…. Mais hélas…
… cette vieille salope de Robert Siné est encore un peu vivante, même si fort heureusement, elle a une sandale dans la tombe.
Pour l’occasion, ayons une pensée pour les milliers de cubains qui sont morts gazés ou fusillés, à qui on a parfois coupé les mains quand on s’est contenté de les mettre en prison, parce qu’ils ont tout simplement voulu s’enfuir de leur pays natal devenu un enfer socialiste.. et rappelons nous qu’une portée de canon plus loin, ces deux crevards se goinfraient à la table de Castro.
Ne soyons pas sans coeur, ne pleurons pas la guenon.
C’est quoi le pendentif de la guenon ?
Quelqu’un me faisait remarquer que vers la fin, le guenon crevée ressemblait étonnament à son Mitterand… regardez la photo postée par XP : la bouche, le regard… troublant.
La muerte, comme on dit par chez vous… J’ai toujours trouvé que Mitterand avait le masque de la mort, et la maladie n’expliquait pas tout.
Et Siné ressemble de plus en plus à un vieux général d’extrême-droite… Le fauteull, les verres fumés, la petite moustache… La seule différence, c’est que celui-là n’enfilerait pas un survetement tout pourri et les claquettes de la chanteuse Zaz.
En tout cas c’est réjouissant de voir un communiste qui passe encore son temps à regretter qu’un tel ne soit pas collé contre un mur et fusillé, qu’un autre ne soit pas arrêté séance tenante par une milice populaire ou que les juifs qui ne sont pas pro-Hamas ne crêvent pas dans des attentats soit obligé de se trimballer sur un fauteuil roulant avec une bouteille d’oxygène dans la main.
Si j’avais les moyens de le liquider, ce type, je ne le ferais pas, tandis que lui ne perd pas une occasion de dire que si ca ne tenait qu’à lui, on serait tous mort depuis longtemps…
Quand Siné balance des saloperies, tout le monde rigole en disant que c’est de l’humour, alors que ce sont de très banales saloperies balancées par un salaud ordinaire… Ca me rappelle Guibon et Leroy, tiens.
Je ne pousserais donc pas la compassion et l’humanisme jusqu’à ne pas me réjouir de le voir se trainer comme une merde… Ce serait de la bêtise.
Le masque de la mort… rouge.
En parlant d’ordures gauchistes, vous devriez trouver matière à écrire dans l’affaire du Cévenol, au-delà du meurtre de la gamine.
Ce qui est en train de sortir est ahurissant. Ce collège ressemble à un Goulag, tel que décrit par un Chalamov ou un J.Rossi. Avec les « socialement proches » en pleine action : tabassages, viols etc couverts par les « autorités ».
Le directeur et son équipe sont des criminels purs et simple. Les parents des enfants normaux envoyés là-bas ont une part de responsabilité, mais vu la loi du silence que faisait régenr le directeur…
Je ne me suis pas trop intéressé à cette affaire et à ce collège… Vous avez des liens par hasard?
Sinon, la notion de « socialement proche » est à creuser… Jacques de Guillebon qui parle du « pseudonymé Georges Kaplan », c’est pile dans le sujet et il faudrait s’arrêter longuement sur cette phrase, tirer sur le fil, faire le lien entre ses méthodes et la boue idéologique dans laquelle nage le bohnomme…
En même temps, j’en est déjà parlé, et j’ai parfois l’impression de pisser dans un violon.
« Sinon, la notion de « socialement proche » est à creuser… »
Mais oui, j’en ai parlé parce que j’ai vu que quelqu’un vous avait mis le lien de Liberpedia. dans cette affaire du Cévenol, on est en plein dedans.
Je sais qu’ilys répugne à ces fait-divers qui font un tabac sur Fdsouche. Mais au-delà du crime horrible, c’est tout l’environnement social et mental qui est hallucinant. Tout le dossier Fdesouche et à lire et écouter :
http://www.fdesouche.com/259737-meurtre-dagnes-le-lycee-international-un-modele-baigne-par-le-communautarisme-le-racisme-la-drogue-et-lalcool-video
Tout dans cette affaire est hallucinant de…réalisme. C’est une synthèse. Il faut avoir vu l' »expert » qui a signé le rapport disant qu’il n’y avait pas de risque de récidive se gausser pompeusement des attaques (hier soir chez Calvi) et la petite crotte syndiquée faire bloc, absolument aucune remise en question. Sinon les parents de la jf (« pas de polémique »), les parents du tueur (consommateurs de pornos et d’accessoire sexuels que le gamin a utilisés pour le premier viol, totalement prémédité), le collège-lycée en question..Absolument personne ne veut prendre la responsabilité qui lui échoue, pire : personne ne veut non plus qu’on parle de responsabilité (on parle alors d’un « système défaillant » alors ce système a été totalement respecté dans le cadre de ses dogmes)..
L’article de Blue sur l’IPJ a traité justement de ces problématiques jusqu’à sa conclusion : la responsabilisation du peuple, qui est à mon avis le fond du sujet.
J’ai vu un peu de l’émission de Calvi, pas assez longtemps pour repérer qui était qui… si l’expert est celui que je pense ses propos étaient hallucinants de complaisance. Et le dirlo de l’établissement… lui aussi plein de complaisance et une vraie tête de con gauchiste. On sent que leurs idées, il y tiennent, et qu’un petit viol par ci, un petit meurtre par là, ce n’est pas ça qui va les pousser à se remettre en question. On a pu entendre des adultes pas du tout adultes, auxquels l’idée de confier sa progéniture fait froid dans le dos.
Tout à fait.
C’est aussi la responsabilité des parents qui mettent leurs enfants dans ce genre de coupe-gorges qu’il faudrait mettre en évidence… Et qui ne sont pas forcément des bobos-gauchos… Peut-être juste des connards fiers de mettre leurs gosses dans le privé et qui se font mousser partout en disant « ça nous coute cher, 1000 € par mois, mais le sacrifice en vaut la peine ».
Le discours réac sur « l’enfant-roi » est devenu très politiquement correct, aujourd’hui.
Il est complètement à côté de la plaque. S’il est doux de caractère et qu’il a une bonne nature, l’enfant est considéré comme une merde aujourd’hui.
J’en veux pour preuve ce discours de merde qu »on entend partout sur les « geek », les gamins qui passent leur temps dans un monde virtuel, devant leur console, et patati, patatata… Ce sont juste les plus sympathiques, les plus attachants et les plus prometteurs des gamins.
La grand-maman avait l’air bien cela dit, le genre à ne pas s’en laisser conter. Elle ne croyait pas une seconde que l’administration scolaire ait pu ne pas être au courant des antécédents du meurtrier.
C’est Bill Gates qui le dit, respecte le geek, un jour ce sera ton boss. De fait tous mes amis ou camarades geek sont devenus des « boss ». J’ai vu une fois une retransmission de finale d’un jeu vidéo hyper complexe, entre un petit Coréen et un petit Anglais, les gamins étaient clairement de petits génies.
@jax
Je ne sais pas, pas, vu la grand-mère.
Mais ce que je veux dire, c’est qu’il doit y avoir de bons réacs qui ont mis leur gosse la-bas en étant très fierS qu’il soit « élevé à la dure ». Et ça, ça m’emmerde.
Maintenant, quand un petit geeg se fait emmerder,si les parents veulent le protéger, le coeur des réacs nous fait le coup de « hou, l’enfant roi, pas bien! ».
Les socialement proches ne sont pas toujours ou l’on croit.
