Caissière menacée de licenciement : la mobilisation fait reculer Cora
Face à une mobilisation sur Internet, l’hypermarché Cora de Mondelange (Moselle), qui menaçait de licencier une employée pour avoir récupéré un ticket pour un hamburger gratuit laissé en caisse par un client,a décidé de faire marche arrière. L’employée en question ne sera donc pas convoquée le 7 novembre pour une entretien préalable au licenciement.
Rappel des faits. Il y a deux semaines, révèle le Républicain Lorrain, Anne-Marie, employée de caisse à l’hypermarché Cora de Mondelange, à coté de Metz, ramasse un ticket de caisse, abandonné par un client. Au dos : une réduction dans un fast-food. « J’ai pensé à mon fils de 8 ans, raconte-t-elle sur France Inter. J’ai détaché (le ticket, ndlr), mais vraiment au vu de tout le monde, et juste après, à 2 heures, à la fin de mon service, on m’a interpellée, l’adjoint de la sécurité et ma chef de caisse me disant que c’est la propriété de Cora. » Une thèse contredite sur Twitter par l’avocat blogueur Maître Eolas, qui estime « qu’un ticket de caisse est la propriété du client dès l’instant où on lui tend. S’il l’abandonne, c’est une res derelicta, chose sans maître ».
Réactions sur le net
Une procédure de licenciement a été engagée contre la caissière, également représentante du personnel CGT. Elle a été convoquée à la gendarmerie d’Uckange et en est ressortie avec un rappel à la loi émanant du procureur de la République de Thionville. Elle est convoquée le 7 novembre par sa direction pour un entretien préalable au licenciement. Selon Le Républicain lorrain, son avocat, Me Ralph Blindauer, a fait opposition à ce rappel à la loi.
Mais finalement les choses n’iront pas plus loin. Dès la médiatisation de l’affaire, les internautes se sont mobilisés. Sur la page Facebook des hypermarchés Cora, les commentaires se déchaînaient. Cette mobilisation a visiblement fait du chemin, puisque la direction de Cora a décidé d’abandonner ses poursuites. « La direction de cora Mondelange a décidé de ne pas poursuivre la procédure engagée à l’encontre d’une salariée du magasin. Nous avons conscience de l’émotion suscitée par les informations parues depuis ce matin », a-t-elle écrit sur sa page Facebook.
Que nous apprend cette affaire?
Qu’un supermarché est un établissement honnête qui ne laisse pas le personnel et ses syndicats razzier la clientèle, que ces gens-là n’y ont pas les moyens de se comporter aussi mal que s’ils rôdaient à la SNCF ou l’Éducation Nationale.
Car enfin, de quoi s’agit-il?
– Les supermarchés offrent des bons de réduction aux clients, lesquels doivent vraisemblablement être intégrés dans les charges de ces magasins.
– Tous les jours, une caissière doit servir des dizaines de gens qui ne prennent pas leurs tickets de caisse et les bons de réduction qui s’y trouvent au dos, et partant, il doit certainement être interdit au personnel de les récupérer c’est à dire de transformer ce qui est payé par le client en avantages acquis, comme disent ces gens-là.
Pour le dire autrement, parce qu’il s’agit d’établissements privés, le client y est roi, et le personnel n’a donc pas les moyens de le voler,… S’il s’agissait d’établissements publics, de fil en aiguille, les syndicats obtiendraient qu’un bon tiers des bons de réductions revenant aux clients et payés par eux aillent dans la poche desdits syndicats….
Ce que nous dit ce fait divers, c’est que le modèle capitaliste et concurrentiel nous protège du socialisme et de ses rapaces….
Si les supermarchés devenaient des magasins d’État, très vite, le personnel aurait le droit de récupérer les fruits périmés dans les poubelles, en prenant donc soin de mettre les plus mûrs hors de portée de vue des acheteurs quand ils sont encore en rayon, mais Dieu merci, ce sont des entreprises privée, et leurs gérants balancent de la javel sur les pommes et les poires, après les avoir foutus à la beine.
