B comme Blancs tués

Thierry Simon tué le 4 mai 2011, retrouvé gisant ensanglanté sur la chaussée, à une dizaine de mètres de sa voiture dont le moteur était en marche, par un pompier qui passait par là. Kader Chadli, 24 ans, Selim Benkhedidja, 23 ans, et Mohamed Amallou, 19 ans sont tous poursuivis pour “violences volontaires commises en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner”

Guy Trilles tué à coups de pierres le 23 avril 2010 à Narbonne

Yann Lorence tué le 28 février 2010 aux alentours du Parc des Princes par une meute de supporters du virage Auteuil (composé en majorité de Noirs et d’Arabes) qui s’acharne sur lui au sol à coups de pieds dans la tête pendant de longues minutes.  

Jonathan Laurent poignardé à Pau par un homme de 31 ans d’origine turque dans une partie de poker, novembre 2009.

Jérémy Censier tué par 3 jeunes gitans le 22 Août 2009 à Pau, poignardé au visage et au cœur et roué de coups.

Pascal Orvain, père de trois enfants, tué le 18 Juillet 2009 à Colomiers de plusieurs coups de couteau alors qu’il tentait de mettre en fuite des cambrioleurs. La police a rapidement interpellé trois individus, par ailleurs soupçonnés de braquages. Un quatrième, soupçonné d’être le meneur de la bande, a été arrêté à la Gare du Nord, à Paris. Le principal suspect du meurtre est Jérémy Bagassien, métis d’origine africaine. Lui et ses amis étaient allés cambrioler la maison car l’un d’entre eux connaissait la fille de Pascal Orvain.

Yves Lerebourg, 32 ans, tué d’une trentaine de coups de couteau le 8 Juillet 2009 à Vénissieux.

Laetitia, tuée à Montataire le 17 juin 2009 lors d’une dispute conjugale par son compagnon EL Miloud Latrach, qui s’empare d’un couteau et porte deux mortels coups à sa femme. Elle avait 28 ans et laisse derrière elle des jumeaux de 4 mois et un fils de 2 ans.  

Johnny Salmont tué d’un coup d’opinel le 2 mai 2009 à Annezin. Impossible de connaître l’identité de l’agresseur qui s’est servi d’un couteau appartenant au restaurant « N’Simalen ».

Jean-Claude Eymery, 56 ans tué le 24 janvier 2009 à Mérignac. Il avait prêté de l’argent à un jeune Congolais de 21 ans pour lui permettre de s’établir. Ce jour-là, il lui demande de le lui rendre. Le jeune homme le tue d’un coup de couteau.

Alex, tué de 13 coups de couteau en Janvier 2009 à Nice quartier Acropolis par un cap-verdien de 22 ans.

Jonathan Vioud décédé le 31 mai 2008 à Chambéry de rupture d’anévrisme au cours d’une bagarre dans des conditions troubles. Un certain Cem Ceylak a été entendu par le tribunal pour s’expliquer sur des pressions probable sur le témoin clé. C’est tout.

Yvan, français de 19 ans tué à Stuttgart le 21 août 2007 dans un guet-apens mis en place par Denisz Erdogan, Turc 18 ans qui le soupçonnait, à tort, de se rapprocher de Sessene, 16 ans, sa petite amie.

Fabien Fornies,19 ans, égorgé le 21 Février 2007 à Salses par un Gitan dont le nom reste caché. 14 ans de réclusion.  

Laurent Francazal tué de Huit coups de couteau le 16 décembre 2006, par un délinquant multirécidiviste de 22 ans : Hakim Edir.

Julien Quenemer tué par balles le 23 novembre 2006 par le policier ripoux d’origine antillaise Antoine Granomort, au cours d’une émeute de supporters du PSG aux alentours du Parc des Princes.

Jean-Claude Irvoas battu à mort à Epinay-sur-Seine le 27 Octobre 2005 (premier jour des émeutes) devant sa femme et sa fille de 17 ans par Benoît Kuzonika et trois autres personnes : Icheme Brighet, Sébastien Béliny (Français originaire des Antilles) et Samba Diallo.

Jean-Jacques Le Chenadec tué à Stains le 7/11/2005 au plus fort des émeutes. Occuppé à éteindre un feu de poubelle allumé par un groupe de jeunes, il est agressé par une ou plusieurs personnes qui lui portent des coups mortels à la tête. Il a fallu un an et demi de vaines recherches avant d’identifier l’agresseur principal décrit par le voisin comme « un jeune homme à capuche, avec un menton en galoche ». Salaheddine Alloul, 22 ans, a été interpellé en juillet 2007 dans son quartier du Clos-Saint-Lazare. L’omerta qui le couvrait depuis des mois s’est soudain brisée parce qu’un autre jeune du quartier, arrêté par les policiers, risquait de payer pour lui.

David Estournel  tué par Djeloull Maroc de 56 coups de couteau en octobre 2004. Djelloul Maroc écope de 20 ans de réclusion criminelle mais sans peine de sûreté

Romain Benavent 14 ans tué devant sa copine à Avignon le 17 juillet 2004 par Hamadi Ed-Debch 21 ans de deux coups de hache dans le crâne.

Cette liste non exhaustive¤ élaborée au fil du temps en copiant-collant les brèves et les faits divers depuis les sites d’information a pour but de mettre en relief une tendance lourde :

Il existe dans les meurtres de faits divers, une surreprésentation du schéma « meurtrier d’origine étrangère (souvent Noir ou Arabe) qui tue un Français caucasien¤¤ (Blanc) ». Dans le même temps, on observe de nombreux meurtres internes aux communautés étrangères (exemple : septembre 2005. Eric, un jeune Ivoirien « à problèmes », âgé de 17 ans à l’époque, accusé du meurtre de Muhammet à coups de couteau ou encore Ilyes 18 ans tué de deux coups de couteau à Villepinte par « un voisin » le 26/01/2009) et de nombreux meurtres de Français blancs par des Français blancs. (Exemple : Mathieu Laudren 22 ans tué par un jeune « petit brun et rasé » le 15 janvier 2009 à Rennes, Le suspect en fuite est arrêté à Barcelone en mars 2010 et s’avérera être un certain Christopher Gaulais.ou encore Fabien Vigne tué par coup de couteau à l’abdomen par David Prodhomme le 17 aout 2009 à Montarnaud )

 

Un bémol : il y a fort à parier que ce dernier cas de figure soit, en valeur relative et peut être même en valeur absolue, beaucoup plus rare que les deux premiers cas de figure. Enfin, il existe un dernier cas de figure qui lui est rarissime : le cas d’un Français Blanc qui tue une personne d’origine étrangère. Nous n’avons recensé que les deux cas suivants :

–      Chikhi Hadi, 32 ans, sans emploi, est retrouvé poignardé dans son appartement de le rue Armand-Rousseau à Brest le 9 avril 2009. Morvan Roald, 21 ans, sera appréhendé deux mois plus tard, confondu par son ADN. Il avait frappé son ami et fournisseur de cannabis suite à une dispute sur la qualité du produit.

–      Amel Yahiaoui, 20 ans, tuée à Saint-Etienne le 26 Juillet 2009 lorsqu’elle rentre de son travail de serveuse dans un fast-food. C’est-là, en pleine rue, que Ludovic Sienni l’agresse et la poignarde. La jeune fille meurt peu de temps après. L’agresseur, qui s’avérera être un déséquilibré mental, se suicide en prison.

Ainsi on peut se risquer à formuler le résumé suivant :

 

La personne tuée est d’origine étrangère

La personne tuée est caucasienne

Le meurtrier est d’origine étrangère Phénomène très fréquent Phénomène fréquent
Le meurtrier est caucasien Phénomène très rare Phénomène rare

 

Nous n’avons pas l’intégralité des chiffres sur les meurtres en France entre 2004 et 2011. L’interdiction absolue de considérer l’origine ethnique des habitants de la France rend difficile le comptage, à moins d’éplucher tous les journaux français (PQR comprise) depuis 10 ans, sans oublier de recouper les informations car souvent il est simplement écrit « un Montmartrois de 23 ans a poignardé un promeneur de 25 ans » ce qui est un dégueulasse mensonge par omission. Ce genre de mensonge s’avère encore plus immonde dans le cas du meurtre de Pascal Orvain, affaire si on la regarde près, qui additionne toutes les facettes de l’incroyable hostilité raciale à l’encontre des Français blancs.