C’est l’idéologie ambiante et générale qui veut protéger en premier lieu non les victimes ou les personnes des criminels mais ces mêmes délinquants ou criminels…Il faut inverser complètement l’idéologie et alors chacun retrouvera ses propres responsabilités. Je suis frappée par le discours aux tons parfaitement vertueux de tous les acteurs de la chaîne judiciaire ou éducative. Le directeur chez Calvi hier matin (RTL) s’appliquait à « protéger Mathieu » (pseudo du jeune criminel)avec des trémolos sincères dans la voix et C’EST TOUT.
Pareil pour les présidents de syndicats de la magistrature, tous partent en guerre contre un discours de BON SENS qui dit qu’un homme dangereux, on le garde en centre fermé ou en prison…Ils partent en guerre avec des airs de héros ou de martyrs et c’est cela qui est ubuesque et fou et insupportable pour n’importe quel observateur un tant soit peu objectif.
L’IPJ avec son discours « évident » -il faut recentrer la justice sur sa mission première qui est la protection des citoyens et pas la réinsertion (même si cela à aussi son importance bien sûr mais en SECOND), l’IPJ passe pour une assos au discours non raisonnable et…irresponsable.
Je ne pense pas que l’administration scolaire ait été au courant du lourd passé de ce jeune criminel : il faut savoir que même des éducateurs s’occupant de délinquants en centres ouverts n’ont pas accès aux dossiers de ces jeunes… De même les visiteurs de prisons, etc…
Bien sûr, le directeur aurait pu pousser un peu l’enquête mais alors cela allait à l’encontre de sa conscience idéologisée : ce garçon a droit à une nouvelle chance, comme tous, on ne peut pas « pénaliser » ne serait-ce qu’un membre du groupe, il y aurait eu inégalité, injustice (!) etc…Ce directeur ne peut même pas envisager ces éventualités et du coup il s’aveugle tout seul : il NE VOIT PAS le crime commis et ce qu’on aurait pu faire pour l’éviter.
Tout est à reprendre à zéro en fait.
Oui, mais je pense qu’on est tous d’accord avec ça, quand on penche un peu à droite.
Mais que ce discours se marie à merveille avec le discours anti-soixante-huitard réactionnaire, c’est plus délicat à aborder.
Et c’est facile (ici) de taper sur la justice, l’adminstration, les parents bobos qui veulent mélangers leurs enfants avec ceux de la diversité…
C’est plus difficile de montrer du doigt le discours anti-geek, anti-jeu vidéo des réacs.
Si les réacs se disaient « mon fils est très intelligent, je ne veux pas qu’il fréquente des chimpanzés dans la cour de l’école et je veux qu’il joue avec sa console quand il veut », ils alimenteraient pas ce genre d’établissements.
Précision : l’établissement en question ne fait pas vraiment l’éloge d’un enseignement « à la dure », mais en effet , ça se rapproche d’une vision réac : l’idée d’éloigner l’enfant des « tentations modernes » alors qu’il ne fait que concentrer leur fondement : éloignement des parents, de la civilisation, etc.. Résultat : racailleland au milieu des bois, alcool, diversitude, chichon, ennui, partouzes, lynchages raciaux, viol, meurtre.
Et ils payent pour ça.
Le truc c’est que les parents, psy, juges, dirlo d’écoles, sont bien plus cons que les gosses qu’ils sont sensé éduquer et qu’ils sont bien plus nuisibles que les problèmes qu’ils sont sensé résoudre. Le gros du problème c’est eux, dès le départ.
Ca me fait penser à un vieux réac que j’ai connu et qui défendait le bizutage au nom de la tradition.
« C’est un rite de passage, et la société moderne supprime tous les rites de passages, tous les repères, toutes les traditions », disait-il…
Alors que le bizutage, c’est jamais que la racaillitude des bourgeois.
Si Mai 68 a progressivement rendu innacceptable le bizutage, c’est très bien.
Les réacs me font penser à tous ceux qui, au nom des traditions, s’opposaient à l’Eglise et la Monarchie absolue qui luttaient pour éradiquer les traditions débiles du moyen-âge, genre une fois par an, à la Saint-chose, les jeunes ont le droit de tuer tous les chiens du village, ou si Paul te doit de l’Argent, tu as le droit de tuer son frère Jacques et son père René, parce qu’on a toujours fait ça dans le village depuis la nuit des temps.
Et puis il y a le dicours à la con qui revient sacrément à la mode: « de mon temps, quand l’instituteur nous en filait une, on ne le disait pas aux parents de peur de s’en prendre une autre ».
Moi, si un instituteur levait la main sur mon gosse, personnelement, je ne lacherais plus avant qu’il soit radié de l’Educ Nat, qu’il devienne alcoolique et qu’il se suicide.
« l’établissement en question ne fait pas vraiment l’éloge d’un enseignement « à la dure », mais en effet , ça se rapproche d’une vision réac : l’idée d’éloigner l’enfant des « tentations modernes » alors qu’il ne fait que concentrer leur fondement : éloignement des parents, de la civilisation, etc »
Est-ce étonnant ? Combien de fois remarque-t-on que le progressisme le plus délirant rejoint la réaction la plus moisie ? C’est ce que j’appelle le « syndrome Avatar » : film pouvant être adulé par les nostalgiques de l’âge d’or, IE les réacs et les progs (les deux dans leur version hard).
Ce qui me fait me demander si le progressisme doit être totalement confondu avec « la modernité ».
Ça rejoint aussi ce que dit Xp de l’alliance entre MS, tradis, gauchos etc. quand je disais que cette affaire était étonnante, et ilysienne en diable.
« (on parle alors d’un « système défaillant » alors ce système a été totalement respecté dans le cadre de ses dogmes) »
Voilà. Par exemple. Merci.
Le dirlo qui accuse la justice… « on a su par le père que l’élève avait fait 4 mois de prison, c’est tout…. » Euh, et vous n’avez pas demandé pourquoi ?
Puis on apprend qu’il y a eu tentative de viol du même élève, dans le collège, avant, et qu’il a été gardé dans le collège et laissé libre de ses mouvements.
tout est hallucinant. Et cohérent avec les dogmes, en effet.
Le problème du Collège Cévenol, c’est qu’il vit de sa rente morale : pendant la guerre, il a planqué et sauvé des quantités d’enfants juifs, grâce à l’héroïsme du personnel et à son environnement rural. Je me demande s’il ne s’est pas encroûté dans cette idéologie « Nous, nous sauvons les enfants ». Entre temps le monde a évolué, on ne sauve plus les enfants simplement parce qu’on les planque.
Je m’excuse d’insister, mais ilys devrait s’intéresser de près à cette affaire… je me rappelle les longs comms d’Aquinus sur le « black swann » à propos de l’affaire DSK… il y a du gros « black swann » dans cette affaire.
Enfin, « black swaN » n’est peut-être pas le terme approprié, mais bon.
J’insiste à mon tour, mais on en a déjà parlé.
Je me suis longuement penché sur le cas Leroy/Mandon, en faisant régulièrement un détour vers l’affaire Markovik…
Cette tantation de s’allier aux « socialement proches » commune aux jacobins, aux mongaullo-souverainistes, aux communistes, aux catholiques décroissants, c’est non seulement un lièvre qu’on a soulevé, mais qui ne l’a été que sur Ilys, en tous cas à ma connaissance.
Mais j’ai l’impression que plus on fait l’effort de ne pas répéter sans arrêt les mêmes trucs (prout-prout les modernoeux, prout-prout la désacralisation du monde, prout-prout la perte des repères, prout-prout festivus-festivus), et moins on intéresse… C’est fatiguant.
Euh,j’ai du mal à saisir votre énervement, là.
