On parle des chiffres arabes qui en réalité ne le sont pas. On parle de la redécouverte de l’Antiquité grâce à l’Espagne musulmane alors qu’il n’en est rien. On ferait mieux de parler des harems. Je ne comprends pas pourquoi l’orient ne nous parle pas plus des harems. Voilà qui pourrait motiver les touristes occidentaux à s’y rendre.
Ces gens ont besoin de communicants imaginatifs, sans nul doute.
Le temps s’en vient ou je pourrai, enfin, avoir mon mien de harem ! Inch’Allah !
Si le monde arabo-islamique ne se vante pas de ses harems, c’est peut-être parce que dans la réalité, on y trouve surtout des fatmas adipeuses qui côtoient des gamines crasseuses et faméliques, le passage de l’une à l’autre des catégories se faisant environ entre 16 et 17 ans. Après, y’a aussi le modèle importé d’Ukraine par charter contre espèces sonnantes et trébuchantes. Mais là, on est dans une activité de loisir qu’on appelle en occident « maison close ».
C’est pas Ségolène sur la photo du haut tout au fond?
Ah on le sentait venir, certains l’avaient prévu, d’autres en étaient certains comme on subodore des paradoxes éclatants : Ilys porte des babouches !!