Les pitreries des gens de la presse visant à nous faire croire que de guerres ethniques de basse intensité ou de territoires occupés, il n’y a pas et qu’il ne s’agit que d’un fruit de notre imagination débordante, on croyait les avoir toutes entendues.
Et bien non, la plus grosse blague de ces gens restait encore à venir….
A Grenoble, le très banal braquage d’un casino suivi de la mort très banale du braqueur a donné lieu à des scènes de guerre tribale, l’ensemble des cousins ethniques du gangster ayant pris fait et cause cause pour lui en promettant de tuer de l’européen pour le venger, et l’on nous explique que c’est la faute de…. la mafia. Ne pouffez pas, suivez leur regard et comprenez qu’il s’agit des mauvais garçons de type européen ressemblant pour les plus jeunes et les plus nerveux à Robert de Niro et pour les plus vieux mais aussi les plus inquiétants à Marlon Brando dans Le Parrain… Comme ils vous le disent, farpaitement!
Grenoble et Nice sont des villes traditionnellement violentes, nous disent les employés de cette grosse pravda qu’est devenue la presse française dans sa totalité, elle ne fait donc que revenir en force, circulez!
Pour trouver la vérité, il faut comme d’habitude inverser totalement les propositions de ces abrutis de journaleux :
– Ce braquage, comme n’importe quel autre, est un évènement d’une affligeante banalité, dont il n’y a pas lieu de s’inquiéter et n’est pas propice à susciter le moindre sentiment d’insécurité. Or, il est utilisé par la presse pour que soit fait un amalgame entre ce fait-divers ANODIN et les scènes de guerre ethnique dont il a été le prétexte, précisèment pour laisser entendre que la guerre ethnique relève du fait-divers anodin.
– Grenoble n’est plus une ville ayant une culture mafieuse, selon le sens que l’on donne en substance à ce vocable quand on évoque les milieux Siciliens, Corses ou Calabrais…. Ce fut le cas il y a quelques décennies, mais les voyous de l’époque sont septuagénaires et leurs enfants sont notaires ou chefs de projet chez IBM…. je ne vous dirais pas qu’ils ont totalement disparu, ces voyous-là, mais je peux en revanche vous assurer qu’ils tiennent la porte aux dames et savent se tenir en public…. Vous pouvez me faire confiance, je les connais… Il m’est même arrivé d’aller en voir quelques-uns au parloir, parce que je rends toujours visite aux amis. Ce sont des bandits sympathiques, et les copains d’XP sont sympathiques par définition, du reste, n’en déplaise aux journalopes.
– Ces gens là ne créaient pas d’insécurité dans les rues de Grenoble, ville qui n’a jamais été dangereuse pour le bourgeois timide, aux grandes heures de la Mafia, avant l’ invasion.
Je dirais même qu’il n’aurait rien pu lui arriver de mieux, au bourgeois timide, que les italo-grenoblois à l’ancienne ne se décident pas à devenir des caves avec crédits sur vingt ans et plans de de carrière de Bidochon… La seule région de France qui a conservé ses traditions de banditisme autochtone est aussi la seule où votre soeur ou votre mère peut traverser tous les quartiers ethniques qu’elle veut sans que vous ayez à vous en préoccuper, les indigènes n’envisageant même pas en rêve de se faire de l’européen, à Bastia ou Ajaccio….
Si vous passez par Grenoble, allez donc vous amuser le soir dans un club encore tenu par des ritals aux mines patibulaires, vous verrez qu’on s’y sent comme en Corse, à Palerme ou dans la France d’avant…. Celle où les braves gens sortaient encore leurs manches de pioches sans ques les petites frappes recevant le matériel en pleine gueule n’aillent se plaindre au commissariat, de peur que les flics ne leurs éclatent de rire au nez.
J’ai vu comme toi, les journalopes qui faisaient passer les voyous de cité pour des bandits à l’ancienne type mafieux…ce qui est un contresens absolu… en effet comment faire des affaires si le quartier est quadrillé par les flics…toute incivilité est durement réprimée…car il faut un environnement stable et de la confiance pour faire des affaires comme dans n’importe quelle industrie…
Oui, tu as raison, c’est d’un point de vue « technique » un contre-sens absolu, parce qu’on ne fait pas des affaires, même illégales, dans un climat d’incivilité.
