Il n’est pas très bien vu, c’est le moins qu’on puisse dire, d’exprimer la moindre réserve sur la manière dont l’affaire Pinochet a été traitée. Pour la quasi-totalité de la gauche européenne, Augusto Pinochet est l’incarnation même des atteintes à la démocratie commises par la droite, parce qu’il était à la tête du coup d’Etat qui a renversé un dirigeant élu. À l’époque, d’autres personnes – dont les responsables des partis démocratiques chiliens – considéraient Salvador Allende, comme un idéologue marxiste extrémiste qui cherchait à imposer à son pays une dictature de type castriste à l’aide d’armes cubaines et de milices formées à Cuba. Voilà pourquoi les responsables des partis démocratiques chiliens ont accueilli avec joie – oui, avec joie – le renversement d’Allende. (Ils n’ont changé d’attitude qu’en constatant que la junte maintenait un régime autocratique bien plus longtemps que ne le justifiait une situation de crise.)
Henry Kissinger – La nouvelle puissance américaine ; le livre de poche p. 406
Eh oui. C’est comme avec Franco. Imaginons un instant que les républicains aient gagné la guerre civile d’Espagne, malgré les fiers volontaires venus du monde entier, ils n’auraient été en mesure de gagner sans l’aide de… l’URSS…
A présent imaginons l’Espagne comme le premier pays satellite de l’URSS… juste là, en dessous, derrière les Pyrénées !!!!!!!! En 1939 l’Histoire eut pris une toute autre tournure. A l’est, les soviétiques seraient rentré en Pologne, mais on peut imaginer l’Espagne sous férule soviétique pénétrer la France par le sud. Ah la la… ç’eut été comique.
Franco, par contre, et malgré le coup de main pour Guernica, il ne s’est pas engagé outre mesure. Les juifs continuaient à passer en Espagne durant toute l’Occupation sans trop de problèmes, même si après la seconde guerre mondiale Franco a accueillit en transit (ou définitivement) quelques raclures SS… je pense, par exemple, à Ante Pavelic, le chef des oustachis.
En gros, l’Espagne s’en est bien sorti sous Franco, quoi qu’on en dise… et malgré les dérives autoritaires.
Alors Pinochet, avec ses 3000 disparus sur 27 petites années… c’est du vent… cruel, certes, mais du vent. Je n’ose même pas imaginer ce qu’il serait arrivé si Allende était resté au pouvoir… je doute que nous aurions eu 3000 disparus, même s’il est lugubre et qu’il peut sembler inconvenant de faire des comparaisons de chiffres il faut nommer les choses et les montrer… sans évoquer la famine de 1920/21 alors que la Révolution Bolchévique battait encore son plein… on peut évoquer, à titre d’exemple, celle de 1931/33 qui en raison de la collectivisation imposée par camarde Staline a fait entre 6 000 000 et 8 000 000 de morts en 2 ans. Et, pardonnez-moi la phrase qui suit… mais 6 à 8 000 000 de morts en deux ans, c’est presque un détail dans la cohorte de morts que le communisme a engendré ici-bas… mais je prêche des convaincus, c’est pas marrant.
Cela étant dit… la Junte a fait, aussi, n’importe quoi. Ces abrutis voyaient dans le moindre poète un marxiste potentiel… à partir de là on n’en sort pas.
vous mettez en rapport Allende et le stalinisme, ça n’a rien avoir, mais il vous fallait bien prouver que Allende aurait causé plus de 3000 morts – allégation de rapace intellectuelle.
à voir *
Pardon ? Qui a parlé de « stalinisme », ici ? Que je sache, il n’a été parlé que de communisme.
Je vous rappelle que le terme « stalinisme » a été inventé par les communistes pour se dédouaner de leurs crimes et de leur idéologie intrinsèquement abjecte sur le dos du seul Staline.
Et bien sûr, Allende, Castro et le communisme donc, ça n’a rien à voir. Bien sûr.
Vous pensez pouvoir mettre sur le même plan Staline et Allende ? C’est soit un manque de culture politique, soit de la mauvaise foi.