Le socialisme est bien l’univers des voleurs et des chacals, une jungle, la Common Decency n’y est pas garantie par la loi de l’offre et la demande, et je crois qu’ il serait temps d’expliquer la vie réelle aux millions de Michéa de ce pays que la chute du mur de Berlin n’a pas suffit à décontaminer.
C’est très amusant que vous parliez de l’arnaque des bons d’achat.
Je vais vous dire la vérité, une bonne partie des caissie(ère)s qui bossent dans les grosses structures type « Hyper-marché » ramassent les bons d’achats en masse quand ce n’est pas carrément les cartes de fidélité.
A tel point que certaines enseignes ont dû mettre des « Codes » sur les cartes de leurs clients (LOL).
Il suffit qu’un vieux oulie sa Carte Fidélité et hop: le caissier malpropre lui vide tous ses points.
Le problème des socialistes, c’est qu’ils feignent d’ignorer ce qu’est la psychologie d’un salarié lambda: en faire toujours le moins possible pour le même salaire. Je sais de quoi je parle: je bosse au SMIC ^^
Les socialistes refusent de prendre en compte la cupidité et la très naturelle inclinaison de l’homme à rien foutre, alors même qu’ils parlent tout le temps des « sales riches qui nous pillent et des rentiers qui branlent rien ragnagna ». Ce sont des faux-cul.
Il est clairement excessif de la part de la Direction de Cora d’avoir voulu viré sa caissière pour un motif aussi dérisoire. La Direction aurait dû régler ça par un peu de psychologie et ça n’aurait fait pas autant de tintamarre dans les médias (sentimentalisme über alles).
Ils se sont dit: « On va faire un exemple pour foutre la trouille aux malpropres potentiels ». Erreur de communication tragique.
Le sentimentalisme de nos société a achevé de déresponsabiliser la population.
Le problème est exactement le même qu’avec l’Insécurité. Un magistrat a la conscience plus tranquille en laissant des criminels en liberté qu’en mettant des innocents en taule. Du coup, on se retrouve avec des psychopathes libre comme l’air qui ont sur le dos 40 interpellations pour des faits graves et le sentiment d’invicibilité d’un Superman.
La peur de l’injustice crée hélas mille fois plus d’injustices.
Je me suis déjà pris plusieurs fois des roustes par mes patrons respectifs…Mais c’est ce qui doit distinguer les petites structures des grosses boîtes. On se sent pas obligé d’aller alerter Rue89 et on règle ça entre homme. Puis si t’es pas content, tu te barres.
Je suis fier de me sentir indispensable à mon patron. Pas d’être une loque de la Fonction Publique qui s’oblige à manifester pour garder son emploi.
S’il y avait quelqu’un qui devrait manifester dans ma boîte pour garder mon emploi, ça serait pas moi mais celui qui m’emploie. ^^
« Il est clairement excessif de la part de la Direction de Cora d’avoir voulu viré sa caissière pour un motif aussi dérisoire »
On en sait rien. Ce qu’on sait, c’est qu’il n’y a rien de choquant à ce qu’un employé surpris à voler dans son entreprise se fasse virer.
Après, le vol est dérisoire, mais qui sait si le patron n’a pas déjà mis dix fois les points sur les I, si la caissière en question ne s’est pas déjà fait gauler…
Maintenant, que ça tombe sur Une syndicaliste, je trouve ça rassurant. je trouve ça rassurant pour les clients, souvent des pauvres et des personnes agées, d’ailleurs.
Même un employé couvert par son syndicat est obligé d’observer à leurs égards une certaine Common Decency.
Ajoutons que dans cette crise que l’on connait depuis 3 ans, si le pouvoir d’achat n’a pas trop morflé, c’est en grande partie grâce à la grande distribution.
Le fait qu’elle soit syndicaliste à bienévidement joué en sa faveur. Comme Fascisme Fun je trouve le licensement excessif, déjà que les Hyper-marché sucent la moëlle des producteurs pour augmenter leurs marges, je ne vais pas non plus plaindre ces gens parce qu’une employé à « volé » un bon de réduction.
Comme vous le dites très justement, en revanche, du point de vue du client qui a, quelque part, payé ce bon, c’est autre chose.
