Tous les « nationaux » ont leur bon gaulliste, leur bon technocrate, leur bon ministre. Cédant à un vieux réflexe bourgeois, ils redoutent « l’aventure » et le « chaos ». Pour peu qu’un homme du régime agite le drapeau, ils lui donnent leur confiance. Ils préfèrent le confort de l’aveuglement à la lucidité. Le sentimentalisme et l’esprit de clocher prennent toujours le pas sur le raisonnement politique. Dans l’espoir niais de satisfaire tout le monde, ils se refusent à prendre parti et ne satisfont personne.
Dominique Venner, Pour une critique positive, 1964.
Personnellement, je suis nationaliste et je vomis tous nos dirigeants.
Ce qui ne les empêche en rien de diriger. (Je sais je rabâche.)
Je n’ai jamais dit que cela était efficace en quoi que ce soit, c’était une simple réponse au texte.
D’accord.
Donc sur ce site vous abandonnez l’idée d’un commentaire. La valeur ajoutée est juste de savoir lire en somme.