L’étiquette de communiste vous permet de ranger parmi les génocidaires tout adversaire politique qui se définirait comme » à gauche » .
Les imbéciles de gauchistes font la même chose avec le nationalisme et Hitler.
« Vous pensez pouvoir mettre sur le même plan Staline et Allende ? »
Arf, mais c’est le thème même du billet et du comm de Nebo. Qu’Allende n’ait pas réussi son coup le rend moins abject que Staline ?
« L’étiquette de communiste vous permet de ranger parmi les génocidaires tout adversaire politique qui se définirait comme » à gauche » »
Pour vous, Allende est juste « à gauche » ? Ses relations avec (le génocidaire) Castro ne vous gênent pas ? Avec ses alliés cocos chiliens qui faisaient régner la terreur, rentrer armes et agents soviétiques non plus ? C’est vous qui manquez de culture politique. J’imagine que l’apologie de Castro par Chávez n’est pas non plus pour vous un problème.
aaah, Allende était sur le point de devenir un affreux Staline en puissance et…celui qui l’a fait tomber ne peut être qu’un héros national…La rhétorique est si grosse, gluante, il suffit de lire Nebo s’engluer dans un comptage morbide et vous expliquer que l’autre salopard au pouvoir allait faire pire, c’est sur, pour sentir que derrière ces approximations historiques ( il ne prend pas en compte les tortures, les arrestations, atteintes à la liberté de la presse ect ) il y a surtout, et SEULEMENT, l’envie de tordre le cou à un lieux commun de l’époque même si il faut minimiser l’action dictatoriale d’une belle saloperie.
On ne me fera pas choisir entre Allende et Pinochet.
Curieux, le comm de Nebo finit justement par :
« Cela étant dit… la Junte a fait, aussi, n’importe quoi. Ces abrutis voyaient dans le moindre poète un marxiste potentiel… à partir de là on n’en sort pas. »
« On ne me fera pas choisir entre Allende et Pinochet. »
Ben ouais, parce que vous n’êtes pas chilien et ne vivez pas en 1973. Facile. On ne me fera pas choisir gnagnagna. Eh bien ne choisissez pas, que voulez-vous que je vous dise ?
Faudrait que je me rafraîchisse la mémoire sur Allende, mais ça serait replonger dans un puits sans fond d’abjection. J’imagine que ça vous gêne pas non plus un type fait président avec un peu plus de 30 % des voix et qui, en moins de trois ans, a été condamné des centaines de fois par le tribunal constitutionnel du Chili pour violations de la constitution. C’est juste un mec de « gauche », pour vous. OK.
Je n’aime pas la gauche, je pense effectivement que toute la gauche est liée de près ou de loin au génocide ou à l’envie de génocide. Mais je sais faire la différence entre un gauchiste respectueux des lois et de l’humain malgré saon idéologie, et un gauchiste puant comme Allende, indéfendable.
dès qu’il s’agit de la » gauche « , vous raisonner comme un bucheron, et la droite, elle, a le droit a ses belles nuances.
Enfin votre problème c’est que non seulement vous continuez à croire à ses distinctions – au delà d’un point de vue culturel, mais vous ranger dans gauche tout et n’importe quoi, à commencer par le socialisme.
Dites donc, vous tirez bien des conclusions à partir de presque rien, vous.
Enfin, si ça vous fait plaisir…
D’ailleurs, tout ceci me rappelle le débat chez D.Goux. Tout ce que vous dites ou pourriez dire sur Pinochet, on le sait déjà, comme on sait tous les détails de la moindre minuscule dictature de droite. Alors que du côté d’Allende, on nage dans la mythologie, dans la légende dorée la plus totale. Et dès qu’on cherche à rétablir un peu l’équilibre, on est bien sûr taxé de facho.
Autre chose : ce que dit cet extrait, en fin de compte, c’est qu’Allende a rendu inévitable le coup d’État. Que tout a commencé en 70, pas en 73 (ce que disait d’ailleurs un politique chilien socialo cité par Rangel : le Chili a cessé d’être démocratique en 1970). On est d’accord ou pas, mais ça mérite d’être discuté.