Mais si ce que dit Maitre Eolas est vrai, tant pis pour le client et tant mieux pour celui ou celle qui trouve le bon.
S’il y avait quelqu’un qui devrait manifester dans ma boîte pour garder mon emploi, ça serait pas moi mais celui qui m’emploie. ^^ »
Excellent!
Bon, Cora a sans doute voulu profiter de l’occasion pour virer la CGTiste. Il ne faut pas leur en vouloir. D’autre part, il est probable, que Cora avait déjà constaté que la CGTiste truquait régulièrement. Ils ont fait un flag et ont pensé que cela suffirait.
Mais on a retrouve ici la même naiveté de la Droite face à la Gauche, la même défaite intellectuelle.
La CGT a retourné l’affaire complètement pour inverser les rôles et rendre l’innocent coupable. Et comme la Droite, Cora a cédé par lâcheté.
la lacheté?
Hum… J’imagine que ce qu’ils ont voulu éviter, c’est une campagne contre le magasin, une chute de 20% du chiffre d’affaire et la fermuture à court terme.
Sans compter les esclandres à répétition avec les clients, l’augmentation des vols « Ah ah, monsieur le vigile, z’allez voir, je vais appeler la presse! »
Ils ont imaginé cela, ou c’était un risque réel ? Y a souvent des esclandres avec les clients ? Sûrement pas avec ceux qui font le chiffre. Et puis c’est comme le terrorisme : n’est-ce pas maintenat qu’ils ont cédé que les connards (employés et clients) vont se croire tout permis ?
Cérer un hyper ne doit pas être facile, d’accord. Mais à mon avis, c’est plus pour des raisons idéo que commerciales qu’ils ont cédé. NicoBru a raison de parler d e défaite intellectuelle.
Exact. Ou a va jusqu’au bout, ou on fait rien. Mais il faut reconnaître qu’ils n’avaient pas prévu l’argument ultime : J’AI PENSÉ À MON FILS DE 8 ANS.
Cora, Cora… je pensais que ça n’existait plus. Cora : oh la madeleine de Proust qui me ramène dans mon enfance. Mais ce n’était pas du côté de chez Swann. Juste une petite ville de l’Est grisâtre déjà bien bougnoulisée et à mairie communiste.
J’imagine la manière avec laquelle elle a dit ça, comme négligemment : « j’ai pensé à mon… fils… de… 8 ANS… » (8 ans, bande de monstres ! Comment pouvez-vous LUI faire ça !??)
Bravo, ça méritait d’être dit.
Malheureusement nos chers media ont fait tout un fromage de cette affaire,
démontrant ainsi que, dans ce pays la malhonnêteté est érigée en vertu
théologale. Surtout si la personne en cause appartient à la grande famille
de gauche.
Eh bien moi, ayant toujours eu d’excellents rapports avec les caissières de mes divers supermarchés, je la soutiens à donf, cette fille ! Et je soutiendrais volontiers même celles qui chouravent les cartes de fidélité, tiens.
Je sais pas pourquoi, je t’imagine bien à la caisse en train de plaisanter avec la caissière, je vois l’image^^
Ah mais tu as raison d’imaginer, c’est une chose que je fais volontiers. Sans appuyer, bien sûr, juste le temps que le minuscule nègre qui loge dans l’appareil à carte Visa fasse l’aller-retour sur son micro-vélo jusqu’à ma banque pour savoir s’il y a des sous sur mon compte et sr’il peut m’autoriser à acheter mes trois camemberts et mon litre de Ricard.
Et pendant ce temps j’arrive derrière un « Didier Goux » avec mes 25 kilos de pommes de terre et mes 10 l de lait pour la semaine (« Ah non me fait la caissière, je peux pas les passer comme ça, faut que vous les souleviez! ») et je prends des airs pincés parce que l’autre flirte éhontément avec la caissière (« le camenbert est plus cher qu’hier! Mais avec vot’ joli sourire mademoiselle… tout passe même la crise!huhu ») et je me demande si je vais retrouver ma maison en flammes avec les jumeaux ou Gabrielle devant un programme tv pas de son âge tout à fait…
Bien évidemment j’ai aussi auparavant lancé des regards désapprobateurs au vu du litre de Ricard et je grille d’impatience à l’idée de clamer à mes filles en sortant du supermarché combien nous sommes tombées bien bas au vu et au su de certains grossiers et rustiques qui font des courses pas du tout « comme il faut ».