De plus, ce tableau rappelle étrangement le tableau répertoriant les viols commis aux USA en 2005. Or on sait aussi que cette tendance se retrouve exactement en Suède ou en 2010, pas moins de 100% des viols étaient commis par des personnes d’origine étrangère. Et il y a gros à parier qu’en France la situation soit très proche de la situation américaine (pas de la suédoise). Pour s’en convaincre on pourra s’intéresser à l’affaire Lassana Coulibaly ou encore visionner le reportage de Marie-Ange Le Boulaire sur le « violeur de Blanches » (disponible en streaming).

 

(source : US Department of Justice, Criminal victimization in the United States, 2006 statistic tables)

Deux réflexions :

–       Il est évident que la presse dissimule autant que possible l’origine ethnique des meurtriers « pour ne pas stigmatiser ». Il est évident que la très grande majorité des meurtres, et notamment des meurtres de caucasiens, sont commis par des personnes d’origine étrangère.

–       Nous pouvons, malgré le manque d’information à ce sujet, être quasiment certains qu’il y a très peu de meurtres de personnes d’origine étrangère commis par des Français caucasiens et ce, pour une raison très simple : si tel était le cas, la presse citerait systématiquement le nom du meurtrier, et des légions d’associations antiracistes récupèreraient l’affaire en s’acharnant à établir un mobile raciste. Ainsi, le simple fait que jamais la presse ne titre « un meurtre raciste » depuis le meurtre de Brahim Bouarram (Marocain qui s’est noyé dans la Seine après avoir été jeté du haut d’un pont par des skinheads le 1er Mai 1995) est la preuve irréfutable, la preuve par ce que l’on ne voit pas, qu’il n’y a en France aucun meurtre à caractère raciste selon la terminologie gauchiste c’est-à-dire pour faire simple : y a pas de Blancs qui tuent des Noir et des Arabes.

Pour aller plus loin :

On retrouve trois constantes dans la plupart des meurtres : 1/la présence d’un couteau, 2/l’agresseur et la victime sont tous deux de sexe masculin, 3/le mobile est soit de l’argent, soit une fille. Tiens… Cela ne rappelle rien ? On dirait exactement le prolongement de toutes les agressions « classiques », rackets, embrouilles « tapa une sigarète ? » et embrouilles « aya mademoizèle », bagarres à 10 contre 1 (on appelle ça une « hagra »), hostilité ordinaire de la racaille (regards, dégradations, discours haineux)… Le même schéma mais avec un meurtre à la fin. Or les agressions « classiques » on ne connaît que ça à moins de vivre calfeutré chez soi depuis 20 ans. Même le plus fielleux ahuri gauchiste parisien le reconnaitra : toutes les fois où lui ou l’un de ses potes s’est fait emmerder, les fâcheux étaient « toujours les mêmes ».

Donc il y a un lien direct, une continuité entre les agressions et les meurtres de fait divers (continuité qui se retrouve de façon irréfutable dans le peuplement des prison), ce ne sont pas des évènements isolés ce sont deux sous-partie d’un même phénomène. En somme, tous ces meurtres sont des agressions qui finissent mal.

A l’inverse, s’il n’y a pas ou très très peu de personnes d’origines étrangères tuées par des Français blancs c’est tout simplement parce qu’il n’y a pas de phénomène d’agressivité ordinaire de ces derniers envers les personnes d’origine étrangère. Il n’y a pas d’insécurité physique orienté dans ce sens là. Pas de racket, pas de convoitise, pas d’agressions… Et donc pas ou presque pas de Français blancs en prison.

Les meurtres classés en faits-divers étant la partie visible d’un iceberg, ils donnent un éclairage très précis sur l’orientation de la violence dans la société (d’où vient la violence et contre qui se dirige-t-elle). Qui est violent ? Contre qui ? Pour obtenir quoi ?

Ainsi tout au bout de l’analyse de ces agressions, on peut en dernière instance s’intéresser à l’agressivité elle-même : d’où vient-elle ? Et là on tombera sous le coup de la loi car on sera forcé d’évoquer des sujets dont on n’a pas le droit de parler : des parents qui font des enfants pour les allocations, des modèles familiaux intrinsèquement pervers et propres à certaines cultures arriérées (père castré et absent/ mère abusive), une immigration massive sans cesse excitée à la haine de la France et de sa population de souche (« la France elle nous doit des dommages et intérêts ») par mille intellectuels ou bien stupides ou bien de mauvaise foi, ou bien les deux. Tout ce que l’on sait déjà. Tout ce qu’il ne faut surtout pas dire.

¤Si des statistiques existent, on pourrait penser à les faire connaître et à les partager. Dans le même temps les informations rassemblées dans cet article (la liste des personnes tuées) sont à la disposition de toute personne de bonne volonté désireuse de dégager des tendances globales dans les faits divers. Un travail de fourmi. On pourra aussi consulter ce blog assez bien fait : http://http://vies-sacrees.blogspot.com

 ¤¤Le terme « caucasien » tient lieu d’équivalent en langue française de l’anglais « caucasian » qui sert aux USA pour désigner l’ethnie européenne blanche dont l’implantation originelle se trouverait (et se trouve toujours) à l’ouest des monts du Caucase. Si l’on regarde une carte on se rendra compte que c’est là une appellation assez pertinente car le morphotype des êtres humains diffère radicalement selon que l’on se place à l’ouest ou à l’est de ce massif montagneux.

79 réflexions sur « B comme Blancs tués »

    1. Lounès Auteur de l’article

      Non non, ce n’est pas « nous les Blancs gnagnagna », d’ailleurs moi je ne suis pas exactement « blanc » si l’on pousse un peu.
      C’est simplement rapporter des faits patiemment rassemblés et essayer de dégager une tendance générale dont nous avons tous l’intuition mais qui reste très difficile à prouver par des chiffres.

      On essaie ici de démasquer cette forme d’hostilité très sournoise qui sévit en France et qui parfois aboutit au meurtre. Si tu savais de quoi peuvent être capable ceux qu’il convient d’appeler les racailles tu ne poserais pas cette question.

      « Communautarisme victimaire » hein? T’as employé une expression à Soral je vais en employer une autre en te demandant de ne squatter sur Ilys que pour faire « monter le niveau » merci bye.

    2. Gil

      Dans la guerre idéologique actuelle, je crois le genre de travail que vous avez tenté là nécessaire, Lounès. Mais il est difficile de ne pas se poser la question d’Ignatius, quation qui a d’ailleurs fait l’objet de discussions sur ilys, si je me souviens bien.

  1. Fascisme Fun

    @Ignatius

    Le problème, c’est que les blancs ne constituent pas une communauté mais une masse informe d’individus bollossables à l’occasion.

    Nous sommes trop nombreux et puissants pour nous permettre de couiner comme telle ou telle minorité de clochards parasites.

  2. El Manchito

    « Le problème, c’est que les blancs ne constituent pas une communauté mais une masse informe d’individus bollossables à l’occasion. »

    Point intéressant . Les communautés peuvent être culturelles , musicales , sportives , régionales . Façe à une bande de gamins en survetement fluo , qui est-ce que l’on trouve ? D’autres bandes du même type , ou des supporters , des punk-à-chiens , métalleux . A l’ouverture d’un bar de motards en centre-ville , plus un dealer dans le coin . Un soir de match , plus personne . A la sortie d’un concert de métal , les rues sont vides du moindre tissu fluo .

  3. Gil

    Houla, vieux débat. Si l’on considère la France comme déjà libanisée, il serait temps de rentrer dans le « jeu de la concurrence raciale ». Sinon, et si on veut empêcher cette libanisation, il faudrait retrouver des couilles et foutre pas mal de monde dehors.

    1. Baudricourt

      Le problème c’est que nous sommes pris en étau.
      Si jamais t’en dérouille un, tu vas faire la Une des torche-culs avec en prime BécHameL témoignant à charge à ton procès.
      A croire que certain attendent un tel événement en période électorale, pour nous refourguer encore plus de sos-ouaciste !

    2. Aquinus

      J’ai fait ce matin un intéressant voyage en taxi de l’aéroport CDG jusqu’à Paris. Pour causes de gigantesque bouchons, le taximan (un blanc avec qui nous n’avons pas tardé à parler de choses et d’autres et qui s’est vite avéré être lui aussi un affreux moisi) a coupé par les petites routes à travers les quartiers d’habitation ou d’entrepôts du 93. Il m’a peint un tableau d’une noirceur absolue, a de lui-même qualifié le département comme un Kosovo en puissance absolument irattrapable.

      J’ai regardé par la fenêtre pendant les deux heures du traget et je vous le confirme Gil : la France est libanisée. Il ne faut pas écouter les fadaises d’Ignatius une seule seconde, considérer l’Etat qui nous a fait comme notre pire ennemi et nous défendre par nos propres mo-yens.