Je vous parle d’une affaire précise, qui a certes à voir avec le « socialement proche », mais qui risque aussi de vous inspirer de nouveaux développements et/ou de nouveaux sujets.
Une espèce de goulag où le « socialement proche » ets aussi un « racialement proche », de manière très concrète, avec une novlangu (« parcours atypique » pour « racaille » etc), IE un champ d’observation étendu à un collège entier. Comment savoir avant d’y avoir fourré le nez ?
Non non, je ne m’énerve pas, je vous dis que je suis un peu las, et que je n’ai pas le courage de faire un billet la-dessus…
Parce que ça pompe de l’énergie, de soulever des nouveaux lièvres… Exactement comme lorsque Guibon a parlé du « pseudonymé »… Pas envie d’en parler, de montrer du doigt un mécanisme que j’avais déjà démonté.
Vous aurez beau parler du « socialement proche », un billet sur « le laxisme de la justice », « l’angélisme des bisounours gauchos » torché en dix minutes et qui passera totalement à côté fera la joie de toute la réacosphère… Enfin c’est parfois l’impression que j’ai.
« « (on parle alors d’un « système défaillant » alors ce système a été totalement respecté dans le cadre de ses dogmes) » »
Voilà ça, par exemple… C’est tellement plus difficile d’expliquer ça que de faire l’éternel numéro du ronchon Réac qui explique que rien ne fonctionne, alors qu’au contraire tout marche sur des roulettes.
« C’est tellement plus difficile d’expliquer ça que de faire l’éternel numéro du ronchon Réac »
Ben oui, mais c’est bien ce que je vous demandais: trouver de nouvelles pistes^^
Mais vous m’avez l’air bien fatigué, dites donc; vous devriez prendre des vacances, d’ailleurs en ce moment, c’est plutôt calme sur ilys, tant chez les rédacs que chez les commentateurs de haut niveau…
Castro, Castro, ça me dit quelque chose, attendez voir, c’est bien le gars qui est à droite de Pinochet ?
http://www.flickr.com/photos/leoupdate/3331377761/lightbox/
Non, il est à la droite de Siné.
faire l’éternel numéro du ronchon Réac qui explique que rien ne fonctionne, alors qu’au contraire tout marche sur des roulettes.
Je vous suis totalement sur ce point. Il y a quelques années, quand, avec l’avènement des blogues, on découvrait la libre expression, c’était une légitime et rafraîchissante catharsis que de blasphémer tout haut contre les dogmes de la république solidaire. C’était le temps de la Réacosphère.
Mais, au bout d’un moment, après cette période de détente, il a fallu attaquer la réflexion sérieuse, celle qui fait mal à la tête, en cessant d’excommunier en bloc la Modernité.
C’est que Ilys a fait — ou, plus exactement, c’est ce que Ilys est perpétuellement en train de faire et de refaire. C’est que les autres blogues de la défunte Réacosphère n’ont pas su faire.
Ni Philippe Muray. S’il y avait quelque chose de vraiment paradoxal, chez ce contempteur de l’infantilisation qu’était Muray, c’est que, quand il parlait de la Modernité, il agissait comme un enfant qui, lorsqu’il n’est pas content parce qu’il n’y a pas de Chantilly sur sa glace, fait une grosse colère en tapant des points contre le sol et refuse de manger sa glace. Être un adulte, c’est noter et critiquer sévèrement tous les défauts du temps présent, mais aussi distinguer avec soin ceux qui sont imputables en propre à la Modernité et ceux qui existent dans toute société humaine, relever les bienfaits que la Modernité a apportés, la part de celle-ci qu’il faudrait conserver.
Quant au concept de « socialement proche », sauf mon respect, j’ai l’impression, XP, que vous ne l’interprétez pas tout à fait correctement.
La doctrine du « socialement proche » ne correspond pas seulement au laxisme judiciaire, ni à la théorisation du laxisme judiciaire ; ce n’est même pas une doctrine prônant le laxisme . La doctrine du « socialement proche », c’est le recours à un certain laxisme judiciaire dans un but bien déterminé, celui de transformer les racailles en auxiliaires de l’Etat jacobin ; c’est l’alliance du trône et de la capuche.
Ce faisant, cette notion est un poing tant dans la gueule des gauchistes que dans celle des réactionnaires.
Avec elle, tout d’abord, on coupe l’herbe sous le pied des gauchistes en leur montrant que leur dialectique de l’opposition Racailles/Etat n’est que du vent. Si les racailles sont des auxiliaires d’un Etat policier, elles ne peuvent plus constituer une « force révolutionnaire ».
Ensuite, cette notion permet aussi de dépasser la dialectique réactionnaire de (pour reprendre votre expression), « l’angélisme bisounours des gauchos ». Non, l’Etat jacobin n’est pas bisounourfique. Il n’est même pas réellement « laxiste ». En réalité, il est même extrêmement répressif : voyez René Galinier, qui est jeté en prison à 70 ans pour une peccadille ; voyez les cathos tra-tra qui, parce qu’ils chantent des prières devant un théâtre, sont emmenés au poste ; voyez le droit pénal des affaires en général… La seule chose, c’est que l’Etat voit les délinquants où nous voyons les victimes, et voit les victimes où nous voyons les délinquants.
Or, avec la notion de « socialement proche », fini le refrain mariniste de l’ « Etat fort ». L’Etat, avec ses 300 000 policiers, est largement assez puissant pour arrêter n’importe quelle émeute ; s’il ne le fait pas, c’est qu’il ne le veut pas, c’est qu’il a autre chose en tête. La catho qui demande plus d’Etat parce qu’il s’est fait tabasser par des auxiliaires de l’Etat est apparaît alors aussi ridicule que le gauchiste qui, dans la même situation, demande plus de Diversité.
On s’aperçoit alors que l’on est pris entre Charybde et Scylla, ou, plus exactement, que Charybde et Scylla s’entendent entre eux pour plumer les individus pacifiques. Cela pose donc une question très délicate, digne d’un majeur, non susceptible d’être résolue par « balayage en bloc » : comment lutter efficacement contre les racailles sans se jeter dans la gueule de l’Etat ?
(Mes excuses pour commentaire un peu long.)
Ce que je voulais dire, c’est que les réactionnaires se font les complices des « socialement proches » avec leur discours anti-soixante-huitard sur « l’enfant roi »… Eux aussi, ils ont envie de bolosser du Geek… Un réac qui a un enfant au QI de 130 en a presque honte, aujourd’hui.
// Cela pose donc une question très délicate, digne d’un majeur, non susceptible d’être résolue par « balayage en bloc » : comment lutter efficacement contre les racailles sans se jeter dans la gueule de l’Etat ?
//
En 1983 on pouvait légitimement se poser la question de reconquérir l’Etat, de se servir (paradoxalement) de sa puissance pour tenter de tuer le socialisme et le collectivisme, et ainsi de désamorcer les pompes infernales qui nous colonisent depuis. Partout ces tentations réactionnaires ont échoué, en Europe seule l’Espagne a tenu longtemps et avec un certain bonheur cette ligne, puis la réaction étatique s’est là aussi effondrée.
Aujourd’hui la question ne se pose plus. Il faut détruire l’Etat, l’affaiblir au maximum. Dans la situation actuelle de délabrement mental, financier, culturel qui est le sien, investir les rares forces occidentales qui nous restent en France à sa reconquête est peine perdue. Affaiblissons-le, ce qui aidera les forces les plus vives de ce pays à s’auto-organiser en communautés qui tiennent la route et qui seront seules aptes à lutter, dans tous les domaines et pour les siècles à venir, contre les hordes de barbares qui peuplent désormais nos cités.