Certes on est convaincus Nebo, mais c’est toujours le pied de boire un peu d’eau fraîche dans la moiteur d’un été de merde. Et pensez à tous les gauchos qui passent sur Ilys et qui vous lisent. Rien qu’à imaginer leur tête, c’est un petit peu de bonheur.
Quand on relit la vie et l’oeuvre d’Allende sur Wikipedia, on se dit que ses réformes ressemblaient vachement à ce que pas mal de partis de gauche et de droite jacobine français proposent aujourd’hui, fiers comme s’ils avaient trouvé la pierre philosophale.
« je doute que nous aurions eu 3000 disparus, même s’il est lugubre et qu’il peut sembler inconvenant de faire des comparaisons de chiffres il faut nommer les choses et les montrer… »
C’est inconvenant surtout pour les gauchistes, qui vous ressortent toujours cet argument. On comprend que les chiffres les écrasent. Et la différence de chiffres entre dictatures de droite et dictatures communistes n’est pas qu’une question de comptabilité. Un tel abîme dans les chiffres montre une différence de méthode, d’intention, bref d’idéologie.
Dernier exemple il y a quelque temps chez D.Goux, où un gauchiste qui squatte là-bas prétendait ne pas faire de différence (si, quand même :. une dictature nationaliste est mauvaise par essence, une dictature coco c’est de bons principes mal appliqués – le nationalisme est mal par essence, pas l’internationalisme…) entre assassins de bords différents.
Pour une fois, je vais paraphraser l’escroc Faurisson : la différence entre 3.000 morts et 50 millions de morts, c’est 49.997.000 vivants…
Un régime communiste fait bien 3000 morts lors de sa première semaine simplement pour s’établir.
Des 1976 Jean Francois REVEL dans « La tentation totalitaire » avait demonté ce mythe Allende
Un excellent resumé de cette période de l’histoire du Chili
http://www.sardanapale.com/2006/12/16/le-allende-myth-le-mythe-allende/
Mais en dépit de toute logique les bobos-socialos-ecolos-collabos tiendrons toujours cet « idéologue marxiste extrémiste » comme un gentil bisounours plébiscité par le peuple mais traitreusement renversé par des vilains fachos Armee + CIA + ATT = un reve de méchants pour notre gauchiste de base.
C’est aussi Revel qui a fait la réclame pour le très bon livre de Carlos Rangel sur l’Amérique latine dont le titre m’échappe. Rangel décrivait très bien le processus chilien de 70 à 73.
« un gentil bisounours plébiscité par le peuple »
Un des derniers films de propagande sur Allende mettait en exergue une citation d’Allende où celui-ci parlait de la « révolution pacifique » qu’il était en train de mener. Foutage de gueule sans bornes.
Ignatius > Peut-être que vous ne lisez pas les textes avant de commenter. Peut-être que vous êtes un troll. Peut-être que vous vous êtes laissé entrainer.
Rappelons qu’Ilys est un lieu de débat, et que la première condition pour pouvoir débattre est d’être de bonne foi et de respecter les règles de la logique.
Kissinger rappelle que Allende ne respectait pas la légalité ni constitutionnelle, qu’il bafouait ouvertement, ni même celle de la loi puisqu’il laissait commettre des assassinats politiques par ses alliés, et des « réquisitions ». Le Chili se trouvait donc face à une situation révolutionnaire dont la gauche extrémiste tirait les ficelles. L’arrivée de Pinochet fut saluée par tous les gens doués de raison, les démocrates s’en réjouirent.
Ilys est – comme je le disais – un lieu de débat, vous pouvez contester que Allende violait les libertés les plus fondamentales, vous pouvez contester que l’arrivée de Pinochet fut perçue favorablement par les démocrates, vous pouvez même contester que ce fut la moins mauvaise solution, mais alors il faut apporter des arguments, des témoignages, des références. Par contre vous ne pouvez pas commenter comme si le texte n’existait pas. Vous ne pouvez pas nous balancer : Allende c’est François Hollande, sans autre argumentation.
Je ne réagissais pas à votre citation, mais au commentaire de Nebo.