      Merci Lounès pour ce billet. La partie fondamentale c’est lorsque vous faites le lien entre ces meurtres de non-Européens sur Européens, de façon statistique écrasante mais numériquement encore peu nombreux, avec les agressions physiques et verbales que les premiers font subir aux seconds la par contre, de façon massive et quotidienne à peu près partout et sans que la moindre riposte collective (à l’exception bien timide mais réelle de la Corse…). Les meurtres ne sont que le prolongement tout à fait naturel de ce climat anti-blanc et anti-occidental puissant et dominant, et si les meutres ne sont que si peu nombreux comparés aux agressions ce n’est que parce que les victimes ne ripostent presque jamais. Si elles commençaient à le faire alors le nombre de meurtres exploseraient, avec représailles de masse sur les familles et tout ce qui s’ensuit.

      1. Ignatius

         » Il ne faut pas écouter les fadaises d’Ignatius une seule seconde, considérer l’Etat qui nous a fait comme notre pire ennemi et nous défendre par nos propres mo-yens.  »
        Vous appelez donc à la création de milices blanches. Vous voyez, votre problème, c’est dès que l’on rentre dans la politique sérieuse, on voit vite un discours aussi irréalisable que dangereux.
        Je ne veux pas de la guerre civile dans mon pays. Contrairement à vous. Je vous laisse la responsabilité de la Balkanisation, Libanisation, appelez le comme cela vous chante, de la France.

        PS: si c’était la première fois que vous voyiez le 93, ce qui semble être le cas, je vous pardonne.

        1. Gil

          Là vous déconnez, Ignatius. Je comprends mieux de quelles fadaises parle Aquinus. J’ai passé un an dans le 78 (pas à Saint-Germain-en-Laye, hein !) il y a presque 10 ans, et le phénomène de libanisation était déjà écrasant.

          Et comme le dit FF : la guerre civile est déjà là. (mes questions à Aquinus se résumant à : que fait-on concrètement ? Au plan psychologique, médiatique, idéologique, quel discours est le mieux adapté à la situation ?)

          1. Grödion

            Je trouve que parler de guerre civile est faux. C’est la guerre tout court. Durant les Guerres de Religion au XVIe, les Ligueurs catholiques étaient aidés militairement et financièrement par les Espagnols, les Huguenots par les Anglais et les Allemands réformés. Mais on avait conscience de e battre entre Français. Agrippa D’aubigné dans ses terrifiants mais magnifiques « Les Tragiques » insiste bien sur le déchirement national.

            Mais aujourd’hui, il n’y a rien de « national » dans cette histoire. C’est une guerre tout ce qu’il y a de classique : des Envahisseurs ligués contre un peuple mou et pacifique qui se laisse dominer. Qui n’a jamais entendu un(e) Allogène déclarer après une petite altercation : « ce pays est à nous ! Déjà à nous ! ». Ca ressemble plus à la conquête classique des musulmans, faite de provocations, razzias, intimidations, massacres quand c’est possible ou négociation quand le champ est libre. Ils (musulmans Afghans) ont conquis l’Inde en multipliant les massacres de masse, ils conquerront la France par la négociation et le chantage (enfin, c’est leur rêve…).

            Ce n’est pas une guerre civile car la finalité sera ou la victoire de l’islam en Europe ou l’expulsion massive et sans condition de tous les Allogènes. Aucun Edit de Nantes ne serait possible.

            1. Gil

              C’est juste. Disons donc : la guerre est déjà là.

              (Une nuance, tout de même : le nombre de FDS qui sont du côté de l’ennemi.)

          2. Ignatius

            un an dans le 78? Et bien quant à ma poire je suis née et habite encore dans le 95 – je sais que le ton le plus grave et le plus catastrophique et de rigueur ici, mais je ne vais pas mentir : il y a encore des de souches et des muslims qui se parlent, se respectent mutuellement, et pas de milices violentes organisées.

            1. Gil

              « il y a encore des de souches et des muslims qui se parlent, se respectent mutuellement, et pas de milices violentes organisées »

              Et donc ? Tout va bien, donc ? Il n’y a pas d’invasion migratoire, donc, de violence généralisée des Africains envers les FDS, donc ?

      2. Gil

        Mais quelles fadaises, Aquinus ? Je ne sais pas ce que défend Ignatius, sa position sur l’État (la mienne est la même que la vôtre), et ma question sur la libanisation de la France était plus rhétorique qu’autre chose. Mais sa question plus haut m’a rappelé des discussions auxquelles vous-même aviez participé, sur la pertinence qu’il y aurait à retourner les méthode communautaristes de l’antiracisme au bénéfice de la communauté blanche/historique française. Évidemment, si c’était possible, une reconquista serait l’idéal. Mais vous-même reconnaissez les risques de vendetta en cas de simple riposte (de riposte isolée).

        La libanisation est un fait, bien sûr. Mais à nouveau : on le considère comme irréversible, ce fait, on fait dans le communautarisme, avec le risque de devenir psychologiquement encore plus faible (victimisme) et la concession énorme consistant à reconnaître que nous ne sommes qu’une communauté parmi les autres – ou on considère toujours que nous sommes l’unique peuple légitime de France, on se refuse à toute victimisation etc etc ? Mais alors, tout au moins au niveau idéologique, médiatique, que fait-on ?

        (Re-)éclairez-moi sur votre position : vous semblez réfuter l’accusation de victimisme d’I., tout en refusant tout victimisme.

        1. Gil

          C’est très maladroitement exprimé, je m’en excuse – plutôt :

          Vous semblez réfuter d’une pièce l’accusation de victimisme d’I. à propos du texte de Lounès, et alors que ce problème se pose tout de même un peu dans ce texte, et en même temps vous semblez ne pas vouloir rentrer dans le jeu de l’État, ce jeu de la concurrence raciale, du victimisme etc.

          1. Ignatius

            Le problème c’est qu’ils reprennent la langue de l’ennemi – le discours victimaire, la compilation désabusée du nombre de cadavres.
            A force d’user des armes des gauchistes, ils en prennent la même valeur.

            Et je ne pense pas qu’ils soient opposées à l’idée d’une guerre civile – au contraire ils l’appellent, ils veulent pouvoir déverser leurs ressentiments.
            Malheureusement, comme dans certains villages en 42, on comptait 45 fusils et 6 volontaires.

            1. Gil

              « Le problème c’est qu’ils reprennent la langue de l’ennemi »

              C’est effectivement un danger qui mérite d’être traité, ou plutôt c’est un problème de méthode. D’où mes questions à Aquinus et Lounès. De là à faire d’ilys un nouveau Fdesouche à cause de cet article…

              (et je crois que dans cette guerre -guerre idéologique du moins- ce genre de comptabilité macabre est nécessaire.)

  4. Vae Victis

    Il y a très peu de personnes d’origines étrangères tuées par des Français blancs, parce qu’il n’existe pour ainsi dire pas de bande de blancs. Ce qui signifie que les meurtres commis par des blancs ont lieu principalement dans un schéma de 1 contre 1, ou de tout petits groupes d’amis, avec peu de phénomène de prédation. Les meurtres ont lieu lors de soirées (alcool, drogue et filles) ou entre gens qui se connaissent (couple, voisins, famille, ennemis récurrents). Les blancs ont aussi beaucoup plus tendance à appeler la police et à faire intervenir la justice pour régler leurs différents qu’à sortir les armes. C’est leur force et leur faiblesse.

  5. Fascisme Fun

    Je confirme totalement les propos de Lounès et de Aquinus, à savoir que les petites incivilités du quotidien, l’impolitesse, les regards mauvais et l’arrogance sont autant de préludes naturels aux agressions violentes, aux dépouillage brutaux voire aux viols.

    Des pieds sur la banquette du RER aux lynchage pure et simple à 12 contre 1, il n’y a souvent qu’un pas.

    Je travaille dans le milieu du « commerce hard », ce qui me met en contact permanent et directe avec une clientèle des plus bigarée, bref je sais de quoi je parle

    Le propre de la racaille, c’est de se croire à la maison partout tout le temps: sorte de crasseux de la steppe urbaine.

    La racaille, c’est l’enfant gâté pourri avec des moeurs de délinquant, le fils à papa version prédateur violent. Partout où il passe, il se croit chez lui, les pieds sur la table, en train de se gratter les couilles devant un Marc Dorcel.