Alors que je pestais, quelqu’un me dit : « et alors, c’est pas bien de vouloir réformer ce que tu appelles les racailles ? » – moi : « mais ils ne les réforme pas, elles font ce que bon leur semblent !… »
C’est là qu’on voit qu’on a atteint une situation-limite : car je me suis rendu compte que mon objection était absurde : réformer quoi ? Parvenu à une invasion aussi massive et à un tel délabrement mental des Français, il n’y a plus rien à réformer.
En ce sens, ce directeur a pris acte de la situation, il est d’accord avec Aquinus, mais dans l’autre camp : il laisse les racailles en liberté, il les couvre, et malheur aux gosses FDS que leurs parents envoient ici, parents qui en ont la responsabilité.
le genre de parents qui ne défendent pas leur gamin quand il est en danger, devant une menace inédite qu’ils ne veulent pas voir… « tu n’as qu’à ne pas te laisser faire » (tout en ayant interdit toute sa vie au gamin de se battre car la violence c’est pas bien)
Oui, le problème n’est finalement pas que l’administration judiciaire, les psys ou je ne sais trop qui d’autre n’ait pas communiqué au collège-lycée.
Le problème, c’est que le Directeur de l’établissement ne se soit pas dit en recevant le père, qu’il faisait potentiellement entrer un loup dans la bergerie et qu’il devait tout faire pour l’empecher. Les parents des potentielles victimes le paient pour cela. Pour que chaque enfant de l’établissement soit en sécurité. En réalité, ne pas avoir posé la question, c’est de la non assistance à personne en danger.
Comme en économie, c’est la demande qui doit permettre l’offre, pas le contraire. Une offre sans demande, une production qui n’interesse personne, ca ne marche pas. Un établissement scolaire doit d’abord s’intéresser à ses éléves avant de penser en terme d’oeuvre sociale.
« Le problème, c’est que le Directeur de l’établissement ne se soit pas dit en recevant le père, qu’il faisait potentiellement entrer un loup dans la bergerie et qu’il devait tout faire pour l’empecher. »
UN loup ? J’en rajoute peut-être, mais il semble que les deux tiers des élèves étaient des loups : tentatives de viols, tabassages, vols, drogue etc.
Ce n’est pas cette décision qui est problématique, ni le désir de réformer des racailles (quoique de cette manière, on ne voit pas comment elles auraient pu être réformées), c’est de les mélanger à un tiers de petits blancs, et de couvrir leurs méfaits (entre autre, envers les petits blancs). Comme le dit le Sorpasso, ce ne sont pas des défaillances, c’est dans la logique de ce système.
Le fameux Matthieu est lui-même un petit blanc.
Mon propos sans doute mal exprimé, c’etait que tout le monde y compris à Droite, s’échine à trouver des solutions administratives pour « améliorer le système ». Soit une approche socialiste des choses.
Alors qu’il ne s’agit que d’une question de responsabilité. Il apparait ici que le Directeur de l’établissement est un irresponsable et que les parents le sont pour ne pas s’en être aperçus. Il suffisait de lire la plaquette de l’établissement. Il me semble donc etre en phase avec Sorpasso.
« Le fameux Matthieu est lui-même un petit blanc. »
Vous en êtes sûr ? De toute façon, ça ne change pas grand chose au fond de l’affaire.
Mais en effet, il n’y a pas à améliorer le système, quand tout le monde est les système, parents y compris.
Le Collège Cévenol s’inscrit dans l’idéologie de la Summerhill School où l’élève est un bon sauvage auquel on doit d’abord faire confiance. On a vu.
Ah oui, Summerhill… il me semble quand même que le maître à penser (que j’ai perdu du temps à lire il y a longtemps) de ce truc disait que si des élèves lui balançait des pierres, il leur en balançait aussi… on a regressé même par rapport à ça.
« Les parents des potentielles victimes le paient pour cela. »
Ils le payent plutôt pour s’occuper de leur gosse à leur place et leur dire que tout va bien, que le problème c’est la société. Il a parfaitement fait son taf. C’est bien là le problème. Et c’est pour ça que-comme toute la chaine de « responsabilité »-il ne comprend réellement pas pourquoi on l’emmerde, il est sincère.
« Un établissement scolaire doit d’abord s’intéresser à ses éléves avant de penser en terme d’oeuvre sociale. »
Ah bas alors là, bon courage^^. Saut peut-être une sorte de privé hors contrat, on paye sur résultat.
Sinon, cette affaire me fait penser à cette ânerie d’Hugo « Une école qu’on ouvre c’est une prison qu’on ferme » ça n’a jamais été aussi ironiquement vrai.
Rectif « Ils le payent plutôt pour s’occuper de leur gosse à leur place et leur dire que tout va bien »
plutôt pour ne pas s’occuper de leur gosse à leur place..
Les irresponsables sont en général sincères
La plupart des gens, sont sincères.
Le cynique est l’espèce d’homme la plus rare au monde.
Tout le monde a une bonne excuse dont il a préalablement pris soin de se persuader avant de se livrer à des saloperies.
Ce que je voulais dire, c’est qu’on ne paye même plus pour que des gens soient responsables à votre place, mais pour qu’ils soient irresponsables à votre place.
// Sinon, cette affaire me fait penser à cette ânerie d’Hugo « Une école qu’on ouvre c’est une prison qu’on ferme » ça n’a jamais été aussi ironiquement vrai. //
^^
Rosenczveig, sur son blog, se penche sur le problème du secret professionnel :
« …Les chefs d’établissements qui, je le rappelle, ne sont pas tenus au sens du droit pénal au secret professionnel mais à une simple obligation de discrétion vont répercuter les informations qui leur seront données. Le jeune sera grillé dans l’établissement et tout simplement ne l’intégrera pas. Imagine-t-on qu’un chef d’entreprise soit informé sur les turpitudes privées de ses salariés ? »
Ca confirme donc ce que disait le Sorpasso: il n’y a rien qui « n’a pas fonctionné ».
Tout, au contraire, a fonctionné à merveille: le jeune n’a pas été grillé dans l’établissement, et il a pu s’intégrer.
Mission accomplie, ils ont donc tout lieu de se montrer satisfaits.
Ils se montrent satisfaits, tous. Le Sorpasso a raison. Quant aux « turpitudes privées »…
Vous êtes injuste, tout de même, pour une fois qu’elle rend service à la société!
Sans compter qu’elle avait quand même été bien sympa avec la petite
Margarine, notre fille à tous par les oeuvres de nos impôts.
Bien sûr qu’elle était copine avec Fidel mais son époux aussi avait bien des amis douteux n’est-ce pas. Alors paix à son âme, si par impossible elle
en avait une.
Quant à cette saloperie de Siné, j’ignorais qu’il fût désormais monté sur
roulettes. Ca lui va plutôt bien, peut être ira t-il ainsi plus vite
rejoindre le diable.
D’accord avec Sorpasso. Cette affaire c’est comme si le diable avait peint un tableau parfait: les bons mots, le système « tolérant », « métissé » et « ouvert », sur un des lieux de la résistance, fondé par des pasteurs. Tout pour faire s’évanouir de plaisr à la fois les bobos relativistes et les réacs CAB relativistes eux-aussi, dans un même lieu. Tout ce petit monde semble parfaitement cohérent, comme un petit paradis des Soviets, tant que les apologistes du diable le décrivent. Il n’y a plus de punition, plus personne n’est exclu; ils prétendent avoir éradiqué le mal, comme dans une société primitive.