» il y a surtout, et SEULEMENT, l’envie de tordre le cou à un lieux commun de l’époque ( Allende comme colombe blanche ) même si il faut minimiser l’action dictatoriale d’une belle saloperie. «
Ce que vous dites est absurde, Ignatius. Si l’on veut « tordre le coup à ce lieu commun » qu’est Allende, il faut bien mettre en avant ce qui se préparait dans la cuisine révolutionnaire du gars. Et en quoi Pinochet a été une libération, même relative.
Nebo ne dit pas fondamentalement autre chose que Kissinger.
Un dirigeant de pays asiatique comparait dans un article l’évolution du sous-développement en Asie et sur d’autres continents depuis 30 ans… le seul pays du monde qu’il mettait au niveau de l’Asie de l’Est point de vue « décollage » était le Chili, grâce, disait-il, aux réformes menées à partir de 73. Et je suis quasiment certain qu’il disait ça sans la moindre idée de provocation, sans même être au courant de l’hystérie qui existe ailleurs autour de Pinochet. Il savait par contre très bien d’où vient la Corée du Sud, aussi pauvre que l’Ethiopie il y a cinquante ans, où en est aujourd’hui la Corée du nord communiste. Au mieux, Allende était un Chavez, et Pinochet a évité au Chili la ruine; au pire, c’était un Castro, et Pinochet lui a évité la ruine ET 90 000 morts.
« vous pouvez même contester que ce fut la moins mauvaise solution »
Pinochet fut la moins mauvaise solution. Mais Ignatius « ne veut pas choisir ». Il veut la meilleure solution, la solution « zéro morts » – ou rien du tout. Mais rien du tout, c’est encore une solution. Mieux vaut le savoir, surtout si l’on est chilien en 1973.
Nan… mais Nebo il est né dans un pays communiste…
Nebo il a vu son grand-père maternel refuser d’avoir une fiche de paye au pays de l’autogestion et en prendre plein la gueule toute sa vie durant grâce à ce valeureux système… tandis que son grand-père paternel, faisant parti de la bourgeoisie rouge et bossant pour le ministère de l’intérieur méprisait la famille maternelle.
Nebo il a vu, dans son adolescence, des paysans baisser de ton et chuchoter lorsqu’ils abordaient certains sujets alors qu’ils étaient en pleine forêt… mais peut-être que les arbres avaient des oreilles.
Nébo, très jeune, a bien compris qu’il y avait une proximité mentale entre communisme, fascisme et nazisme… puis plus tard avec l’Islam… c’est regrettable, mais c’est là la seule culture politique qu’il a Nebo.
Nebo lorsqu’il entendait parler les officiels communistes yougoslaves durant les vacances, là-bas, au pays, et qu’il entendait, ensuite, parler Mitterrand ou Marchais en France, dans les années 70 et 80… et je n’ose pas parler d’Arlette ou de Krivine… et ben tout jeune con qu’il était, Nebo, il voyait bien que c’était bonnet blanc et blanc bonnet.
Nebo il n’est pas fan de Pinochet… mais entre Staline et Pinochet, il vote pour le second des deux mains.
Bref, vous votez pour le moins mauvais. Pas pour le meilleur. Car je ne pense pas que vous pensez que le meilleur puisse jamais advenir en ce bas-monde. Je rajoute ça pour Ignatius, qui est un peu dur de la comprenette^^
Finalement, on se dit que c’est une chance d’être né dans un pays communiste^^
C’est comme sauter plusieurs classe sans avoir à se taper les étapes intermédiaires. On perd moins de temps.
Oui… si j’étais un gros crâneur je dirais que vous avez raison, que ça m’a fait gagner du temps (et d’une certaine façon c’est exact, ça m’a aidé…) mais je dois avouer que, jeune, jusqu’à mes 17 ans, la tentation gauchiste a été présente dans ma vie avec l’argument bien connu : les expériences gauchistes qui ont été tentées ont dérivé et n’ont pu aboutir. Bon, mais détestant les communistes très tôt, j’étais dans une logique plutôt anarchiste, lisant Kropotkine, Bakounine, et Proudhon… de loin… en diagonale… mais prenant une grosse claque avec Max Stirner, dont même certains Libéraux se réclament… du coup ça m’a guéri de toute démarche collectiviste très tôt. Et Nietzsche est venu achever les derniers idéaux néfastes… Dieu merci, ai-je envie de dire. ^^
A 20 ans j’avais lu tout ce que Nietzsche avait publié de son vivant tandis que mes copains de banlieue ne juraient que par SOS Racisme et me traitaient de fasciste.