    Rien à voir avec le mafieux, qui sait garder une tenue, qui exagère même en politesse, qui ne vous entubera jamais pour le plaisir ou fera des blagues salaces sur la mini-jupe de votre copine.

    Savez-vous pourquoi dans le « commerce hard » et la Sécurité, on n’embauche plus que des gens de couleur ? Simplement par pragmatisme.

    Il faut dire ce qui est, quand vous mettez un agent de sécurité africain, la racaille qui a glissé un Label 5 dans son slip ne pourra pas user de l’arguement du racisme pour blâmer l’agent de sécurité.

    Tous les types avec qui je parle, qui bossent dans la Sécurité ou dans des commerces en zone sensible, me le disent: quand le vendeur ou l’agent est blanc, la clientèle devient « ingérable ».

    « Ingérable », cela veut dire qu’elle se croit tout permis en compagnie d’un blanc. On peut te pisser dessus simplement parce que t’es pas de la bonne couleur.

    Le véritable racisme en France, le racisme bien gras et décomplexée, c’est chez les immigrés que vous le trouverez. Pas chez les gaulois qui s’épuisent à être tolérant dans les situations les plus extrêmes.

    C’est pas faute d’essayer d’être antiraciste, mais dans le métier que j’exerce, toutes les embrouilleurs et les arnaqueurs sont d’origine extra-européenne.

    Mes collègues basanés sont les premiers à le reconnaître, c’est ça qui est hilarant ! Ils disent la même chose que Eric Zemmour, ils seraient condamnés par le MRAP et la LICRA parce qu’ils disent la même chose !

      1. Fascisme Fun

        Le « commerce hard », c’est par exemple tenir un Mac Donald’s ou un Franprix au milieu d’une cité sensible ou faire de la sécurité dans une grosse boutique de Châtelet les Halles.

        Pour résumer: être confronté à une clientèle « dure » (d’où le terme de commerce hard), une clientèle racailleuse qui vous en fera voir de toutes les couleurs.

        J’ai tellement vu de trucs surréalistes là où je bosse que je pourrais en écrire un bouquin.

    1. Grödion

      « Le propre de la racaille, c’est de se croire à la maison partout tout le temps: sorte de crasseux de la steppe urbaine. »

      Là ou Soral se trompe en déclarant que les Racailles sont des « Américains », c’est-à-dire élevés au libéralisme sauvage de la maille et des putes, c’est que les Racailles que nous connaissons, étaient les mêmes que celle que les Romains ont affronté lors des Guerres de Jugurtha, les Francs lors de la défense des villes du sud de la France au IXe-Xe siècles ou les Espagnols lors des révoltes mauresques du XVIe. Les mêmes comportements : attaque en bande contre des convois ou petits groupes isolés pour les dépouiller ou les humilier, viols et captures de femmes pour garnir les harems privés, type d’attaque consistant à charger puis à s’enfuir aussitôt, épuisant l’ennemi par le harcèlement. Certes quand ils avaient un vrai chef, un général d’exception, ils arrivaient à faire e belles choses, à prouver un vrai courage : l’armée de Hannibal était formée par 80% de Berbères qui ont impressionné les Romains au combat (qui les ont ensuit utilisé comme mercenaires). Mais dans les faits c’étaient toujours des brigands, des « racailles » : l’islam a institutionnalisé leur condition. La razzia, l’esclavage sexuelle des femmes capturées, l’humiliation et le meurtre des koufar devenait légaux, voire encouragés.

      La France en Algérie avait essayé de retourner les Berbères en leur rappelant leur passé romain, pour les occidentaliser (en les convertissant au christianisme) et en faire des compatriotes lui donnant une nouvelle jeunesse et de la vitalité. Résultat ? La France s’est « algérianisée » et s’est « désoccidentalisée », en u mot islamisé. Face aux Racailles islamiques c’est une lutte à mort, sinon on perd son âme. Les Byzantins ont failli perdre pied au contact des Arabes, ils se sont plongés dans l’iconoclasme et le puritanisme : ils s’en sont vite relevés heureusement. Je ne serais pas aussi enthousiaste pour notre gueule…

      Contrairement à ce que dit Soral, c’est bien un « choc des civilisations » auquel nous assistons. Mais le nez, les yeux et oreilles embourbés, nous ne sommes pas encore capable de le sentir, le voir ou l’entendre… La Modernité c’est la perte des sens.

  6. Vae Victis

    Un autre nom dans un contexte différent :

    Le compagnon d’Elodie Despons, cette jeune mère de 23 ans retrouvée morte vendredi à son domicile, à Frouzins, près de Toulouse, était toujours en garde à vue hier soir.

    Cet homme de 22 ans, Tarik B., employé municipal à la mairie de Frouzins, a été interpellé samedi à Toulouse, par les gendarmes de la section de recherche. Son audition n’a toujours pas permis d’éclaircir les circonstances qui entourent la mort d’Élodie, mère d’un petit garçon de 4 ans et demi et enceinte de deux mois.

    Lorsque le père de la victime, inquiet de ne plus avoir de ses nouvelles depuis 5 jours entre dans l’appartement du couple, il découvre le corps sans vie de sa fille dans sa chambre, allongée sur son lit. « Elle avait le visage tuméfié, elle était méconnaissable », dit-il, terrassé par ce terrible drame. Sur les lieux, Jacques Despons, découvre également un curieux fil électrique relié à une prise murale sous tension. Que s’est-il passé dans cet appartement ? Le compagnon d’Élodie, Tarik B. était recherché depuis vendredi. Un homme dont le passé judiciaire interroge. Quatre fois condamné, ce garçon avait quitté la prison de Seysses en février avant de s’installer au domicile d’Elodie, à Frouzins. La jeune femme dont les proches assurent qu’elle était « amoureuse » de son copain lui rendait visite tous les mercredis à la maison d’arrêt. Mais derrière cette relation amoureuse, la famille d’Élodie et des amies de la victime décrivent des tensions au sein du couple. « Plusieurs fois, elle s’était confiée à ses amies en disant qu’elle était battue. Elle avait des bleus sur les bras.

    http://www.ladepeche.fr/article/2011/06/20/1110875-les-proches-d-elodie-une-femme-battue.html

    1. Fascisme Fun

      La misère affective n’excuse rien, il faut vraiment être la pire des gourdasse pour s’enticher d’un taulard au passif violent.

      Encore, si c’était pour courtiser Tony Musulin et ses 5 millions d’euros qui dorment en Croatie, je veux bien.

      Mais « tomber amoureuse d’une racaille vicieuse », non, il faut être possédé par le démon de la connerie pour ce genre de chose.

  7. Prolo De La Lite

    « Le problème c’est qu’ils reprennent la langue de l’ennemi »

    Tant que la langue est utilisée en tant qu’arme idéologique …
    Le multiculturalisme tend à ne reconnaitre que les minorités , et les minorités ne sont que sexuelles , raciales , religieuses . Les femmes peuvent être plus de la moitié de la population , elle sont une minorité . Les musulmans pourront être 60% de la population , ils seront une minorité . Les Eglises peuvent être vides et les occidentaux minoritaires , cette culture sera considérée comme dominante , il n’y a aucun lien direct entre la représentation et le concept de minorité .
    Paradoxalement , l’universalisme peut être une arme idéologique . Si celui qui rejette « l’autre » est raciste et intolérant , peu importe sa couleur de peau , un musulman peut être vu comme bourreau . Il faut renverser , bousculer la hiérarchie des racismes , si A frappe B et qu’il ne sont pas de la même race , A est raciste . Si un musulman est homophobe , raciste , frappe et voile sa femme , il doit être « Bidochonisé » , le beauf-franchouillard doit avoir son équivalent musulman . Le gay qui ne fréquente que des gay occidentaux doit être taxé de racisme . Il faut mettre du racisme partout , postuler à des emplois de serveur dans un kébab en étant bourré et porter plainte à la Halde , les gaver de racisme jusqu’a ce que ce mot perde tout son sens , casser le monopole .
    Mais ceci doit rester un stratégie , un discours .

  8. Vae Victis

    Quand on me dit France, j’ai envie de répondre « what else ? »

    C’est une discussion intéressante mais qui fait l’impasse sur le postulat de base. On se torture à imaginer la stratégie la moins catastrophique, la moins déshonorante, celle qui ressemble le moins à une capitulation, mais on omet de se demander ce qu’il y a à sauver.

    Dites-moi, c’est quand la dernière fois que vous avez été fier des Français en tant que peuple ? La dernière où vous vous êtes dit : « C’est un beau pays, c’est un beau peuple, il a réagi exactement comme il le fallait et je suis fier de lui appartenir ! » ?

