La Vénus authentique

Vous aussi, en voyant qu’un arabe louche avait consacré un film engagé à La Vénus noire vous aviez subodoré un coup de pute ?

Eh bien nous avions raison une fois de plus, chers lecteurs, c’est les autres enfoirés de la radio mi-mélenchonnesque mi-people qu’est en train de devenir France Culture qui vendent la mèche : ils veulent faire débaptiser, à Paris, les rues Cuvier et Geoffroy-Saint-Hilaire pour donner à l’une le nom de ladite Hottentote, et à l’autre je ne sais pas… rue Nelson-Mandela sans doute, des fois qu’on aurait pas compris où ils veulent en venir.

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À propos Nicolas

« Fabrice les entendait qui disaient que le diable était sur la toit, et qu'il faillait essayer de le tuer d'un coup de fusil. Quelques voix prétendaient que ce souhait était d'une grande impiété, d'autres disaient que si l'on tirait un coup de fusil sans tuer quelque chose, le gouverneur les mettrait tous en prison pour avoir alarmé la garnison inutilement. Toute cette belle discussion faisait que Fabrice se hâtait le plus possible en marchant sur le toit et qu'il faisait beaucoup plus de bruit. Le fait est qu'au moment où, pendu à sa corde, il passa devant les fenêtres, par bonheur à quatre ou cinq pieds de distance à cause de l'avance du toit, elles étaient hérissées de baïonnettes. Quelques-uns ont prétendu que Fabrice, toujours fou,  eut l'idée de jouer le rôle du diable, et qu'il jeta à ces soldats une poignée de sequins. Ce qui est sûr, c'est qu'il avait semé des sequins sur le plancher de sa chambre, et qu'il en sema aussi sur la plate-forme dans son trajet de la tour Farnèse au parapet, afin de se donner la chance de distraire les soldats qui auraient pu se mettre à le poursuivre. »

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