Mais ça va plus loin que ça: les voyous et les mafieux « à l’ancienne », -le mot Mafia est ici un terme générique- ne brulaient pas des voitures et ne bolossent pas des bourgeais pour les mêmes raisons que tout le monde:parce que ce n’est pas dans leur nature, pas dans leur éducation et opposé à leurs conscience. Et oui.
Le mot « milieu » dit bien ce qu’il veut dire, il désigne un « milieu » fermé, étanche, qui n’est que vaguement représentatif de la communauté dont il est issu, et surtout, qui n’en est pas l’émanation ou la vitrine. On peut donc dire que la mafia sicilienne ou corse ne sont pas représentatifs de ces communautés, que sas membres en sont des exceptions.
C’est exactement l’inverse pour le bantitisme africain:en soi, il est anecdotique, il n’est que la partie émergé de l’iceberg.
Le braquage en lui même est sans intérêt, il s’agit de grand banditisme, celui-ci est par définition circonscrit, contenu dans des faits-divers dont les braves gens entendent parler dans les journaux… Si on n’avait à reprocher aux communautés africaines que d’alimenter en hommes le grand banditisme comme l’ont fait avant eux -et le font encore un peu- les ritals, les corses, les juifs pieds-noirs… Il n’y aurait rien à leur reprocher.
iL s’agit toujours pour les journalopes de faire croire à une eSsence commune et une identité de natures entre différentes forme de délinquance:un jour, on assimile les émeutes ethniques de Grenoble à feu le milieu italo-grenoblois, un autre on met sur le même plan une racaille qui agresse une vieille et las présumés fraudes électorales de Madame Bettancourt voire même avec les petits arrangements de l’artisan avec la TVA.
C’est non seulement ignoble, mais c’est crétin;dans un cas, il ne s’agit que de gagner du fric ou d’en donner le moins possible, dans l’autre, il est question d’un sentiment de haine -les faces de craie sont coupables, on va leur faire la peau, ou les asservir, ou vivre sur leurs culs- qui aboutit ACCESSOIREMENT sur de la délinquance financière ou de la truanderie… Exactement comme des organisations marxistes virent parfois en organisations de malfaiteurs, parce que l’occasion fait le larron. Mais les FARCS, se sont des marxistes, pas des confrères du grand Monsieur Spaggiari. Il se trouve juste que la haine qui les sépare du reste de la société leur permet de jouer aux gendarmes et aux voleurs plus facilement.
XP a parfaitement raison. Notre mafia insulaire est tout à fait incapable d’actes de délinquance envers l’homme de la rue. Les « affaires » se règlent entre spécialistes du domaine concerné, de la même manière que les querelles de géologues n’intéressent que d’autres géologues. J’ajouterai que la limite entre un mafieux et un véritable homme d’affaires est assez ténue. Je ne dis pas cela pour bêler dans le sens de l’extrême gauche mais pour avancer le fait que les deux professions nécessitent un très fort esprit d’entreprise, une ambition très au-dessus de la moyenne, une capacité relationnelle hors du commun et des talents de meneur d’hommes. Après, suivant les conditions relatives à l’état de droit, les chemins individuels peuvent obliquer vers l’une ou l’autre des professions.
Donc ces gens là, qui sont d’honnêtes chefs d’entreprise, ne peuvent pas plus se permettre de semer la pagaille sur leur lieu de travail (la rue, les cafés, les bars) qu’un gérant d’hypermarché demanderait à ses chefs de rayon de renverser les pots de confiture et les bouteilles.
Tout cela pour dire que les journalopes de Rance 2 ont trouvé le moyen d’incriminer des Blancs de deux façons afin de détourner la vindicte populaire envers les CPF:
-en jouant sur le mythe et l’imaginaire de la mafia aux mains de ces Européens du Sud si méprisés par le FDS de base,
-en faisant (encore) passer les CPF pour des supplétifs, sous-entendu que les vrais-méchants-qui-tirent-les-ficelles sont des Blancs
En désaccord presque total avec ce qui est dit plus haut, à propos des mafias, des truands, du grand banditisme. Mais je n’ai pas le temps de me jeter dans l’arène, on m’attend chez le vétérinaire (non, JE ne suis pas malade…).
Ce soir, si j’ai le courage et les neurones pour.
Je reviens, donc. La fascination bourgeoise pour les truands me répugne. (On en parlera « en vrai », si tu veux, mon cher Hervé.) Ces gens se placent en dehors de l’espèce humaine. ils sont les parasites absolus, les meilleurs soutiens de toutes les dictatures, parce que celles-ci les servent. Je ne peux, une fois de plus que te renvoyer à Varlam Chalamov, à ses « Récits de la Kolyma » et notamment à cette courte partie centrale qui s’intitule « Essais sur le monde du crime ».