Stirner est incroyable, yes. Tellement radical que ça en devient une pure folie intenable, de quelque bord qu’on soit. Mais en effet, ça aide à perdre pas mal d’illusions néfastes.
ce que voit Ignatius, c’est que cette rhétorique non fondée » Allende allait devenir un Staline en puissance manipulé par l’extrême gauche » sert surtout à justifier le coup d’état en 73, année où Allende faisait encore du 40% au élection législative.
« une proximité mentale entre communisme, fascisme et nazisme… puis plus tard avec l’Islam… »
c’est exactement le névrose que j’évoquais, tout ce qui ne vous plait pas s’en trouve jeté dans la marmite communiste, gauchiste.
Et allez, c’est reparti pour un tour… bonne nuit, mon vieux.
Cher Ignatus, il m’est parfaitement inutile de jeter tout cela dans je ne sais quelle marmite… quand je parle de « proximité mentale » entre ces différentes appellations qui ne sont, pour ainsi dire, qu’une seule et même chose nées sous divers cieux, c’est que j’en fais bêtement le constat… seulement c’est tellement gros que les gens refusent de le voir. Autrement dit : c’est diabolique.
Nietzsche, déjà, avait évoqué les liens mentaux entre socialisme, anarchisme et christianisme… mais lorsqu’on voit la description qu’il fait du christianisme, on s’apperçoit qu’il s’agit du christianisme de Soeur Emmanuelle et de l’Abbé Pierre avant l’heure… autrement dit, des catholiques à babouches…
Il me semble, plutôt, que c’est une névrose que de ne pas le voir…
» c’est que j’en fais bêtement le constat… seulement c’est tellement gros que les gens refusent de le voir. Autrement dit : c’est diabolique. »
C’est le » vouloir guérir » pour reprendre l’expression du Muray, qui les unit.
Nietzsche décrit un christianisme millénaire, n’hésitant pas à remonter à l’ancien testament. Mais lorsque vous parlez des catholiques à babouches, vous essayez en sorte de détourner Nietzsche et de le faire aller dans votre sens; je ne serais même pas surpris que vous m’expliquiez que ses critiques ne sont en faîtes que pour l’Islam. ( logique, l’héritage Chrétien ne doit pas trop être molesté ici, donc quand on parle du Moustachu, on le limite ou on le détourne).
Comme dit l’autre… « Adolf Hitler, ce Mahomet du Tyrol… L’Islam, ce communisme du désert… »
Nous sommes partis d’Allende et du coup d’Etat, nous finissons sur l’Islam.
6 posts plus loin, et il aurait été question des banlieues.
Très intéressant, très très intéressant.
Bonne nuit Messieurs.
A part des assertions, en attendant, de votre part je n’ai rien lu d’autre dans vos commentaires sur ce sujet. C’est vous qui allez finir par devenir un sujet intéressant, un sujet aussi gros que la bite de Soral. C’est un de vos potes ?
Allez les gars, ne vous battez pas. Gardez vos forces car en France, nous allons bientôt les avoir les Allende et autres Pinochet, mais je ne sais pas encore dans quel ordre. Vous aimez le sport, vous aimerez les stades et le vendredi, ce sera la guillotine + tirage du loto en direct sur France2 (patronné par le MRAP, l’UMPS, Darty et la mosquée de Drancy).
Moi qui suis général (comme Pinoche — mais, j’ai des lunettes de soleil plus classes, quand même) j’espère seulement avoir une petite pipe par une des filles du genre « ILYS » avant de commander moi-même le tir de mon exécution.
Je demanderai quand même à avoir les yeux bandés (devant le peloton, pas pendant la pipe évidemment)
Rompez.