Eloge de la fortune, du gaspillage et de la paresse

Si en 2012, je fais plus de 50% au second tour de la présidentielle et si je bats donc sur le fil Martine Aubry, la première mesure symbolique que je prendrais pour faire comprendre à tout le monde que la France vient de se réveiller libérale, ce sera de faire revenir Houellebecq en France, lui accorder un emploi fictif dégoulinant dans un ministère quelconque (pourquoi pas celui des armées), un logement de fonction dans le seizième arrondissement de Paris, des tonnes de tickets restaurant ainsi qu’une exonération fiscale exorbitante et scandaleuse.

En envoyant ce signal fort à la population, je lui ferais comprendre qu’avec moi, est revenu le temps de la grande bourgeoisie oisive, pétée de fric, de domestiques et nullement contrainte à gagner sa vie ni même à faire semblant de le faire.

Ce faisant, je ferais de la pédagogie, je ferais toucher du doigt aux gens que l’État ne doit plus gaspiller ses deniers, parce que ça le contraint inévitablement, pour boucher les trous, à courir derrière l’argent de la grande bourgeoisie et la priver de ses deux grands moteurs, l’oisiveté et le droit au caprice.

Pour l’essentiel, Marcel Proust n’a pas bâti sa personne et son œuvre une plume à la main, mais en traînassant des journées entières sur les terrasses de Saint-Germain, ou bien encore en passant deux heures devant sa glace pour ajuster au mieux son nœud de cravate, en faisant très longuement mariner son génie dans la futilité, bref, pour le dire d’un mot, en gaspillant du temps et de l’argent…. Quand le peuple a le droit de traîner en jogging devant sa télévision et la feignasse de l’Éducation nationale celui de faire une dépression nerveuse de deux ans financée par le contribuable, il faut bien comprendre que leur temps de paresse, ils le volent à ceux qui en ont vraiment besoin et qu’ils le savent…, Plus le profaillon d’une ZEP s’accroche à ses quatre mois de congés payés, et plus il pointe fort intelligemment du doigt la richissime Madame Bettencourt et les artistes qu’elle paye à ne rien faire… C’est la Servante Sparte qui exige de son Maître philosophe qu’il philosophe moins, qu’il l’aide à porter ses seaux pour qu’elle puisse cancaner avec ses copines autour du puits…. Ce système de vases communicants est tellement une réalité que dans les pays socialistes, les gens gagnent très peu et ne font pas grand chose non plus, qu’on s’emmerdait ferme dans les usines de feu la RDA, mais qu’en revanche on n’y tolérait pas les parasites, c’est à dire en langage socialiste le poète ou le grand bourgeois qui flâne et vit de ses rentes.

Si c’est mon concurrent Mélenchon le communiste qui gagne en 2012, il empêchera qu’on palpe plus de 20 000 par mois en arguant du fait que de toute façon, personne n’a besoin de gagner plus et qu’au delà de cette somme, l’argent, on le gaspille, ce qui est rigoureusement exact… On ne peut pas gaspiller plus qu’en payant 2000 € pour une nuit à l’hôtel, même au Ritz, en laissant 400 Euros à midi dans un trois étoiles, en posant son cul dans une Ferrari à 600 KE, en s’emmerdant toutes ses vacances sur un yacht à trois millions, etc…

Quand il se laisse aller à la métaphysique, Mélenchon avance même l’idée que le très riche est à plaindre, avec tout cet or dans ses poches, et qu’il va lui rendre un sacré service, en le contraignant à moins de futilité, plus de profondeur et des loisirs moins coûteux… C’est encore vrai, mais en revanche, quelque chose me dit que dans ce pays, si les restaurants étoilés et les palaces ferment leurs portes, que Saint-Tropez se met à ressembler à la Grande-Motte et que la voiture la plus puissante du salon de l’auto est la Citroën C5, même les smicards vont éprouver un sentiment de tristesse et de laideur infinies, jusqu’à se prendre à rêver du bon temps, celui des riches qui gaspillaient en passant à côté de la vraie vie.