Et puis le mal leur revient en pleine gueule avec la puissance d’un TGV au galop: le meurtre sordide d’une fillette par un violeur récidiviste accro au porno et mis au monde par des parents qui n’en sont pas. Et alors le décor de Tintin au pays des Soviets se déchire, le tapis se soulève et chacun peut entrevoir l’irrespirable putréfaction qui y régnait. Et un peu comme comical Ali au début de la guerre d’Irak, les apologistes du diable de déclarer sur les plateaux télé que non, tout va bien, leur système est merveilleux et que si le meurtre a eu lieu c’est malgré ce système parfait, tolérant, métissé et ouvert. Alors que la cause n°1 de cette putréfaction, c’est le système et surtout ses salopards d’acteurs, des parents aux professeurs et autres inspecteurs.
Tout ce que l’on peut faire avec ces gens, c’est leur tendre la Bible et leur inciter à lire la Genèse, afin de se convertir. C’est à mon sens le seul acte de charité que l’on puisse tenter, après ça il faut dialoguer au fusil à pompe avec ces racailles d’Etat. Que le fruit de mon travail serve à rémunérer et faire vivre ces psys scolaires, ces dirlos « huamnistes », à donner bonne conscience à des parents qui ont l’âge mental d’adolescents, tout cela me tord les boyaux.
C’est un goulag, ce collège. Un goulag multiracial, qui plus est, même si l’assassin se révèle être un FDS.
Et la représentation qui en est faite dans l’espèce de grand goulag multiracial à ciel ouvert qui se construit en France, est fort logiquement celle d’un paradis sur terre, comme dans n’importe quel Goulag.
Il était temps que vous vous manifestiez là-dessus, Aquinus. Sous votre plume, cette affaire vibre du symbolisme terrible qu’elle porte.
Oui, et ne faisons pas l’erreur que l’on fait encore avec le communisme:
« le communisme a échoué, les cocos étaient des naïfs… »
Le communisme a parfaitement réussi, et les communistes ont assouvi leurs pulsions criminelles. Ne nous demandons pas ce qui a disfonctionné dans cette affaire, alors que tout a fonctionné à merveille.
Je suis fasciné par ce phénomène qui consiste à nier la vérité à toute force, et à persister encore plus dans l’erreur au moment même où l’on a toutes les preuves de bon sens sous les yeux que l’on marche sur la tête. C’est la même chose avec l’incroyable masse de commentaires indécents que j’entends autour de moi, de gens apeurés et honteux d’avoir cautionné tout ça, qui prétendent que « les marchés et les agences de notation, ces vautours, vont ruiner la brave France et les braves gens ». Faut-il en avoir une dose de lâcheté collée à la peau pour, devant l’évidence d’une telle faillite de la social-démocratie dont même aucun libéral des eighties n’aurait rêvé, continuer à nier, à nier et à nier. A mentir à tout le monde, mais encore plus grave, à se mentir à soi-même.
Ce collège est effectivement un goulag. Toute négation du mal intrinsèque à l’être humain, et des nécessaires contraintes pénibles que cela engendre sur toute organisation humaine réaliste (jugements, peines, sanctions, mises à l’écart, rires des uns et pleurs des autres…), tout refus de prendre sa propre part de liberté et de reponsabilité dans ce tableau, conduit aux plus inimaginables catastrophes.
Ici c’est le refus de la sanction, de la punition et de l’exclusion qui dès le début, dans le road book du collège dès le départ, annonce la faillite collective, le désarroi de parents irresponsables qui se sont tus tant d’années devant ce qui était devenu un zoo. Et des comme ça, y’en a par centaines dans cette société de malades.
Seule solution pour garder un peu de sanité: ne jamais se coucher nis e taire, rentrer dans le lard, tout le temps, de tout ce qui ressemble de près ou de loin au Frankistan collectiviste et égalitariste. Inlassablement, ne serait-ce que pour édifier ses propres enfants, et pouvoir dormir du sommeil du juste.
Marrant que vous fassiez un détour par les marchés et les agences de notation, toussa… ce collège était (bien évidemment) au bord de la faillite… (et il semble qu’ils aient accepté -pas posé trop de questions, je veux dire- le futur assassin parce qu’ils avaient urgemment besoin de fric. Une telle cohérence dans l’atroce est quand même fabuleuse)
Aquinus : « Tout ce que l’on peut faire avec ces gens, c’est leur tendre la Bible et leur inciter à lire la Genèse, afin de se convertir. »
Excusez-moi je reviens sur cette phrase avec un peu de retard et bien évidemment vous avez déjà bien compris en évoquant ces gens parfaitement cohérents avec eux mêmes mais il me semble important de souligner ce fait : ces gens là sont non seulement cohérents mais parfaitement convertis. Ils connaissent mieux que vous et moi les enjeux métaphysiques et spirituels qui sont eu coeur de leurs idéologies et combats. Croyez moi, la Bible, le diable la connait bien! Et toutes ces personnes ont choisi depuis très longtemps leur camp EN TOUTE CONNAISSANCE DE CAUSE. Le fusil à pompe demeure la seule alternative et c’est tout.Vous perdriez un temps précieux avec votre histoire de Bible, et sans doute la vie et surtout la vie de vos proches. Ces gens là connaissent la Bible très très bien.
Marrant, à la phrase d’Aquinus, j’ai pensé : aucune envie de tenter un acte de charité evc ces gens-la… le fusil, direct. Mais je ne suis plus guère chrétien et ne crois plus en grand-chose…
Mais si les cathos croyants et carrément intégristes (^^) nous sortent un : « Le fusil à pompe demeure la seule alternative et c’est tout.Vous perdriez un temps précieux avec votre histoire de Bible » (« votre histoire de bible » 😀 ), alors on va pouvoir s’entendre, hihi.
Voyons, Gil, vous savez bien que depuis la fameuse affaire du placard, nous ne pouvons que nous entendre parfaitement!^^
Ah c’est sûr que moi dans le placard avec mes amis les rats et vous batifolant en pleine nature, y a pas de risque de mésentente 🙁 I’ll never fall in love again.
http://www.youtube.com/watch?v=Ebyc9tJod4E&feature=related
Je reviens comme d’habitude complètement à côté de la plaque mais, Gil, je voudrais absolument rectifier encore quelque chose : autant présenter la Bible à ces gens là qui la connaissent très très bien me paraît vain et même dangereux pour soi-même car ils ont choisi, autant présenter la Bible à qui semble la réclamer peu ou prou, pressentant sans doute sans vraiment les connaître les enjeux métaphysiques et spirituels de notre monde et surtout NÉCESSITANT à mon sens de devenir un vrai chrétien car ceux d’en face possèdent des armes que seul un chrétien peut combattre. Je pense, pour cette « histoire de Bible », à …quelqu’un comme vous, Gil, qui cogitez vite et bien et ajoutez : « je ne crois plus en grand chose »… il est temps Gil de croire parce que vraiment quelque part, dans les combats d’aujourd’hui, ça URGE d’avoir une foi, une vraie, une solide, régénérée dans les sacrements. Voilà, je me sentais dans l’obligation d’ajouter cela.
+ 1, et puis il faut bien dire que le christianisme est d’une richesse prodigieuse, si vaste. Sidérant à tous points de vue, même scientifique avec une recherche en pointe, témoin cette impressionnante nouvelle biographie de Jésus par J.-C. Petitfils.
Merci Crevette. Votre intervention « à côté de la plaque » me fait penser à Llewelyn Moss se réveillant en pleine nuit, taraudé par un la souffrance d’un inconnu qui ne vaut pas grand-chose : « je sens que je vais faire une connerie, mais je dois la faire quand même… »^^
Je crois en des gens comme vous, et je crois à vous en train de me dire ça (je ne sais pas si je me fais comprendre, hum). Je crois que ça me suffira pour l’instant.
