Nous terminons notre tour de l’anatomie féminine par les jambes. Et non, désolé, je ne ferais pas de post spécifique pour les pieds. Je comprends que certaines personnes développent une attirance particulière pour cet endroit particulier. Enfin non. Je ne comprends pas. Mais passons. Les jambes donc. Que dire ? Qu’elles doivent être fines mais pas trop ? Quelle originalité… C’est cependant une réalité. De même les genoux doivent éviter d’être cagneux et les chevilles gonflées. Enfin. La base quoi.
2 réflexions sur « Jambes »
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Ce découpage fait très femme-objet. Quant aux pieds, ce sont des parties corporelles comme les autres, il y en a de beaux et de laids, sans être fétichistes…
Merci pour cet agréable exposé de géographie (et de géométrie).
Ci-dessous une historiette du Décaméron fort plaisante
« …croyant son fils bien affermi dans la sainteté, et bien fortifié contre les tentations et les vanités de la vie humaine, il ne fit aucune difficulté de le mener à Florence.
Le jeune homme, comme s’il fût tombé des nues, arrête ses yeux avec étonnement sur tous les objets qu’il aperçoit ; et ravi en admiration à la vue des maisons, des palais, des églises, demande à son père le nom de chaque chose. Son père le lui dit, et il paraît enchanté de l’apprendre.
Pendant qu’il continuait ses questions, et qu’il contemplait des beautés qu’il n’avait jamais vues, et dont il n’avait pas même entendu parler, il aperçut une troupe de jeunes dames, bien mises, qui venaient d’une noce.
Il les examine attentivement, et demande au vieillard ce que c’était.
« Ne regarde point cela, mon fils : c’est quelque chose de dangereux.
– Mais comment cela s’appelle-t-il ? »
Le père, qui veut écarter de l’esprit de son fils toute idée charnelle, et qui craint de nouvelles questions capables d’exciter dans son enfant les désirs de la concupiscence, ne croit pas devoir lui dire leur nom, et lui répond que ce sont des oies.
Chose étonnante ! celui qui n’avait jamais vu ni entendu parler de ces oies, se sentit vivement ému à leur aspect, et ne se sentant plus touché ni de la beauté des palais, ni de la gentillesse du cheval, ni de la grosseur du bœuf, ni des autres objets qu’il venait de voir pour la première fois, il s’écria aussitôt :
« Mon père, je vous en prie, faites-moi avoir une de ces oies.
– Ô bon Jésus ! répondit le père étonné, ne songe point à cela, mon fils ; c’est une mauvaise chose.
– Quoi ! mon père, les mauvaises choses sont-elles ainsi faites ?
– Oui, mon fils.
– Je ne sais, mon père, ce que vous voulez dire, ni pourquoi ces choses-là sont mauvaises ; mais il me semble que je n’ai encore rien vu de si beau et de si agréable. Je doute que les anges peints que vous m’avez montrés soient aussi gentils que ces oies. Mon père, ne pourrions-nous pas en mener une dans notre ermitage ? Ce sera moi qui aurai soin de la faire paître.
– Je ne le veux point, mon fils ; tu ne sais pas de quelle façon on les repaît. »
Le père reconnut alors que la nature avait plus de force, par son instinct, que tous les préceptes de l’éducation, et se repentit d’avoir mené son fils à Florence… »