Le propre de la société capitaliste, c’est qu’elle n’a aucun sens, qu’elle n’accorde pas la moindre place au Sens, au Sacré, qu’elle ne se fixe aucun but, contrairement aux régimes théologiques ou socialistes qui n’en finissent jamais de viser des objectifs nobles et respectables.

Pourtant, dans la société marchande, au milieu du fatras des babioles, des films de Série B, des canettes de Coca Cola et des grosses bagnoles rutilantes, il finit invariablement par surgir de la beauté, du sens, justement, et disons-le, une civilisation…. Hollywood, c’était dans l’intention une machine à fric, juste une machine à fric, et pourtant, il en est sorti de la beauté, des œuvres, et sommes toutes quelque chose qui fait civilisation.

A l’inverse, les sociétés sans gaspillage et sans futilité sont toutes d’une laideur épouvantable, elles ne secrètent rien qui mérite d’être montré dans les musées, rien qui ne fasse sens et civilisation.

Comment expliquer ce mystère? En admettant qu’on n’assigne pas une place au sens, que l’esprit souffle quand il veut, où il veut et comme il veut, qu’il faut avoir de la modestie, quand il est question de ces choses-là…. Mais il faut avoir un esprit chrétien, pour comprendre tout ça, comme il faut être sacrément privé de spiritualité, pour regretter le manque de sacré dans la société marchande.

28 réflexions sur « Eloge de la fortune, du gaspillage et de la paresse »

  1. Baraglioul

    C’est très vilain de plagier La Bruyère :

    « Il faut en France beaucoup de fermeté et une grande étendue d’esprit pour se passer des charges et des emplois, et consentir à demeurer chez soi, et à ne rien faire. Personne presque n’a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité, ni assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire appelle des affaires. Il ne manque cependant à l’oisiveté du sage qu’un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et rester tranquille s’appelât travailler »

    1. XP Auteur de l’article

      Sauf qu’XP est bien plus profond que ce monsieur Bruyère!

      Il inclut dans les loisirs du sage le fait de passer deux heures à faire sa cravate, se bourrer la gueule à Ibiza, planter la Corvette de son papa contre un mur le jour de ses dix-huit ans… Tout un tas de truc qui font des souvenirs et les grands romans nord-américains, quand le bourgeois péteux sort de sa quatrième cure de désintoxication et qu’il décide de se mettre à l’écriture.

      1. Prolo De La Lite

        C’est bien là tout le problème … Celui qui est débarassé des « contraintes matérielles » ne va que rarement rester oisif . Dans le pire des cas , il va mettre sa vie au service de ce qu’il sacralise . Ce qui peut donner un politicien semi-mondain , une rentière qui finance un orphelinat en Afrique , une grenouille de bénitier … Ou pire : une femme entretenue qui va sacraliser la Littérature , qui en fera un loisir plus « Noble » que le tricot ou le reprisage de chaussettes . Une Slavo-Mongole qui va traumatiser des générations d’enfants depuis son manoir Normand .
        Celui qui est animé par le Génie créatif n’a besoin que d’une mansarde , de pain sec et d’absinthe . Un manoir , du homard et du champagne ne peut certes pas lui nuire . Existe-t-il réellement un lien entre oisiveté et richesse ?
        Il n’a jamais été aussi facile de vivre débarrassé des contraintes matérielles qu’aujourd’hui . Celui qui consacre sa vie à son oeuvre , ou à ses loisirs , peut émerger n’importe-où . Un compositeur potentiel n’est plus forcé de travailler à la mine pour manger à sa faim .
        Les plus riches ne sont plus les oisifs , et leur oisiveté potentielle n’est en rien plus créative . Seulement plus bénéfique pour l’économie .
        En revanche , la « societé comsumériste » donne le choix entre travail et farniente , loft ou mansarde , fiat panda ou bugatti . Plus la « pression publicitaire » sera forte , plus les chance de voir émerger les créateurs seront grandes . L’amateur de tuning choisi de sacrifier son temps contre de nouveaux ailerons fluo , l’écrivaillon sacrifie son confort contre de plus grandes chances de voir émerger son Oeuvre .
        La « societé de consommation » n’a pas augmenté d’un pouce la qualité de ses artistes , elle favorise seulement l’agrandissement du vivier d’artistes qui émergeront à l’avenir .
        Toujours est-il qu’aucun intermittent du spectacle n’entrera dans l’histoire .
        Cette « jeunesse dorée » créative nécéssite le cocktail Génie/Fougue/Fortune , autant dire une chance sur mille rentiers , et encore …