(Je crois aussi en vos beaux restes. Sur parole. Sans avoir besoin de toucher. (évidemment, si vous insistez pour que je touche… bon, ferme-la))
XP, je vous trouve un peu excessif avec les réacs :
1) ces réacs dont vous parlez sont quand même les plus cons; je sais que vous visez à cerner les grandes lignes, mais quand même…
2) Vous dites que le discours sur les claques aux enfants reviennent à la mode. Oui mais pourquoi ? N’est-ce pas quand même lié au changement culturo-ethnique que nous vivons (bref, on veut mettre des claques aux racailles), couplé certes au refus de voir (même chez les réacs) que ce changement est tellement profond et tellement opposé à l’Occident, que ce ne sont pas des claques qui vont résoudre quoi que ce soit ?
En ce sens, la nostalgie de l’instit’ dur n’est que le cache-misère du désarroi.
3) Même en admettant que des réacs aient mis leurs mômes dans ce collège, parce qu’ils voulaient une éducation « à la dure », aucun ne l’aurait laissé là-bas s’il avait su ce qui se passait réellement. Vouloir que son gosse soit éduqué à la dure ne signifie pas qu’on veuille qu’il reçoive des baffes, encore moins qu’il se fasse tabasser par 10 raclures.
c’est joliment dit!
La philosophie de ce collège repose sur cette curieuse idée très chrétienne de la « deuxième chance », qu’un salaud peut devenir un homme de bien, juste et droit. Que les criminels infestant notre société sont tous des Paul de Tarse ou des Augustin d’Hippone en puissance. Que l’on peut changer et naître sous une forme purifiée comme un born again. Changer l’homme: c’est une obsession commune au christianisme, au communisme, et à toute la gauche. Bullshit que tout cela. En réalité, les hommes ne changent pas. Dès la petite école, un esprit un peu sagace aurait pu prévoir le parcours de mes camarades. Untel geek deviendra informaticien, Unetelle bavarde et pas futée coiffeuse, au autre qui est une vraie terreur rackettant ses copains finira en taule, etc. Notre programme génétique contient certes suffisamment de variabilité pour nous offrir un minimum de plasticité, mais les grandes lignes restent les mêmes. Elles sont confirmées par les résultats stupéfiants de plusieurs études menées sur de vrais jumeaux séparés à leur naissance. Même en ayant grandi à des milliers de kilomètres et dans des environnements sociaux complètement différents, les jumeaux finissaient 30 ans plus tard par atteindre la même structure sociale, des professions de même niveau, le même type de casier judiciaire, etc.
Vertumne : « Changer l’homme: c’est une obsession commune au christianisme, au communisme, et à toute la gauche. Bullshit que tout cela. »
Ah ! Enfin un peu d’antique intelligence dans ce monde décivilisé, déraciné. Enfin de l’authentique humanisme. Bravo Vertumne, bien envoyé, ça c’est du réac comme il nous en faudrait plus souvent.
Faut-il en avoir une dose de lâcheté collée à la peau pour, devant l’évidence d’une telle faillite de la social-démocratie…
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Par rapport à la dette comme outil de « gouvernance » :
http://images.4chan.org/hr/src/1317610360474.png
pour siné , il faut dire « une babouche dans la tombe » ou « une thong dans la tombe »
la sandale ( en latin crépidam) ,c’était aussi , avec la toge , un insigne social chez les romains
la plèbe portait des galoches
aussi le pied de siné ne mérite point cet excès d’honneur
Sinon la vioque Mitterand est morte et c’est tant mieux. Je suis allé poser « une gerbe » dans la seine pour l’occasion. Comprenne qui pourra.. 🙂
A propos de l’affaire du Cévenol, faudrait peut-être pas oublier que l’histoire numéro une là dedans, c’est avant tout un crime complètement atroce et dont je ne voudrais en aucun cas avoir à fréquenter l’auteur, de près ou de loin, indirectement ou directement. Entendre des gens censés être des droitards aller lui trouver l’excuse de l’irresponsabilité de ses parents, ou de l’incompétence des institutions publiques, c’est juste désespérant. Un tel animal, sa place est sur une chaise électrique, ou au bout d’une corde, et ce quel que soit le niveau de dégueulasserie des protagonistes indirects. Il est à un mois de ses 18 ans, il en a pas 10. Ou alors dans ce cas là, on pourra tout aussi bien trouver des excuses aux CPF émeutiers, ou aux kamikazes islamistes.
C’est peut-être aussi ça le problème, que même des gens de droite en viennent à oublier que la justice n’est pas là pour s’adapter aux déboires enfantins de mecs comme ça, mais là pour assurer un ordre, pour sanctionner et éliminer les gens inaptes à respecter les règles et à s’adapter au pacte. Rien à battre que ses parents achetaient des sex toys, la seule chose que je retiens, c’est que dans un monde normal, ce petit fumier aurait dû être en train de purger une peine de 30 ans pour son premier viol, avec droit de le garder 15 ans de plus si on le jugeait dangereux.
Après, l’attitude des fonctionnaires, des médecins…ben on la connait, à partir du moment où on pense agir pour un bien commun et non pour sa propre petite personne uniquement pour gagner sa croûte, non seulement on pense que toutes nos actions quelles qu’elles soient sont naturellement bénies par la grâce des chérubins, mais en plus on aura toujours cette fâcheuse tendance à non seulement ne jamais assumer, mais surtout à ne jamais culpabiliser, ne jamais se sentir concerné PERSONNELLEMENT des éventuels drames qui peuvent survenir, et ce malgré les « j’ai l’impression de ne pas faire mon devoir » de façade.
Mais ça il me semble que XP, (aidé un petit peu par moi il est vrai^^), l’a déjà très bien expliqué.
Il y autre chose: Quand on pense faire don de sa personne alors que l’on gagne simplement sa croute, on est incapable du moindre don, du moindre acte de générosité… En clair, on pense qu’on a déjà donné, que la moindre piécette au mendiant du coin serait de trop.
Illustration par l’exemple:
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/eva-joly-pas-si-reine-en-norvege_941790.html
« Au lieu de rembourser la somme sur ses propres deniers, elle entreprend des démarches écrites auprès du restaurant pour récupérer les 245 euros. Sans se soucier du manque à gagner qui en découlerait pour les serveurs. Le gérant de l’établissement refuse net. Avec cet argument en béton : donner, c’est donner ; reprendre… »
J’imagine bien la grosse Boutin entreprendre exactement les mêmes démarches ^^.
Moi aussi!
Mieux, je l’imagine allez au Restaurant elle-même, au moment du coup de feu, et prendre la tête au restaurateur pendant une heure en brandissant sa note de frais, jusuq’à ce que l’autre lui lache le pognon pour s’en débarrasser.
« mais en plus on aura toujours cette fâcheuse tendance à non seulement ne jamais assumer, mais surtout à ne jamais culpabiliser »
Je pense que c’est la grande explication du nombre de dépressions nerveuses chez les pédagogues, de suicide à l’EDF, des cas de « harcelement moral »si nombreux dans la fonction publique:
Quand vous êtes incapable de culpabilier, la moindre critique ou observation est vécue comme une attaque insoutenable, un traumatisme contre lequel celui qui se sent visé est totalement démuni.
