Cochons de payants

Page 54 du Livret d’Accueil de l’Agence nationale de l’accueil des étrangers et des migrants (curieusement il ne semble pas exister d’Agence nationale du retour au bled et à la brousse à coups de pied dans le cul) :

Page 54 :

Vous n’avez pas travaillé en France ou vous n’avez pas assez travaillé pour avoir des droits à la retraite

Vous pouvez demander l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) (en 2008 : 7 537,29 € par an pour une personne seule ; 13521,27 € par an pour un couple) si vous réunissez les trois conditions suivantes :

– vos ressources annuelles sont inférieures à un certain montant (en 2007 : 7 635,53 € pour une personne seule, 13 374,16 € pour un couple marié) ;

– vous avez au moins 65 ans (ou au moins 60 ans si vous êtes inapte au travail) ;

– vous êtes autorisé à résider en France métropolitaine ou dans un département d’outre-mer.

Vous devez vous adresser à la caisse d’assurance vieillesse auprès de laquelle vous avez des droits à retraite ou, si vous n’avez pas de droits à retraite, à votre mairie ou au centre communal d’action sociale compétent pour votre résidence.
(…)

Le conjoint du titulaire de la carte de séjour « retraité » qui a résidé régulièrement en France avec lui, bénéficie d’un titre de séjour lui ouvrant les mêmes droits (loi n° 98-349 du 11 mai 1998 – article 10). »

Après les algériens pensionnés par la France qui meurent presque tous plus que centenaires ou les pensions de réversion en Afrique noire où les viellards pensionnés épousent de très jeunes filles… continue de payer des impôts et de cotiser, Bitru, sinon tu serais raciste et indigne de l’humanisme républicain !

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À propos Nicolas

« Fabrice les entendait qui disaient que le diable était sur la toit, et qu'il faillait essayer de le tuer d'un coup de fusil. Quelques voix prétendaient que ce souhait était d'une grande impiété, d'autres disaient que si l'on tirait un coup de fusil sans tuer quelque chose, le gouverneur les mettrait tous en prison pour avoir alarmé la garnison inutilement. Toute cette belle discussion faisait que Fabrice se hâtait le plus possible en marchant sur le toit et qu'il faisait beaucoup plus de bruit. Le fait est qu'au moment où, pendu à sa corde, il passa devant les fenêtres, par bonheur à quatre ou cinq pieds de distance à cause de l'avance du toit, elles étaient hérissées de baïonnettes. Quelques-uns ont prétendu que Fabrice, toujours fou,  eut l'idée de jouer le rôle du diable, et qu'il jeta à ces soldats une poignée de sequins. Ce qui est sûr, c'est qu'il avait semé des sequins sur le plancher de sa chambre, et qu'il en sema aussi sur la plate-forme dans son trajet de la tour Farnèse au parapet, afin de se donner la chance de distraire les soldats qui auraient pu se mettre à le poursuivre. »

7 réflexions sur « Cochons de payants »

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