        1. XP Auteur de l’article

          Deux choses!

          d’abord, je ne disais pas stricto-sensu qu’il fallait préserver une grande bourgeoisie oisive pour qu’il en sorte de grands artistes, des gens dégagés des contraintes matérielles, je disais qu’une société doit générer du luxe, de l’oisiveté et du gaspillage. la grande bougeoisie, c’est par exemple le petit con qui n’a rien d’autre à penser que de se saper, et qui de fait va créer les modes, faire vivre la haute couture…

          Deuxième chose: vous faites bien d’évoquer le sujet, il n’a jamais été aussi facile que dans la société de consommation, grace à la société de consommation, de consacrer sa vie à la méditation.

          Si votre idéal dans la vie, c’est de vous déplacer en vélo,d’ avoir pour seul loisir les livres, comme seules biens une table et quatre chaises, si vous vous contenter d’un bol de riz, d’un peu de viande hachée et d’une petite bouteille de temps en temps, mais qu’en échange vous voulez consacrer le moins de temps de votre vie à la gagner, et bien c’est maintenant possible.

          Avant la société de consommation, même pour payer la table, les chaises, la bouteille, le riz et la viande hachée, il fallait consacrer autant de temps au boulot qu’aujourd’hui celui qui court après les richesses.

          Pourquoi? Parce que les produits de base, ceux dont a besoin celui qui aspire à une vie frugale et spartiate ne coutent presque rien… En gros, celui qui achète de la marque et des babioles inutiles paye pour celui qui se contente de peu.

          C’est la société de consommation qui permet de vivre sans presque travailler sous une mansarde, qui l’eut cru?

          Méditatif et décroissant, c’est possible grace à la croissance et à la consommation; alors pourquoi les décroissants veulent-ils abbatre la société de consommation? Parce qu’ils ne veulent pas réellement vivre en méditatifs et en décroissants mais emmerder leurs prochains, les punir, leur imposer un mode de vie.

          Qu’est-ce que ça peut foutre au décroissant que son voisin se tue au travail pour s’acheter un I phone? C’est grace à lui qu’il ne paye plus rien pour sa ligne fixe! Réponse, il veut l’emmerder. Et pourquoi veut-il l’emmerder? Parce qu’il s’ennuie. Et pourquoi s’ennuie-t-il? Parce qu’en vérité, il n’arrive pas à occuper son temps avec la culture et la méditation. Qu’il bluffe.

          Le type qui vous dit « pourquoi ce dédale de richesse, ne pourrions-nous pas trouver notre bohneur dans la poésie », soyez sur qu’il en a rien à foutre, de la poésie. Son truc à lui, c’est de vous casser les couilles.

  2. Didier Goux

    Superbe billet, mon cher ! Et très judicieusement illustré. Néanmoins je relève une petite faute de frappe, oh certes bien anodine : vous avez écrit « planter la Corvette », au lieu de : « planter la Crevette ». Ne me remerciez pas, le plaisir est tout pour moi.

  3. Vertumne

    « mais qu’en revanche on n’y tolérait pas les parasites, c’est à dire en langage socialiste le poète ou le grand bourgeois qui flâne et vit de ses rentes »

    Quand des crapules utilitaristes découvrent les temples thaïs dont les toitures sont recouvertes d’or, ou les splendeurs de la Chapelle Sixtine, leur première réaction est généralement de dire que « c’est bien joli mais ça ne sert à rien » et que si l’on « vendait l’or contenu dans ces babioles, le peuple au moins mangerait à sa faim ».