    Je n’ai pas souvenir que ça me soit déjà arrivé pour l’époque contemporaine. Il m’arrive d’admirer d’autres peuples pour leurs réponses collectives, comme récemment les Japonais lors des suites du tsunami, mais il m’est jamais arrivé d’admirer mes compatriotes. Non, franchement, jamais.

    Les Français ont perdus leur qualités et n’ont gardé que leurs défauts. Ils sont comme ces peuples qui ont perdu toute grandeur, et qui jamais ne la retrouveront. Comme les Grecs.

    Il y a qui à sauver ? L’extrême-gauche qui barbote dans ses excréments ? La clientèle de fonctionnaires socialistes ? Les bobos ? Les prolo racistes avec leurs deux neurones qui vont voter Marine Le Pen ? Les petits bourgeois mesquins et pétochards de l’UMP ?

    Dès que ça va commencer à trop sentir le roussi, je me barrerai vite fait de ce merdier, et je laisserai les rats se bouffer entre-eux. Et j’espère que vous aurez l’intelligence d’en faire autant.

    1. Grödion

      Je crois que c’est au contraire très heureux que nous subissions cette Invasion, elle forcera à réagir, soit la soumission à l’Ennemi, soit la guerre (sous multiples formes) soit une redéfinition de ce que nous sommes : une sorte d’impérialisme (mondialisme par exemple) ou à l’inverse la féodalité moderne. Mais dans tous les cas seule la « guerre » (pas seulement en armes), l’état de veille du combattant, sauvera les Hommes. Ce qui compte ce n’est pas qui combattre ou pourquoi combattre, mais de combattre. Cela le futur avec son retour à la barbarie et à une sorte de féodalité le rendra nécessaire.

      Si on étudie l’Histoire de l’Espagne musulmane que voit-on ? Voit-on deux camps s’affronter à mort(musulmans contre chrétiens ) ? Non, il y a plusieurs camps et les Espagnols pendant LONGTEMPS étaient encore pire Dhimmis que nous ne le sommes, et ils l’étaient consciemment. La légende de la Réconquista a été inventée après coup, récit mythique ; dans les faits, ce n’est que très tard, bien après la victoire de Las Navas de Tolosa qu’une idée d’unité nationale espagnole et chrétienne contre les Musulmans s’est faite jour. Donc dire que l’on refuse l’islam ou l’Invasion pour sauver le cul des lopettes de l’UMP ou des bobos du PS n’a pas de sens. On combat pour soi seul, sa propre liberté. Son propre honneur.

      « Dès que ça va commencer à trop sentir le roussi, je me barrerai vite fait de ce merdier, et je laisserai les rats se bouffer entre-eux. Et j’espère que vous aurez l’intelligence d’en faire autant. »

      Voilà malheureusement la vraie attitude du dhimmi. On ne peut parler des Grecs puis avoir cette attitude. Un Grec, de Sparte par exemple, se battait pour son propre honneur et sa propre dignité, et celle de ses camarades de combat. Pas pour sauver sa boutique, sa fortune ou ses fringues tape-à-l’oeil : de toute façon il n’en avait pas…^^

      dit de manière différente pendant l’Occupation allemande, les Collabos étaient très peu et les Résistants encore moindres. La masse ne pensait qu’à savoir quoi manger, quel film aller voir au cinéma (hausse de la fréquentation spectaculaire de films pendant la guerre) et de bien raser les murs. L’histoire est faite pas peu d’hommes. Ouvrez un dico des noms propres : on se souvient des rands hommes du moyen-âge, pas des bouchers, des serfs ou des cordonniers…

      Si vous partez du principe que ce qui compte c’est vous, alors fuyez et vous serez considéré comme un esclave, au sens ou les Grecs ou les Romains l’entendaient. Sinon, si vous combattez, d’une manière ou d’une autre, et refusez la soumission et mourrez pour cela, vous serez un homme libre. Et votre/notre descendance saura vous honorer comme il se doit. C’est sur l’héroïsme que se battissent la liberté et l’expulsion des Envahisseurs, qu’importe les Dhimmis par millions, qu’importe les siècles de soumission. Les Espagnols et les Slaves des Balkans sont là pour le rappeler.

      1. Vae Victis

        Vous voulez mourir libre, prenez une ceinture d’explosifs ou un fusil de chasse, et tirez dans le tas. Il n’y a pas de soucis. Vous finirez sans doute comme Brunerie. On vous promet un Bidou d’honneur pour célébrer votre glorieux sacrifice.

        Pourquoi lit-on tant de gens désirant « mourir libre » et si peu de volontaires ? Avec cette masse d’hommes libres ce devrait être 14 juillet tous les jours.

        Pour le reste Sparte et l’action virile vu à travers 300 et son esthétique de jeux vidéo c’est amusant deux minutes, mais il faut tout de même passer à autre chose. Pour information Sparte était une cité sournoise, très peu aventureuse, corrompue à un degré rare, et dominée par l’argent, mais de manière beaucoup plus perverse que dans les autres cités. A force de concentration du capital entre seulement quelques mains, le nombre de citoyens ira constamment en décroissant. Car à Sparte il fallait présenter la monnaie, pas de citoyenneté pour les gagne-petits ; plus de ressources plus de droits.

        On se bat fort bien pour sa boutique, sa fortune, ses biens, sa terre, sa notoriété. Quand intégrera-t-on que les boutiquiers US ont foutu une raclée sanglante aux Übermensch nazis ?

        De toutes façons il n’y aura pas de combat mais un couple intégration/enclaves. Ce n’est pas une prédiction, on le voit déjà partout à l’œuvre. Aucune raison que cela change.

        1. Grödion

          Je crois que vous vous trompez sur mon compte.

          « Vous voulez mourir libre, prenez une ceinture d’explosifs ou un fusil de chasse, et tirez dans le tas. Il n’y a pas de soucis. Vous finirez sans doute comme Brunerie. On vous promet un Bidou d’honneur pour célébrer votre glorieux sacrifice. »

          J’avais bien fait de préciser que le combat n’était ni pour une terre, ni pour un drapeau, ni pour son matériel, mais pour soi-même. Tout est réuni en soi. L’Iliade, chant V. Combattre pour soi, signifie que si on tentait de vous imposer la soumission vous préfériez la mort plutôt que cela. C’est la définition, la vraie, la seule, de la liberté. Si les Musulmans vous demandent de vous convertir à leur religion et qu’en échange vous gardiez vos biens, votre famille et même que vous seriez exempté d’impôt, vous accepteriez ? Vous les garderiez votre boutique et votre compte en banque garni, pour sûr. Beaucoup d’Espagnols ont accepté, ils ont bien vécu sous l’Al Andalus. Repus et bien lotis. Leurs descendants ont été expulsés comme des rats d’Espagne en 1492 puis en 1609. la ont payé la lâcheté et le déshonneur de leurs ancêtres.

          Vivre libre ne signifie pas vouloir tuer son ennemi ou l’empêcher de nuire, mais de refuser qu’il vous impose la soumission à sa volonté. Nous vivons déjà certes sous une tyrannie, celle de l’Etat ou une autre. Mais comme le rappelait Alfieri : « Encore que, sous la tyrannie, tous soient avilis, tous pour autant ne sont pas vils. » Je n’arrive pas comprendre que vous vous réclamiez du libéralisme sans saisir ce point : Hobbes, Locke, Tocqueville ou les Pères fondateurs de la République américaine, qu’appelaient-ils liberté ?

          « Pourquoi lit-on tant de gens désirant « mourir libre » et si peu de volontaires ? Avec cette masse d’hommes libres ce devrait être 14 juillet tous les jours. »

          Vivre libre ou mourir. et non « vouloir mourir libre » qui est une bêtise. « Mourir libre » c’est la conception islamique, le jihad, qui a à voir avec la conception nazie ou révolutionnaires de 93. Rien à voir avec la conception gréco-romaine de la liberté, reprise par le libéralisme moderne européen. Burke caricaturait les Révolutionnaires entre autres sur ce point précis il me semble bien, cette idée de « vouloir la mort qui signifie liberté ». Je n’ai jamais dit cela.

          « Pour le reste Sparte et l’action virile vu à travers 300 et son esthétique de jeux vidéo c’est amusant deux minutes, mais il faut tout de même passer à autre chose. »

          Merci de ne pas me rabaisser à cette image de fan débile de 300. Je préfère regarder Spartatouille, ça c’est du film ! Je le conseille à tous !

          Sparte je la connais à travers d’autre sources… Encore une fois je pose la question : dans la République, quelle est la définition de la liberté que propose Platon, quand il prend l’exemple de Sparte ?