Les enseignants expliquent qu’ils souffrent d’un manque de considération de la part du public… Je pense en effet qu’ils ressentent la moindre critique qui leur arrive aux oreilles comme une agression gratuite, violente, injustifiée… Comme si on s’amusait à balancer des pierres dans les vitres de leurs salles de classes pour s’amuser.
A l’extrême inverse, les gens du Tertiaire se remettent perpetuellement en cause quand ils ne se couvrent pas carrément de merde
Il suffit de lire Lounès Darbois ici pour s’en rendre compte.
Pour le mec du tertiaire, rien n’est jamais acquis selon lui, tantôt il a l’impression d’être un parasite, tantôt un cuistre dont le sentiment d’inutilité est maximale.
Le mec qui bosse dans le Tertiaire a des états d’âme, on le sent travaillé par des questions d’ordre métaphysiques malgré sa mentalité de fonceur bourrin.
Hors-sujet (enfin, pas tout à fin…) : je viens d’entendre sur la BBC qu’un des dirigeants khmers dont le procès a lieu en ce moment a, pour se défendre, rappelé qu’aux dires mêmes des journaux français de l’époque, l’avènement du régime khmer avait été une « libération »…Bizarrement, la dépêche AFP de ce matin n’en parle pas…
Ah ah ah… viens justement de mettre la main sur un Revel où il liste tous les articles de journaux français favorables aux génocidaires communistes cambodgiens… la liste est longue, très longue.
Pour le pendant américain – surtout universitaire, d’ailleurs, les médias américains étant malgré tout plus honnêtes – voir ce papier qui devrait être un classique http://www.csua.berkeley.edu/~sophal/canon.pdf. Je le reparcours de temps en temps, le démontage de Chomsky notamment est magnifique.
Merci pour le lien, j.ax. Mais de quel livre de Revel parlez-vous ?
Pour ma part, je piochais mes infos ici : http://www.ichtus.fr/article.php3?id_article=177
(Je regrette de ne pas avoir les PDF des articles originaux…)
La Connaissance inutile, XP je crois en avait parlé comme d’un grand Revel. J’avais vu votre article, c’est hallucinant:
« Ce peuple est à l’ouvrage jour et nuit, si l’on en croit Radio-Phnom-Pen – qu’il n’y a aucune raison de ne pas croire en ce domaine – tout le monde vit de la même façon, transporte, pioche, reconstruit, repique, ensemence, récolte, irrigue, depuis les enfants jusqu’aux vieillards. L’allégresse révolutionnaire a, parait-il, transformé le paysage humain (…) Une société nouvelle est assurément en gestation dans le royaume révolutionnaire »…
J’aimerais qu’un site en vue genre Atlantico ou le blog de Rioufol reprenne ces infos de la BBC et déballe leur linge sale sous le nez du Monde, Libé et compagnie, l’occasion est bonne.
J’ai retrouvé une trace écrite des propos de l’accusé :
« Ensuite Khieu Samphan s’emploie à démonter les sources des co-procureurs. Il dit que ce sont en grande partie des extraits de livres et des articles de journaux. « A ce que je sache ni les historiens, ni les journalistes, ni les chroniqueurs, ni les romanciers ne sont des magistrats. […] Ces journalistes que vous avez cités sont libres de tout enjeu judiciaire. Ils ont bien sûr le droit de se tromper, d’être partiaux et d’exprimer des opinions librement plutôt que d’aller au fond des choses. Puis-je, Mme le procureur, vous rappeler que le lendemain du 17 avril 1975 le quotidien français Le Monde titrait un article : “Phnom Penh libérée”. Que n’entendrais-je comme critique de votre part si je cherchais à en tirer argument ! […] Quel est ce procès que vous nous proposez 36 ans après les faits ? Quel est ce procès s’il n’est fondé que sur des témoignages anonymes, des articles de presse et des livres de journalistes partiaux?»
Ici : http://proceskhmersrouges.net/?p=1528
Marrant que vous ne me parliez pas de Desouche…mais logique en fait : plus ses tenanciers (et en particulier les insupportables Paysan savoyard, Eric et Henri) se la jouent « éditorialistes », moins Fds remplit se fonction de réinformation…
C’est plus des noms qui me sont venus comme ça, je suis loin d’être un spécialiste des médias à droite, mais ces deux-là semblent avoir une certaine audience. Rioufol par exemple parle depuis longtemps de trucs qui ne seront jamais dans le Figaro papier. Pourquoi pas Desouche, mais ce n’est pas le genre de sujet qui les intéresse a priori, même si je ne connais pas très bien.
Une nouvelle loi vient d’être votée par la ville de L.A.: tout aboiement intempestif (plus de 10 min) de votre chien-chien sera sanctionné d’une amende de 250$ (500$ puis 1000$ en cas de première et deuxième récidive) par les autorités.
Anecdote mise à part, le viol commis par un mineur est puni (au fédéral) de 15 ans de prison maximum, la peine la plus commune étant comprise entre 5 et 10 ans.
@Vlad Tepes
30 de prison ferme pour un simple rapport sexuel forcé ??????
Vous, on peut dire que vous êtes un vrai féministe. ^^
Quand on pense qu’il y a même pas 50 ans, le viol était encore un objet juridique non-identifiable…
Mon cher, je fais largement la différence entre viol et viol.
Il y a le viol commis dans des soirées, quand tout le monde a un peu bu, s’est amusé, que tu veux pas mais moi oui, etc…ça ça peut arriver à tout le monde, et je suis le premier à relativiser et à défendre dans ce cas là.
Mais il y a aussi le viol de pervers, qui là démontre une réelle dangerosité. Je pense que vu jusqu’où le gars est allé, on peut ici parler de viols pervers. Il s’agissait en plus si je ne m’abuse d’une fille coincée dans les bois, pas dans un appart’ en fin de soirée avec 2 grammes dans le sang.
Oui, pour ces viols là, j’assume, 30 ans. Et il semble qu’au final, il est difficile de me donner tort.
Le manichéisme, c’est le grand péché de l’époque. Parce que des hystériques féministes mettent tous les auteurs de « rapports sexuels non consentis » dans le même sac, il faudrait avoir une quelconque pitié pour des pervers dangereux? Non merci, sans moi.
De même que du fait que l’assassin en question est un FDS, tous les commentaires de fdesouche ne tournent que sur les responsabilités institutionnelles et parentales. On ne cherche plus à être en contact avec Dieu mais uniquement à défendre son Dieu. Jamais les gens n’ont été aussi gauchistes, mais jamais ils n’ont autant détesté les basanés. Du coup ça donne une espèce de sous-culture qui se développe où seuls les noirs et les muzz sont capables de faire des saloperies, quand bien souvent ce ne sont pas juste les muzz. Un monde où les blancs chrétiens sont tous des petits saints que l’on peut croire sur parole, et où tout non-muzz est fondamentalement supérieur à un muzz. Une oumma bis quoi. Pas étonnant que ce soit l’époque qui crée le plus de gros glands et de mégalos.
Je vais me faire l’avocat du Diable parce que j’ai toujours eu une mentalité de sale gosse.
62% des femmes ont en réalité des fantasmes de viol.
Voilà quelques articles à ce sujet
http://heartiste.wordpress.com/2011/04/18/what-betas-can-learn-from-womens-rape-fantasies/
http://heartiste.wordpress.com/2011/03/28/more-women-have-rape-fantasies-than-previously-thought/
Il y a encore 30 ans (c’est à dire avant l’irruption massive des lubies douceureuses du féminisme), le fantasme du viol était tout ce qu’il y a de plus politiquement correct chez les femmes, voir ce documentaire:
http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/CPB8405188804/fantasmes-feminins.fr.html
« Feminists who lamely try to handwave away rape fantasies as just another form of BDSM consensual sex are wrong. As the studies show, there is no consensual seduction as widely understood in women’s rape fantasies. They are about rape, and nothing but the rape. The only difference is in how violently the rapist penetrates her in her fantasy and in how much of a fight she puts up to stop him. In neither case, though, could the rape fantasy be reasonably termed a consensual seduction.