Pété de lol !
Mettez-la sur le net. Je vais mettre des garçons à poil sur ILYS. Promis.
Oh!!!
Je fais maintenant partie des Indignées!
Perdez pas de temps à vous indigner. Mettez lui direct votre enchaînement de self dans les roustons. Mais visez bien.
Idem !! Je choisis toujours la plus jolie/la moins môche…
Ca marche pas mal la drague de super marché…
« la caissière syndicaliste et voleuse de cora »
j’ai cru que vous aviez voulu écrire « et voleuse de CORAN »
je devrais vraiment freiner sur le cognac…..
J’ai vu le reportage de france 3 consacré à cette histoire. Je ne me positionne pas sur le fond de l’affaire mais uniquement sur la forme, ce qui est le plus important à mes yeux.
La caissière est – par définition – une prolo. Ce qu’on peut voir c’est qu’elle est obèse, qu’elle a des lunettes « mode ». Et pour finir, que le bon d’achat était à destination de son fils et permettait d’avoir des réductions chez mac donalds ou quick.
Il est facile d’avoir une réaction de « fraternité » avec cette pauvre caissière, de faire larmoyer.
On constate que les pauvres vivent comme des bourgeois, qu’ils sont gras comme des rois et habillés comme dans les pubs. Ils essayent même de frauder le resto en passant ça en notes de frais, comme le commun des cadres supérieurs. Sans parler qu’une syndicaliste toujours prête à fustiger les américains, le libéralisme et à encenser José Bovin encourage ses enfants à aller au macdo.
Je connais bien le Cora Mondelange, il y a un magasin Conforama qui lui est accolé, un Mc Do pas très loin, et un Gémo juste derrière. Mes parents allaient y faire leurs courses quand j’étais petit. J’y ai même travaillé étant ado, au rayon meubles de jardin !
Aujourd’hui le Cora Mondelange fait peine à voir. J’y suis passé il y a peu, un vendredi soir vers 18 heures. Promotions sur les cuirs de gitan au rayon habillement, ficus pas entretenus au rayon jardinage, animation bananes plantains au rayon fruits et légumes avec une grosse négresse même pas souriante, et des caissières CGT de 53 ans qui font la gueule dans leurs blouses bleues délavées. Magasin complètement vide.
La déprime !
Je n’ai pas vu de gonzesses permanentées en patins à roulettes chargées d’aller vérifier les prix, mais je suis certain qu’il y en a encore (ça me faisait déjà rire quand j’étais gamin).
Ils ont pourtant essayé de rénover la zone commerciale en retapant la route d’accès au Cora, ou en ouvrant des cellules pour une Halle aux chaussures ou un Babou, mais apparemment rien n’y fait. Les clients préfèrent aller faire leurs courses au centre commercial Auchan situé trois kilomètres plus loin. La plupart des caissières ont moins de 30 ans, on y trouve un rayon bouffe exotique grand comme un terrain de tennis, et un H&M vient d’ouvrir dans la galerie marchande.
Tiens ! J’ai noté : »res derelicta »… Du temps où je terrorisais les facs de droit, c’était « res nullius » (chose de personne, comme le sanglier que vous écrasiez sur les Champs en roulant pépére bourré à 170 km/h) Mais bon, si XP et Eolas le disent, c’est que c’est vrai et je ne constaterai alors, que tout fout le camp, même le latin de cuisine.