          « Pour information Sparte était une cité sournoise, très peu aventureuse, corrompue à un degré rare, et dominée par l’argent, mais de manière beaucoup plus perverse que dans les autres cités. A force de concentration du capital entre seulement quelques mains, le nombre de citoyens ira constamment en décroissant. »

          Cité sournoise ? Ahahaha. Vous devez confondre avec Athènes. Et, je ne vois pas de défauts dans ce que vous dites. Une Cité, un pays ou un état non corrompu par l’argent ou les vices divers ça n’a jamais existé. La décroissance des citoyens de Sparte s’explique surtout par la guerre (qui coûtait en hommes) et la fermeture de la citoyenneté aux autres peuples (contrairement à Athènes ou Ephèse) nous sommes d’accord. La Guerre du Péloponnèse est la vraie raison du déclin de Sparte.
          Venise aussi se battait pour l’argent et la puissance. C’est très sain. Mais à aucun moment ils n’auraient renoncé à leur liberté, leur honneur ou leur foi pour vivre soumis aux Turcs ou aux Barbaresques en échange d’avantages matériels…

          « On se bat fort bien pour sa boutique, sa fortune, ses biens, sa terre, sa notoriété. Quand intégrera-t-on que les boutiquiers US ont foutu une raclée sanglante aux Übermensch nazis ? »

          Ah bon ? Vous refaites l’histoire. Les Américains sont entrés en guerre en 1941 une fois l’attaque des Japonais sur leur sol effective, et après que les Allemands leur aient déclaré la guerre. La propagande américaine insistait très lourdement sur l’honneur et la haute moralité des Américains face à la barbarie des Jaunes et des Nazis. Comme les Grecs face aux Barbares Perses.

          Avez-vos lu Hérodote ? C’est naïf et simpliste ce qu’il écrit. Mais ça insiste bien à chaque page sur la liberté, l’honneur et la haute moralité des Grecs face à la barbarie, la débauche et la fourberie des Perses. Même si la réalité devait être très différente bien entendu. La propagande des journaux américains durant la Seconde guerre mondiale ou la guerre froide n’était pas très éloignée…

          « De toutes façons il n’y aura pas de combat mais un couple intégration/enclaves. Ce n’est pas une prédiction, on le voit déjà partout à l’œuvre. Aucune raison que cela change. »

          Une nouvelle féodalité, je disais. C’est un peu cela.

          1. Vae Victis

            Athènes n’est pas perfide, les Athéniens font se qu’ils disent. Ils disent : « Je vais tous vous massacrer jusqu’aux derniers si vous ne vous soumettez pas » et ils le font. S’ils disent : « On va vous envoyer du secours », ils le font. Ils sont fiables.

            Sparte est sournoise, sa parole l’engage très mollement. On le voit fort bien tout au long de la guerre du Péloponnèse. Le nombre de cités détruites auxquelles Sparte avait promis du secours sans jamais en envoyer, de cités auxquelles il a été promis une paix collective, et qu’on poignardera dans le dos. Les Spartiates n’étaient absolument pas fiables. Ils seront de même très très très prudents avant d’engager une bataille. Ils passent leur temps à faire demi tour sur le chemin en prétextant une multitude d’excuses. Leurs chefs deviendront des modèles de corruption et de trahison. Avoir un tel allié devait être une horreur.

            Ensuite l’explication guerrière aux effectifs déclinant tient assez peu, elle engage rarement ses troupes, et encore plus rarement à fond. Son déclin est à chercher dans on conservatisme, son fixisme et sa propension à dégrader ses citoyens. Le corps social s’affaiblit de l’intérieur.

            L’épisode de la Sphactérie est à ce titre très intéressant. Un peu moins de 300 Spartiates se retrouvent prisonniers sur un îlot, la cité leur donne la permission de se rendre. Ils se rendent. Sparte transige beaucoup pour les récupérer, sa politique devient guider par cet objectif. Mais Sparte est versatile, ces hommes après maintes années de captivité, après leur retour sont bannis et leurs biens saisis. Mais dans un énième retournement de situation ils sont finalement plus ou moins réhabilités et autorisés à revenir.

            Tout ça pour dire qu’en terme d’exemple de vertu, on fait mieux que Sparte.

            1. Grödion

              D’accord, vous entendiez « sournoise » dans ce sens.

              « Les Spartiates n’étaient absolument pas fiables. »

              Il faut juste rappeler quel était le rapport de force entre le camp d’Athènes et celui de Sparte. Sparte a tout fait pour livrer bataille sur la terre ferme, quitte effectivement à sacrifier de petites cités alliées. Mais ce choix lui a donné raison, Sparte a vaincu Athènes.

              « Tout ça pour dire qu’en terme d’exemple de vertu, on fait mieux que Sparte. »

              je n’ai encore une fois jamais dit que Sparte était le modèle définitif de vertu. Ni d’ailleurs qu’Athènes était moins « vertueuse ». J’ai dit que les Grecs savaient pourquoi ils combattaient les Perses (Hérodote ou Eschyle) et que cette raison rejoignait peu ou prou celle des Américains contre le Japon et les Nazis. Par exemple, elle diffère du combat pour la « Mère Patrie » qu’ont mené les Russes contre Hitler.
              Les Américains se battent pour la « Liberté » hier comme aujourd’hui (quelque soit le degré de sérieux d’une telle assertion) ; tandis que les Irakiens ou les Afghans se battent aujourd’hui pour la « Mère patrie (Oumma) », comme jadis les Russes en 1943…quitte à sacrifier des hommes jusqu’au dernier.

          2. Gil

            Sparte me semble indéfendable, Grödion. Je ne parle pas de morale, ni de corruption; c’est juste que le totalitarisme spartiate et le manque de fiabilité dont parle VV la condamnait à plus ou moins long terme, y compris militairement.

            Athènes n’est pas plus morale que Sparte, elle était juste équipée de ce fameux esprit « libéral » qui, pour je ne sais plus quel historien US dont parlait un dénommé Chevreuil ici-même, marque la supériorité occidentale, à commencer par la supériorité militaire. On s’attache plus facilement un allié si l’on est fisble, on est plus efficace si l’on est plusieurs à discuter de la stratégie à adopter etc

            Et je ne saurais trop vous conseiller les pages de Calasso sur Sparte dans « Les Noces de Cadmos et Harmonie » : vous parlez de Platon prenant Sparte comme modèle, et Calasso parle justement de cette nostalgie anti-« libérale » etc dont Platon n’a jamais pu se défaire et qu’il retrouvait dans Sparte(trop bu pour me souvenir exactement).

            1. Grödion

              Il s’agit de Victor Davis Hanson.

              « Athènes n’est pas plus morale que Sparte, elle était juste équipée de ce fameux esprit « libéral »  »

              Mais je suis absolument d’accord ! On veut faire de moi un idole de Sparte qui se pignole sur 300. J’ai juste demandé quelle était la définition de la liberté que donnait Platon en prenant l’exemple de Sparte. Rien de plus. Bien sur qu’Athènes ou la République de Venise ont mes préférences.

              « justement de cette nostalgie anti- »libérale » etc dont Platon n’a jamais pu se défaire et qu’il retrouvait dans Sparte »

              Nietzsche avait tout dit déjà : Mahomet a réussi là ou Platon avait échoué.

            2. Gil

              Ah oui, V. Davis Hanson, c’est ça.

              « On veut faire de moi un idole de Sparte qui se pignole sur 300 »

              Mais n’ayez pas honte comme ça ! Vous avez parfaitement le droit d’aimer les films de gladiateurs ! Mon petit Grodion, Prad Bitt en jupette dans Troy, vous avez adoré, hein ? Allez, avouez…

              Bon, j’vais me coucher.

  9. Brz

    L’autre fois j’étais de sortie sur Paris. Une fête, on était une bonne vingtaine, essentiellement des blancs, quelques arabes bcbg et beaucoup de filles plutôt jolies.
    On s’est retrouvé à un moment en train d’attendre, tous plus ou moins éméchés, devant un bar de Bastille à trois heure du mat au milieu de groupes de noirs de banlieue. Ça puait l’embrouille, ambiance de bolossage à venir, regards hostiles des noirs autour de nous. On en était tous conscient mais personne n’a rien dit, très vite on s’est donné le mot d’ordre à bas mot de se regrouper, les mecs à l »extérieur, les filles à l’intérieur sans regarder les autres, en faisant comme s’ils n’existaient pas. Il ne s’est rien passé, on a attendu comme ça quelques minutes et on est rentré dans le bar.
    à la fin de la soirée dans les escaliers du métro, un groupe de trois noirs qui embrouille un blanc « quoi? Tu m’as insulté? Je vais te niquer ta race sale fils de pute » tout en le poussant. On s’est retournés pour aller vers eux, le blanc s’est retourné et a marché dans notre direction et nous avons continué à marcher dans le métro avec ce blanc sans rien dire en faisant semblant de ne pas remarquer la présence de ces noirs derrière nous qui étaient en train d’insulter le blanc. Au bout d’un moment ils se sont arrêtés. Sur le quai du métro ils étaient calmes, nous d’un côté, eux de l’autre.

