Beautiful science

Une récente étude scientifique a démontré qu’un simple chiffre, un rapport entre le tour de taille et des hanches si ma mémoire est bonne, conditionnait la capacité d’attraction des femmes. Les femmes qui avaient le chiffre parfait étaient celles qui étaient le plus attirante pour les hommes. Scientifiquement démontré ! Cela tiendrait non seulement à des aspects esthétiques mais aussi dans la capacité de ces femmes à porter notre progéniture.

On va dire que c’est de l’esthétique darwinienne.

Je ne sais pas pour vous.

Mais pour moi cela marche.

Il y a bel et bien une courbure qui parvient à ne plus me faire penser qu’à elle.

7 réflexions sur « Beautiful science »

  1. nicolasbruno

    Rien à voir avec PI ou le nombre d’or. Le nombre serait 0,71 soit, 64/90
    Cela n’a malheureusement rien de scientifique. Cela viendrait d’un sociologue francais (mon dieu, encore un) nommé Amadieu (pas fait exprès), spécialiste (sic) des relations sociales au travail, ainsi que des déterminants physiques de la sélection sociale (sans rire). Il est même directeur de l’Observatoire des Discriminations (on touche presque le fond) et procède à des testings (application paratique de la science), afin de réaliser les premières mesures scientifiques (la science vue par les sociologues) des discriminations à l’embauche en France. Enorme non?
    Comme quoi, on démarre sur de jolies courbes pour finir sur les copains de Jerome Leroy, financés par le Frankistan.

    1. Lt. Kilgore

      Rien à voir, rien à voir… Ça reste un peu un nombre.

      En tout cas ce Amadieu a trouvé un créneau intéressant pour toucher son salaire de fonctionnaire. Le temps qu’il passe sur la croupe des femmes il ne fait pas de la mesure de discrimination à l’embauche. A moins qu’il n’ait l’idée saugrenue de lier les deux.

  2. Le Plouc-émissaire

    La magnifique forme en violon de nos compagnes remarquée par Léonard de Vinci est à l’évidence le fruit de la sélection naturelle chez le sapiens resté suffisamment longtemps sainement lui-même. Devenu bipède (grâce soit rendue à Eve de s’être dressée sur ses talons pour attraper la pomme…), fallait bien que sa femelle soit assez svelte et déliée pour courir plus vite que les prédateurs et assez baraquée de l’arrière-train pour nos faire des mômes costauds…

    Profitons-en fissa vu que ça craint : D’une part, la présumée sapiens, tout écolo qu’elle se prétende souvent, tend depuis une dizaine de lustres à oublier les contraintes de la libre nature pour virer du violon à la flûte (parfois même sans trous utilisables…) D’autre part, une autre tendance se développe grave. Celle de virer contrebasse maousse, voire grosse caisse, retour au look callipyge des cavernes à finalité exclusivement reproductrice. Tendance favorisée chez certaines par un retour, sinon à la vie dévote, à la vie recluse sous bâche ou sacs poubelles…

  3. Militia

    le livre « pourquoi les femmes des riches sont les plus belles » de philippe Guillou rappelle justement ce point. Les mensurations 90-60-90 et approximativement 94-64-94 etc seraient un moyen de distinguer une femme fertile d’une femme qui ne le serait pas encore ou plus du tout puisque ce rapport de taille changerait avec l’âge. Une fillette aux hanches trop étroite étant encore infertile et une femme plus âgée au buste affaissé donnerai des signes de ménopause. Ce serait un moyen hérité de nos ancêtres pour s’assurer une progéniture dans le choix de la partenaire étant donné que le visage n’avait pas vertu d’exposer clairement les signes du temps.
    De nos jours, avec la persistance du jeunisme et la beauté prolongée, il devient plus que jamais indispensable de savoir repérer la fertilité féminine puisqu’une femme de 40ans peut en paraitre 30 mais pour autant elle n’a plus que 6% de chance de tomber enceinte par mois, relation fort désavantageuse.

    le diktat du 90-60-90 et l’attrait pour les jeunes ados du mannequinat étant un moyen de se garantir avec certitude de tomber sur une femme en âge de procréer sans retenue. Les hommes les plus sensibles à la fonction de transmission de leurs gamètes seraient aussi les plus sensibles aux croupes parfaites.

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