Je ne sais pas dire pourquoi, mais cette vidéo me met mal à l’aise et me fait beaucoup de peine.
Et ne voyez là aucune ironie.
21 réflexions sur « Scandaleux préjugés racistes »
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J’ai beaucoup ri et comprends désormais pourquoi ces créatures s’adonnent volontiers à « s’atténuer » via le métissage, une fois matures.
Et bien croyez-moi ou non, mais moi, ça me fait surtout de la peine. Surtout la dernière gamine, celle qui a les deux gros chignons sur la tête.
Je pense que tout ça plaide pour une séparation en,tre les races, puisque de toutez évidence, tout le monde se fait du mal… La diversité appauvrit tout le monde, c’est l’évidence même.
Mais je vous crois. J’ai une autre sensibilité à la chose, voilà tout.
Quant à la séparation entre les races, c’est certainement la solution la plus humaine… même si ça m’étonnerait fortement qu’ils vont le proposer d’eux-mêmes, car on s’habitue vite à l’eau courante et à la bouffe calorique pas chère… Et je ne crois pas non plus à une initiative de notre part.
Ce que je crois plutôt, c’est qu’ils vont s’agglutiner de toutes leurs forces à ceux qui sont travailleurs et qui tolèrent leur présence. Ils vont les ronger jusqu’à l’os, tout en rejetant la faute sur autrui, s’en étonneront du niveau délabrement qui s’installe… avant de trouver d’autres gens travailleurs mais crédules.
« Ce que je crois plutôt, c’est qu’ils vont s’agglutiner de toutes leurs forces à ceux qui sont travailleurs et qui tolèrent leur présence. Ils vont les ronger jusqu’à l’os, tout en rejetant la faute sur autrui »
C’est intelligent, comme démarche, il faut bien le dire. Immoral, mais intelligent. Ca rejoint ce que disait le Général de Gaulle à propos des Arabes (dans ses entretiens avec Alain Peyrefitte):ils ont l’intelligence des mendiants.
C’est moralement abject, mais pas con du tout, en effet.
La connerie est du côté de ceux qui acceptent de se faire bouffer et qui les considèrent comme autres choses que des étrangers, les « autres ».
Bush ne disait-il pas « Fool me once, shame on you, fool me twice shame on me » ?
Non pas que Bush soit un maitre-à-penser. Il est un maitre-à-donner-à-penser, qui a revêtu les habits du simple.
Ni plus ni moins. D’ailleurs les américains le regrettent.
Il y a la musique qui en rajoute dans le pathos.
Ah bah voilà : de là où je suis, je n’ai pas le son.
C’est sûrement pour cette raison que j’ai trouvé ça rigolo ^^
Le même type de test mais avec de très jeunes coréennes.
http://www.youtube.com/watch?v=KDc4co-ZM_s
Les conclusions sont presque les mêmes que dans la vidéo de XP: jalousie envers la femme blanche et blonde, adoration de l’homme blanc aux cheveux clairs, détestation univoque de tout ce qui peut ressembler à un teint basané ou africain. Il faut dire, la Corée est le pays le plus outrancièrement xénophobe du monde, ça aide quelque peu à ce genre de résultat.
La différence entre les petites coréennes et les afros américains, c’est que les premières sont rigolardes… De la « jalousie », peut-être, mais pas assez grande pour qu’elle vire à la torture intérieure et à la haine. Chez les seconds, la différence perçue est si grande que s’en est un drame, qu’ils sont tous, à peu près, au bord des larmes…. C’est indescriptible, le mal que font les adeptes du rapprochement entre les peuples… Bande de salauds.
Cette saloperie ne prospère que sur le tabou ultime de la supériorité de l’homme blanc.
C’est une vérité que personne ne veut s’avouer: les noirs pour ne pas s’enfoncer dans leur traditionnel complexe d’infériorité et les blancs, pour continuer à s’assurer qu’ils sont supérieurs aux autres puisqu’arrivant à dépasser le clivage des origines.
En vérité, il n’y a pas plus furieusement raciste et ethnocentriste qu’un antiraciste blanc. Il est la démonstration permanente au yeux de l’étranger, que le blanc est si fort qu’il peut se passer des termes de la race pour raisonne le monde, là où partout ailleurs, tout n’est que question d’origine.
L’antiracisme, bien plus que le racisme des blancs, voilà ce qui insupporte réellement les peuples basanés du monde entier. Tout comme l’universalisme républicain a été un ferment plus efficace au développement du sentiment anti-blanc dans les banlieues françaises que tous les modèles européens communautaristes de relégation.
Cette volonté d’inclure l’Autre dans soi, de lui faire abdiquer sa substance sur l’autel du Progrès pour son propre bien-être, voilà quelque chose de bien plus insupportable que toutes les guerres d’extermination.
L’universalisme républicain est un condensenteur de haine plutôt unique en son genre. Tout comme son homologue antiraciste, il procède d’un présupposé extraordinairement bête: si je fais du bien à mon voisin, il me retournera forcément l’appareil.
C’est méconnaître les mécanismes les plus simples de la Psyché humaine, dont celui du processus de la dette. Plus l’on doit à quelqu’un, plus on le haït…Mais tout ceci a déjà été expliqué sur Ilys il me semble.
« Là où l’homme n’est pas contenu et réprimé, il abuse. Il méprise qui le craint, il insulte qui l’aime, il craint qui le méprise, il aime qui l’insulte »
George Sand – Journal intime
L’idéologie du métissage ne peut être prise au sérieux que dans un pays socialiste. Il y a très peu de mariages mixtes aux USA, pas par racisme mais réalisme, dans toutes les communautés. On m’a raconté des cas – échec total, cruelle déception de part et d’autre, d’autant plus que ces gens idéalisaient beaucoup au départ. Ca ne marche pas, tout simplement.
Trois françaises expat que j’ai connu avaient épousé des Noirs, comme par hasard; deux des trois ont fini par divorcer, la troisième ça n’allait pas fort et je l’ai perdue de vue.
Des relations amicales ou professionnelles entres communautés il y en a bien sûr, mais des mariages très peu. On m’a raconté des cas Il n’y a pas de « mixité sociale » non plus. Dans des petites villes calmes et résidentielles où j’avais des amis, dans l’Etat de New York, donc au Nord et sur la côte Est, on m’a toujours expliqué le truc des quartiers: les noirs avec les noirs, blancs avec les blancs – quand ce n’est pas les juifs avec les juifs et les ritals avec les ritals.
En l’occurrence, il s’agit de descendants d’esclaves déportés sur le territoire des États-Unis d’Amérique. Ils n’ont pas cherché le rapprochement de peuples, ni été accueilli sous ce motif.
Ouais c’est épais
Vu le même type de vidéo récemment. Deux adorables enfants noirs… éveillés, disserts, jolis à voir… intelligents ! J’ai eu la même réaction qu’XP : cela m’a brisé le coeur. « Les pauvres petites bêtes ! », une voix a crié en moi-même. Demande-t-on aux chatons de résoudre des équations à inconnues multiples? Quel monstre aurait l’audace vouloir qu’ils s’en fassent honte? Et, et… en sont-il pour autant moins mignons que nos propre enfants?