    On sait tous comment ça se passe. J’étais peut-être le seul à oser penser que l’attitude de tout les noirs qu’on a croisé pendant cette soirée, même ceux qui étaient avec des blanches dans le bar, agissaient comme s’ils menaient une guerre raciale. Les blancs se comportaient comme s’ils en étaient profondément conscients mais faisaient juste semblant de ne rien voir tout en essayant d’éviter le plus possible la bagarre.
    Et pourquoi la chercherait-ils la bagarre? Pour défendre le territoire? Ils ont tous vécus au moins un an dans un autre pays et partiront tous étudier ou travailler dans un autre pays dans un futur proche. Pour montrer qu’ils sont des hommes? Ces noirs-là les envient car eux fréquentent des jolies nanas tout les jours, parce qu’ils ont fait les bonnes études, parce qu’ils savent se tenir et qu’ils ont un « cercle d’amis » parisien. Alors pourquoi est-ce qu’ils s’amuseraient à jouer les mâles alpha? Ils sont déjà entourés des jolies parisiennes bourgeoises qui même ultra-gauchistes, ultra-pro-cpf ne sortiront quasiment qu’avec des gens de leur classe sociale. Même le noir/arabe alpha ghetto-ubermensch n’arrivera jamais qu’à devenir autre chose qu’un jouet temporaire pour bourgeoise qui veut faire semblant de sortir de sa classe sociale s’il ne possède pas le bagage culturel, les études nécessaires pour acquérir le statut social qui permet de sortir avec de la bourgeoise.

    Il ne peut pas y avoir de guerre entre les deux parce qu’ils ne font pas partie du même monde. La racaille est enfermée dans sa ville, le bobo vit déjà entre plusieurs pays.
    La France est déjà morte parce la classe sociale qui fait les révolutions et créent les courants de pensée vit dans un monde où elle n’a plus besoin de territoire.
    Vu de cette manière la gauchisme et la fafitude réactionnaire ne sont qu’une manière pour cette classe sociale d’envisager le rapport qu’elle entretient avec les banlieusards basanés dont la présence n’est en rien une menace mais juste un coût inutile du à un excédent de population par rapport aux nombre d’actifs nécessaire pour faire tourner le pays.

    La combinaison de l’abrutissement général produit par la société de consommation associé au fait que grâce à internet l’accès à la culture devient presque complètement gratuit et universel fait qu’aujourd’hui apparaît une fracture de plus en plus grande entre les cons et ceux qui « savent » et que cette division s’opère plus sur la base des prédispositions naturelles de chacun que sur l’argent.
    Donc le problème majeur de notre époque est que des pauvres intelligents et cultivés ne peuvent pas accéder à la classe supérieur car la surpopulation s’ajoutant à une crise économique durable il n’y a pas assez de place. Ils se retrouvent donc à être traités quasiment comme des cpf par la société, à rêver comme les cpf de pouvoir baiser les nanas que les bobos se tapent.
    C’est pas comme si c’était la première fois que ça arrivait dans l’histoire, hein, mais à côté savoir si la France va disparaitre ou pas, c’est une question d’esthétique.

    1. XP

      ‘La racaille est enfermée dans sa ville, le bobo vit déjà entre plusieurs pays.
      La France est déjà morte parce la classe sociale qui fait les révolutions et créent les courants de pensée vit dans un monde où elle n’a plus besoin de territoire. »

      Rudement intéressant, ça.

    2. Lounès Auteur de l’article

      Très très bon commentaire si je puis me permettre. On part du particulier et d’une expérience vécue pour aller vers du général et dégager une tendance… C’est ce à quoi sert la lecture des blogs selon moi.

      Quand j’ai lu « parisiennes jolies », « Bastille », « trois heures du mat », « Noirs » je me rétractais mentalement m’attendant au pire parce que je visualise très bien ce genre de situation. Vous l’avez très bien dit: la plupart des gens n’ont même pas conscience de l’invisible guerre raciale qui se joue dans de tels moments, en ces lieux et heures précis. C’est comme s’ils étaient coupés de toute capacité d’intuition et d’instinct.

      Ce putain de quartier Bastille cumule toutes les pires caractéristiques. Bien joué la technique du banc de poisson et merci de ce com mémorable.

  10. Rosco

    Bon, ok, mais c’est pas vraiement un scoop tout ça. Les allogènes sont stupides, violents, et fortement criminels dès qu’ils sont placés dans une société permissive qui n’a pas été conçue pour leurs structures mentales. Et leur QI trop bas ne leur permettra jamais de s’adapter pacifiquement à une société libre. La solution : les foutre dehors jusqu’au dernier, gitans compris. Fermez le ban.

  11. Vae Victis

    En fait notre territoire c’est internet. Il est virtuel. On peut bien vivre à Tokyo, New-York, Ryad, Bishkek, Montréal, Madrid, ou sur une plate-forme pétrolière, on se retrouve toujours dans des lieux de convivialité virtuels, notre chez nous. Pour le reste, tant qu’on engrange et qu’on se sent bien, on peut bien vivre un peu partout, ça ne fait pas une énorme différence.

    Pour prendre un exemple, je travaille dans une grosse société européenne, très importante pour la région dans laquelle j’habite. Très peu des cadres de mon secteur sont originaires de la région, ils viennent de partout, en France comme de l’étranger. Par contre les ouvriers et les employés sont souvent de la région. Il y a une dichotomie entre leur univers mental et le notre. Nous sommes beaucoup plus mobiles, même simplement en tant qu’état d’esprit.

    1. Brz

      Et un cadre pourra trouver dans le cadre de son travail une femme d’un autre pays qui partagera avec lui une base de références, de goûts et de manières qui leur permettront de bien s’entendre tout en n’ayant pas la même culture.
      C’est peut-être à ce niveau-là que se joue vraiment un conflit civisationnel car la frontière n’est plus territoriale mais entre les gens, intimement et c’est à chacun de définir ses frontières.

      Pendant la même soirée, une fille d’origine marocaine qui bossait pour un fonds d’investissement islamique m’expliquait qu’elle trouvait qu’en comparaison la coexistence entre des gens de différences religions se passe mieux lorsque un pays est dirigé par un souverain musulman et une éthique musulmane que lorsque un pays est dirigé par des chrétiens ou des occidentaux. La fille était polie, éduquée, on possédait les même bases qui permettent à tout les gens qui aujourd’hui de par le monde ont eu à peu près la même éducation sauf qu’elle, elle soutient de fait quelque part l’idée d’une future domination musulmane sur la France alors qu’elle boit de l’alcool et ne porte pas le voile, alors qu’elle est de fait dans le camp des blancs, qu’elle est au milieu d’occidents kouffar, elle espère tout de même garder une part d’identité « islamique ».
      Le problème se pose d’autant plus lorsqu’on se met en couple…

    2. Rosco

      Du flan ! Le jour où tu perds ton job, la réalité te rejoint, et comme il faut.

      En cas de crise grave, tu vas voir si tes « congénères nomades » allemands, brits ou italiens te seront toujours si sympathiques.

      Plus mobiles, c’est juste une façon de dire « mieux payés donc prêts à accepter plus de contraintes ». C’est combien le prix de ton esprit de résistance ? Une chemise Brooks Brothers ?

      1. Vae Victis

        Quand les choses vont bien ce n’est pas la réalité, mais quand elles vont mal elles deviennent réelles. Etrange conception…

        En étant mieux payé, sans que ce soit extraordinaire, j’ai moins de contraintes. Ce ne sont pas seulement et pas toujours les contraintes qui font le salaire. Heureusement.

        J’ai l’impression que c’est justement le réel qui agace. Les poses résistantes c’est de la branlette, ça ne demande que d’ouvrir sa bouche et de faire du bruit avec, tandis que de se construire une situation pas trop désagréable demande de se retrousser les manches.

  12. Gil

    Pfiouu, très bien donc. Prenons acte avec Vae Victis et quelques autres de la disparition de la France, « simple question d’esthétique ».