Cela étant, je suis comme l’adjudant-chef Goux : je respecte ces caissiers de super ou d’hyper et je botte le cul de tous ceux qui les font chier (surtout s’ils sont devant moi dans la file, le soir quand je reviens du turbin)
Du reste, cher XP, votre billet dégoulinant d’une haine peu chrétienne, me donne l’idée de fourguer dorénavant ces bons de réduction de mes deux qui m’encombrent toujours et que je fous illico à la poubelle en rentrant, même s’ils ne sont pas périmés, aux susdites caissières (ou caissiers d’ailleurs) : ce sera de la vraie et pure charité en fait, préférable désormais à tout autre impôt ou taxe que je continuerai certes, à payer (un temps encore — faut voir) à certains racketteurs et néanmoins aussi voleurs et tout autant « syndiqués officiels » toujours impunis dont je ne veux pas salir mon clavier à écrire le nom ou la fonction.
Rompez.
Ce n’est pas tout à fait la même chose, cf. Wikipédia :
« Res derelictae est une expression latine en droit qui désigne les choses abandonnées au premier occupant ou possesseur, c’est-à-dire celles qui ont été laissées de côté par leur propriétaire qui a ainsi abandonné tout droit dessus. Par contraste, les choses perdues concernent des biens meubles égarés par leur propriétaire: celui-ci maintient donc son droit dessus bien qu’il en ait perdu la possession. Les choses en déréliction se distinguent aussi des res nullius qui n’ont jamais eu de propriétaire, bien qu’elles s’en rapprochent en ce qu’elles peuvent faire l’objet d’appropriation; et plus encore des res communes qui ne peuvent elles jamais faire l’objet d’appropriation. »
De toute façon, Eolas est un con.
Ces considérations juridiques n’ont aucun intérêt, dans ce contexte.
Les supermarchés doivent indexer sur nos factures leurs promotions et leurs bons d’achat, pour les redistibuer.
Partant, si un client ne souhaite pas bénéficier d’un promotion, il est bien évident que dans les faits, l’argent refusé par le client reste la propriété du magasin.
C’est donc pour ça que dans les contrats des caissières, il doit être précisé que tout ticket laissé par le client est la propriété du magasin,sans quoi, ils n’auraient pas appelés les flics et entamé une procédure judiciaire.
Ce n’est pas une particulière qui a trouvé un ticket dans la rue, c’est une caissière qui a pris un ticket sur le tapis de caisse de son employeur et qui s’est engagé par contrat à ne pas y toucher, putain, un peu de bon sens!
Et puis il faut arrêter l’hypocrisie: si malgré la crise, une famille nombreuse avec à sa tête une ménagère intelligente peut remplir son caddy, c’es grâce à la concurence féroce que ce font les grandes surfaces, et ça c’est possible parce que dans ces magasins, les syndicats ne font pas la loi.
Moi j’ai un coeur, je défend les pauvres.
Je complète:
pour le coup, le système que défendent ceux qui se mettent au côté de cette voleuse, c’est vraiment la loi de la jungle: « Je suis en place, je suis invirable parce protégé par LA CGT, et toi, consommateur de merde, tu payes pour moi, tu n’as pas le choix.
Seulement, la loi de la jungle, c’est le système socialiste, quand le client n’a pas le choix d’aller voir ailleurs, pour voir si par hasard ce ne serait pas moins cher, là où l’on ne paye pas des bons de réduction aux caissières en réglant ses achats.
@ SSX : merci, mais j’étais au courant. C’était juste pour faire marner l’XP et ça a marché^^
@ XP : Eolas est un excellent juriste, mais il serait en effet un très dangereux législateur^^
Par ailleurs, cher XP, ce système de bons à la con et de réductions à la noix est une arnaque et un poison à long terme. ça n’a rien plus rien d’économique pour personne désormais et même pas pour l’entreprise et ses clients et ses actionnaires : c’est du bon vieux marketing bien ringard de chez Papie socialo-colberto-hippie. C’est nul et ridicule à chier. Ces gens là n’ont rien compris à la vraie économie (libérale, de demain) ni vous d’ailleurs. Cora ne vaut pas mieux que la CGT.
Je crois qu’en fait nous voulons signifier la même chose sur le fond, mais nous ne sommes pas du même côté des évangiles (ou nous ne lisons pas les mêmes, ce qui est la même chose)
Rompez
Jamais dit que c’est un bon ou un mauvais système, et à vrai dire, je ne me suis pas posé la question. Quel rapport?
