Fin 2010, j’avais dressé une liste dans laquelle figurait le Prince William. Plus il avance en âge, plus il ressemble à son père: la même mollesse, à se demander si sa mère a vraiment accouché de lui. Il aurait pu prendre les traits fins et aristocratiques de Lady Di, apparemment la nature a préféré les gènes fin de race de son père. Je préfère vraiment Harry, et de loin, on peut toujours se fier aux rouquins qui ont une tronche de teigne. William, comme Charles, je ne leur confierai pas mon peigne. Mais passons à l’accessoire qui va lui servir de bonne femme, Kate Middleton…On voit vraiment la déchéance des princes anglois dans cette pauvre histoire sans relief, même pas assez bandante pour faire une série B americaine? Kate Middelton, en d’autres temps, elle aurait eu les faveurs du prince, mais dans un bouge du côté de Newcastle, pas plus. Tout juste aurait-elle pu prétendre à une place de remplaçante chez les Spice Girls. Une récente série sur les visages dans notre blog d’élite a permis de découvrir de superbes formes. Bien que de noblesse anglaise, Williams doit parler Français mais ne pas lire notre blog…sinon il aurait bien entendu annulé les noces. En effet take a look au visage de Kate, elle a les traits porcins. Je lui donne encore quelques années et quelques grossesses avant de montrer toute sa laideur…à la face du monde. Les traits vont continuer de s’épaissir, elle aura le cul pareil à fion de vache, le goitre va se développer…bon la chirurgie vous me direz, non, sûrement pas, elle a vraiment à peine le statut d’une maîtresse princière. Révoltant, cette décadence au plus haut sommet de la noblesse anglaise. De plus, Middleton, un nom à ne vraiment pas faire rêver…contrairement à tous les noms de la noblesse anglaise que l’on croise dans l’ensemble de l’oeuvre de Shakespeare: Shaftsburry, Marlborough, Lexington et consorts…
Bon alors, que lui reste-t-il à notre pauvre Kate, rien…juste un buzz…une météorite, elle sera simplement, le fantasme d’un bon milliards de bonhommes sur terre. En effet, j’ai toujours rêvé de m’envoyer en l’air une princesse le jour ou la veille de ses noces, la traiter comme la dernière des garces, lui faire des trucs pas racontables que cet empaffé de Williams doit être à des années lumières d’imaginer. Vous me direz l’amour alors, peut-être qu’il se marie par amour,…si c’est le cas, il n’est vraiment pas digne d’être roi d’Angleterre…L’oncle de sa mère, Edouard VIII, Duc d’York a abdiqué pour ces raisons. Si les dauphins et les rois n’ont plus à remplir leurs obligations….autant que cette royauté disparaisse…
Surtout qu’on a pas fini d’en entendre parler de Lady Kate. Le mariage de Lady Kate, les robes de Lady Kate, les vacances de Lady Kate, les voyages officiels de Lady Kate, le maquillage de Lady Kate, Lady Katea u réveil, au coucher, en train de jogger. Surtout les grossesses de Lady Kate, les accouchement de Lady Kate, les nanis de Lady Kate, les rejetons de Lady Kate. Et puis surtout les sorties de Lady Kate, les galas avec Lady Kate, la fondations pour les lépreux trisomiques de Lady Kate, Lady Kate au chevet de la femme-trons bisexuelle anorexique. Sans compter les combat de Lady Kate contre la faim et la soif dans le quart-monde et l’engagement de Lady Kate pour le tri selectif renouvelable et durable. Et puis enfin les kilos de Lady Kate, les amants de Lady Kate, les problèmes conjugaux de Lady Kate. Finalement le divorce de Lady Kate, les nouveaux amours de Lady Kate. Le prince Rachid Ben Ali qui roule des patins à Lady Kate topless sur son yacht. Et l’accident ô combien tragique (va falloir qu’ils trouvent un truc original les barbouzes du mi6 cette fois) de Lady Kate, la compassion dans toute la galaxie, les fleurs, défilés de pleureuses, téléfilms, doc, inteviews de gouvernantes.
Et ça repartira avec la prochaine.
C’est pourquoi je suis plutot en désaccord avec Cherea. C’est pas assez fin de race tout ça. Le prince Charles, après l’erreur de la Spencer, avec Camilla, ils faisaient pas rêver les dames, donc il faisaient pas chier les hommes. Et même qu’il insultait les journalistes, le Charles. Et il se bonifie avec l’âge, d’ailleurs. Il assume son côté fin de race, ça a du panache.
Elle a les joues larges Lady Kate. Dans quelques années ça retombera façon bulldog anglais. Remarque, c’est une race noble.
Cette « aristocratie » festive et sans envergure ne m’a jamais intéressé.
Quand on voit tout ça, on se dit : « Heureusement qu’on a décapité les nôtres. »
Une monarchie prisonnière de ses châteaux. A la merci d’une femme de chambre ou d’un major d’homme. Epiée par ses sujets. Et dont l’activité consiste à jouer une pièce, celle de la monarchie, pour la vie durant. Calomniée, critiquée en permanence, dépossédée de tout pouvoir, condamnée à une oisiveté politiquement correcte où s’enchaîne les galas de charité, sa permanence passe par une représentation constante où chaque geste peut faire l’objet de scandales et réduire encore ses prérogatives.
Ils ne sont vraiment pas à envier.
Ha ha ha ha !
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