    Mais alors pourquoi tant de chouineries, ici même, sur le sort des pauvres FDS se faisant démonter par les CPF, et qui l’ont bien mérité, donc ?

    Pourquoi tant d’hystérie contre l’ « hyperclasse mondialisée » dont VV se dit lui-même partie intégrante (« le bobo vit déjà entre plusieurs pays. La France est déjà morte parce la classe sociale qui fait les révolutions et créent les courants de pensée vit dans un monde où elle n’a plus besoin de territoire » (Brz) – mais de quels courants de pensée parle-t-on ? De qui parle-t-on ? De quelle classe ? Cette classe n’a-t-elle pas été elle-même l’objet de critiques virulentes sur ilys, pas seulement sur Fdesouche ? Elle n’a pas besoin de territoire, OK, mais pourquoi tend-elle à les détruire ? Etc, etc)

    Je trouve votre évolution curieuse, VV (si évolution il y a, je me trompe peut-être), depuis l’époque glorieuse du Mercutioclub et de l’ilys lorenzien… je vous comprends, je comprends vos positions, vous explicitez brillament tout ce que je ressens, mais je n’arrive pas à vous suivre jusqu’au bout. Peut-être, tout simplement, parce que je ne fais pas partie de cette hyperclasse.

    1. Grödion

      « Mais alors pourquoi tant de chouineries, ici même, sur le sort des pauvres FDS se faisant démonter par les CPF, et qui l’ont bien mérité, donc ?  »

      Exactement. C’est la question que je me suis posée en liant certains…

      Qu’ils offrent les clés du pays aux CPF et arrêtent de pleurnicher, ça fait mauvais genre. Ou qu’ils fassent un lipdub sur un sample de Claude François, ils seraient plus dignes !…

      « Peut-être, tout simplement, parce que je ne fais pas partie de cette hyperclasse. »

      Aha la honte !Il ne fait pas partie des 0,0000000001% de l’humanité qui élit domicile ou bon lui semble dans le monde ! Il fait partie de la masse, quel plouc ! 😀

      Ahhhhh… la plèbe s’aventure même ici ? L’élite se perd…

      1. Gil

        Vous savez, Grödion, on s’est rendu compte lors de certains fils de comms qui tendaient à la confession généralisée (ça arrive aussi sur ilys), qu’il y avait un paquet, mais alors un gros paquet de prolos et/ou d’alcoolos sur ilys… (moi-même, sans être un véritable alcoolo, je suis à ce moment bien imbibé)

    2. Lounès Auteur de l’article

      On est français et celà nous dépasse. Ce n’est pas un choix, c’est presque de l’ordre de la grâce je dirais ce genre de chose. C’est cette bannière qui nous relie les uns aux autres, point de repère de la mêlée. on se rend compte de son importance lorsqu’on vit hors de son pays et lorsque l’on rencontre des étrangers (surtout des étrangers de pays plus riches et plus civilisés que le nôtre).

      Le mec qui me dit « ouais la France bof… » c’est comme s’il disait « ouais j’ai un père, un nom de famille tu vois… mais bon ça compte pas ». Si ça compte, ça porte du sens et ça renferme un esprit particulier. Il y a un esprit français j’y crois fort moi, un style français, une manière de faire qui est pur esprit, qui n’est pas délimitable par un putain de parti politique ou une doctrine ou une quelconque arnaque.

    3. Vae Victis

      Je suis naturellement partagé sur ces questions, différentes tendances s’affrontent, qui affleurent plus ou moins selon les jours. Mais vous faites erreur sur l’évolution. J’ai choisi mes études dans le but d’être exportable, soit parce que la nécessité me l’imposera, soit pour profiter d’opportunités. Je peux travailler en France ou ailleurs, ce n’est pas bien grave. Je ne suis pas un cas particulier, je ne parle pas en millions de dollars. En fait c’est assez commun chez les gens qui ont de vraies compétences, c’est-à-dire des compétences recherchées, et qui sont donc commercialisables un peu partout dans le monde.

      Le survivalisme, avant tout, c’est cela. Faire des études dans le but d’avoir des compétences monnayables et exportables. On survit mieux avec de l’argent, une carte verte, et un point de chute. ^^

      C’est peut-être aussi comme cela que la France survivra, à travers son art, sa littérature, son vieux cinéma, par les exilés qui entretiendront le lien par internet.

      Le Fondateur vous traiterait de Frouze. 😀

      Et l’on peut déplorer une situation et reconnaître qu’elle est la résultante d’un rapport de cause à effet, et dans le même temps ne pas vouloir être coincé entre la cause et l’effet.

      1. Gil

        Non, non, VV, je parlais de votre évolution idéologique, de l’évolution de votre pensée. Ce n’est pas moi qui vous jetterai la pierre pour vouloir foutre le camp de ce merdier (voilà, on est tous coincés, voués à la contradiction avec nous-mêmes, aux humeurs – et moi le premier).

        Frouze ? Rafraichissez ma mémoire…

        « Et l’on peut déplorer une situation et reconnaître qu’elle est la résultante d’un rapport de cause à effet, et dans le même temps ne pas vouloir être coincé entre la cause de l’effet. »

        Joli.

  13. Gil

    « Aha la honte !Il ne fait pas partie des 0,0000000001% de l’humanité qui élit domicile ou bon lui semble dans le monde ! Il fait partie de la masse, quel plouc »

    Enfoiré. Je me demande qui se Cash derrière Grödion (j’ai raté les derniers épisodes ilysiens).

    1. Grödion

      Je suis Grödion Albanais par ma mère et Espagnol par mon père. Caudillo d’Albanie et Sultan d’Espagne j’étais le roi. Mais j’ai perdu un amour récemment. J’en tremble encore, même si ça va beaucoup mieux ce soir.

      Je suis seul désormais, je suis Français…

      Ps ; ne me traitez pas de Grofion ou vous connaîtrez le même sort que les congénères perfides de Nebo : je vous frappe, puis j’appelle l’Otan à la rescousse..

  14. Vae Victis

    > « Il faut juste rappeler quel était le rapport de force entre le camp d’Athènes et celui de Sparte. Sparte a tout fait pour livrer bataille sur la terre ferme, quitte effectivement à sacrifier de petites cités alliées. Mais ce choix lui a donné raison, Sparte a vaincu Athènes. »

    Une bonne partie des victoires de Sparte sur Athènes, la dernière comprise, se dont construites contre cette stratégie. Brasidas comme Lysandre en sont de parfaits exemples.

      1. Vae Victis

        La guerre du Péloponnèse montre les limites de la stratégie de l’époque.

        Les Athéniens craignent les Spartiates en bataille rangée, donc ils les évitent. Les Spartiates craignent les Athéniens sur mer, donc ils évitent. Les Athéniens lancent de petits raids dans le Péloponnèse, ce qui n’a aucune chance d’emporter la décision. Les Spartiates débarquent chaque année en Attique pour quelques semaines, ils cassent des trucs pour inciter les Athéniens à les rejoindre dans la plaine, ce qui ne fonctionne pas. Vu que ce sont des feignasses et qu’ils embarquent peu d’approvisionnement, ils rentrent à la maison ballot jusqu’à l’année prochaine, et ainsi du suite. Plutôt que de mettre le siège devant le Pirée, et au choix d’affamer les Athéniens, ou de les forcer au combat, ils se font des ballades de santé.

        Aucun des deux belligérants n’a de solution pour remporter le conflit rapidement. La différence c’est que les Athéniens sont réactifs, ils lancent donc de nombreuses opérations pour gagner des alliés forcés et enlever ceux de l’ennemi, ce qui affaiblit les Lacédémoniens qui réagissent très mollement et de manière très désordonnée, sauf avec Brasidas. Stratégie indirecte donc.

        La stratégie athénienne fonctionne bien, sauf qu’ils finissent par se croire invincibles. Ils refusent toutes les offres de paix avantageuses et se lancent dans la désastreuse expédition de Sicile. Malgré l’étendue de l’échec, Athènes tient le coup. Au final Lysandre en adoptant une approche athénienne, en coupant leurs approvisionnements et en menaçant leur flotte, les prend de cours et leur colle une déroute monumentale.

        De l’avis de Thucydide, les Spartiates ont gagné presque malgré eux en ratant un tas de belles occasions, et c’est justement en évoluant qu’ils gagnent cette victoire décisive. Si les Athéniens s’étaient montrés raisonnables en acceptent les avantages de leurs victoires, et sans en chercher toujours plus, ils auraient remportés la guerre.

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