Laxisme judiciaire 9

La ronde des voleurs

Le 27 mars, peu avant 11 heures, un homme âgé de 59 ans est sur le point de retirer de l’argent à un distributeur du 10ème arrondissement lorsqu’il est encerclé par 4 jeunes garçons.

Au moment où il compose son code confidentiel, deux d’entre eux lui portent des coups de pieds et de poings permettant aux deux autres de retirer 2 000 euros. La victime parvient cependant à récupérer l’argent et met en fuite ses agresseurs.

Un appel général est diffusé sur les ondes ; les policiers de la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) se mettent aussitôt sur les rangs.

Un opérateur de la cellule de veille active les retrouve grâce aux caméras de vidéoprotection de la RATP ; ils sont sur le quai de la station de métro Richelieu-Drouot. Deux patrouilles se rendent aussitôt sur place ; une brève course poursuite s’engage, le quatuor est interpellé, 2 sont âgés de 11 ans et deux de 13 ans.

Les plus âgés ont été déférés et les plus jeunes laissés libres à l’issue de leur garde à vue.

— Source : PPflash du jour à 18 heures.

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À propos Nicolas

« Fabrice les entendait qui disaient que le diable était sur la toit, et qu'il faillait essayer de le tuer d'un coup de fusil. Quelques voix prétendaient que ce souhait était d'une grande impiété, d'autres disaient que si l'on tirait un coup de fusil sans tuer quelque chose, le gouverneur les mettrait tous en prison pour avoir alarmé la garnison inutilement. Toute cette belle discussion faisait que Fabrice se hâtait le plus possible en marchant sur le toit et qu'il faisait beaucoup plus de bruit. Le fait est qu'au moment où, pendu à sa corde, il passa devant les fenêtres, par bonheur à quatre ou cinq pieds de distance à cause de l'avance du toit, elles étaient hérissées de baïonnettes. Quelques-uns ont prétendu que Fabrice, toujours fou,  eut l'idée de jouer le rôle du diable, et qu'il jeta à ces soldats une poignée de sequins. Ce qui est sûr, c'est qu'il avait semé des sequins sur le plancher de sa chambre, et qu'il en sema aussi sur la plate-forme dans son trajet de la tour Farnèse au parapet, afin de se donner la chance de distraire les soldats qui auraient pu se mettre à le poursuivre. »

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