Ironically, aversive rape fantasies are the ones feminists would be more inclined to believe as true reflections of the female id, because those are the types of rape fantasies that women have to deal with the fear of rape. Too bad for the feminists, though, that, according to the first study linked above, aversive rape fantasies account for only 9% of all rape fantasies, with the great majority being either solely erotic in nature or a mix of erotic and aversive. Seems the ladies really do get off on the feeling of being raped by a strong and willful man. »
Ca n’a pas changé:
http://lafemmeobjetmarketing.blog-idrac.com/2010/10/26/babette-je-la-lie-je-la-fouette-et-parfois-elle-passe-a-la-casserole/
Précision: la cible était la ménagère, et la campagne publicaitaire a été conçue par d’autres femmes.
C’est quand même troublant de savoir qu’un truc qui relève du pénal (le viol) est secrêtement désirée par des millions de victimes potentielles (62% des femmes en gros). Ethiquement parlant, ça la fout mal. Je dirai même plus que ça fout la merde.
Après, je suppose que l’échantillon de femmes désirant avoir des rapports sexuels non-consentis, ce serait plutôt avec des Rocco Siffredi aux abdos saillants et santant bon le parfum qu’avec des dealer de crack à la tronche indescriptible.
Ma mère m’a toujours éduqué de la façon suivante: « Si une femme te dit non, c’est que c’est non. » Ma mère est une indécrottable féministe frigide. ^^
C’est quand même troublant de savoir qu’un truc qui relève du pénal (le viol) est secrêtement désirée par des millions de victimes potentielles (62% des femmes en gros). Ethiquement parlant, ça la fout mal. Je dirai même plus que ça fout la merde.
Vous voulez dire que le fait que des millions de gens dégomment des passants dans GTA, rend un peu illégitime l’interdiction du meurtre ?
On ne parle pas de la même chose.
62% des hommes ne rêvent pas d’écraser les badauds en tirant à la kalashnikov sur les condés.
Regardez cette vidéo:
http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/CPB8405188804/fantasmes-feminins.fr.html
« J’ai le fantasme de viol et de groupe. (Cathy, étudiante à l’institut catholique de Paris) »
Nous sommes dans les années 70, à une époque où ce n’est pas devenu un tabou ultime. De là à dire qu’il y a une corélation entre les fantasmes sexuels et la morale du temps, c’est une piste intéressante à éluder.
« De là à dire qu’il y a une corélation entre les fantasmes sexuels et la morale du temps, c’est une piste intéressante à éluder. »
Il peut y avoir une exacerbation mais ce genre de fantasmes doit toujours avoir existé. Jung parlait déjà dans les années 30-40 (ce que les psy doivent entendre doit se rapprocher de ce que les curés entendaient à confesse, sauf qu’ils ne pouvaient pas l’écrire) de ces patientes qui avaient ces fantasmes, et dont certaines se mettaient en danger (promenades tardives dans des lieux isolés).
Ce qu’il y a d’intéressant, c’est la croyance que l’aveu ou la reconaissance de ces fantasmes traduit une prise en main des femmes de leur sexualité, alors que le fond de ces fantasmes, le type de mise en scène qu’ils évoquent, traduit justement une volonté de ne jamais assumer le désir et l’acte sexuel.
Quand bien même 100 % des femmes feraient des rêves humides de bel abuseur entré par la fenêtre, dans leur lit la nuit (fantasme leur permettant effectivement de ne pas assumer leur désir, et de se vivre comme des objets de désir aux effets surpuissants), je ne vois pas en quoi ça réduirait l’aspect criminel d’un viol réel, objectif. 99 % des français ont l’envie consciente de se faire violer par l’Etat, ça ne vous empêche pas de voir ça comme une authentique dégueulasserie, non ? Bon, j’arrête les analogies.
« 62% des hommes ne rêvent pas d’écraser les badauds en tirant à la kalashnikov sur les condés »
Allez savoir…
@Gil
Disons que c’est moins intéressant à faire dans la réalité que dans GTA 4. ^^
Ah non, ça doit être beaucoup plus intéressant ! Plus court, certes^^
Rocco Sifredi, ou alors, plus romantique, George Clooney, dans la semi-pénombre d’une ruelle de Bellagio, et propre sur lui, what else ?
Pas par un ivrogne communiste flasque et mal récuré.
Le fantasme du viol choisi. Hé, ho !
Slavoj Zizek dit une chose intéressante à propos du fantasme de viol et de sa réalisation. En gros, celles chez qui c’est un fantasme inconscient auront plus de mal à s’en remettre que celles pour qui ca ne l’est pas. Parce que dans le premier cas, ca touche à la tessiture la plus intime d’une personne, que ca rentre en collision directe avec son imaginaire, tandis que dans l’autre, on ne touche pas autant en profondeur, d’un point de vue psychique.
D’où je pense la profonde douleur qu’une femme peut ressentir après un viol. Le questionnement, la culpabilité de peut-être l’avoir plus ou moins désiré, voir d’y avoir pris du plaisir.
Mais comme je suis un gros salaud dégueulasse, je vais aller encore plus loin.
Il se trouve que les petites filles, quand elles font des câlins à des hommes, père ou autre, ne font pas que des câlins dans leurs têtes. Ce n’est pas moi qui le dit, mais je l’ai plus ou moins remarqué, clairement elles fantasment au fond d’elles de faire l’amour avec les hommes adultes en question. Et les petites filles qui manquent d’un père sont les plus terribles dans le genre.
Pour autant, je pense qu’on est plus ou moins d’accord pour dire qu’un adulte qui aurait envie de prendre cela pour argent comptant ne participerait pas franchement à son équilibre et à son épanouissement (de la petite fille).
Il se trouve que le fantasme, même le plus dérangeant, est une donne indispensable à la construction de l’enfant. Je suppose qu’il en est plus ou moins de même pour les adultes, et que donc dans tous les cas, il est incongru d’évoquer cela dans une discussion de philosophie juridique.
Mais en revanche ça aurait sa place dans bien d’autres sujets tout autant passionnants.
De même qu’il est dans l’air du temps de « démoniser » le viol, il est dans l’air du temps de « normaliser » la pornographie.
Or, je ne crois pas qu’il y ait plus mortifère et malsain que le Porno.
De l’avis même d’un producteur de cul bien connu (la frontière entre le Meurtre et la Pornographie est ténue):
http://www.youtube.com/watch?v=xv7Paou6C6A&feature=player_embedded
« On nous donne un pouvoir extraordinaire: diriger des gens pour qu’ils baisent devant nous. Je trouve ça incroyable. La nana veut pas se faire sodomiser, t’arrives à la convaincre, elle se fait enculer comme une ordure.
Au niveau pouvoir et de manipulation, ça paraît extrêmeJe crois pas qu’on puisse aller plus loin, sinon après y a le meurtre. »
Gérard Menoud
Ce qui frappe chez Siné c’est qu’il dessine mal, ne sait pas écrire ni être drôle. Actuellement, il fini sa ‘carrière’ en fauteuil roulant chez les types de Groland.
Même chose sur Mme La Mitterrand dont j’ai entendu qu’elle s’opposa au « système ».
Mais comme j’ai bonne âme j’excuse leurs outrances, je plains leurs états.