  4. dartagnan755

    Si vos prescriptions n’étaient pas d’ores-et-déjà descriptives, j’aurais dit que vous écrivez à temps.
    J’ajouterais bien à votre paradoxe un autre : ces qq hommes de Lettres que la civilisation bourgeoise-capitaliste a créé, n’ont, pour leur plus grand nombre, eu de cesse d’améliorer le sort des leurs – les hommes : vous savez les animaux bipèdes sans plumes.
    Et qu’en définitive, j’y lis davantage le manifeste ou la joie commentée d’agents immobiliers, de changes, ou de marchés, tirant à eux des livres, des oeuvres, des arts sonnants et trébuchants, mais persistant tout de même à préférer leurs ombres. Et ça dégouline aussi dans les commentaires.

    1. j.ax

      Bien que ne voulant pas le bien d’autrui ce site est une lecture plus vivifiante que beaucoup d’autres… on pourrait en dire autant des grands auteurs, je ne sais pas où vous voyez que le plus grand nombre a voulu améliorer le sort des hommes. Platon, Emerson s’adressent à « un », pas « les ». Et y a pas de mal à être agent immobilier, de change ou de marché… sa condition ne définit nécessairement pas un homme et n’importe qui peut faire de sa vie un chef-d’oeuvre…

      1. dartagnan755

        « Bien que ne voulant pas le bien d’autrui ce site est une lecture plus vivifiante que beaucoup d’autres… »

        Ce blog veut instamment du mal des Autres, mais oui sa lecture est amusante.

        « on pourrait en dire autant des grands auteurs, je ne sais pas où vous voyez que le plus grand nombre a voulu améliorer le sort des hommes. Platon, Emerson s’adressent à « un », pas « les ».  »

        Je pensais à Hugo, à Zola, au Flaubert de Bovary, somme toute , auteurs affiliés à ceux cités.

        « Et y a pas de mal à être agent immobilier, de change ou de marché… sa condition ne définit nécessairement pas un homme et n’importe qui peut faire de sa vie un chef-d’oeuvre… »

        Ce n’est pas de sa vie d’oeuvre dont il était question. Je constate tout de même que l’auteur ne goûte pas trop au plaisir de la contradiction.

  5. Terminatormoule

    Les gens d’Arabie ou des Emirats ont la richesse et le temps libre. Et depuis bientôt un demi-siècle. Pourtant l’ennui luxueux des ibn machin ne produit pas grand chose d’impressionant. Il doit y avoir quelque chose de spécifiquement occidental là-dessous.

    1. Edward Newgate

      Oui les arabes sont à l’image du coran (pourquoi Gabriel révèle le coran ? parce que le Coran céleste raconte que Mohammed l’a oublié…il a oublié le texte qui dit qu’il a oublié le texte et que c’est à Gabriel de le lui révéler une seconde fois, etc. en boucle) : circulaire. La chrétienté est une civilisation du travail (péché originel tout ça). Toutes les nuances de St Thomas d’Aquin sur l’épargne et le taux d’intérêt (qu’il « condamne » au final) et toutes ses distinctions sont précisément ce qui nous sépare des bédouins. Bédouins oisifs au sens branlette-canapé du terme vue le désir de K7 porno dans les pays islamiques…

      Peut-être xp votre texte vous permet-il de reconsidérer (c’est qu’on vous parle bien ici hein…) votre point d’vue sur le monachisme…?