Tu as cependant raison lorsque tu dis que l’homme de la rue n’a a priori rien à craindre des « grands bandits » : Chalamov dit la même chose. Sauf que cela n’est vrai que dans les circonstances normales de l’existence. Ouvre des camps, n’importe quels camps, et tes « amis » se transformeront illico en ce qu’ils sont déjà : des bêtes. Des fauves non seulement prêts à te déchiqueter (c’est bien le moins) mais à se déchiqueter entre eux. Le « code moral » des truands est une vue de l’esprit bourgeois, ça n’existe pas. C’est le résultat d’une intoxication venue des truands eux-mêmes, et d’une fascination malsaine (la nôtre) dont il est très difficile de se défaire – mais dont il importe de se défaire, pourtant.
Les truands sont la lie de la terre, excluent par eux-mêmes de l’espèce humaine. Nul, il me semble, ne doit avoir le moindre rapport, ou contact, avec eux.
Mon cher Didier,
Je ne suis pas un bourgeois fasciné par les voyoux, pour la simple raison que je ne suis pas un bourgeois.Et je ne suis pas un intellectuel non plus. J’évite de penser, parce que ça fait mal à la tête. Je me borne donc à parler de ce que j’ai vu de mes yeux vus, à « sauver les phénomènes », comme dit Houellebecq.Je ne défends donc pas les voyoux par principe, je dis juste que j’en ai croisé quelques uns, que je ne le regrette pas le moins du monde, que je les ai trouvé fort sympathiques et droits, et que certains sont encore des amis.
Petite précision, quand-même:ils sont tous rangés des voiture, et j’étais leur cave, comme Maurice Biraud dans « le cave se rebiffe’, le trafic de fausse monnaie hollandaise en moins^^.
Je trouve ceci encore trop indulgent: « Tu as cependant raison lorsque tu dis que l’homme de la rue n’a a priori rien à craindre des « grands bandits » ». Quels sont les activité de la pègre ? Enlever, racketter, dévaliser etc. Qui sont les victimes de tout cela, si ce n’est « l’homme de la rue » ? Quand un Boudouda met son flingue sur la tempe d’un employé de banque ou de casino, quand il tire sur les flics en pleine rue au risque de tuer un passant, à qui s’en prend-il si ce n’est à « l’homme de la rue » ?
Et donc, quand Vertumne dit: » Notre mafia insulaire est tout à fait incapable d’actes de délinquance envers l’homme de la rue », j’avoue ne pas comprendre. Si ce qu’il dit est vrai, si cette « mafia » ne rackette pas, n’enlève pas, ne dévalise pas, en quoi est-ce une mafia ?
Quant au rapport entre les émeutes raciales et le grand banditisme, si je suis d’accord avec XP pour dire qu’il ne faut pas les confondre, je crois cependant qu’on est dans une conjoncture idéale pour la création d’un puissant réseau mafieux africain. Que les populations africaines fournissent leur quota de criminels au « grand banditisme », c’est normal en effet. Mais il y a plus ici: le création d’un grand banditisme mafieux et ethnique qui est en rapport avec la situation ethnique de ces quartiers.
D.Goux dit que les criminels « sont les parasites absolus, les meilleurs soutiens de toutes les dictatures, parce que celles-ci les servent », mais ça va plus loin: les dictatures, en particulier les régimes socialistes en décomposition (cf. Boukovski pour qui les mafias russes actuelles sont les héritières des cellules locales du PCUS des années 60 en cours d’autonomisation), non seulement se servent, mais CRÉENT de la criminalité organisée. Étant donné que nous vivons dans un système socialiste idéologiquement multiculturaliste, dont une grande partie de la clientèle est composée des populations africaines, il est logique que se crée parallèlement un système mafieux africain. Ça n’enlève rien à la justesse de ce que dit XP sur les grossières manipulations des journalistes, mais à mon avis il ne faudrait pas faire l’erreur de séparer complètement ce phénomène de la criminalité africaine du problème des quartiers. Même s’il n’est pas le gros de ce problème, il est au moins intéressant comme symptôme. Les deux phénomènes sont la résultante du régime socialiste anti-occidentaliste qui nous gouverne (régime au sens large – régime idéologique, disons).