser Xyr dire des choses aussi erronées sur le christianisme (judaisme universalisé, aspiration à l’égalité…), et à partir de cette fausse conception batir une argumentation »
Vous trouvez dommage qu’on ne me fasse pas fermer ma gueule, et c’est moi qui ne supporte pas la controverse ?
« axiomes erronés, pédant dans votre argumentation, orgueilleux à l’extreme »
Dixit la dame qui arrive en disant, et je n’invente rien, « Pour nous les catholiques » (déjà ça sent la volonté de débat éclairé « s’éloigner de Dieu c’est s’éloigner du Vrai » (pas axiomatique du tout), « et s’éloigner du Vrai c’est dégénérer » (comme si l’existence de jugement faux était nécessairement nuisible, paf encore un axiome de votre part)
Vous parlez de controverse et vous reprochez des axiomes alors que vous arrivez en affirmant explicitement que vous avez la foi, et que « pour vous catholiques, il faut… ». Déjà c’est la contradiction terminale, vous devriez vous taire toute votre vie après un truc pareil.
« le plus drole est que vous me trouvez bete et stupide »
Je ne vous trouve pas, vous l’êtes, et ça n’a rien de drôle.
« (c’est toujours ce qu’on finit par dire quand on n’arrive pas à demontrer que ce que dit l’autre est faux…) »
Ça c’est typiquement ce qu’on dit quand on arrive pas à démontrer que ce qui dit l’autre est faux, on dit que l’autre n’arrive pas à démontrer que ce qu’on dit est faux.
« et continuez inlassablement de me repondre. »
S’il s’agissait d’un échange privé je vous aurais laissé dans votre crasse depuis un moment, je réponds évidemment pour les autres. Même ça vous ne l’avez pas compris. Mais que comprenez-vous au juste ? On ira plus vite.
« dans votre assurance que la seule verité qui soit est celle que vous avez elaboré »
Et vous arrivez en disant « Tout ceux qui nient Dieu sont dans l’erreur, c’est indiscutable car c’est ma foi », triple conne incohérente. Je ne vous ai pas attendu pour me poser des questions quant à mes idées, j’ai d’ailleurs déjà écrit des choses très chrétiennes, beaucoup de gens les ont lues ici, je suis capable du doute, moi. En revanche ce n’est pas grâce à vous, non vous vous auriez plutôt tendance à renforcer mes convictions sur ce qu’il y a de plus con et morbide dans le christianisme.
« seriez-vous juif, Xyr? »
Ah, enfin, fallait bien que ça sorte, ça fait du bien ? Il reste du papier Q si vous voulez. On a bien compris que vous ne supportiez pas ce qu’il y a de juif dans mes interventions ici, à savoir la remise en cause de tout, y compris de votre foi, assumée dès votre arrivée, et éliminant toute possibilité de conversation au sens noble du terme. Vous êtes soumise à vos propres croyances, soumission, c’est le sens du mot islam je crois. La boucle est bouclée.
« Mais vous etes sur la bonne voie, vous continuez a me lire. »
Oui et je regarde les vidéos d’Alain Soral aussi. On ne peut faire de grande découverte sur l’homme si l’on se protège de la noirceur de l’âme, si l’on n’observe pas à la loupe toute la merde qui peut grandir dans ce qui fut, autrefois, un bébé. Et vous ma sonia, vous êtes une fosse septique à ciel ouvert qui démontrez involontairement tout ce que j’ai dit sur ce fil à chacune de vos interventions.
Merci d’être chrétienne, une nietzschéenne pareille ferait effectivement beaucoup de tort à mes arguments.