      Outre bien entendue l’impératif spirituel (le monde s’écroulerait évidemment sans l’intercession perpétuelle) le moine, vue de loin, ne sert à rien…il n’a rien à faire…et c’est pour cela qu’il travaille dans un premier temps. Pinard, patates, icônes, bibliothèques, etc.
      « c’est alors qu’ils seront vraiment moines, lorsqu’ils vivront du travail de leurs mains, à l’exemple de nos pères et des Apôtres » dit Saint Benoit. C’est la richesse créée du monastère qui permet son autonomie, c’est en créant de la richesse et en mettant ensuite du monde au travail qu’il peut se donner le droit à une vie contemplative…

      A bien y voir le monastère est un concentré du monde occidental. N’est-ce pas Rodney Stark quelque part qui fait carrément remonter l’origine du capitalisme moderne dans la rationalisation du travail des moines, soit le développement intelligent du travail de quelques moines en projet à long terme ouvert sur la société ?

      1. XP Auteur de l’article

        « Peut-être xp votre texte vous permet-il de reconsidérer (c’est qu’on vous parle bien ici hein…) votre point d’vue sur le monachisme…? »

        Mon point de vue sur le monachisme? Je ne me souviens pas en avoir exprimé un, ni même en avoir eu un^^

        Rafraichissez-moi la mémoire…

  6. Edward Newgate

    A l’époque vous signiez encore en xp minuscules…^^’

    Un truc du style « je mméfie des moines, une vie loin du monde à rien foutre sans contribuer à construire quelque chose » peut-être ?

    Honnêtement je ne sais plus exactement…je comptais sur vous. Vous n’avez donc pas un archiviste sous la main ?!

    Bon, dans ma tête en tout cas, ce qu’il en restait devenait : « xp n’aime pas les moines pour une raison qui ne me convainc pas »…dont l’idée que les moines seraient coupés du monde. Or il me semblait que précisément, les moines sont bien dans la société, ils contribuent(aient) à la société par l’argent et par le travail. Le moine est un raccourci-condensé de chrétien selon l’exigence christique « être dans le monde sans en être (du monde) ».

    (Ca me fait penser que j’ai eu une voisine protestante à l’akzent alzakos qui casait sans cesse dans nos discutions le fait qu’elle « enviait » les moines et les sœurs, qu’ils avaient de la chance – EUX – à vivre une vie oisive, sans nuls soucis, pépère etc. Ça me permettait de conclure en l’invitant à se convertir et rentrer dans les ordres, pour une vie meilleure^^)

    Mais je peux me tromper (c’est arrivée une fois, d’après ma mère) hein ^^

    1. XP Auteur de l’article

      Non, vraiment aucun souvenir d’avoir parlé des moines, et je n’ai jamais signé xp que par distraction, quand le logiciel n’affichait pas encore le pseudo automatiquemen, ce qui prouve que vous êtes un vieux lecteur^^

      Mais on s’en fout, l’essentiel, c’est ce que vous dites sur les moines et sur Rodney Stark, qui est intéressant.

      Autre chose: vous dites que les moines travaillent pour pouvoir avoir une vie comtemplative: et bien figurez-vous que cette façon de faire, transposer dans la vie d’aujourd’hui, c’est un truc très « libéral »; je gagne du fric, je monte ma boite, je revend mes parts et je prend une période sabbatique, voire je me retire du marché en faisant fructifier mon matelas en bourse… Du coup, je mène une vie « contemplative » ou j’en profite pour retirer mes gosses de l’école en les scolarisant à domicile… De plus en plus courant aux US, totalement séduisant pour le libéral, et totalement incompréhensible pour le socialo, qui pensent dans ces cas là que le type ne peut être qu’au chomage.

        1. John Terby Jr

          Faux Nebo – si je puis me permettre d’intervenir sur ce fil de haute tenue (promis, je n’en mettrais pas, cette fois, partout sur les rideaux) -, le socialiste n’encourage t-il pas de toutes ses forces la masturbation de l’homme (et de la femme) seul avec sa bite?
          Très intéressant en tous cas tout ça (à part Edward Newgate; qui semble idiot malgré qu’il emploie des mots compliqués), je veux le dire*, XP (et ce bien que je n’aime pas non plus beaucoup XP) touche du doigt nombres de vérités à travers ces textes (pas tous*)… la philosophie n’est-elle pas morte?

          *Devant un tribunal, bien sûr, j’affirmerai le contraire.

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