Mais ceci dit, maintenant que vous m’en parlez, c’est vrai que ca a l’air ringard ce truc… Encore qu’il fautrait demander aux personnes concernés (les gérants de supermarché) si c’est efficace ou non.
XP, y a du débat sur le blog du pélicastre au sujet de l’EN… Vous avez été cité plusieurs fois, autant que vous puissiez en profiter:
http://lepelicastrejouisseur.wordpress.com/2011/10/13/journalisteries/#comment-16268
Oui, on m’a signalé ça hier.
C’est dingue comme je rend fou furieux les abrutis, les bons à rien et les aigris de la toile… Comme si c’était de ma faute, si ce sont des nuls…
Cela dit, ce genre de blog démontre bien que pour que les bons éléments de la toile puissent s’exprimer et qu’une discussion devienne intéressante, il faut une séléction et une modération sérieuse… Vous imaginez Aquinus, Vertumme ou Restif se tracer un chemin au milieu des handicapés mentaux qui viennent faire valoir leur droit à l’expression?
J’ai vu que Marchenoir et un autre se débattent au milieu des trolls, mais ils perdent leur temps, m’est d’avis. Ils argumentent auprès de gens qui ne comprennent pas un seul mot de leurs réflexions, et qui en viennent fatalement à éructer, se livrer à des attaques personnelles… C’est comme si on jugrait la qualité d’un conférencier à sa capacité à couvrir les voix des ivrognes qui éructent dans la salle, ça n’a pas de sens. Il y a la modération, pour ça.
(Deux ou trois de ceux qui bavent sur moi ont simplement été refoulé ici, parce que le lecteur ne viennent pas sur Ilys pour ça).
Cela-dit, ce fil que j’ai très vaguement parcouru démontre une fois de plus l’incroyable faiblesse intellectuelle des instituteurs… Ils sont légions sur la toile, et pas une seule pointure, pas un que l’on remarque en dehors des éructations… Ils s’en rendent compte, et c’est ça qui les rend si hargeux… une grosse illusion qui s’écroule dans leurs têtes
Ah merde, l’autre, c’était vous, j’avais pas capté, toutes mes excuses!
Ne traînez pas trop dans les bouches de métro infestées d’ivrognes, vous allez prendre froid… Restez plutôt au salon^^
@XP
Je regardais la télé tout à l’heure, il y avait un reportage qui montrait que les gauchistes/communistes et les mongaullo-nationaux-souverainistes étaient en train de se trouver de très nombreux points communs, et de plus ou moins s’unir pour différentes actions ou conférences.
Tout ce que vous disséquez depuis quelques années maintenant, et moi depuis peu de temps, est en train de se passer sous nos yeux. Je sais pas vous mais moi je me régale à admirer et dessiner tout ça, c’est fabuleux, nous vivons un tournant historique hors norme.
Sous l’URSS, toute personne qui soulignait le fait pourtant incontestable que la Russie avait été créée par des scandinaves, donc des germains, était jetée en prison. Les grandes idées universalistes finissent toujours par se transformer en nationalismes violents et destructeurs, parce qu’il est dans la nature du marxisme, quel que soit sa forme, de ne pas fonctionner, de ne pas vouloir l’admettre, puis de coûte que coûte vouloir faire le plus de dégât possible.
Les prochains mois vont indiquer une tendance, j’observerai avec attention, en espérant toutefois dans quelques années ne pas finir dans un centre d’interrogation de Mélenchon ^^
Tout à fait, nous vivons l’une des époques les plus passionantes et les plus riches qu’on puisse imaginer… Et sans doute l’une des plus spirituelles.
Et c’est MON époque, celle de mes 20 ans! Il a fallu que je naisse en France au crépuscule des années 80, c’est fabuleux…
Oui, tout à fait. Notre époque est épatante. Énervante, épuisante, mais passionnante et inédite, du moins pour ceux qui ont un peu d’esprit, de spiritualité, de culture, d’humour et surtout, de bon sens. Faut le dire à vos enfants, car ce sont eux les plus paumés dans l’affaire et les plus concernés,in fine, sinon, pas encore les plus impliqués.