Des Catalans,
Des Castillans,
Des Asturiens,
Des Canariens,
Des Basques,
Des Andalous,
Même un type des Baléares, je crois…
Si c’est pas de la diversité…..
13 réflexions sur « Victoire de la diversité »
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Victoire coloniale À 500 000 € par mois en moyenne, avec l’aide du sélectionneur hollandais et celle de l’arbitre, ce n’est pas volé tout compte fait.
L’aide du sélectionneur hollandais ? De l’arbitre ?
En tout cas c’est amusant, la première Coupe du Monde en Afrique est remportée par une des seules équipes de haut niveau sans aucun noir.
Rappelez-vous, dans les prolongations, l’entrée des deux mulâtres à la place de hollandais et l’expusion d’un autre hollandais pour une faute anodine vu la physionomie du match, fîrent pencher la balance du coté des espagnols jusque-là incapables de concrétiser.
Leur victoire ne fut donc pas assez nette pour établir la suprématie de la sélection culturellement homogène sur une équipe arc-en-ciel, ce qui constituait un des véritables enjeux du tournoi, avec la suprématie des coloniaux sur les colonisés et celle de l’europe sur les autres continents , du moins si l’on s’en tient à la balle-au-pied. C’était peut-être la dernière occasion de le démontrer, vu le métissage galopant des européens.
Les athlètes-acteurs espagnols n’ont donc pas finit le travail, ils n’en sont pas moins acclamés comme Titus vainqueur de la Judée, pour quelques derisoires parties de balle-au-pied gagnées à l’arraché. Risible récompense pour un grand prix de comédie de la scène mèdiatique. Les espagnols ont gagné en gagne-petit en gagnant les plus gros salaires.
Non que la victoire française de 1998 contre le Brésil fut acceuillie plus équitablement, mais reconnaissons que le « Et un, et deux, et trois zéro » avait un autre panache et se révelait riche de sens, s’interprétant comme une ruse de sioux, la réponse du berger à la bergère, un stratagème de « à métis, métis et demi » pour mettre fin aux lustres d’insolente domination amazone. Une tactique temporaire répondant à une particulière configuration de tournoi malheureusement érigée en système par la relève et conduisant au désastre que l’on sait.
; »Rappelez-vous, dans les prolongations, l’entrée des deux mulâtres à la place de hollandais et l’expusion d’un autre hollandais pour une faute anodine vu la physionomie du match, fîrent pencher la balance du coté des espagnols jusque-là incapables de concrétiser. »
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Si l’arbitre est honnête, les Pays-Bas finissent la première mi-temps à 8. Xabi Alonso a joué la majeure partie du match avec une côte cassée, ça n’aide pas à concrétiser.
Permettez, en revoyant la partie on s’aperçoit bien vite que le jeu n’était guère plus sale qu’un vulgaire match de première division française qui vaut bien celle ou évolue habituellement M. l’arbitre. Nul ne conteste que les bataves s’octroyèrent un nombre d’occasion semblable aux ibères. Quand à la spectaculaire semelle dans le sternum d’un espagnol, le ralenti montre bien qu’il ne s’agit en aucun cas d’un attentat sinon l’adversaire ne se serait jamais relevé, or il courait comme un cabri 5 minutes après. Cette partie a surtout révélé le talent de comédien de l’élite supposée du ballon-pied, passée maître dans l’art du chiqué.
Moi je préfère quand les gens se limitent à dire qu’ils gagnent trop d’argent et que tout ça c’est pas juste. C’est juste stupide, quand ils se lancent dans une analyse footbalistique, ça frôle le pathétique.